Science et religion n’ont jamais fait bon ménage : retour sur la théorie de l’effet de serre et le réchauffement climatique, épisode 1

Il faut souffrir de notre vivant pour expier nos fautes originelles, c’est en résumé la philosophie des religions monothéistes afin d’assurer la survie de notre âme. C’est ce que nous préparent les écologistes, des souffrances, car nous sommes tous coupables de piller les ressources naturelles limitées qui nous sont offertes par la planète … Il s’agit en réalité de la résurgence d’une nouvelle religion que mettent en place insidieusement ces écologistes avec les mêmes outils qu’a utilisé pendant des siècles la religion catholique, c’est-à-dire par exemple l’Inquisition qui a conduit au bûcher Giordano Bruno parce qu’il avait osé contester le géocentrisme prôné par l’Eglise pour préserver symboliquement son pouvoir temporel. Les écologistes retournent à cet obscurantisme. Les papes défendaient la primauté cosmologique de la Terre, les écologistes veulent protéger la Terre comme un élément fini dont on ne peut pas extraire tout ce dont on a besoin de manière anarchique. De même que la religion a toujours profité de l’exploitation de la peur de l’au-delà, de même les écologistes brandissent la fin du monde, en d’autres termes il faut faire pénitence pour assurer un avenir à la planète et aux privilégiés qui échapperont à l’Armageddon planétaire climatique. En quelque sorte nous devons aujourd’hui, maintenant, tout de suite, expier nos fautes passées et à venir, une sorte de réactualisation du péché originel, nous serrer la ceinture pour préserver l’avenir de la planète. Car la planète Terre a plus d’importance aux yeux des écologistes que n’importe quel être humain …

Cette dimension planétaire que n’avaient jamais abordé les papes aux XVe et XVIe siècles – il faut préciser qu’ils prônaient la platitude de la Terre et que Rome se trouvait au centre de ce disque symbolique – les écologistes climatiques alarmistes ont repris ce concept de platitude de la Terre pour biaiser les calculs de flux du rayonnement en provenance du Soleil et je me permettrai d’en apporter une preuve (voir note) ainsi que la preuve de l’imposture de cette comédie funeste pour l’ensemble de l’humanité qu’est le réchauffement climatique proclamé par des pseudo-scientifiques dûment assermentés par les Nations-Unies (l’IPCC) pour terroriser le monde entier. La subtilité de ces pseudo-scientifiques réside dans une manipulation de la thermodynamique telle qu’elle est pourtant enseignée (encore ?) au lycée. Lorsque la Terre est éclairée, donc chauffée, par le Soleil il existe un décalage entre le maximum de la température atteinte à la surface du sol et le passage au zénith du Soleil. Pour rappel l’énergie incidente en provenance du Soleil est d’environ 1370 W/m2 lorsque le Soleil est au zénith au niveau des tropiques, c’est-à-dire lorsqu’il n’y a pas d’ombre portée, en d’autres termes lorsque le rayonnement solaire se trouve à l’exacte perpendiculaire avec la surface terrestre. Or la Terre est ronde et de plus elle tourne sur elle-même en 24 heures. En tenant compte de ces données que personne ne peut contester, à moins de risquer le bûcher comme Giordano Bruno, il se trouve que la Terre réémet à la faveur de ce cycle jour-nuit la totalité de l’énergie qu’elle a reçu en provenance du Soleil et au final la Terre se comporte immuablement comme un corps noir à la température de –18 °C.

Les tenants (ou inventeurs) de la théorie de l’effet de serre, considérant que la température de la Terre au sol se trouve être en moyenne (et il faut garder en mémoire cette fausse notion de température moyenne) de + 15 °C, il « doit » exister un « effet de serre » pour que l’on puisse constater une telle situation. Le subterfuge utilisé pour justifier l’existence d’un effet de serre a consisté à oublier que dans la réalité l’atmosphère est aussi soumise au champ gravitationnel terrestre et que par conséquent la température moyenne au sol de 15 °C s’explique par l’existence du gradient de pression et de densité de l’atmosphère en fonction de l’altitude qu’on appelle gradient adiabatique, j’en ai déjà dit un mot dans plusieurs billets de ce blog. On est effaré devant une telle ignorance du fonctionnement de l’ensemble harmonieux que constituent la Terre et son atmosphère aussi ténue que celle de Pluton dont la sonde interplanétaire de la NASA nous a gratifié il y a quelques jours de cette image surréaliste :

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De loin la Terre ressemble à ça. Les écologistes, Greenpeace en tête, considèrent que nous perturbons notre atmosphère en raison de notre activité industrielle délirante qui produit un gaz bénéfique pour l’ensemble du maintien de la vie, le gaz carbonique, et que ce gaz est prétendument considéré comme néfaste car il serait susceptible de perturber l’équilibre thermique de l’atmosphère. J’ai fait une récente recherche sur les effets supposés négatifs de ce gaz sur les écosystèmes. En dehors de tous les articles pseudo-scientifiques carrément orientés idéologiquement vers l’hypothèse de l’effet de serre, ce gaz est bénéfique pour tous les organismes vivants dont le métabolisme en dépend. Globalement toute forme de vie sur la Terre, y compris l’espèce humaine, est dépendante du CO2. Sans CO2 pas d’herbe, pas d’arbres, pas de fruits, pas de blé, pas de plancton donc pas de poissons, pas de coraux, et paradoxalement pas de pétrole ni de charbon dont la combustion restitue à la planète ce que la géologie a piégé avec le temps de même que les océans piègent le méthane généré par les fermentations bactériennes des boues profondes sous forme d’hydrates que l’on est sur le point d’exploiter de manière rentable. Les boues d’estuaire sont de formidables machines à fabriquer des hydrocarbures avec la collaboration de bactéries puisant leur énergie depuis le rayonnement solaire. Sans CO2 aucune vie n’est donc possible sur la Terre. Les végétaux ont paradoxalement pris du retard dans le rééquilibrage de l’atmosphère avec l’accumulation débordante d’oxygène dont ils ne peuvent rien faire. La RUBISCO, cet enzyme le plus abondant sur Terre (voir note en fin de billet) dont le rôle est de mettre à profit la présence de CO2 pour le piéger et le transformer en molécules utiles, cet enzyme fascinant est d’une rare inefficacité parce qu’il y a trop d’oxygène dans l’atmosphère !

Voici l’oubli des écologistes :

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Comme il fallait trouver un bouc-émissaire aux délires malthusiens de ces fanatiques d’un nouveau genre, le CO2 était et constitue maintenant le meilleur argument pour terroriser les populations. Il y avait bien eu les CFCs et la destruction de la couche d’ozone matérialisée par le fameux « trou » au dessus de l’Antarctique. Une fois l’interdiction des CFCs obtenue, le CO2 fut déclaré principal acteur de cet effet de serre qui s’explique par cette différence de température entre le sol et la température de – 18 °C du corps noir que constitue la Terre isolée dans l’espace. Si encore une fois on fait une recherche dans la littérature scientifique non caviardée par les écologistes on ne trouve aucune preuve d’un rôle majeur du CO2 dans un putatif réchauffement de la planète. On se trouve donc aujourd’hui dans une situation identique à celle des scientifiques du XVIe siècle : toute contestation du dogme du réchauffement climatique global porte atteinte aux fondements de l’église de scientologie climatique.

Rassurez-vous, vous ne grillerez pas comme des toasts (cf Christine Lagarde, Forum de Davos 2014), aux dernières nouvelles une étude très sérieuse publiée par la Royal Astronomical Society le 9 juillet 2015 et qui fera l’objet d’un prochain billet de ce blog prévoit que dès 2020-2025 la Terre entrera dans une ère glaciaire prolongée qui pourrait durer bien au delà de 2050. Tout ça en raison des fluctuations de l’activité solaire. Pour le coup le CO2 n’aura rien à voir et dès lors, si ces pseudo-scientifiques étaient logiques avec eux-mêmes ils devraient au contraire encourager la production de CO2 !

Notes :

Note 1 L’équation :

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décrit l’état d’un gaz, ici l’atmosphère sec composé d’azote, d’oxygène, d’argon et de quantités infinitésimales de CO2, néon, hélium, xénon et krypton, dans un champ gravitationnel, celui de la Terre. Ici g est l’accélération de la pesanteur (9,8 m/ s2) et Cp la capacité thermique du gaz (pour l’atmosphère sec 1 joule/ gramme/ °K) , la température T exprimée en °K à une altitude donnée h s’exprime par rapport à la température To mesurée à une altitude ho. Le gradient de température établi par la compression adiabatique de l’atmosphère est de l’ordre de 10 °K ou centigrades (peu importe) par kilomètre. Il ne faut pas oublier que l’atmosphère n’est pas un système figé et que les courants de convection, les vents, la vapeur d’eau et les nuages contribuent à la dissipation vers l’espace de l’énergie solaire atteignant la surface de la Terre.

Note 2 La théorie de l’effet de serre stipule que la Terre est soumise au rayonnement solaire dans son intégralité et que l’approximation consistant à considérer la partie effectivement ensoleillée de la Terre est plate, ce qui n’est valable, à un instant t de la journée quand le soleil est au zénith, que pour une surface équivalente à environ celle des USA, ce qui introduit une erreur grossière dans les calculs de température au sol. De plus, établir une moyenne diurne des températures est un non-sens scientifique car celles-ci dépendent à l’évidence de l’angle d’incidence du rayonnement solaire. Enfin négliger les phénomènes de refroidissement au cours de la nuit constitue une autre approximation encore plus grossière. En effet, comme l’illustre la figure suivante, il ne fait pas « plus chaud » quand le Soleil passe au zénith et il ne fait pas « le plus froid » à minuit mais les températures se rééquilibrant en permanence, il fait « le plus chaud » en début d’après-midi et « le plus froid » quelques heures avant l’aurore :

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Note 3 La RUBISCO ou ribulose 1,5 bisphosphate carboxylase catalyse la fixation d’une molécule de CO2 sur ce sucre phosphaté pour former deux molécules de 3-phosphoglycérate. L’un des 3-phosphoglycérates est dirigé vers le métabolisme général et l’autre est recyclé pour reformer du ribulose. Ce cycle dit de Calvin, rien à voir avec le Genevois du XVIe siècle, est un gros consommateur d’énergie qui est fournie par le rayonnement solaire conduisant à la cassure de l’eau pour libérer de l’oxygène et des équivalents réducteurs à la cellule photosynthétique. Ces deux voies, carboxylation et coupure de l’eau, ne coexistent pas dans le même compartiment cellulaire car l’oxygène a la fâcheuse tendance à inhiber l’activité de la RUBISCO.

Comme disait Goebbels « plus le mensonge est gros, plus il passe » …

Illustrations : Nasa, Derek Alker et Alan Siddons

La «théorie de l’effet de serre » ne pourra jamais être vérifiée … puisqu’elle est fausse !

Sadi_Carnot

En réponse à certains commentaires à la suite de mes billets des 21 et 22 août sur le « changement climatique », j’ai préféré la prose à des formules mathématiques pour définitivement infirmer la « théorie de l’effet de serre ». Il est en effet surprenant que personne n’ose dire clairement que cette théorie est une supercherie scientifique sur laquelle se basent des ONGs pour semer la terreur et des gouvernements pour appauvrir les citoyens dont ils ont la responsabilité.

Selon le deuxième principe de la thermodynamique réécrit par Max Planck le seul transfert de chaleur entre, disons, deux plaques parallèles à différentes températures symbolisant la surface terrestre et l’atmosphère correspond à l’énergie de radiation représentée par la surface entre les courbes de Planck de ces deux corps. La courbe de Planck pour le corps le plus chaud englobe toujours celle du corps plus froid, c’est-à-dire que la surface située sous la courbe de Planck du corps le plus froid est incluse dans celle du corps plus chaud. Ainsi chaque corps émet dans toutes les fréquences électromagnétiques représentées par la surface sous la courbe de Planck du corps le plus froid. Cependant, la radiation représentée par la surface sous la courbe du corps le plus froid, pour chaque corps, irradiant dans chaque direction, résonne dans chacun des deux corps et est donc dispersée. Il ne peut donc pas y avoir au final de transfert de chaleur. C’est ainsi que, comment et pourquoi, le deuxième principe de la thermodynamique s’applique aux radiations.

{Les curieux peuvent se remémorer leur cours de physique avec le lien suivant : http://en.wikipedia.org/wiki/Planck%27s_law.}

Il n’y a pas d’autres explications possibles, parce que si la chaleur pouvait être transférée dans les deux sens il n’y aurait aucune raison pour que cette dernière puisse revenir à sa source par radiation. Prenons un exemple, si la radiation provenant de couches atmosphériques plus froides pouvait réchauffer un lac plus chaud, cette énergie pourrait retourner vers l’atmosphère via le refroidissement provoqué par l’évaporation de l’eau, mais en aucun cas par radiation infra-rouge. En conséquence un tel processus de transfert ne peut pas exister. Il est contraire aux lois de la thermodynamique de prétendre qu’il peut y avoir des transferts de chaleur entre deux corps dans les deux directions avec un effet net. Certes, l’effet du refroidissement radiatif pourra être affecté parce que la radiation dissipée est en réalité une part de ce que le corps plus chaud peut émettre, mais il ne peut pas utiliser son inertie thermique propre pour ce processus, c’est en particulier le cas de l’eau et de la vapeur d’eau pour l’atmosphère terrestre. Dans le cas des interactions entre la surface de la Terre et l’atmosphère, les deux plaques dans l’exemple précédent, au moins 70 % du transfert de chaleur n’est pas radiatif, car il s’agit essentiellement de radiation dispersée qui ne transmet aucune chaleur à l’atmosphère. L’essentiel de la chaleur est transmise par des processus de collision moléculaire, ce que l’on appelle le mouvement brownien. En conséquence, dans l’atmosphère, rien ne peut arrêter ce processus de refroidissement non radiatif qui pourrait compenser ou diminuer le refroidissement radiatif, selon les lois de Planck.

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Quand un corps, ici pour l’atmosphère et ses différents composés gazeux, reçoit une radiation incidente (du Soleil essentiellement) il « détecte » les fréquences de ces radiations et leurs intensités respectives qu’il peut à son tour réémettre. Cette portion de la radiation incidente, qui peut être toutes les radiations d’un corps plus froid ou seulement quelques-unes d’un corps plus chaud, entre en résonance. Ce processus de résonance constitue celui de la « détection » de la température de la source émettrice. Chaque constituant gazeux de l’atmosphère présente des plages de longueurs d’ondes différentes ainsi détectées. Ce processus de résonance entraine une émission immédiate de radiations dans les mêmes gammes de longueurs d’onde et d’intensité. Il n’y a au cours de ce processus instantané aucune conversion de l’énergie radiative en chaleur. Ceci découle directement du second principe de la thermodynamique car si tel était le cas l’énergie thermique nouvellement apparue réchaufferait temporairement la cible déjà plus chaude (la surface de la Terre) et devrait s’échapper par d’autres moyens que la simple radiation (électromagnétique). Pour rappel l’atmosphère est constitué de 78 % d’azote, de 21 % d’oxygène, de presque 1 % d’argon et de divers autres constituants très mineurs, la vapeur d’eau, 0,25 % en moyenne, et le CO2, à peine 0,04 %, et tous ces constituants gazeux ne présentent pas les mêmes spectres d’absorption des radiations électromagnétiques provenant du Soleil. Il est, dès lors qu’on a bien compris les principes évoqués plus haut, facile de comprendre également que l’on ne peut pas expliquer autrement que toutes les radiations (provenant du Soleil) obéissent à une loi restrictive qui dit que l’énergie provenant des radiations électromagnétiques ne peut qu’équilibrer les pertes provenant des radiations thermiques du corps plus chaud vers le corps le plus froid, en l’occurrence la surface terrestre vers l’atmosphère c’est-à-dire les deux plaques du modèle initial. Ce processus n’est pas décrit par une simple algèbre des transferts physiques de chaleur dans deux directions car il n’est pas possible de considérer que la totalité de cette énergie sera « ré-irradiée ». Il faut plutôt se conformer aux lois décrites par Max Planck et affirmer que ce sera le résultat physique de seulement la radiation incidente qui est représentée par l’aire des courbes de Planck au dessus du corps le plus froid mais sous la courbe du corps le plus chaud.

Pour énoncer les choses plus clairement puisque je suspecte que certains de mes lecteurs ont déjà ressenti un gros mal de tête, d’abord il ne peut pas y avoir de transfert spontané d’énergie d’un corps froid vers un corps plus chaud, c’est ce principe qui a été intuitivement énoncé par Carnot et jamais dénoncé depuis.

Pour ce qui concerne plus particulièrement le CO2, ce gaz n’ « absorbera » des photons incidents qui s’ils sont plus énergétiques que ceux émis par la cible et qui dépendent de la température de radiation de celle-ci. En conséquence les molécules de CO2 atmosphérique seront réchauffées, c’est-à-dire vibreront seulement par conduction de l’air entre des températures de -20 °C à +15°C, en gros la plage de température correspondant à plus de 80 % de celle de l’atmosphère. Par voie de conséquence le CO2 émet des photons compris entre 13 et 17 microns de longueur d’onde. Ceci veut dire aussi que le pic de température de radiation du CO2 atmosphérique est situé vers environ -50°C, en d’autres termes le CO2 ne peut émettre que vers des couches de l’atmosphère plus froides et non vers les couches plus chaudes. On peut énoncer les choses différemment en disant que le rôle du CO2 contribue en réalité au refroidissement de l’atmosphère et ce résultat contre-intuitif provient directement de l’application du deuxième principe de la thermodynamique revisité par Max Planck.

Pour terminer, Max Planck, si on fait un peu d’histoire des sciences, a mis en équations en 1900 le deuxième principe de la thermodynamique, formulé par Sadi Carnot à l’âge de 28 ans en 1824 en réfléchissant sur le mécanisme de la machine à vapeur. Il est inutile d’insister sur le fait que l’atmosphère et la Terre constituent une immense machine à vapeur puisqu’il ne faut pas oublier que 70 % de la surface de la planète est constituée par les océans même si la teneur moyenne en vapeur d’eau de l’atmosphère paraît négligeable (0,25%) *. Sadi Carnot, peut-être un des plus brillants physiciens du XIXe siècle, serait étonné de constater de quelle manière on traite, manipule et bafoue ce qu’il formula et qui fut ensuite étendu par Planck et bien d’autres physiciens prestigieux à la fin du XIXe et au siècle dernier dont Boltzmann ou encore Maxwell à propos du rayonnement du corps noir. Visiblement cet aspect de la physique ne semble pas avoir effleuré les spécialistes du climat qui ont échafaudé des théories en contradiction avec ces lois pourtant jamais contredites par les faits depuis qu’elles furent formulées.

Liens : https://www.e-education.psu.edu/meteo469/node/198

http://mindonline.uchicago.edu/media/psd/geophys/PHSC_13400_fall2009/lecture5.mp4

Notes : *Il ne faut pas confondre la vapeur d’eau assimilable à un gaz parfait et l’humidité relative qui sont deux notions totalement indépendantes. L’humidité relative est le quotient entre la pression partielle de la vapeur d’eau sur la pression de la vapeur d’eau saturante à une température donnée. Ce quotient dépend de la température et de la pression. Quant au rôle du CO2 dans la double paroi d’un bouteille thermos, il peut remplacer le vide sans augmenter substantiellement l’apport de chaleur depuis le milieu externe car il entre très difficilement en résonance (voir plus haut). Illustrations : Derek Alker, portrait de Sadi Carnot, Wikipedia

Ca se réchauffe !

Un brise-glace pris par les glaces, il faut le faire, en plein été austral, ce serait banal si le climat n’était pas supposé se réchauffer …

Moins 15,5 °C à Philadelphie ce matin, ça se réchauffe !

A Trenton (New Jersey) -16,6 °C, juste deux degrés de moins que le record de 1912, quelques années après la fin du petit âge glaciaire de la fin du XIXe siècle, ça se réchauffe !

A Atlanta, c’est en Géorgie, sensiblement le même climat qu’Avignon ou Toulouse pour situer les esprits de ceux qui n’ont jamais mis les pieds dans cet endroit, – 14,4°C ce matin, ça se réchauffe !

Ce qui est probable mais que les climatologues auto-proclamés de l’IPCC sont incapables de prédire est que le vortex polaire qui a envahi l’Amérique du Nord et constitué d’une gigantesque masse d’air froid et dense pourrait très bien se déplacer vers l’est, c’est-à-dire sur l’Europe, ça se réchauffera, c’est sûr !

Les vieux comme moi se souviennent des hivers de 1956 et de 1962 qui correspondaient très exactement à une chute de l’activité solaire au cours du cycle solaire n° 20 quand à Lyon, ma ville, la Saône était prise par les glaces et que les tramways ne circulaient plus parce les aiguillages étaient bloqués par le froid. Les camionneurs laissaient tourner leur moteur toute la nuit de peur de ne pas pouvoir le redémarrer le matin …

Mais non, j’ai lu hier un article émanant de l’IPCC qui prévoit un réchauffement de près de 5 degrés pour la fin du siècle niant toujours le lien absolu entre l’activité solaire et le climat terrestre, il faut dire qu’ils ne sont pas payés (grassement) pour ça.

Une petite précision, le record absolu de froid à Central Park date de février 1934 ( -26,1 °C) et comme par hasard cette année là se trouve correspondre avec le cycle d’activité solaire n° 16 beaucoup moins intense que le précédent. Il faut avouer que depuis ce cycle 16 jusqu’au cycle 23, pas de souci c’est la période dite « chaude moderne » mais c’est bien fini !

Ca ne se réchauffe plus !

Ce qui me paraît incompréhensible c’est le déni des climatologues auto-proclamés de l’IPCC qui continuent à raconter des histoires à dormir debout, les écologistes qui continuent à abonder dans le sens de ces escrocs en imposant le développement d’énergies alternatives qui affaiblissent les économies occidentales à dessein alors que l’effet du CO2 sur le climat ne peut en aucun cas influer sur l’évolution du climat à cause de ce soi-disant effet de serre dont l’absurde théorie est en violation directe avec les lois basiques de la thermodynamique dont celle fondamentale de Stefen-Boltzmann relative au corps noir qui explique l’ensemble de l’état de l’atmosphère.

Mais je m’égare, ce qui est tout à fait compréhensible c’est que ces escrocs de l’IPCC, Al Gore en tête à qui on a décerné le prix Nobel de la malhonnêteté scientifique sans qu’il s’en rende compte, ne voudront jamais reconnaître publiquement qu’ils mentent à la planète entière depuis 25 ans. Ca se réchauffe !