Conséquences de la pandémie de SARS-CoV-2

L’ARNm de Pfizer et de Moderna : une arme de destruction massive !

Selon un nombre de plus en plus important d’études, la « vaccination » de milliards de personnes dans le monde n’a jamais eu les effets protecteurs escomptés qu’il s’agisse de la protection contre les formes graves de l’infection par le coronavirus, de la protection des individus contre l’infection elle-même ou de la disparition des risques de contagion. Mais il y a pire : cette thérapie génique a provoqué la morts de plus de 2 millions de personnes de tous âges, en particulier de jeunes personnes en excellente santé qui paradoxalement ne couraient qu’un risque très limité de contracter la maladie car leur système immunitaire était suffisamment solide pour combattre ce virus. Cette estimation est considérée comme basse. Et il y a pire encore : lorsque la cellule de l’individu soumis de gré ou de force à cette thérapie génique reçoit cet ARN presque totalement synthétique elle synthétise une protéine, la sous-unité 1 de la protéine de la spicule du virus, celle-ci est toxique pour l’organisme. Les effets de cette protéine sont multiples, depuis une perturbation du cycle menstruel de la femme, l’apparition de thromboses pouvant aller jusqu’à des arrêts du cœur, des effets délétères sur les gonades, le réveil de cancers jusque là endormis, l’effet facilitant d’une nouvelle infection ou encore l’apparition de maladies auto-immunes, et j’en passe.

Ce nombre de morts supplémentaires évalué par des statisticiens chevronnés comme en France Pierre Chaillot défie l’entendement sauf si on part de l’hypothèse qu’il est lié à cette « vaccination ». Avec cette corrélation tout s’explique clairement. On pourrait argumenter ainsi : puisque l’augmentation de cette mortalité restait inexpliquée et que la « vaccination » coïncidait alors la relation de cause à effet pouvait en être la cause. Certes ce rapprochement est scientifiquement contestable et jamais un scientifique ne se hasarde à ce genre de rapprochement, en d’autres termes le hasard n’est pas une preuve scientifique. C’est un principe fondamental enseigné par les patrons de laboratoire de recherche quand on commence une carrière de chercheur en science. Les contestataires comme Laurent Alexandre ou Olivier Veran, médecin de son état, oublient de mentionner que dans les pays dits pauvres n’ayant pas eu les moyens d’acheter ce « vaccin » il n’y a jamais eu de cas de morts suspectes ou d’effets secondaires comme dans les pays dits développés. Il s’agit d’une preuve par la négative comme on la pratique au cours d’essais cliniques correctement accomplis dans les règles de l’art.

Apparemment toutes ce observations ne suffisent pas et elles sont rejetées par les décideurs politiques. On les comprend puisqu’ils ont été achetés par les deux laboratoires pharmaceutiques cités plus haut pour que cette thérapie génique soit imposée au peuple pour leur plus grande satisfaction financière. Par exemple le prix de revient d’une dose de « vaccin » est un peu inférieur à 1 dollar et cette dose est facturée entre 15 et 20 dollars. Il n’y a rien d’étonnant que Pfizer ait réalisé un chiffre d’affaires de 100 milliards de dollars … Des essais cliniques bâclés, des contrats de vente secrets : n’est-ce pas là la preuve qu’il y a eu une fraude dès le début de cette campagne de « vaccination » ? Il est compréhensible que les politiciens se protègent en déléguant à des individus peu recommandables de répandre la propagande sur les « plateaux télé » des pseudo-spécialistes qui ne connaissent strictement rien au sujet des ARNs en général ni au sujet des ARNs messagers en particulier. Lorsque j’étais étudiant en maîtrise de science (on dit maintenant « master » par snobisme anglo-saxon) on venait de découvrir les ARNs messager mais on ignorait le rôle des petits ARNs dans la transcription de l’ARN ou la régulation de le traduction de ce Dernier en protéines, pour ne citer qu’un exemple particulier. La France a le privilège d’abriter l’une des plus grandes spécialistes mondiales des micro ARNs. Il s’agit d’Alexandra Henrion-Caude. Ses prises de position au sujet des ARNs messagers commercialisés par Pfizer, pour ne citer que cette entreprise, à des fins thérapeutiques ont eu pour conséquence que cette éminente biologiste soit insultée, trainée dans la boue la plus putride qui soit par des béotiens qui défendent en réalité les décideurs politiques. Il faut appeler les choses par leur nom : la politique sanitaire est conduite par une bande d’escrocs et pas seulement en France avec l’acquiescement de l’OMS.

L’OMS et le Nouvel Ordre Mondial sanitaire

L’épidémie de SARS-CoV-2 a été classée comme pandémie par l’OMS dès le début des premiers cas. Cette décision fut trop rapide car ce ne sont pas quelques cas en Italie, en France, en Chine puis en Belgique si je me souviens bien qui pouvaient conduire à cette classification aussi rapidement. L’OMS avait donc une petite idée dans la prévoyance de l’apparente gravité qu’allait revêtir cette maladie. C’est troublant ! Il apparaît maintenant qu’en réalité l’OMS, un organisme international financé en partie par des intérêts privés, a des visées totalitaires et ces visées viennent d’être révélées au grand jour avec la variole du singe qui a été déclarée « urgence sanitaire » alors que nombre de cas dans le monde se compte avec les dix doigts des mains. En ce qui concerne le coronavirus on assiste aujourd’hui au mélange des genres à l’OMS avec la nomination comme « Chief scientist » auprès de cet organisme le dénommé Jeremy Farrar par ailleurs directeur du Wellcome Trust, une organisation « charitable » impliquée dans le domaine biomédical avec en particulier ses investissements dans un certain nombres d’entreprises pharmaceutiques. Ça rappelle un peu la Fondation Bill&Melinda Gates qui sous couvert d’activités humanitaires est en réalité une entreprise financière profitable.

Pourquoi l’OMS dérive vers le totalitarisme le plus exécrable, riche de la gestion du coronavirus ? Parce que le projet de mise en place d’une structure qui prendra des mesures autoritaires que les gouvernements du monde entier devront appliquer entre dans le cadre d’une modification de la structure de l’OMS qui passerait d’une organisation consultative internationale à un organe directeur dont les décisions seraient juridiquement contraignantes. Un autre article de ce projet reprend une décision de Ronald Reagan prises en 1986 accordant aux fabricants de vaccin une immunité juridique pour les blessures et les décès causés par leurs produits ! Il n’est pas difficile d’imaginer alors pourquoi les laboratoires Moderna et Pfizer bénéficient d’une totale protection juridique au sujet des dégâts provoqués par leurs « vaccins » et poourquoi cette clause a été mentionnée dans les contrats de fourniture de ces produits à des pays ou des groupes de pays comme l’Union européenne.

On s’achemine donc vers une financiarisation de la santé au niveau mondiale sous l’impulsion d’un organisme international profondément corrompu qui détiendra une autorité absolue sur les gouvernements nationaux. Visiblement les démocraties occidentales, elles-mêmes corrompues, n’ont pas l’air de vouloir réagir à la mise en place de ce projet de mise en place d’un nouvel ordre mondial si cher au néo-nazi Klaus Schwab. Tout est expliqué en détail dans l’excellent article de Jean-Dominique Michel dont je conseille la lecture soigneuse à mes fidèles lecteurs.https://anthropo-logiques.org/oms-et-nouvel-ordre-mondial/

Le coronavirus perturbe les mécanismes de la reproduction !

Chez la femme comme chez l’homme l’estradiol est nécessaire au bon fonctionnement des organes impliqués dans la reproduction. On retrouve en effet les récepteurs de cette hormone sexuelle chez la femme dans l’utérus, les ovaires, les glandes mammaires, et chez l’homme dans les tubules séminifères des testicules, bien que le taux d’estradiol soit beaucoup plus important chez la femme. Enfin l’estradiol se fixe à ses récepteurs situés dans les noyaux cellulaires de l’hypothalamus, de l’hypophyse, du foie, de la rate, des poumons, des reins et du tissu adipeux. L’estradiol est d’une nécessité absolue pour la formation du corps jaune qui est lui-même le facteur central de la maturation de l’ovocyte en vue de la fécondation. Après ce petit rappel, il faut ajouter que l’estradiol se fixé sur son récepteur ER-alpha dont le rôle, une fois activé va réguler l’expression d’un certain nombre de gènes en agissant directement sur l’ADN nucléaire. Cet ensemble de connaissances relatives au récepteur ER-alpha est bien connu mais le problème qui apparaît maintenant est le total manque d’informations accumulées par les laboratoires pharmaceutiques qui ont dans la hâte élaboré ce qu’ils appellent abusivement des vaccins avec leur ARN messager codant pour la protéine de la spicule du SARS-CoV-2.

Une équipe du NIAID, l’Institut dépendant du NIH et dirigé par Antony Fauci, ( ! ) a réalisé une gigantesque investigation dont le but était de déterminer sur quelle protéine du corps humain cette protéine « spike » se fixait préférentiellement. Plus de 8000 protéines différentes ont été séparées par électrophorèse et les répliques sur des films de nitrocellulose ont été incubées avec cette protéine spike complète obtenue par désactivation du site de clivage furine et non la sous-unité-1 de cette protéine issue du clivage par la furine avec le virus SARS-CoV-2 modifié quelque part dans un laboratoire américain pour obtenir un gain de fonction. La sous-unité-2 de cette protéine se fixe également sur la membrane cellulaire mais pas comme l’autre moitié qui se fixe sur l’enzyme de conversion de l’angiotensine ACE2.

Cette protéine spike entière a été marquée avec de l’iode-125 (ça me rappelle des souvenirs lointains) afin de détecter la moindre protéine « allumée » par cet iode. Et quelle ne fut pas la surprise de constater que la principale protéine fixant cette protéine spike complète est … le récepteur ER-alpha de l’estradiol !. Pire encore seule la sous-unité-1 de la protéine spike du SARS-CoV-2 présente cette propriété alors que la sous-unité-2 ne se fixe pas sur ce récepteur de l’estradiol mais seulement sur une autre protéine membranaire des cellules épithéliales. Je ne romance pas l’article paru dans la revue Science et je suggère aux curieux de lire cet article passionnant dont voici le lien d’accès libre : https://www.science.org/doi/full/10.1126/sciadv.add4150 ou DOI : 10.1126/sciadv.add4150 

Parmi l’immense corpus de ce travail se trouve un graphique qui a particulièrement attiré mon attention. Lorsque la protéine la plus « affine » pour la protéine spike a été identifiée une étude détaillée des paramètres de fixation tant de la spike que de l’estradiol par l’ER-alpha a été étudiée en détail et le résultat est particulièrement inquiétant pour un biologiste comme votre serviteur. J’ai en effet au cours de ma carrière de recherche étudié de nombreuses molécules inhibant l’activité de nombre d’enzymes qui sont comme l’ER-alpha des protéines. Et le graphique ci-dessous mérite un commentaire détaillé :

La technique d’obtention de ces courbes d’interaction de l’ER-alpha avec l’estradiol consiste à mesurer le taux de fixation de ce récepteur sur l’ADN nucléaire directement extrait de cellules en culture adaptées pour ce type d’essai. La partie A de l’illustration est une représentation du taux de fixation de l’ER-alpha sur l’ADN cellulaire en fonction de la quantité de protéine S (spike) virale ajoutée lors de l’incubation. Cette quantité de protéine S est exprimée en logarithme de la concentration (molaire) de cette protéine. Je n’ai pas fait le calcul des microgrammes que cela représentait pour une concentration de 10-8,5 moles/l, le point d’inflexion de la courbe permettant d’en déduire l’affinité de S pour l’ER-alpha mais la partie B du graphe est beaucoup plus explicite et inquiétante. En effet pour une quantité fixe de protéine S ajoutée lors de l’incubation correspondant au point d’inflexion de la courbe A on remarque immédiatement une profonde perturbation de l’effet de l’estradiol sur la capacité de fixation de l’ER-alpha sur l’ADN nucléaire en présence de protéine S. Le point d’inflexion de cette courbe A se situe vers 140 nanogrammes/ml de protéine S. L’affinité de l’ER-alpha pour l’estradiol n’est pas significativement modifiée (10-9,5 moles/l ou approximativement 125 picogrammes/ml) mais le taux maximal d’ER-alpha fixé sur l’ADN est significativement diminué passant de 100 % à moins de 75 %. La protéine S perturbe donc profondément la fonction de l’ER-alpha. Ainsi tous les organes cités plus haut sont affectés puisque cette protéine (la sous-unité-1) codée par l’ARN messager expérimental utilisé comme vaccin se retrouve partout dans l’organisme après injection de ce pseudo-vaccin.

Si les auteurs de cette étude magistrale n’ont pas abordé le problème soulevé par ce résultat je me charge ici de livrer ma propre interprétation. La protéine spike perturbe donc la fixation du récepteur AR-alpha sur l’ADN, c’est incontestable, sans pourtant modifier l’affinité de ce dernier pour l’estradiol. Quelles peuvent être les conséquences d’un tel effet de minoration de l’interaction de l’AR-alpha avec l’ADN nucléaire ? C’est justement ce qui a été observée directement par de nombreuses femmes : perturbation du cycle menstruel, avortements spontanés, enfants mort-nés, et chez les hommes : diminution de la spermatogenèse et réduction de la mobilité des spermatozoïdes car l’activation de la transcription de l’ADN en ARNs messagers devient moindre. Alors les conséquences sur l’équilibre hautement sophistiqué du système reproductif sont évidentes. Un tel résultat paradoxalement réalisé dans l’institut du NIH après la commercialisation massive de la thérapie génique à base d’ARN messager codant précisément pour la sous-unité-1 de la protéine spike du SARS-CoV-2 aurait normalement été mis en évidence bien avant la production massive des ingrédients de cette thérapie génique mise en oeuvre sous prétexte qu’il y avait une urgence à satisfaire. Il faut en moyenne une dizaine d’années pour évaluer en détail un nouveau vaccin. À l’évidence ce ne fut pas le cas pour cette épidémie car non seulement on ne « vaccine » pas les personnes au cours d’une épidémie mais également parce que cette technologie n’a pas été suffisamment étudiée en détail, alors le pseudo-vaccin présentait vraiment des effets indésirables en particulier au niveau du récepteur ER-alpha de l’estradiol, la clé de voute de la reproduction humaine. Etait-ce le but recherché ? J’émets quelques doute bien que la publication citée en référence ne fait pas état de la date de début des investigations. Le monde entier a été berné par Pfizer et Moderna. Ces entreprises sont criminelles et elles devront rendre des comptes un jour devant le peuple pour leur désinvolture scientifique caractérisée et uniquement motivée par la soif de profit.

Un traitement thérapeutique à 3,5 millions de dollars la dose

En 1982 une équipe biologiste réussit à isoler et cloner le gène codant pour le facteur de coagulation IX d’origine humaine dont la déficience est la cause première de l’hémophilie de type B. La séquence complète de ce cDNA issu d’une banque d’ADN du foie a permis d’élucider la structure primaire du facteur IX. Elle comprend trois peptides signaux en position N-terminale suivis par le facteur IX proprement dit. L’ensemble du cDNA comprend 1467 nucléotides. Le premier domaine N-terminal, riche en acide glutamique est modifié au cours du processus de coagulation par une réaction spécifique de carboxylation de ces résidus glutamate catalysée par la vitamine K. Deux autres domaines proches de la structure du facteur de croissance épidermique se suivant dans la séquence en tandem sont des petites séquences riches en cystéine favorisant la sécrétion de la protéine active, le facteur IX proprement dit, qui va être activé par le facteur de coagulation XI pour enfin activer à son tour le facteur X qui va cliver la prothrombine en thrombine afin d’initier le processus de coagulation. Une déficience dans l’activité du facteur IX conduit alors à l’hémophilie. Le gène codant pour le facteur IX et ses trois peptides en position N-terminale se trouve dans le chromosome sexuel X. Ceci explique pourquoi il y a beaucoup plus d’hommes hémophiles que de femmes car chez la femme il existe deux copies du chromosome X.

Pour traiter l’hémophilie de type B il est nécessaire de disposer de facteur IX purifié à partir du sang humain contenant ces trois peptides signaux pour être susceptible d’être activé par les facteurs de coagulation XI ou VIII. Compte tenu du fait que le facteur IX est difficile à purifier à partir du plasma la thérapie habituelle est une fraction du plasma appelée « concentré du complexe prothrombine » plus facile à produire pour être injecté aux patients par voie intraveineuse. L’injection mensuelle, parfois bimensuelle, d’une dose dont le coût est d’environ 1000 dollars doit être effectuée lentement mais n’est pas dépourvue d’effets secondaires variés dont des réactions allergiques et l’induction de thromboses pouvant être éventuellement mortelles. Enfin la perfusion de plasma n’est pas non plus curative.

Le facteur IX humain a pu être cloné et introduit chez des moutons mais sa purification ultérieure à partir de plasma ovin n’est pas non plus la solution idéale tant au niveau des quantités de facteur IX obtenues que du conditionnement de la protéine pour être injectable sans incident. L’idéal serait de construire un adénovirus dans lequel est inséré le gène complet du « pro-facteur » IX puis de l’injecter au patient afin que le virus s’installe dans le foie comme beaucoup d’autres adénovirus bénins et que l’expression du gène en question permette une production continue et suffisante de facteur IX pour être curative chez les hémophiles. Des travaux dans cette direction occupent les biologistes depuis près de 25 ans. Malgré le fait que l’hémophilie de type B n’atteint que une personne sur 40000 le traitement est coûteux, il doit être effectué au moins deux fois par mois, et il n’est pas dénué d’effets secondaires.

Pour toutes ces raisons une firme pharmaceutique a réussi à mettre au point un adénovirus dont la séquence d’ADN support génétique contient l’insertion du gène du pro-facteur X. Il s’agit de la société CSL Behring spécialisée dans le traitement des maladies orphelines. Elle vient d’obtenir ce 22 novembre 2022 l’approbation par la FDA de son traitement contre l’hémophilie B (https://www.cslbehring.com/newsroom/2022/fda-hemgenix). Aussi appelé etranacogene dezaparvovec avec cette préparation injectable par voie intraveineuse les résultats des premiers essais cliniques réalisés avec des patients confirmés comme souffrant d’hémophilie de type B, une cinquantaine environ, a été sinon spectaculaire du moins très satisfaisante. Il s’agit d’une des toutes premières tentatives de traitement par thérapie génique proprement dite couronnée de succès pour une maladie orpheline pour laquelle il n’existait pas de traitement curatif.

Le seul petit détail est le coût du traitement : 3,5 millions de dollar par injection. Dans l’état actuel des essais cliniques il n’y a pas encore d’évidence quant à la pérennité du traitement. Seul l’avenir le dira mais le calcul de prix d’une dose tient compte du coût global du traitement d’un hémophile sa vie durant. L’autre espoir réside dans le fait que les descendants mâles des sujets hémophiles, eux-mêmes hémophiles (type B), pourront être traités dès l’enfance. Sources : diverses dont wikipedia en anglais : https://en.wikipedia.org/wiki/Haemophilia_B , https://www.pnas.org/doi/abs/10.1073/pnas.79.21.6461

SARS-CoV-2 ou ARN messager : que choisir ?

Selon les dernières statistiques disponibles il y aurait eu dans le monde entier 6 millions de morts provoquées par l’infection avec le coronavirus. Cette estimation globale comprend toutes les souches mutantes qui se sont succédées au cours de cette pandémie, soit un taux de mortalité global conforme aux premières prévisions des épidémiologistes de l’ordre de 0,075 % ou 1 décès pour 1350 personnes ( https://en.wikipedia.org/wiki/COVID-19_pandemic_deaths ). Pour l’ensemble de l’Europe, Turquie et Russie comprises, le nombre de décès a atteint 1,77 million ( https://en.wikipedia.org/wiki/COVID-19_pandemic_in_Europe ).

Comparons ces données, au moins pour l’Europe, au nombre d’effets secondaires de la thérapie génique par ARN messager synthétique abusivement appelée vaccin. Malgré une très grande incertitude entourant cette estimation, le chiffre de 5 millions de personnes souffrant d’effets secondaires temporairement invalidant a été avancé. Toutes les études relatives à ces effets secondaires sont entachées d’erreurs dont la source se situe à deux niveaux. D’une part les autorités de santé des divers pays refusent d’admettre une relation directe de cause à effet entre cette thérapie génique et les effets secondaires observés et péniblement reportés dans les statistiques nationales. D’autre part le nombre de décès liés à cette thérapie est tout simplement ignoré voire nié par ces mêmes autorités. Toutes sortes de dispositions législatives ont été mises en place pour faire obstruction à cette remontée des données fournies par les médecins traitants. Menaces, interdictions de pratiquer des autopsies, falsification des causes de la mort dans les certificats de décès, … ont contraint les médecins à ne plus faire remonter l’information auprès des autorités de santé. Tant aux USA avec le système de veille VAERS qu’en Europe avec le système mis en place par l’Agence européenne du médicament, cette collecte des données est très largement sous-estimée. On estime que les statistiques disponibles sont sous-estimées d’un facteur maximal de 25 correspondant à une prise en compte de seulement 4 % des déclarations des médecins traitants.

Pourtant, par d’autres biais on a pu faire une estimation de ce nombre de décès en analysant les informations produites par les compagnies d’assurance et aussi, aussi curieusement que cela puisse paraître, des compagnies de pompes funèbres. De mémoire (j’ai malencontreusement égaré la référence) il y aurait eu en Europe, non comprises la Russie et la Turquie, depuis le début de la mise en place de la thérapie génique supposée protéger la population contre l’infection par le coronavirus, entre 100000 et 250000 décès directement attribuables à cette thérapie malgré les dénégations des autorités de santé nationales et européennes. Il s’agit de l’estimation brute obtenue en interrogeant également plusieurs milliers de médecins traitants choisis au hasard dans divers pays européens sous couvert d’anonymat.

Si on rapproche cette estimation non officielle de la grave sous-estimation des statistiques gouvernementales et européennes, dans l’hypothèse médiane on arrive alors à un nombre de décès consécutifs à cette thérapie génique de 100000 x (25/2) = 1,25 millions de morts dont la cause suspectée est liée à celle thérapie. L’obligation « vaccinale » mise en place par les décideurs politiques de divers pays européens est donc clairement criminelle. La planification d’une nouvelle campagne de « vaccination » à l’aide d’un mélange d’ARNs codant pour la souche originelle dite de Wuhan et pour le dernier en date des mutants de la souche générique omicron s’avère déjà dévastatrice sur le plan des effets secondaires. Combien faudra-t-il de morts supplémentaires pour qu’il soit mis un terme à toute cette mascarade ? J’utilise le terme mascarade à dessein car les décisions politiques prises tant par la Commission européenne que par les gouvernements nationaux dissimule l’objectif de diminution de la population décidé par des pouvoirs obscurs comme de WEF, le Club de Bilderberg et d’autres instances supranationales reprenant les théories malthusiennes du Club de Rome. Il n’est pas fortuit que l’on fasse en ce moment même grand cas d’une population mondiale qui aurait atteint 8 milliards de personnes. Cette information constitue un alibi pour justifier une nouvelle campagne de « vaccination ». Bienvenue dans un monde meilleur sans surpopulation, sans pollution urbaine, sans changement climatique, sans guerres !

SARS-CoV-2 : Trop de faits troublants …

Depuis deux ans et demi le monde occidental subit la psychose coronavirale et cette mascarade va perdurer pour le plus grand bien des laboratoires pharmaceutiques et afin que le pouvoir politique conforte son emprise sur les peuples pour les tétaniser encore plus profondément dans le but de les esclavagiser en invoquant toutes sortes de prétextes comme le réchauffement du climat, les pénuries alimentaires, le prix de l’énergie, la menace russe ou chinoise, bref, tout est réuni pour que le Forum économique mondial finisse par imposer ses vues totalitaires sur l’Occident. Il faut reconnaître que ce coup monté depuis le milieu des années 2010 est magistral. Tout était prêt pour que la machine infernale soit activée. J’ai lu des centaines d’articles au sujet du coronavirus et de ses effets sur l’organisme et tout était prémédité. Commençons par les manipulations génétiques ayant permis d’introduire la séquence proline-arginine-arginine-alanine afin d’amplifier le pouvoir infectieux du virus. Cette séquence d’amino-acides est reconnue par un enzyme protéolytique présent à la surface de toutes les cellules épithéliales appelé « furine » et dont la fonction est de couper les protéines indésirables. Dans le cas du coronavirus cette séquence n’existe pas, elle n’a jamais été retrouvée dans aucun coronavirus connu. De plus l’aspect artificiel de cette séquence introduite à dessein est corroboré par le fait que les « codons » ou triplets de bases nucléotidiques spécifiques de l’arginine ne sont jamais retrouvés dans aucun coronavirus connu mais existent chez les vertébrés. Ces codons cytidine-guanine-guanine signent l’aspect artificiel de cette insertion. C’est une erreur de débutant commise par la société Moderna qui n’a même pas jugé nécessaire de dissimuler cette supercherie en introduisant des codons plus communs aux coronavirus … Erreur grossière de Bancel qui devra bien rendre un jour des comptes devant la justice.

Déjà en 2016 on connaissait les armes permettant de combattre le coronavirus, nommément l’hydroxychloroquine associée à un macrolide. Mais dans le même temps les laboratoires pharmaceutiques étaient déjà très occupés par la mise au point d’un nouveau type de « vaccination » basé sur l’utilisation d’un ARN messager modifié codant précisément pour la sous-unité 1 de la protéine dite « spike », celle-là même apparaissant à la suite du clivage de l’ensemble de la grosse protéine de la spicule au niveau du site introduit par manipulation génétique en laboratoire pour atteindre ce gain de fonction tant rêvé par les militaires dans le cadre de leurs travaux de mise au point d’armes biologiques.

Tout était prêt. Où et par qui le coronavirus a-t-il été manipulé puisque la probabilité de l’apparition de ce site furine est totalement improbable dans la nature ? Personnellement je penche pour la possibilité de travaux de gain de fonction exécutés par l’armée américaine sur le sol des USA. Pourquoi les installations ultra-secrètes de Fort Dietrick ont-elles été démantelées si ce n’est pour dissimuler les agissements de l’armée américaine encouragés par Antony Fauci, le grand maître du gain de fonction virale ? Pourquoi également existait-il une collaboration assez officielle entre des laboratoires américains et chinois ? Sans chercher à être traité de complotiste je me pose la question, comme si les Américains n’étaient pas capables de conduire eux-mêmes de tels travaux de recherche … Un autre point tout à fait troublant est ce brevet déposé par Moderna en 2016, entreprise dirigée par un transfuge de Biomérieux, cette société qui a en grande partie financé l’installation du laboratoire P4 de Wuhan. Dans ces conditions on peut dire que la France se trouve de facto complice de cette pandémie organisée de main de maître par l’armée américaine tout en organisant la complicité des Chinois pour que les Américains s’en lavent les mains.

Il restait le gros morceau : produire l’ARN messager codant pour la sous-unité-1 de la protéine spike qui comporte 671 amino-acides. L’ARN correspondant comprend donc 2013 bases nucléotidiques avec des ajouts en 5′ et 3′ pour éviter une dégradation trop rapide de la molécule ainsi que des bases modifiées dans le même but. La technique est connue et ne constitue plus un défi. Brièvement l’ARN qui servira (abusivement) de vaccin est synthétisé dans un système acellulaire en mettant à profit la synthèse d’ARN à l’aide d’ARN polymérase après avoir converti l’ARN dont on s’intéresse en ADN double brin qui sert de modèle pour l’activité de l’ARN polymérase. Les apprenti-sorciers de Moderna et Pfizer ont fait le reste en appliquant ces techniques de laboratoire devenues triviales.

Il restait à répandre le virus en feignant que son origine était la ville de Wuhan. Rien de plus simple puisque devaient se dérouler les jeux olympiques militaires précisément dans cette ville. De nombreux athlètes, au cours de l’automne 2019 alors que tout était plié, souffrirent de maux d’origine inconnue et, innocents, ils répandirent la maladie de retour dans leur pays d’origine. Quelle belle organisation … On n’aurait pas trouvé mieux dans le scénario d’un film d’horreur. Le reste ce sont des arrangements entre décideurs politiques et grosses firmes pharmaceutiques avec leur lot de corruption, la mise en place de tests pour entretenir la psychose épidémique, l’interdiction des traitements précoces … La liste est longue. Ce qu’il faut retenir de ces deux années et demi de coronavirus est l’utilisation de la science à des fins mercantiles en niant systématiquement les résultats des cliniciens et des spécialistes mondialement réputés dans le domaine de la virologie. Le monde politique s’est emparé de cette science et c’est le signe évident d’une décadence de l’Occident pour lequel les valeurs fondamentales de l’éthique n’ont plus cours.

Le Docteur Zelenko n’est plus mais sa mémoire aura des conséquences

Lorsque le docteur en médecine Vladimir Zelenko, médecin généraliste, commença à constater au printemps 2020 que le SARS-CoV-2 tuait beaucoup plus de personnes que la grippe saisonnière, contrairement à la grande majorité de ses collègues médecins, il se pencha sur la bibliographie récente au sujet de ce nouveau virus. Et il découvrit des travaux très récents disponibles en « preprint » avant leur date de publication officielle. Ces travaux étaient relatifs au traitement précoce de l’infection par le coronavirus avec une bi-thérapie hydroxychloroquine-azithromycine confirmée par l’équipe de Professeur Didier Raoult en France :https://doi.org/10.1016/j.ijantimicag.2020.105949 . Le Docteur Zelenko appliqua le protocole en utilisant la posologie alors universellement connue pour traiter la malaria et l’azithromycine étant un antibiotique très largement prescrit. Les premiers cinquante patients que Zelenko traita furent tous guéris très rapidement et il publia à son tour ses travaux :https://doi.org/10.1016/j.ijantimicag.2020.106214 . Un peu naïvement Zelenko eut l’audace de prévenir le Président américain Donald Trump par courrier. Comme par un effet du hasard sa missive atterrit sur le bureau du Président qui s’empressa de déclarer publiquement que l’HCQ était un « don des dieux ».

À partir de cette courte prestation de Donald Trump le complot anti-HCQ se structura et s’accéléra pour plusieurs raisons. Tout ce que déclarait Donald Trump était un tissu de mensonges, selon les Démocrates, par conséquent cette histoire d’HCQ était une « fake-news ». Alors que les Laboratoires Gilead venaient de mettre au point une molécule active in vitro sur la réplication du virus, le Remdesivir, inspiré de travaux de recherche sur le virus de la fièvre Ebola, et que d’autres laboratoires et non des moindres envisageait sérieusement de mettre au point ce qui sera plus tard abusivement appelé un vaccin, en réalité la formulation d’un ARN messager provenant de la séquence du SARS-CoV-2 publiée par les Chinois au début de l’année 2020, modifié pour ne pas être trop rapidement dégradé dans l’organisme et formulé dans des nano particules de lipides de synthèse il était urgent de réagir contre cette funeste nouvelle de l’efficacité de l’HCQ. Les Démocrates, puissamment soutenus financièrement par les grands laboratoires pharmaceutiques prirent le train en marche et forcèrent les instances sanitaires, CDC, FDA et NIH, la plupart d’entre eux percevant de confortables émoluments de ces laboratoires y compris Gilead, pour construire aussi rapidement que possible une véritable obstruction dirigées contre l’HCQ. Il en ressortit que si l’HCQ ne présente aucun effet secondaire connu lorsqu’elle est utilisé en traitement contre la malaria, elle est par contre toxique, hautement toxique, si elle est utilisée avec des posologies similaires pour traiter l’infection au stade précoce par le coronavirus. Comprenne qui pourra mais ce véritable coup monté n’avait plus rien à voir avec la science médicale. Les médecins de ville, les premiers à voir les malades, furent rigoureusement interdits de prescription de l’HCQ, les pharmacies n’eurent plus l’autorisation de satisfaire une ordonnance comportant de l’HCQ. Seuls les patients souffrant de maladies auto-immunes comme la polyarthrite rhumatoïde ou le lupus pouvaient encore en obtenir mais difficilement.

Anthony Fauci, lui-même compromis dans cette cabale, abonda dans le sens de l’interdiction de l’HCQ puis de l’Ivermectine. Cette affaire prit rapidement une ampleur internationale. De nombreux médecins traitants et soignant leurs malades en leur âme et conscience furent interdits d’exercer la médecine comme par exemple le Docteur Meryl Nass dans l’Etat du Maine. En France l’immense infectiologue qu’est le Professeur Didier Raoult fit l’objet de menaces de mort, de calomnies invraisemblables, mais il resta droit dans ses bottes et ne succomba nullement à cette agressivité constante organisée et téléguidée par l’immense lobby pharmaceutique, un véritable état dans l’Etat qui dicte sa loi aux décideurs politiques quitte à les corrompre s’ils s’avèrent difficiles à convaincre.

Combien de morts auraient pu être évités si l’HCQ avait été généralisée en traitement préventif et prophylactique dès le printemps 2020 ? Les assassins devront payer un jour car il s’agit probablement de plusieurs millions de morts non pas gratuits mais pour le plus grand profit des laboratoires pharmaceutiques qui ne reculent devant rien et se révèlent être une véritable mafia criminelle. Il y a en effet les effets secondaires de ces « vaccins » toujours passés sous silence par les grands médias eux aussi corrompus. Avoir osé de la part des décideurs politiques d’injecter des centaines de millions de personnes avec un produit qui n’avait pas ses preuves, résultat de recherches et de mises de cette technique qui n’a jamais montré de résultats satisfaisants depuis 20 ans est tout aussi criminel … Ce bref billet est inspiré d’un article de Meryl Nass dont je conseille la lecture à mes lecteurs :http://anthraxvaccine.blogspot.com/2022/07/our-obituary-for-dr-zev-zelenko.html et pour tous ceux qui sont « vraiment » convaincus que la thérapie génique est souvent mortelle, ce long exposé du Docteur Joseph Mercola qui a subi la vindicte de la presse « presstitute » :https://www.lewrockwell.com/2022/07/joseph-mercola/pathologist-speaks-out-about-covid-jab-effects/

Je suis toujours complotiste … Le vaccin à ARN messager : un génocide planétaire

Selon l’article de David J. Sorensen et du Docteur Vladimir Zelenko paru sur le site globalresearch.ca le nombre de morts dans tous les pays occidentaux qui ont de facto imposé la « vaccination » par ARN messager censée protéger d’un coronavirus, qui en est à son sixième variant et est devenu bénin, atteint un chiffre astronomique : plus de 5 millions dans ces pays occidentaux ou apparentés. L’estimation de ce chiffre est une extrapolation des faits répertoriés aux Etats-Unis, corroborés par les statistiques britanniques. L’incertitude est cependant très large. Il se peut qu’il s’agisse plutôt de 8 millions de morts pour ces seuls pays.

Il s’agit donc bien d’un génocide rampant qui ne dit pas son nom. Mais la situation va encore s’aggraver puisque des campagnes d’injections préventives sont d’ors et déjà organisées dès l’âge de 5 ans, ce qui est tout simplement criminel. Paradoxalement les moins malades sont ceux qui n’ont pas été « vaccinés » malgré le fait que les autorités prétendent le contraire. À ces morts il faut ajouter en toute honnêteté toutes les fausses-couches dont ont souffert les femmes enceintes ayant subi l’injection de ce produit mortel pour leur fœtus. On se trouve donc bien en face d’un génocide qui concerne surtout les pays développés ayant opté pour cette thérapie génique toujours considérée comme expérimentale ! Le retour d’expérience est clair : il s’agit bien d’un complot pour réduire la population puisque les injections de rappel sont prévues ad libitum. Du jamais vu dans l’histoire de la vaccination puisque si un nouveau vaccin provoque des morts ou trop d’effets indésirables au cours d’études de phase III il est immédiatement abandonné.

L’objectif de Bill Gates et du Forum économique mondial ne sera atteint que lorsqu’il y aura plusieurs centaines de millions de morts dans les pays occidentaux alors que le taux de natalité dans ces derniers pays ne permet plus un renouvellement des générations. Depuis le début de cette pandémie on assiste donc à un complot ourdi par ces organismes supranationaux qui veulent imposer leur vision malthusienne avec la complicité des laboratoires pharmaceutiques qui ne se plaindront pas des profits astronomiques qu’ils réalisent. Le virus lui-même a été manipulé pour introduire le site de clivage appelé furine (j’en ai dit un mot dans un précédent billet) et ce n’est pas fortuit. La séquence d’une dizaine de nucléotides introduite sciemment avait été brevetée par la société Moderna. Le complot date donc de plusieurs années avant le début de la pandémie en mars 2020. L’ARN messager supposé protéger les volontaires pour cette thérapie génique appelée abusivement vaccin code pour une partie de la protéine de la spicule du virus dite spike-1. Or l’expression de cette protéine chez un individu ayant reçu sa dose de cet ARN messager ne peut pas être contrôlée. Il n’y a pas de stoechiométrie comme dans le cas d’un vaccin à virus désactivé dont on connait le nombre de particules virales injectées qui est fini.

Cette protéine spike-1 est toxique, il n’y a plus aucun doute aujourd’hui compte tenu du désastre observé. Les gouvernements sont complices tout comme le CDC et la FDA aux Etats-Unis ou l’Agence européenne du médicament et pire encore l’OMS contrôlée par Bill Gates. Les infirmières sont complices puisqu’elles sont rémunérées au nombre d’injections qu’elles effectuent. Les médecins sont complices puisqu’ils n’ont plus toute la liberté de déclarer les effets secondaires et qu’ils nient, sur ordre, toute relation de cause à effet entre les injections d’ARN messager et par exemples les myocardites ou les arrêts cardiaques consécutifs à ces cardiopathies. Pire encore cette protéine spike-1 affaiblit les réponses immunitaires et le nombre de récidives de cancers a augmenté de 300 % quelques semaines après le début des campagnes de « vaccination ». Cet affaiblissement du système immunitaire s’est traduit par une forte augmentation du nombre de malades (et de décès) lorsque ces « vaccinés » se sont trouvé en contact avec le dernier mutant en date appelé omicron alors qu’il ne provoque qu’un rhume accompagné d’une fièvre passagère chez les non « vaccinés ».

Toutes ces observations réunies ne conduisent qu’à une seule conclusion : il s’agit d’un complot organisé en haut lieu pour réduire la population, mieux l’asservir et mieux la surveiller : sans vaccin on est un paria sous surveillance, avec « vaccin » et des fléchettes à répétition on est un bon citoyen mais l’espérance de vie est sérieusement diminuée.

Source : https://www.globalresearch.ca/evidence-millions-deaths-serious-adverse-events-resulting-experimental-covid-19-injections/5763676

Le « vaccin » à ARN messager anti-SARS-CoV-2 : une arme chimique de destruction massive ?

Je suis un complotiste et fier de l’être et j’ai aussi des messages à faire passer dans ce cadre. Il y a bien longtemps que cette thérapie génique à ARN messager aurait été interdite si la prohibition de la publicité des effets secondaires n’avait pas été aussi bien organisée. Les médecins qui désirent communiquer les cas d’effets secondaires aux autorités sont menacés, ces mêmes autorités ne tiennent pas compte de ces remontées d’informations. Il y a des milliers de morts et des millions de personnes souffrant d’effets indésirables dont la variété fait songer à une arme chimique délibérément injectée à des centaines de millions de personnes, maintenant en France on en est à la quatrième injection ! Et comme le gouvernement français a commandé récemment cent millions de doses, le génocide différé est assuré.

Pourquoi j’ai écrit génocide, vous allez le découvrir. Cette thérapie génique fait apparaître des anticorps dirigés contre la protéine de la spicule du virus. Or ces anticorps reconnaissent la syncytine, protéine présente dans de nombreux épithéliums dont celui de l’endomètre mais également au niveau de la membrane basale du derme. Les effets secondaires de cette thérapie génique au niveau de la peau ont été largement décrits chez de nombreux sujets ayant été infectés par le virus authentique (voir le lien ci-dessous qui nécessite d’être mis à jour). Et en ce qui concerne les troubles menstruels et l’apparition de saignements chez des femmes déjà ménopausées, la table ronde organisée par le collectif « où est mon cycle » et la parlementaire européenne Virginie Joron est éloquente (lien). Les cas d’avortements spontanés après « vaccination » sont également innombrables alors qu’il a toujours été strictement déconseillé de vacciner les femmes enceintes, quel que soit le vaccin.

Les laboratoires pharmaceutiques savaient que les anticorps apparaissant après cette thérapie génique « croisaient » avec la syncytine, ils n’ont rien dit. Ce silence coupable me conduit à imaginer un complot à l’échelle mondiale. La néo-synthèse de la sous-unité 1 de la protéine virale spike après injection de l’ARN messager synthétique ne peut pas être contrôlée. Outre les propriétés des anticorps apparus cette protéine a une forte tendance à s’accumuler dans les gonades. Personne ne sait quels seront les effets sur le long terme de cette accumulation sur les adolescents (qui n’auraient jamais dû subir cette thérapie génique) lorsqu’ils seront en âge de créer une famille. Il y a donc bien un complot conduisant éventuellement à une chute brutale de la natalité dans tous les pays qui ont mis en place cette thérapie génique. Ce grand dessein malthusien dissimulé par les autorités politiques entre dans le cadre de la réduction du nombre d’êtres humains en phase avec l’idéologie du Club de Rome. On en est là … Regardez mesdames la vidéo du début à la fin, c’est glaçant. 

Retour sur la table ronde mentionnée dans un précédent billet

J’ai noté quelques données citées par plusieurs intervenants en ce qui concerne la thérapie génique mise en place massivement dans le monde entier pour protéger théoriquement les populations contre une infection par le coronavirus. De nombreuses interventions au cours de cette table ronde ont insisté sur le fait que ce traitement ne prévenait pas contre une infection et qu’il ne présentait aucun bénéfice en ce qui concerne la gravité de l’évolution de la maladie. Ce qu’ont déclaré les intervenants est incontestable puisqu’il s’agissait de praticiens hospitaliers. Ils étaient au contact des malades et ils savaient quel était précisément leur statut vaccinal. Dans les services de soins intensifs de l’hôpital où exerçait l’un des intervenants il fut rapporté que 77 % des patients étaient complètement vaccinés et qu’ils étaient tous testés positifs pour le coronavirus. Dans l’Etat du Wisconsin plus de 90 % de la population est « vaccinée ». Il est impossible d’expliquer pourquoi les 23 % de malades restants puissent être exclusivement des non « vaccinés ». Statistiquement c’est improbable.

Cette simple observation prouve indubitablement que la « vaccination » est totalement inefficace et qu’elle ne réduit pas la gravité de la maladie contrairement à ce qui est avancé communément. Il s’agit d’un pur argument de marketing sans fondement qui n’est plus tenable si on considère les effets indésirables et la létalité de cette thérapie génique. Le tableau ci-dessous est édifiant et mérite quelques commentaires. Pour les non-anglophones flu = grippe et Tylenol = paracetamol.

Les effets indésirables des 5 traitements mentionnés et répertoriés sans interférence gouvernementale depuis 1996 dans le monde entier sont présentés dans ce tableau (capture d’écran au cours de la table ronde dont le lien figure dans un précédent billet) et en regard le nombre d’effets indésirables et de décès répertoriés en 13 mois pour le « covid vaccine ». Compte tenu du fait que sur recommandation des autorités de santé les médecins ne transmettent leurs observations que dans au mieux 2 % des occurrences il est plausible de multiplier les données en rouge dans ce tableau par un facteur 40 à 50. Choisissons donc un facteur multiplicatif de 41 comme cela a été mentionné au cours d’une étude réalisée il y a quelques semaines dont j’ai fait mention sur ce blog. On arrive alors à des chiffres tout à fait alarmants : plus de 43 millions d’effets indésirables pour le monde entier et plus de 827000 morts en 13 mois, c’est-à-dire depuis le début de la campagne de thérapie génique massive. Les tenants de la « vaccination » généralisée rétorqueront qu’en regard du nombre de doses injectées ce n’est rien, c’est négligeable, c’est le prix à payer pour la protection des populations, ben voyons ! En 25 ans les vaccins contre la grippe saisonnière n’ont tué que 77 personnes par an en moyenne mais pour un rapport bénéfice/risque très favorable encore que contesté par certains spécialistes car le virus de la grippe mute très facilement. À l’examen de ces données la thérapie génique par ARN messager aurait du être interdite très rapidement, dès le début de l’année 2021 … et on continue à rendre obligatoires des injections de « rappel ». Il s’agit d’actes criminels qui devront un jour ou l’autre être punis.

Brève. Macron aurait-il les mains sales ?

Lors des négociations relatives à la cession du département alimentation pour enfants de Pfizer à Nestlé qui ont été confiées par la Banque Rothschild au jeune banquier débutant Emmanuel Macron il est indubitable que ce jeune banquier a rencontré de hauts responsables de Pfizer. Une négociation de plus dix milliards de dollars ne se fait pas en une journée, l’enjeu n’étant pas négligeable. Je ne voudrais pas être taxé de complotisme mais une négociation à la conclusion de laquelle Macron a été gratifié de 20 millions d’euros laisse des traces, non pas en ce qui concerne la destination de cette somme d’argent mais des liens indélébiles entre Macron et les dirigeants de cette société. Certes la banque d’affaires Rothschild n’était pas le seul acteur de cette considérable transaction mais elle en était le « leader ». Macron a empoché sa commission qui n’a rien d’extravagant mais révèle le fait qu’il était l’acteur principal de ces négociations.

Macron a-t-il été contacté lors de l’émergence de la pandémie coronavirale par les dirigeants de Pfizer ? Bien entendu qu’il a été contacté ! Au cours d’une négociation de plus de dix milliards de dollars on créé des liens, c’est inévitable, c’est même naturel. Macron n’est pas idiot, il a flairé le gros coup avec les thérapies géniques. Il profite de l’appui sans limites de la Présidente de la Commission européenne qui, elle aussi, entretient des liens étroits avec Pfizer via son époux. Concrètement un chef d’Etat est un client pour une grosse entreprise pharmaceutique comme Pfizer, c’est ainsi car ce sont les gouvernements qui signent les contrats et pour l’Europe c’est la Commission qui signe ces contrats.

Quel est donc le nombre de milliards de doses de « vaccin » figurant dans le contrat entre Pfizer et l’Union européenne ? Ce contrat est secret et seuls quelques initiés de haut rang connaissent la réponse à cette question. S’il s’agit de deux milliards de doses alors c’est suffisant pour injecter toute la population européenne au moins 4 fois, il faut aussi et surtout rendre cette thérapie génique obligatoire pour les enfants dès l’âge de 5 ans et contraindre les récalcitrants en les « emmerdant » le plus possible. Il faut parallèlement éliminer les concurrents, J&J, Moderna et autres. S’il s’agit de trois ou quatre milliards de doses, la situation ne se complique pas du tout car, comme l’a indiqué le clown qui sert aux Français de Ministre de la santé, il faudra une injection de rappel tous les trois mois y compris pour les personnes qui ont été infectées et ont guéri, un véritable défi aux certitudes de la médecine concernant les maladies infectieuses.

En abordant sous cet angle mercantile le problème de cette « vaccination » tout s’explique et tout est plus clair. N’oublions pas le fait que cette thérapie génique est aujourd’hui obsolète puisqu’elle a été constituée à partir de la séquence de l’ARN de la souche de Wuhan publiée en janvier 2020. De plus, contrairement aux affirmations gouvernementales ce produit ne protège pas contres les formes graves, en tous les cas aucune donnée statistique ne le prouve. On se trouve donc dans un cas de fraude caractérisée de la part de Pfizer, entreprise coutumière du fait, puisque « sa » thérapie génique n’est plus efficace (l’a-t-elle été un jour ?) et ne protège pas contre une infection par le vrai virus ni contre une contamination par les personnes « vaccinées ». Appeler ça un vaccin est un scandaleux abus de langage. J’exprime ici mon opinion personnelle et que l’on me traite de complotiste ne m’émeut pas car j’ai aussi le droit d’écrire encore ici que tous les décideurs politiques européens ont été corrompus par les grands laboratoires pharmaceutiques, en particulier par Pfizer.

Source des illustrations : https://nofrakkingconsensus.com/2022/01/10/better-to-laugh-than-to-despair/