Les études statistiques détaillées dans la dernière session du comité scientifique indépendant (lien) indiquent que la vaccination par ARN messager non seulement tue des jeunes de moins de 50 ans, les quadragénaires me remercieront, plus qu’avant la mise en place de la vaccination mais, pire encore, sensibilisent les sujets, donc vaccinés, à l’infection par le coronavirus. Les autorités politiques politiques ont ainsi décidé de soumettre les populations à de nouvelles injections de rappel partant du principe que le nombre de morts « par covid » augmentait, ou alors, hypothèse totalement fallacieuse, que les jeunes dans la tranche d’âge inférieure à 30 ans mouraient beaucoup plus de l’infection par le coronavirus parce que la souche omicron était plus toxique pour cette tranche d’âge. On peut vraiment se poser la question de savoir ce que cherchent à faire les décideurs politiques, c’est-à-dire quel est le but final de leurs décisions. Ces décideurs ne veulent pas reconnaître que ce vaccin n’est pas efficace pour protéger les populations quel que soit le nombre d’injections, et qu’il exacerbe la mortalité chez les sujets jeunes positifs par PCR au coronavirus outre les accidents cardiaques mortels hors infection avérées à la suite de la vaccination. La production de protéine virale par le sujet « vacciné » perturbe en effet le système immunitaire d’où la plus forte incidence de cas chez les personnes de moins de 50 ans.
Les pouvoirs politiques, dont la France, ont donc jugé utile de poursuivre, sous la contrainte s’il le faut, les injections de rappel puisque le variant omicron, pourtant considéré comme peu létal, s’est avéré beaucoup plus létal que prévu dans la mesure où la population était pourtant très largement « vaccinée ». On se trouve en présence d’une véritable fraude intellectuelle en quelque sorte auto-alimentée par des statistiques officielles biaisées. Reprenons les faits. Dans la majorité des pays occidentaux les citoyens-moutons ont préféré se faire injecter un produit toxique plutôt que d’être socialement marginalisés ou pour simplement être tranquilles comme me l’avoua ma fille lors de son séjour ici à la fin du mois de décembre à Tenerife. Puis une deuxième injection puis une troisième puisqu’on ne savait pas si un autre mutant émergerait. La France vient de commander 100 millions de doses pour que le gouvernement soit vraiment certain qu’il a réussi à juguler l’épidémie. C’est entre deux et sept milliards d’euros supplémentaires évaporés sans raison scientifique avérée, et je rappelle que les tests PCR représentaient chaque mois 1,2 milliards d’euros avant qu’ils ne soient plus remboursés, des tests souvent inutiles et non fiables !
Les membres du « conseil scientifique de guerre » réunis par le Président de la République sont ou bien incompétents ou alors corrompus et voués aux ordres du Président. Les membres de ce conseil sont-ils tous intègres ? Cette décision de continuer quoi qu’il arrive à injecter un produit toxique à la population m’amène à formuler quelques doutes. Le Président doit être intéressé dans le cadre du contrat de livraison de doses d’ARN messager par Pfizer. C’est sa façon de procéder car il se croit toujours chez Rothschild en organisant la conclusion de contrats. Il faut rappeler ici que lorsque Macron a organisé la vente de la division aliments pour nourrissons de Pfizer à Nestlé, il avait un contact assuré chez Nestlé et il a empoché 20 millions d’euros d’honoraires. Il a concocté la vente d’Alstom-énergie à GE, il a avalisé la vente d’Alcatel à Nokia ainsi que les ventes de Technip et Lafarge en confiant toujours les dossiers à Rothschild où il avait de fidèles contacts. Avec Pfizer, de vieux amis, il continue à empoisonner les citoyens français avec cette saloperie appelée vaccin abusivement.
Bon courage chers concitoyens, vous qui allez bientôt voter pour la présidence de la République, faites-vous injecter une nouvelle fois ce poison sans dire un mot, vous n’avez plus le droit de protester ! Vous ne me croyez pas, alors je vais citer le cas de la Corée qui a obligé sa population à subir cette « vaccination » à répétition, jusqu’à 96 % de la population, des vieux vivant dans les montagnes et des agriculteurs ayant refusé de se soumettre à cette intoxication. Tout au long de l’année 2020 puis de l’année 2021 la Corée a adopté les mesures les plus strictes pour juguler l’épidémie de coronavirus, la vaccination massive faisant partie de cette stratégie à partir du printemps 2021. Résultat : avec le mutant omicron considéré comme 7 fois moins « dangereux » que le mutant delta la Corée connait le plus extrême nombre de morts jamais atteint depuis le début de l’année 2020 comme le montre le profil ci-après datant du 14 mars 2022 :

La Corée s’est littéralement coupée du monde pendant 18 mois après le début de l’épidémie. Et pourtant ce mutant omicron, qui était considéré comme bénin, a provoqué de véritables ravages alors que la population coréenne est supposée être protégée par ce « vaccin ». La Corée, comme le Japon, a suivi les instructions de Unitaid pour ne pas autoriser l’Ivermectine comme traitement précoce curatif ni comme traitement prophylactique. On ne peut que déplorer le nombre de morts qui est de l’entière responsabilité des autorités gouvernementales. Les pays occidentaux, Corée et Japon compris, se croient supérieurs à l’Uttar Pradesh (Inde) ou le Nigeria qui ont utilisé l’Ivermectine à titre prophylactique avec un succès qui n’est plus contestable.

Après, si mes lecteurs ou les membres du gouvernement français qui connaissent mon blog (j’en doute) pensent que je raconte n’importe quoi qu’ils réfléchissent car cette illustration (worldometer.com) suffit à conforter tout mon propos : qu’on continue à injecter cet ARN messager ne fera qu’aggraver la situation sanitaire globale. https://www.youtube.com/watch?v=EgV9BwaPxh0&ab_channel=ConseilScientifiqueInd%C3%A9pendant