Le complot de domination mondiale est maintenant dévoilé

C’est l’aveu de Klaus Schwab, un néo-nazi qui se prend pour le maître du monde : la pandémie de coronavirus a été organisée dans le but d’asservir les peuples, la fenêtre d’opportunité pour établir un nouvel ordre mondial, comme le déclara sèchement ce triste individu. Depuis plus de 30 ans cet homme, entouré de personnalités inconnues du grand public, met en place son réseau d’influence en sélectionnant des êtres de toute discipline suffisamment malléables pour leur inculquer cette idéologie directement issue des visées hitlériennes de fondation d’un nouvel empire de mille ans. Le coronavirus n’a pas tué assez de monde, qu’à cela ne tienne le lobby pharmaceutique occidental s’est plié aux exigences malthusiennes de Schwab de connivence avec les décideurs politiques pour soumettre toute la population à l’injection d’un produit toxique aux effets secondaires multiples y compris mortels. On se trouve donc devant l’évidence : les déclarations de Schwab sont bien claires, le nouvel ordre mondial façon Hitler-2.0 est en marche. Comme le disait Meryl Nass « il faut mettre un terme à la nuisance de ces gens ». Elle ne mentionnait que les biologistes qui manipulent les virus pour décimer les populations mais comme l’a déclaré Schwab à son insu c’est maintenant ficelé : tous les acteurs du nouvel ordre mondial sont sous contrôle et rien ne pourra plus les arrêter.

Mais au juste quels pays vont être concernés par ce nouvel ordre mondial ? L’Europe Occidentale en premier lieu, l’Amérique du Nord, l’Australie, la Nouvelle-Zélande … Peut-être le Japon, colonie américaine qui ne dit pas son nom et aussi la Corée. Les deux tiers de la population mondiale ne se sentent pas concernés malgré le fait que la Chine a déjà mis en place un régime totalitaire contrôlant très étroitement tous les faits et gestes des citoyens. Si l’un d’entre eux adopte un comportement non conforme aux directives du parti alors il est rétrogradé dans une caste inférieure, epsilon par exemple (cf. Huxley). Schwab s’inspire d’ailleurs du modèle chinois et l’avenir, tel que ce magicien de la dictature le conçoit, se résumera en quelques mots : nous ne posséderons rien mais nous serons heureux. Je n’arrive pas à comprendre quelle est la conception du bonheur selon cet individu au jugement faussé par sa mégalomanie inquiétante. Je suis trop vieux pour assister à cette évolution néfaste de la civilisation occidentale et j’avoue que je m’en réjouis pour moi-même mais malheureusement en pensant à mes petits-enfants qui vivront dans un monde que j’ai de la peine à conceptualiser.

La domination des peuples a été atteinte par la peur du coronavirus qui, au final, a fait des ravages sensiblement identiques à une grosse grippe à influenza. Quand un individu a peur et que les politiciens lui proposent une issue comme un traitement tel qu’une thérapie génique il acquiesce sans réfléchir. Ceux qui refusent cette approche sont considérés comme des dangers publics. Ce phénomène est l’approche de la mise en place d’une dictature car chacun est alors conditionné, la peur paralyse son aptitude à penser et faire émerger un quelconque doute. C’est fini pour le citoyen lambda, il a basculé dans le système du nouvel ordre mondial. L’un des acteurs importants selon Schwab est le corps médical qui doit se plier aux injonctions du pouvoir politique. L’un des exemples emblématiques de cette disposition est l’interdiction des traitements précoces en ambulatoire pour soigner l’infection coronavirale (hydroxychloroquine et ivermectine) et quel que soit le donneur d’ordre de cette interdiction celle-ci entre dans le cadre de la soumission des acteurs de la santé au grand projet du Forum Économique mondial. Si la variole du singe, promue uniquement pour paniquer les peuples, n’atteint pas son but alors qu’à cela ne tienne il y aura par exemple des mutants du virus Hendra ou du virus Nipah dont le taux de létalité est de l’ordre de 95 %, un don des dieux pour Schwab et les laboratoires pharmaceutiques qui travaillent déjà sur la mise au point d’anticorps monoclonaux contre ces deux virus. Pour quelques milliers de dollars on échappera (peut-être) à la mort. Certes il existe déjà un vaccin contre le virus Hendra pour les chevaux mais n’est-il pas inquiétant de constater une certaine agitation soudaine autour de ces deux virus ? Une petite modification de « gain de fonction » et j’arrête là ma prose … « Brave New World » (Aldous Huxley).

Vidéo montrant la satisfaction non dissimulée de Klaus Schwab:

https://twitter.com/benoitm_mtl/status/1534935530361716737?ref_src=twsrc%5Etfw%7Ctwcamp%5Etweetembed%7Ctwterm%5E1534935530361716737%7Ctwgr%5E%7Ctwcon%5Es1_&ref_url=https%3A%2F%2Freseauinternational.net%2Fklaus-schwab-nous-les-avons-tous-dans-nos-sacs-les-politiciens-les-medias-et-surtout-les-experts-et-les-scientifiques%2F

Les vaccins à ARN messager ne protègent pas, ils tuent !

Au début du mois de janvier 2022 le Directeur Général de la compagnie d’assurance OneAmerica basée à Indianapolis, Scott Davison, révéla que les actuaires de la compagnie avaient noté le plus fort taux de mortalité dans l’histoire de sa société, une augmentation de plus de 40 % par rapport à l’année 2019. Davison révéla aussi que la majorité des décès n’étaient pas liés au SARS-CoV-2. Les analystes (appelés actuaires) ont découvert que cette augmentation des décès était supérieure à celle observée en 2020 et qu’elle apparaissait à la fin du printemps 2021. De plus elle concernait les tranches d’âge des personnes actives et donc clientes de la compagnie, c’est-à-dire contribuant aux revenus de la compagnie par leurs cotisations. Les principaux points relevés par les actuaires étaient que la mortalité s’est aggravée en 2021 par rapport à 2020 malgré la vaccination, cette mortalité coïncidait parfaitement avec la campagne de vaccination et enfin que l’augmentation des décès concernant les tranches d’âge plus jeunes apparut au troisième trimestre de 2021 alors que les morts par coronavirus étaient très faibles sur cette période. La compagnie d’assurance Unum signala le même type de phénomène en ce qui concernait les primes perçues et les prestations payées aux assurées : 17,4 % d’augmentation des prestations en 2021 par rapport à 2020 en dépit des vaccinations.

En outre une compagnie de pompes funèbres, Carriage Services, a constaté une augmentation de 28 % de son activité en septembre 2021 par rapport au mois de septembre 2020, les enterrements et les crémations suivant la même tendance. Ces décès concernaient la tranche d’âge inférieure à 65 ans. De plus pour les tranches d’âge comprises entre 20 et 50 ans le taux de décès classés « coronavirus » était en forte augmentation au cours du quatrième trimestre de 2021 alors que la vaccination était devenue obligatoire pour cette tranche d’âge depuis plus d’une année. Les actuaires du Hardford Insurance Group ont de leur côté noté un pic de mortalité chez les plus jeunes actifs de plus de 32 % au troisième trimestre de 2021 par rapport au même trimestre de 2019 et de 20 % par rapport au même trimestre de 2020.

Toutes ce observations des analystes de ces compagnies d’assurance qui englobent les dépenses de santé, les pensions de retraite et les frais d’obsèque les ont conduit à deux questions essentielles : quelles sont les causes principales de l’augmentation des décès en 2020 et 2021 et quelle est la proportion dans ces décès des vaccinés et des non vaccinés.

La seule explication plausible formulée par les actuaires est que le supposé vaccin ne protège pas contre la maladie, d’une part, et qu’il tue plus que la maladie elle-même. Quant aux séquelles de cette vaccination sur le long terme elles risquent de réserver de douloureuses surprises à ces mêmes compagnies d’assurance. Ce qui est plaisant dans ce constat fait par des actuaires de compagnies d’assurance est qu’il n’y a aucun médecin ou spécialiste des questions sanitaires dans cette analyse ni d’organismes étatiques ni de journalistes corrompus par le pouvoir. Ce constat révèle également l’énorme sous-estimation des organismes de veille sanitaire tels que le VAERS. J’en ai déjà dit un mot sur ce blog. On arrive avec des facteurs multiplicatifs compris entre 41 et 47 à des figures qui pourraient corroborer les constatations des actuaires des compagnies d’assurance. Combien de temps encore les laboratoires pharmaceutiques réussiront-ils à contrôler la presse et les gouvernements pour dissimuler cet immense scandale ? Toute la question est là.

Sources : ZeroHedge et https://stevekirsch.substack.com/p/unprecedented-deaths-in-indiana-for?r=o7iqo

Restez connecté j’apporterai de nouvelles précisions à ce sujet ce prochain lundi.

Réflexions sur le coronavirus

J’ai été très préoccupé par le fait que mes petits-enfants franco-japonais puis leur père soient atteints par le coronavirus ces derniers jours et je voudrais ici livrer à mes lecteurs mes dernières impressions.

Dans le pays natal du Docteur Satoshi Omura, découvreur de l’ivermectine dans les années 1970, il paraît surréaliste que l’invermectine ne soit pas administrée à un malade souffrant à l’évidence d’une infection coronavirale et ceci dès l’apparition des premiers symptômes. Le docteur Omura a fait la promotion du traitement sur la chaine de télévision japonaise NHK au printemps 2021 lorsque les évidences se sont accumulées quant à l’efficacité de ce produit pour traiter l’infection coronavirale. Il a été immédiatement censuré ! Ces études en provenance de divers pays ont été bien entendu critiquées par les grands laboratoires pharmaceutiques car elle n’étaient pas conformes au principe des essais cliniques en double aveugle mis en place et promus par ces mêmes laboratoires. Plus d’une cinquantaine d’études réalisés dans des pays aussi divers que l’Iran, certains Etats de l’Inde, du Brésil ou encore du Mexique sont formelles : l’invermectine est efficace pour traiter l’infection coronavirale au stade précoce et est également efficace pour un traitement plus tardif. Devant le danger que représentait ce produit peu coûteux et aux effets secondaires nuls pour leur business-plan « tout-vaccin » les laboratoires pharmaceutiques occidentaux ont exigé des agences nationales de santé qu’il soit interdit à la vente.

Un médecin généraliste, y compris au Japon, n’a pas le droit de prescrire ce produit à un patient présentant tous les symptômes cliniques et les évidences analytiques d’une infection coronavirale. Cette interdiction de l’ivermectine rapprochée de celle de l’hydroxy-chloroquine a provoquée dans le monde entier des décès qui auraient pu être évités, peut-être 2,5 millions voire plus. Ce sont les laboratoires pharmaceutiques et les agences de santé complices de ces derniers qui sont donc des criminels. Qu’a suggéré le médecin que mon fils a consulté à Tokyo ce lundi 23 août : rester chez lui et prendre du paracétamol, en attendant de ne plus pouvoir respirer ? Où est passé le devoir de soigner et de sauver des vies des médecins. Les agences de santé nationales ont piétiné le droit de prescrire des médecins en leur âme et conscience dans le but de soigner leurs malades.

On a pu constater avec cette épidémie de coronavirus que la médecine n’est plus l’affaire des médecins traitants généralistes de ville mais des autorités gouvernementales qui reçoivent des ordres du cartel des BigPharma occidentaux, il faut le dire clairement malgré le fait que cette affirmation ne peut être étayée par des informations indubitables, et pour cause : tout s’est passé avec l’intervention bienveillante, en ce qui concerne la France, du cabinet de consulting McKinsey auquel a fait appel, ô surprise, le président français pour organiser la campagne de « vaccination » en France. Ignorant autoritairement l’efficacité maintenant prouvée des deux produits cités plus haut les gouvernements ont failli à leur mission de protection des personnes dont ils ont la responsabilité. Ils devront rendre compte devant la justice de leurs actes. Plutôt que d’encourager les médecins généralistes en première ligne à traiter précocement leurs malades avec l’un des deux produits cités plus haut ces décideurs politiques ont préféré la voie du « tout-vaccin » avec des produits dont l’efficacité n’est même pas prouvée mais dont la dangerosité devient de plus en plus évidente, en particulier en ce qui concerne l’ADE (Antibody Dependent Enhancement), une réaction immunitaire violente dont peut souffrir une personne « vaccinée » au contact du vrai virus. Rappelez-vous l’essai en phase III du vaccin expérimental contre la dengue organisé par Sanofi aux Philippines qui, pour cette raison, conduisit au décès de plus de 2000 enfants.

Il apparaît ainsi qu’en Israël la moitié très exactement des malades du coronavirus hospitalisés pour des formes graves ont pourtant été doublement « vaccinés » alors que les fabricants de ces potions prétendaient qu’elles protégeaient contre une nouvelle infection. Il en est de même pour la Grande-Bretagne … et on veut obliger toute la population à se plier à cette injection de poison ? Cette décision du « tout-vaccin » est donc également criminelle ! Nous vivons non plus dans un monde étrange mais maintenant dans un monde dangereux où la fraude généralisée au détriment de la santé et de la vie de centaines de millions de personnes n’a pas l’air de perturber les décideurs politiques, et cette situation exceptionnelle ressemble étrangement à la fraude climatique … Quelques liens ci-dessous.

https://blog-gerard.maudrux.fr/2021/04/27/covid-19-en-inde/

On ne dit rien aux Canadiens quand ils se font vacciner

Article de John Cunnington, Docteur en médecine, ancien professeur à l’Université McMaster paru sur le site de Donna Laframboise

Au sommet de la hiérarchie médicale se trouve le neurochirurgien. Les neurochirurgiens sont entourés d’une mystique d’omniscience et d’omnipotence. Imaginez donc ma surprise, en tant qu’humble étudiant en médecine, de découvrir que le neurochirurgien principal de notre établissement, Robert Hughes, était poursuivi pour faute professionnelle. En fait, Robert Hughes, à son grand dam, a écrit l’histoire médicale et juridique du Canada sur la question du consentement éclairé.

En 1970, Hughes a effectué une endo-artériectomie carotidienne (nettoyage de l’artère carotide jusqu’au cerveau) sur un homme de 44 ans, John Reibl, qui a ensuite subi un accident vasculaire cérébral qui l’a laissé paralysé d’un côté et incapable de continuer à travailler. Reibl a poursuivi Hughes, affirmant qu’il n’avait pas été informé qu’il pourrait subir un accident vasculaire cérébral à la suite de cette chirurgie élective, et que s’il l’avait su, il aurait retardé l’opération jusqu’à ce qu’il devienne éligible pour une pension de Ford Motor Company moins de deux ans plus tard. Voici le témoignage de Reibl devant la Cour :

Q. Vous a-t-il parlé de ce qui se passerait si vous ne subissiez pas l’opération? R. Oui, il a dit : « C’est à vous de décider si vous voulez l’avoir ou non. Vous pouvez vivre quelques années. Vous pouvez vivre environ 7 ou 10 ans ou plus. Un de ces jours, vous allez tomber sur le nez, et c’est tout. Si vous voulez le faire maintenant vous n’aurez aucun problème plus tard.

Q. Le Dr Hughes a-t-il dit autre chose sur les risques de l’opération ?

R. Il n’a rien dit.

L’affaire Reibl contre Hughes est allée jusqu’à la Cour suprême du Canada et, en 1980, la Cour a énoncé la norme actuelle du consentement éclairé, en particulier que le médecin (ou un autre fournisseur de soins de santé) « doit donner au patient suffisamment d’informations pour qu’un examen objectif, par une personne raisonnable à la place du patient puisse être en mesure de faire un choix éclairé concernant un acte médical ». Le tribunal a défini l’omission de divulguer les risques qui en découlent comme une négligence.

Ainsi, au Canada, pour recevoir un traitement ou une intervention, le patient doit non seulement l’accepter verbalement et signer un formulaire de consentement, mais doit donner un consentement éclairé après s’être fait expliquer les risques. Quarante et un ans après la décision de la Cour suprême, nos gouvernements fédéral et provinciaux se sont engagés dans un programme d’administration à toute la population canadienne de plus de 12 ans, d’un traitement de thérapie génique complètement nouveau, expérimental, non approuvé par la FDA. Cette thérapie, selon les bases de données sur les réactions indésirables aux vaccins des gouvernements américain et européen, est raisonnablement suspectée d’avoir tué des milliers de personnes et causé des blessures graves chez des dizaines de milliers d’autres personnes. Pendant ce temps, les conséquences à long terme de la thérapie sont tout simplement inconnues.

Les Canadiens qui subissent ce traitement obtiennent-ils cette information ? Leur dit-on ce qu’ils doivent savoir pour donner un consentement éclairé ? Un de mes amis a récemment reçu l’injection. Je lui ai demandé s’il était informé de la possibilité d’effets secondaires. Il a dit qu’aucun ne lui a été mentionné !Pour autant que je sache, les Canadiens ne sont pas informés qu’il y a des risques. Lorsqu’ils se présentent au site d’injection, il semble qu’on leur demande de signer un formulaire et de tendre le bras. Ceux qui administrent le traitement ne discutent pas avec eux des avantages et des inconvénients, des risques et des bénéfices de l’injection avant l’administration du « vaccin ». La plupart des Canadiens qui se font vacciner n’ont aucune idée qu’il existe un risque de troubles de la coagulation sanguine, comme une embolie pulmonaire et un accident vasculaire cérébral, de processus immunitaires mettant la vie en danger comme la thrombocytopénie induite par le vaccin, ou que les jeunes qui se font vacciner courent un risque de complication potentiellement mortelle de la myocardite (ils ne sont pas non plus informés que le risque de Covid lui-même est presque négligeable pour les jeunes et en bonne santé). Un tel manque d’information est une violation de la décision de la Cour suprême sur le consentement. Si vous êtes blessé par le vaccin et n’avez pas donné votre consentement éclairé, vous avez des motifs de poursuivre vos autorités sanitaires pour négligence et dommages-intérêts.

Remarque : Il n’incombe pas aux patients de faire leurs propres recherches. Il incombe au fournisseur de soins de santé d’informer les patients des risques afin qu’une personne objective et raisonnable dans la position du patient soit en mesure de faire un choix éclairé. Est-ce que quelqu’un croit vraiment qu’un enfant de 12 à 15 ans est capable de comprendre suffisamment les problèmes complexes liés à la thérapie génique expérimentale pour donner un consentement éclairé ? Attirer des enfants avec de la crème glacée à Toronto ou des adultes avec une loterie dans l’Etat d’Alberta constitue-t-il un consentement éclairé?

Si l’affaire Reibl contre Hughes établit la norme pour les traitements approuvés, quelle devrait alors être la norme pour les traitements non approuvés, pour l’expérimentation sur les humains avec des technologies nouvelles et non testées ? À la suite d’expériences menées par des médecins nazis sur des prisonniers des camps de concentration et les procès de Nuremberg qui ont suivi, cette Cour a formulé dix principes d’éthique de la recherche pour guider l’expérimentation médicale sur les humains. Le premier principe est que « le consentement volontaire du sujet humain est absolument essentiel ». Bien que le Code de Nuremberg, créé il y a plus de 70 ans, n’ait pas utilisé le mot « informé », il a utilisé le mot « consentement » et il n’est guère exagéré de conclure que le consentement dont ils parlaient était un « consentement éclairé ». La plupart des Canadiens qui reçoivent ces nouvelles injections de thérapie génique n’ont aucune idée que ces « vaccins » ne sont pas une thérapie approuvée, comme un vaccin contre la grippe, et ils ne savent pas qu’ils sont en fait inscrits à des essais cliniques qui sont toujours en cours.

Nos gouvernements fédéral et provinciaux, premiers ministres, administrateurs de la santé publique et personnel négligent d’administrer les vaccins Covid à des dizaines de millions de Canadiens sans les informer clairement qu’il s’agit d’une thérapie expérimentale, qui pourrait entraîner des événements indésirables graves, y compris des changements de vie, blessures ou la mort, et que les effets secondaires à long terme, par exemple les maladies auto-immunes potentielles, sont encore inconnus. Lorsque les gouvernements utilisent tous les moyens en leur pouvoir, y compris le contrôle des médias et la censure généralisée des voix dissidentes, pour inciter les gens à se faire soigner sans les informer de manière adéquate des risques, ils violent la confiance fondamentale entre le peuple et leur gouvernement.

Lien : https://scc-csc.lexum.com/scc-csc/scc-csc/en/item/2563/index.do

La médecine aujourd’hui : une histoire de « pognon de dingue ».

Comment peut-on être soigné correctement par des médecins plus ou moins fonctionnaires comme c’est le cas en Espagne avec le service de santé public mais également avec les médecins du service de santé privé qui ne travaillent que pour payer leurs impôts et le train de pneus de leur Porsche dernier modèle. Je voudrais relater ici une anecdote vécue personnellement. Il y a un dizaine d’années. Je suis allé voir un ancien ami médecin spécialiste en otorhino, sans rendez-vous, sans carte vitale, en visite touristique en quelque sorte. Je voulais qu’il me dise ce qu’il pensait de la sinusite chronique dont je souffrais depuis mon séjour au Vanuatu. Pour le mettre sur la voie je lui précisai que dans ce pays tout monde souffre de la malaria et que tout le monde souffre également de sinusite et je lui ai demandé s’il n’y aurait pas une relation encore non explorée entre ces deux pathologies. Il fut étonné par l’audace de ma question. Je me trouvais dans la bonne ville (encore à l’époque) de Lyon pour quelques jours et lui demandai de faire un peu de bibliographie à ce sujet. Il me répondit que c’était impossible, qu’il opérait le matin à l’hôpital et que l’après-midi il recevait en consultation au moins 15 personnes. Et je lui ai renvoyé la balle en lui demandant pourquoi il travaillait autant. Il me répondit qu’il fallait bien qu’il paie ses impôts.

Voilà par qui on est soigné aujourd’hui : par des médecins du secteur public plus ou moins fonctionnaires et des médecins du secteur privé qui travaillent pour payer leurs impôts, qui n’ont pas une minute à consacrer à de la bibliographie et reçoivent des jolies filles estampillées visiteuses médicales qui leur vantent les bienfaits de nouveaux médicaments extraordinaires coûtant une fortune mais pas plus efficaces que les vieux remèdes de grand-mère pour soigner une petite grippe. Vous voulez un autre exemple anecdotique ? Lorsque j’était enfant une mauvaise grippe se soignait avec des inhalations. Il s’agissait de respirer les vapeurs d’une décoction de plantes aromatiques que l’on trouvait à un prix dérisoire chez le pharmacien du village et si on avait la trachée vraiment encombrée ma mère préparait un cataplasme à base de poudre de graines de moutarde. Après une heure d’un genre de supplice thermique on respirait nettement mieux …

Aujourd’hui tout est calculé, financiarisé comme on dit maintenant, les hôpitaux sont rémunérés à l’acte et je suspecte que les médecins le sont aussi en fonction des « actes » qu’ils prescrivent. C’est un peu un système à points et il faut surtout prescrire ou décider d’actes médicaux les plus coûteux possible. Un autre exemple : lorsque je suis allé consulter pour la première fois l’urologue vers lequel j’avais été orienté à la suite d’une analyse sanguine qui révélait un taux élevé de PSA (prostate specific antigen) il m’a tout de suite dit qu’il fallait opérer. J’ai refusé puis j’ai joué le jeu pour savoir où ce théâtre allait me conduire … Quand un oncologue m’a reçu à l’hôpital, après une gamma-graphie, une IRM et un scanner, trois actes loin d’être gratuits, il a conclu qu’il fallait que je me soumette à une radiothérapie, j’ai refusé. Ces médecins spécialistes qui croient être imprégnés de science ne savent même pas que trois hommes sur cinq de mon âge souffrent de problèmes de prostate qu’ils ignorent jusqu’au jour où une analyse sanguine révèle que leur taux de PSA est élevé et … qu’il faut faire quelque chose, c’est-à-dire dépenser l’argent des contribuables en fermant les yeux et sans se poser de questions ni morales ni éthiques. À 80 ans ce sont plus de 80 % des hommes qui ont des problèmes de prostate. Voilà dans quel état est la médecine dans les pays occidentaux, pognon, pognon, pognon … affligeant !

Il est dès lors facile de comprendre que tout a été fait pour surtout ne pas permettre aux médecins généralistes de prescrire l’hydroxychloroquine associée à l’azithromycine, deux médicaments profitant d’une solide réputation d’innocuité en ce qui concerne les effets secondaires et très rapidement utilisés par le corps médical chinois. Le gros souci est le coût dérisoire de ce traitement ce qui n’a pas plus au corps médical ni aux laboratoires pharmaceutiques qui n’ont pas voulu en entendre parler. La perspective de mettre sur le marché des produits nouveaux hors de prix ce qui entrait parfaitement dans le cadre des visées des fonctionnaires gérant le secteur hospitalier public : toujours une très grosse histoire de pognon. Et les vies humaines dans tout ce cirque ? Les quelques 50000 morts qui auraient pu être évités en France en laissant toute liberté de prescription aux médecins généralistes ont été sacrifiés sur l’autel du profit ! Et aujourd’hui pourquoi les gouvernements occidentaux ne décident pas de traiter massivement toute la population dont ils ont la responsabilité avec un comprimé d’ivermectine par semaine pendant deux semaines, alors l’épidémie disparaîtra mais encore une fois les laboratoires pharmaceutiques exerceront une pression (par la corruption) considérable sur les décideurs politiques pour ne surtout décider d’une telle mesure. Les pays africains se moquent des occidentaux, nous devrions avoir honte de nos gouvernants …

Note. Cette fin de semaine je vais me promener dans la nature. Il n’y aura donc pas de billet avant lundi prochain au soir.

Pour un vaccin contre la malaria il y a encore un long chemin …

Alors qu’au cours de l’année 2020 la malaria aura encore tué près d’un million de personnes dans le monde alors que tous les yeux étaient tournés vers les morts provoqués par le SARS-CoV-2 et pour faire exception puisque tous les moyens étaient mobilisés pour sauver des vies humaines dans les pays occidentaux, ce nouveau virus a surpassé la malaria avec 3 213 602 morts dans le monde à la date du 4 mai 2021. Mais si la malaria a été surpassée par le coronavirus en cette année 2020 elle a également tué autant de personnes dans le monde durant ces 20 dernières années. Bref, il n’y a pas de quoi pavaner malgré une très nette amélioration essentiellement due à la généralisation de moustiquaires imprégnées d’insecticides, par exemple, et le retour à pas feutrés du DDT dont on imprègne les murs dans les cases des villages des pays tropicaux parce c’est justement sur ces murs que les moustiques viennent se poser durant la journée pour, la nuit tombée, aller se nourrir du sang des occupants de la case en se laissant littéralement tomber sur eux puis leur transmettant le plasmodium qui va tuer et tuera encore. S’étant imprégné de DDT les moustiques meurent avant d’avoir infecté leurs proies.Ce qui est très surprenant au premier regard est le très faible taux de mortalité par le SARS-CoV-2 dans les pays où précisément sévit de manière endémique la malaria. Je ne les citerai pas tous ici mais il s’agit de la péninsule cochinchinoise, la Birmanie, la Malaisie, l’Indonésie et la Nouvelle-Guinée mais aussi et surtout l’ensemble des pays d’Afrique en dehors de l’Afrique du sud qui a voulu jouer dans la cour des grands en interdisant les traitements précoces à base d’hydroxychloroquine ou d’Ivermectine.

Mais revenons à la malaria. Le Jenner Institute, émanation de l’Université d’Oxford, a imaginé de faire produire par des levures génétiquement modifiées dans ce but une protéine chimérique, une partie de la protéine de capside du virus de l’hépatite B fusionnée à une partie de la protéine de surface du parasite de la malaria sous sa forme existant dans la salive du moustique appelée sporozoïte. L’attention a été porté sur le Plasmodium falciparum qui tue beaucoup plus de personnes que le P. vivax. Cette protéine chimérique s’assemble spontanément en particules ressemblant à un virus et le patient inoculé par ce produit conditionné avec un adjuvant constitué de saponines d’origine végétale développe des anticorps contre la protéine du sporozoïte. Les premiers essais cliniques en phase 3 ont été effectués sur un nombre restreint d’enfants âgés de 5 à 17 mois dans une région du Burkina-Faso où la malaria est endémique. Il est encore prématuré de se réjouir puisque sur 146 enfants ayant reçu le vaccin 39 ont tout de même développé la malaria à falciparum alors que dans le groupe témoin de 147 enfants 106 d’entre eux ont, eux, développé la maladie. C’est à peu près ce qui se passe avec les vaccins à ARN pour le SARS-CoV-2 : une protection incomplète. De plus il existe une multitude de « variants » qui diffèrent au niveau des protéines de l’enveloppe du sporozoïte, c’est aussi exactement la situation à laquelle on est confronté dans les pays européens avec le soi-disant super-efficace pseudo-vaccin à ARN messager dirigé contre le SARS-CoV-2.

Le vaccin expérimental de GSK développé par une approche sensiblement identique, le Mosquirix, a de son côté péniblement atteint une efficacité de 56 % la première année et réduite à 36 % après 4 années. Il est donc clair que devant le peu de profits attendus pour la production de ces vaccins les grands laboratoires pharmaceutiques, qui pour certains d’entre eux ont trouvé la poule aux œufs d’or avec le SARS-CoV-2, ne sont pas très nerveux en ce qui concerne la malaria. Enfin, pour clore ce sujet, l’Institut des pathogènes émergeants à l’Université de Floride privilégie une toute autre approche consistant à affaiblir la capacité de transmission du parasite de l’homme vers le moustique. Je ne suis pas du tout spécialiste mais j’ai beaucoup de peine à imaginer comment ce but pourra être atteint …

Source : AAAS News, illustration Wikipedia

Ce que dit le Professeur Raoult est réaliste et terrifiant !

On n’en finira pas avec le coronavirus sauf si les gouvernements ne prennent pas une décision radicale : prophylaxie préventive et traitement systématique des sujets symptomatiques en phase précoce avec l’une des thérapies dont l’efficacité a été prouvée, nommément azithromycine + hydroxychloroquine et Ivermectine, ces trois molécules associées ou non à du zinc et de la vitamine D, point barre ( le Pr Raoult ne les a pas nommées et n’a pas non plus préconisé une prophylaxie massive au cours de son dernier exposé hebdomadaire, lien en fin de billet).

La prophylaxie consiste à traiter une population avec un médicament afin de la prémunir contre une infection identifiée, le médicament étant lui-même identifié comme actif contre l’agent de l’infection ( https://en.wikipedia.org/wiki/Preventive_healthcare ). Une prophylaxie généralisée à tout la population, quel que soit l’âge des personnes consisterait en un traitement quotidien avec l’une des thérapies ci-dessus avec des posologies adaptées. Il n’y a pas d’autre solution pour éradiquer ce virus qui a une fâcheuse tendance à muter comme tous les virus à ARN. En effet, si le virus ne trouve plus de terrain favorable pour se multiplier il disparaît, un point c’est tout. Chaque mutant ou variant, appellez ça comme vous voudrez, provoque une nouvelle maladie, une nouvelle épidémie, c’est la raison pour laquelle les courbes retraçant les nombres de morts ou les nombres de cas observés sont totalement atypiques (illustration IHU de Marseille).

Les vaccins à base d’ARN messager codant pour la seule protéine spike-1 de la souche Wuhan du virus pourraient être faiblement ou juste pas du tout protecteurs contre ces mutants ! Les personnes vaccinées ne seront donc pas protégées contre une nouvelle souche, seront toujours porteuses du virus qui pourra se multiplier et pourront le transmettre à leur entourage s’ils présentent des symptômes de la maladie. L’immunité collective dont se gargarisent les décideurs politiques, qui ne savent même pas de quoi ils parlent, ne sera donc jamais atteinte avec une vaccination massive …

La seule solution pour se sortir de cette impasse est une prophylaxie généralisée du type de celle utilisée avec la chloroquine (ou son dérivé hydroxylé) pour se prémunir contre la malaria quand on se déplace dans un pays où sévit de façon endémique cette maladie. Par exemple, au Vanuatu, tous les Australiens qui viennent en vacances dans le pays prennent de la chloroquine (à l’époque où je résidais dans ce pays) pour se protéger contre la malaria et jamais aucun touriste n’en est mort. Je crois me souvenir que la posologie est deux prises par jour, matin et soir, de 100 mg, ça ne fatigue pas du tout et ça ne tue certainement pas comme le déclarait la Ministre Agnès Buzin dont les mensonges grossiers au sujet de l’hydroxychloroquine ont été récompensés par un poste « bidon » à l’OMS surtout pour disposer d’un passeport diplomatique et ainsi échapper à toute poursuite judiciaire, ça laisse rêveur …

Il n’y a donc plus de choix : les vaccins tels que ceux disponibles en Europe ne protégeront pas de la maladie et ne juguleront pas sa progression ou la réapparition d’autres « vagues » dues à de nouvelles souches mutantes. Il n’y a pas d’autre alternative.

Quant aux malades ils doivent être traités précocement avec l’une ou l’autre des thérapies mentionnées plus haut puisque leur efficacité a été largement démontrée. Il faut impérativement, c’est une urgence, que les médecins de ville puissent prescrire ces médicaments. Une prophylaxie généralisé permettra à tout le pays (et pas seulement la France) d’avoir une vie normale. Le problème réside maintenant dans le fait que les décideurs politiques sont soumis à l’influence de conseillers médicaux qui n’y connaissent rien et qui, de surcroît, sont influencés voire corrompus par les laboratoires pharmaceutiques dont le seul but n’est pas et n’est plus de se préoccuper de la santé des populations mais de réaliser le maximum de profits.

Une prophylaxie généralisée avec un produit qui ne coûte rien et peut être synthétisé par une entreprise payée par l’Etat dans ce but précis permettrait de faire disparaître ce virus et toute sa famille de variants en quelques jours, au pire deux semaines, plutôt que de décider de confinements qui sont monstrueusement coûteux pour les Etats, en France 3 milliards d’euros par jour selon une évaluation basse qu’exposait un analyste économique il y a quelques jours.

Je ne suis pas médecin mais les propos que je viens d’écrire après avoir vu l’exposé de Professeur Didier Raoult relèvent du bon sens. Pourquoi la grande majorité des pays d’Afrique n’ont que peu de morts à déplorer, tout simplement parce qu’ils se traitent avec de la chloroquine quotidiennement s’ils risquent de souffrir de la malaria ou de l’Ivermectine, une fois par semaine, s’ils risquent d’attraper des parasites, ou les deux produits simultanément à titre prophylactique. Le souci n’est pas de mettre en place une telle stratégie « de guerre » mais que les politiciens acceptent de la mettre en œuvre car ils sont tous corrompus par le lobby de la pharmacie puisque ces molécules ne leur rapportent pas un sen. Le « sen » est égal à un dixième de yen (Japon) et un yen est à peu près égal à un centime d’euro, faites le calcul. Une prophylaxie reviendrait à 2 à 3 euros par personne … Illustration : IHU de Marseille. Lien: https://www.youtube.com/watch?v=fW_yIhxVU_0

Vaccin à ARN messager anti-SARS-CoV-2 et « BigPharma » : comment en est-on arrivé là ?

La nouvelle technique vaccinale utilisée pour la mise au point d’un vaccin anti-SARS-CoV-2 peut être considérée comme une thérapie génique. Cette approche dite de thérapie génique préoccupait déjà la firme Goldman Sachs en 2018. Un analyste de cette firme financière se posait la question très préoccupante : Guérir les patients est-il vraiment un business model attractif ? Si les patients sont guéris c’est terminé, ce ne sont plus des « clients » et à terme les profits disparaissent. C’est ce qui est arrivé à Gilead avec le sofosbuvir, son médicament leader pour le traitement de l’hépatite C. Il faut noter que cette molécule fut mise au point par le laboratoire Pharmasset racheté par Gilead pour étoffer son portefeuille d’antiviraux à la suite du fiasco du Tamiflu, initialement découvert par Gilead et dont la firme Roche acheta la licence. Le Tamiflu s’est révélé être d’une médiocre efficacité pour traiter la grippe saisonnière à Influenza. Depuis la mise sur le marché du sofosbuvir qui guérit 90 % des patients souffrant d’hépatite C mais n’ayant pas développé de cirrhose, c’est important de le rappeler, les profits réalisés par Gilead n’ont jamais cessé de diminuer, passant de 10 à 4 milliards de dollars par an. Pour l’analyste Salveen Richter de Goldman Sachs il est préférable qu’un médicament ne guérisse pas les malades pour que le marché soit maintenu dans des volumes suffisants pour réaliser de substantiels profits. En d’autres termes si un médicament guérit les malades son marché disparaît surtout quand il s’agit d’une maladie virale.

Ce n’est pas le cas pour les traitement contre les cancers mais il reste des pépites à exploiter pour les thérapies géniques comme par exemple le traitement contre l’hémophilie dont le marché représente environ 10 milliards de dollars dans le monde avec un chiffre d’affaire en croissance de 6 à 7% chaque année. Les autres terrains d’exploitation potentiellement très profitables sont les atrophies musculaires provoquées par une dégénérescence des neurones de la moelle épinière et toutes les cécités d’origine génétique. Cependant ces domaines d’investigations sont très complexes et il faudra attendre une ou deux décennies pour voir apparaître sur le marché de nouveaux médicaments.

La poule aux œufs d’or

La mise au point de vaccins à ARN messager anti-SARS-CoV-2 constitue une opportunité financière que les plus grands laboratoires pharmaceutiques (et Goldman Sachs) n’imaginaient même pas à la fin de l’année 2019. Devant la catastrophe sanitaire annoncée à grands renforts d’alertes médiatiques reprenant les prévisions apocalyptiques de scientifiques à l’intégrité discutable comme Neil Fergusson (pour ne citer que cet individu) les laboratoires pharmaceutiques se sont lancé tête baissée dans la mise au point ultra-rapide d’une thérapie génique vaccinale dont le fondement est un ARN messager codant pour la protéine Spike-1 du coronavirus. Les essais cliniques ont été bâclés mais la poule aux œufs d’or n’est pas morte puisque le SARS-CoV-2 présente la particularité commune à tous les virus à ARN simple brin de muter sans arrêt. Par conséquent le marché est assuré puisqu’il faudra mettre sur le marché d’autres versions du vaccin à ARN tant que le virus n’aura pas totalement disparu. Les analystes de Goldman Sachs qui ont misé gros sur certains laboratoires pharmaceutiques se frottent les mains.

Tout a été ficelé pour que les grands groupes financiers qui contrôlent ces laboratoires pharmaceutiques réalisent d’immenses profits dont l’unité de compte en dollars est désormais un 1 suivi de 9 zéros, le jack-pot ! Les pouvoirs politiques ont été maîtrisés par une intense corruption de la part des laboratoires pharmaceutiques afin d’inculquer la peur dans les populations et de surtout interdire tout médicament générique susceptible de soigner et guérir les malades puisque ces génériques, la bête noire des grandes firmes pharmaceutiques, ont été très tôt montrés comme étant particulièrement efficaces par les biologistes chinois. Cette information a conduit à une intense propagande contre la Chine à laquelle a succombé le Président américain, lui-même probablement corrompu par le lobby pharmaceutique.

Quand le Professeur Raoult de Marseille, l’un des plus grands infectiologues dans le monde, a montré clairement que la thérapie préconisée par la Chine était excellente pour traiter au stade précoce les malades du SARS-CoV-2 et surtout pour diminuer très rapidement la charge virale chez ces malades qui, de fait, ne devenaient plus contagieux, alors les politiciens français, corrompus jusqu’au plus haut niveau comme chacun sait, ont tout fait pour « pourrir » les travaux du Professeur Raoult en s’entourant de médecins, eux-mêmes corrompus par les grands laboratoires pharmaceutiques, pour faire passer le message. En effet, il ne fallait surtout pas circonscrire l’épidémie en autorisant ces médicaments mais au contraire la laisser amplifier d’elle-même en prenant des mesures erratiques et inutiles de contrôle des populations. Et ça a très bien marché, trop bien quitte à mettre en péril l’économie de la France (dans le cas de la France et de Raoult) mais également de tous les autres pays de l’Union européenne ! L’Europe est en effet le premier marché ciblé par les « BigPharma ». Comme le déclarait l’analyste de Goldman Sachs en 2018, ce n’est pas un bon plan de guérir les malades … surtout pour les actionnaires.

Znfin, je ne crois pas aux délires néo-nazis de Klaus Schwab du World Economic Forum, c’est le lobby pharmaceutique occidental qui est, en premier lieu, aux manettes depuis le début de l’épidémie, mais je peux me tromper …

Source : https://www.cnbc.com/2018/04/11/goldman-asks-is-curing-patients-a-sustainable-business-model.html

Note en complément. En ce qui concerne la France, déclarer du jour au lendemain que l’hydroxychloroquine est toxique alors des plusieurs milliards de personnes se traitent chaque jour avec cette molécule pour se prémunir contre la malaria et que des malades se traitent également quotidiennement avec cette même molécule pour le lupus et la polyarthrite rhumatoïde était d’un ridicule achevé. Pour rebondir les « sommités médicales » gravitant autour du Président Macron ont avancé l’argument fallacieux que l’hydroxychloroquine n’avait pas fait l’objet d’essais cliniques en double aveugle contre un placebo. Cet argument était téléphoné par le cartel des « BigPharma » qui ont eux-mêmes mis en place ce type d’essai pour valider l’efficacité de nouvelles molécules en regard des vieux médicaments qui étaient satisfaisants à quelques % près pour les breveter, les mettre sur le marché et réaliser de copieux profits. Ce seul fait met en évidence l’intervention directe du lobby de la pharmacie auprès du gouvernement français …

Brève. Actualités françaises

J’ai trouvé deux illustrations qui ont certainement échappé aux journalistes subventionnés par le gouvernement français. Pour la première je suis incapable de garantir la véracité du cliché ni de préciser le lieu où il a été effectué. Elle m’a été transmise par un lecteur de mon blog, ancien haut fonctionnaire de l’Etat :

La seconde illustration est une capture d’écran du billet matinal de Thomas Veillet sur le site investir.ch de ce mercredi 6 janvier 2021 … Sans autre commentaire.

Vaccins SARS-CoV-2 : mais où est passé le principe de précaution ?

Formulé pour la première fois en 1992 lors de la conférence de Rio sur l’environnement le principe de précaution a été inscrit dans le « marbre » de la constitution française par Michel Barnier en 1995 :

« L’absence de certitudes, compte tenu des connaissances scientifiques et techniques du moment, ne doit pas retarder l’adoption de mesures effectives et proportionnées visant à prévenir un risque de dommages graves et irréversibles à l’environnement à un coût économiquement acceptable » (source Wikipedia). Ce texte à dessein abscons autorise toutes sortes d’interprétations et les décideurs ne se sont pas privés de légiférer au cours des années suivantes et jusqu’à aujourd’hui pour réglementer des domaines de l’activité scientifique, économique et sociale ne relevant pas de ce principe. Fondamentalement le principe de précaution résulte directement de la peur suscitée par toute activité humaine étrangère aux lois de la nature. C’est exactement cet aspect qui a conduit Michel Barnier, en France, à en quelque sorte radicaliser ce principe de précaution. En effet Michel Barnier a enduré une enfance vécue dans la banlieue industrielle de Grenoble au milieu des fumées et des odeurs des usines chimiques du bord de l’Isère. Il en a été profondément marqué et il n’a cessé de mépriser toute forme d’activité humaine non conforme à la réalité de la nature. Sa carrière politique a toujours été teintée de cet arrière-goût de l’environnement qui est la porte ouverte à tous les politiciens opportunistes et Barnier est l’archétype du politicien professionnel n’ayant jamais mis les mains dans le cambouis mais toujours dans la confiture de l’appareil d’Etat, qu’il soit français ou européen.

Aujourd’hui le principe de précaution, dans sa formulation sibylline mentionnée ci-dessus, est donc appliqué « à la lettre » pour la production et l’utilisation massive d’un vaccin dirigé contre le SARS-CoV-2 issu d’une technologie entièrement nouvelle jamais utilisée chez l’homme auparavant. Des cas de paralysie faciale dite paralysie de Bell et plus préoccupant encore des cas de myélite transverse, comprenez une inflammation de la moelle épinière ont déjà été observés à la suite de l’administration de ce vaccin, outre des cas de réactions allergiques plus ou moins violentes (sources: Mayo Clinic et FDA). On est donc en droit de se poser une première question relative à la pertinence de l’application du principe de précaution dans le cas de ce vaccin : le SARS-CoV-2 constitue-t-il un « risque de dommages graves et irréversibles » pour l’humanité ? La réponse est non ! le SARS-CoV-2 ne constitue pas un risque majeur pour l’humanité puisque le taux de mortalité global est à peine supérieur à celui d’une mauvaise grippe saisonnière, quoiqu’en pensent les médias et les politiciens.

La deuxième question au sujet de ce vaccin est la suivante : constitue-t-il une « mesure effective et proportionnée » dans la lutte contre le SARS-CoV-2 ? La réponse est non ! D’une part on ignore si ce vaccin abolira toute contagiosité des sujets ayant été traités. On ignore également « compte tenu des connaissances scientifiques et techniques du moment » si ce vaccin sera efficace dans les mois et les années à venir contre des variants génétiques de ce virus, variants qui apparaissent presque chaque semaine dans le monde entier. À l’IHU de Marseille seulement une quinzaine de patients ayant déjà été atteints par le coronavirus ont à nouveau été contaminés par des variants alors qu’on pouvait s’attendre à ce qu’ils soient immunisés contre toute autre forme de ce virus. Personnellement j’ai déjà fait l’expérience de cette grippe étrange avec peu de fièvre et une toux sèche impossible à maîtriser et si cette situation se répétait j’aurai toujours ma vieille chloroquine sous la main pour me traiter, étant entendu que quel que soit le variant génétique de ce virus la chloroquine agira toujours de la même manière.

Cette dernière réflexion personnelle et parfaitement logique m’amène donc à la question suivante : pourquoi les grandes firmes pharmaceutiques ont-elles osé prendre des risques moraux et éthiques disproportionnés pour produire ce vaccin tout en exigeant de la part des gouvernements que ces derniers prennent en charge tous les risques juridiques liés à des effets secondaires, voire des décès, à la suite de campagnes de vaccination massives décidées par ces mêmes gouvernements ? C’est nouveau dans l’histoire de la médecine, du jamais vu ! Les gouvernements, qui ont mis en place le principe de précaution renient ouvertement ce même principe en assumant l’entière responsabilité des risques encourus « qui sont d’un coût économiquement inacceptable » pour paraphraser le texte liminaire de la loi Barnier. Alors qu’il existe maintenant plusieurs traitements prophylactiques et également curatifs dès l’apparition des premiers symptômes, confirmés le cas échéant par un test RT-PCR, qui ne présentent aucun effet secondaire et sont en outre d’un coût ridicule, une dizaine d’euros par mois, alors quelles sont les raisons justifiant l’urgence d’une vaccination massive, systématique, et éventuellement obligatoire ? Je me mets à la place du CEO de Pfizer et je comprend parfaitement son attitude : un vaccin fabriqué massivement par des robots ne revenant qu’à quelques centimes pour être vendu entre 8 et 20 euros la dose (il en faut 2 par personne) aux gouvernements qui ont accepté d’assumer à la place de Pfizer toutes leurs responsabilités juridiques, ce n’est que du très bon pain !

Note. Voici les 5 traitements efficaces (source partielle IHU de Marseille) en prophylaxie et traitement précoce du SARS-CoV-2 : doxycycline, hydroxychloroquine, azithromycine, teicoplanine et ivermectine. Ce sont des « vieilles » molécules pour lesquelles le principe de précaution n’a pas lieu d’être appliqué à condition toutefois que les posologies indiquées par les autorités médicales soient respectées et après avis de ces dernières, vieilles molécules qui constituent un seul grave problème : elles ne sont la source d’aucun profit pour les grandes entreprises pharmaceutiques : voilà le cœur de la problématique des vaccins anti-SARS-CoV-2

Illustration : source La Libre Belgique. Relire aussi sur ce blog : https://jacqueshenry.wordpress.com/2020/11/11/sars-cov-2-jusqua-quand-on-va-nous-prendre-pour-des-veaux/