SARS-CoV-2 : exemples et contre-exemples

J’ai choisi quatre Etats pour illustrer à quel point la gestion de l’épidémie coronavirale peut conduire à des résultats surprenants et parfois difficiles à interpréter. La Suède, vilipendée par tous les Etats européens pour son non-conformisme, a choisie dès le début de l’épidémie de ne prendre aucune mesure susceptible de porter atteinte à la liberté des citoyens. Les instances pseudo-scientifiques conseillant les décideurs politiques prédisaient un désastre sanitaire pour ce pays. Il n’en a rien été, pas plus de morts rapportés à la population que la France ou l’Italie qui ne se sont pas vraiment distingués par la qualité de leur gestion sanitaire. Le Danemark a suivi sans l’avouer l’exemple de la Suède : libéralisme total et aucunes restrictions coercitives. Encore une fois les autres pays européens ont montré du doigt ce pays.

Aujourd’hui voici les dernières données de la John’s Hopkins University relatives à ces deux pays pour la journée du 27 août 2021. Suède : 1274 nouveaux « cas » et trois morts, sans aucune précision relative à l’âge ou les comorbidités de ce malades décédés. Danemark : 936 nouveaux « cas » et trois morts. À titre indicatif je prendrais le seul exemple de l’Espagne pour cette même journée du 27 août : 9489 nouveaux « cas » et 139 morts. Il n’y a pas photo. L’Espagne, contrairement à la Suède et au Danemark, a pris toutes les mesures nécessaires pour restreindre la propagation du virus depuis 18 mois et aujourd’hui il y a littéralement une explosion du nombre de « cas » et de morts. L’immunité collective dont le Président Macron se gargarisait il y a également 18 mois n’a pas été atteinte dans ce pays, ni en France d’ailleurs, mais ce dernier pays fait tout de même mieux que l’Espagne. Conclusion de ces deux premiers exemples : il était préférable de laisser leur liberté aux citoyens et toute liberté au virus pour se répandre. J’ajouterai enfin que les taux de vaccination de ces deux pays avoisinent les 60 % sans qu’il m’ait été possible de trouver des données précises à ce sujet. Les « vaccins » à ARN messager n’étant pas particulièrement protecteurs contre le variant delta la situation satisfaisante de la Suède et du Danemark ne peuvent s’expliquer que par une immunité collective correcte.

La situation de deux autres Etats mérite une analyse rapide. Il s’agit du Texas et de la Floride. Toutes les mesures non conformes aux libertés de citoyens de ces Etats ont été levées non pas dès le début de l’épidémie comme en Suède mais au cours de l’automne 2020 pour le Texas et au début de l’année 2021 pour la Floride (si ma mémoire ne me fait pas défaut) et voilà le résultats pour ce même 27 août. Floride : 27500 nouveaux « cas » et 8 morts et Texas : 17000 nouveaux « cas » et 64 morts (liens ci-dessous). Les taux de « vaccinés » dans ces deux Etats sont sensiblement les mêmes que pour la Suède et le Danemark.

Note. Populations : Danemark : 5,9 millions, Suède : 10,2 millions, Texas : 29 millions, Floride : 21,5 millions. Il est donc nécessaire de corriger les données ci-dessus en fonction de ces données démographiques et il ressort que d’une part les données sont pratiquement identiques pour ces 4 pays et que ce variant delta est pratiquement anodin, y compris en Espagne (47 millions d’habitants) dans une moindre mesure pour les raisons indiquées ci-dessus.

https://ici.radio-canada.ca/info/2020/coronavirus-covid-19-pandemie-cas-carte-maladie-symptomes-propagation/

https://www.miamiherald.com

https://apps.texastribune.org/features/2020/texas-coronavirus-cases-map/

Suède : le vilain petit canard rebelle de l’Europe

Alors que le CDC exhorte les Américains à se masquer contre le variant Delta, l’épidémiologiste en chef de la Suède a fait valoir que davantage de données sont nécessaires sur l’infectiosité de cette souche. Sa nation sans masque plane à zéro décès de Covid par jour. Anders Tegnell a déclaré vendredi qu’il y avait « beaucoup de choses que nous ignorons encore » sur le Delta et a mis en garde contre le fait de tirer des « conclusions de grande envergure » sur cette souche de coronavirus. Il a noté que le variant circulait en Suède « depuis un certain temps » avec peu d’effet, en particulier dans les milieux à haut risque tels que les maisons de soins médicalisées. Ses commentaires ont été faits en réponse à des données récemment publiées par les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) suggérant que la souche Delta est plus transmissible et pourrait potentiellement causer une maladie plus grave. Le New York Times et d’autres médias ont publié des articles rapportant que le CDC pense maintenant que le variant Delta est aussi contagieux que la varicelle – mais cette comparaison n’a pas semblé impressionner Tegnell.

« Il est difficile de dire à quel point Delta est contagieux, en ce qui concerne la varicelle, nous avons pu suivre la maladie depuis des années. L’infectivité du Delta semble être très inégale – dans certains cas, un sujet infecte une centaine de personnes, puis nous avons d’autres occasions où une personne infectée n’infecte personne du tout », a-t-il déclaré au suédois Aftonbladet. (Note. Anders Tegnell est l’épidémiologiste qui a conseillé le gouvernement suédois depuis le début de l’infection mondiale par le coronavirus. Il a été très critiqué pour ses prises de positions non conformes aux a priori des autres pays européens, voir cet article tendancieux pour plus d’informations : https://fr.wikipedia.org/wiki/Anders_Tegnell )

Dans des remarques séparées, il a souligné le fait qu’un tiers des municipalités du pays n’ont signalé aucun nouveau cas de Covid au cours de la semaine dernière. Dans le même temps, il y a eu une légère augmentation des cas parmi les jeunes à Stockholm et dans d’autres grandes villes.

Et tandis que les autorités sanitaires américaines font pression sur les Américains dans les zones à « haute transmission » pour qu’ils se masquent, la Suède a abandonné sa dernière recommandation de masque – liée aux transports publics – le 1er juillet. Alors que l’agence suédoise de santé publique a soutenu des mesures telles que la distanciation sociale et le travail à distance , il n’a pas de recommandations pour l’utilisation de masques dans les espaces publics.

Injuriée par les médias occidentaux pour avoir refusé d’imposer des confinements sévères, l’approche moins draconienne de la Suède face à la crise sanitaire semble porter ses fruits : la nation scandinave a enregistré un total de huit décès liés à Covid jusqu’à présent ce mois de juillet 2021, soit une moyenne de 0,25 décès par jour . Bien qu’il soit possible que ce nombre augmente en raison des retards de déclaration, les décès ont sans aucun doute chuté au cours des derniers mois. Le 4 juin, la Suède a signalé 13 décès – plus que tout le mois de juillet. Les hospitalisations quotidiennes ont également oscillé près de zéro en juillet : la plupart des jours de ce mois, le pays a vu entre 0 et 2 cas de Covid nécessitant un traitement hospitalier. Dans le même temps, les cas quotidiens ont fortement baissé depuis avril.

Malgré les développements prometteurs, Tegnell a mis en garde contre un trop grand confort. Il a souligné vendredi que la Suède était toujours en pleine pandémie et a exhorté ses compatriotes, en particulier ceux des groupes d’âge les plus jeunes, à se faire vacciner (s’ils le désirent car la vaccination n’est pas obligatoire en Suède). À ce jour le nombre de morts en Suède depuis le début de l’épidémie est de 14651 et à peine 50 % de la population a reçu deux doses de vaccin. Source et illustration : RT international et Statista.

Note. L’aval donné par le Conseil Constitutionnel français à la loi relative à la mise en place du pass sanitaire appelle en regard de la situation actuelle de la Suède mais également du Texas ou encore de la Floride quelques remarques. Elle révèle d’abord deux points qui ne seront probablement pas mentionnés par les médias main-stream français. Les « sages » du Conseil Constitutionnel ne semblent pas être informés de l’évolution de l’épidémie coronavirale qui, comme l’a écrit il y a quelques jours le Dr Maudrux, va s’éteindre d’elle-même. En effet la Suède a atteint une immunité totale de sa population grâce à son choix exemplaire de ne prendre aucune mesure pouvant freiner l’évolution naturelle de l’épidémie. Mais pire encore, le Conseil Constitutionnel présidé par Laurent Fabius, probablement le politicien français le plus corrompu de ces 40 dernières années, a pris une décision qui fleure bon le conflit d’intérêt. En effet, et ce n’est pas moi qui l’invente, son fils Victor sévit auprès du cabinet américain de conseil McKinsey recruté par Macron pour organiser la vaccination massive de la population et c’est précisément ce fils du Président du Conseil Constitutionnel qui est en charge de cette organisation. Le peuple français est donc en droit de se poser quelques questions qui, à n’en pas douter, intéresseront la justice dans les mois à venir. Comme le dit le proverbe chinois « le poisson pourrit par la tête » : belle démonstration de ce proverbe …

Nouvelles du SARS-CoV-2 : l’exemple de la Suède

La Suède a, selon les gouvernements de l’Europe occidentale, tout fait à l’envers pour gérer la maladie du SARS-CoV-2. Alors que des pays comme la France, l’Espagne et la Belgique s’enfoncent dans une gestion sanitaire qui ressemble de plus en plus à la mise en place par petits décrets et petites lois sans aucune consultation des élus du peuple à un totalitarisme digne de l’Allemagne de l’est du temps de Walter Ulbricht et de sa tant redoutée STASI, la Suède, une vraie démocratie au sens strict du terme, a choisi de respecter les droits fondamentaux des citoyens tout en laissant le virus, pourtant inconnu, faire son chemin. La gestion de cette pseudo-grippe a donc été en tous points identique à celle des autres grippes saisonnières qu’a connu ce pays dans le passé.

La remarquable précision des données démographiques de ce pays existant depuis le milieu du XIXe siècle a permis de mettre en évidence l’aspect tout à fait bénin de cette épidémie coronavirale dont la « dangerosité » fait toujours la une des médias d’Europe occidentale et préoccupe quotidiennement les gouvernements. Ces derniers ne cessent de littéralement martyriser les citoyens qui depuis des mois n’ont plus droit à la parole comme encore moins les parlementaires. La Suède, le mauvais élève qui a refusé les injonctions de l’OMS, montrée du doigt au printemps dernier, accusée de livrer à une mort certaine des millions de personnes, s’en en très bien sortie, merci !

Le très faible taux de surmortalité rapporté au million d’habitants, moins de 600, n’est pas suffisant pour qualifier cette pseudo-grippe d’épidémie. En effet selon des sources sûres (source CIA) sur l’ensemble de l’année 2020 le nombre excédentaire de morts par rapport à l’année précédente n’a été que de 5975 pour une population de 10,4 millions de personnes.

Aujourd’hui, avec une population comptant plus de 600000 personnes déclarées officiellement avoir été en contact avec le coronavirus et guéries, il y dans le pays l’apparition d’une deuxième « vague » essentiellement provoquée par les conditions hivernales rudes que connaît la Suède chaque année. Rien d’alarmant pour un pays dont les infrastructures hospitalières sont considérées comme parmi les meilleures du monde avec des habitants dont le revenu annuel moyen calculé sur la base du pouvoir d’achat est de 51000 dollars (source CIA, 2019). La fameuse immunité de groupe dont la définition n’est pas très claire n’a pas été atteinte, certes, mais si le virus circule toujours librement comme pour toute autre maladie virale il finira par disparaître. La Suède commence donc l’année avec optimisme contrairement aux autres pays de l’Union européenne qui ont choisi des mesures ressemblant étrangement à celles du régime communiste de l’Allemagne de l’Est des années 1960 …

Source partielle et illustration : site de Paul Craig Roberts, statistiques : CIA

La Suède : le mauvais élève de la classe !

Le 11 juillet dernier j’avais commenté sur le présent blog l’approche controversée de la gestion de la grippe coronavirale par les autorités suédoises : pas de fermeture des écoles, pas de confinement, pas de distanciation sociale. Le résultat final est que la Suède n’a pas eu plus de morts (en pourcentage de la population) qu’un pays comme la France. L’économie suédoise a connu un ralentissement, certes, mais il est la conséquence du ralentissement économique impressionnant de ses partenaires commerciaux qui ont géré différemment leurs propres grippes en confinant massivement leurs populations, disposition qui a entrainé une paralysie totale de leurs économies. On assiste aujourd’hui à une critique systématique de la stratégie des Suédois dans les médias dits « main-stream » qui avancent l’argument impossible à prouver que si ce pays avait opté pour un confinement de la population il y aurait eu moins de morts et … tant pis pour l’économie !

Les deux affirmations mensongères avancées pour ternir l’image de la Suède sont les suivantes : si la Suède n’a pas confiné sa population son économie a malgré cela plongé et l’immunité de groupe n’a pas été atteinte dans ce pays. La première affirmation imprimée en une du Financial Times est une « fake-news » car l’économie suédoise est très dépendante de ses exportations en particulier vers l’Europe, espace commercial où tous les pays ont massivement et autoritairement confiné la population. La deuxième affirmation est également un mensonge et les statistiques suédoises le prouvent. Sans confinement de la population, sans port du masque obligatoire et sans fermeture des écoles pourquoi le nombre de morts a évolué normalement vers zéro après le pic épidémique s’étalant de la fin du mois de mars à la deuxième semaine de mai alors que le nombre de personnes positives pour le coronavirus a continué à évoluer comme nous allons le découvrir ci-dessous ?

Le Docteur Anders Tegnell, épidémiologiste suédois, s’est fermement opposé à toutes les mesures adoptées et imposées aux populations dans les autres pays européens car il considérait, à juste titre, qu’elles entraveraient l’établissement d’une immunité de groupe. Pour ce spécialiste la fermeture des écoles n’était pas justifiée dans la mesure où les enfants de moins de 16 ans disposent d’une immunité croisée contre le coronavirus millésime 2019. En effet, la majorité des rhumes bénins chez les enfants est provoquée par des coronavirus et les enfants ont acquis rapidement une immunité contre le nouveau SARS-coV-19, leurs cellules immunitaires dites « mémoire » répondant très rapidement au contact avec ce dernier. Le Docteur Anders Tegnell a également ajouté que les enfants des écoles ne présentaient pas de danger de diffusion du virus pour les raisons évoquées ci-dessus puisqu’ils n’atteignaient jamais une charge virale susceptible de les rendre porteurs sains contagieux. Ce fait observé par les praticiens hospitaliers n’a jamais été pris en compte par les autres pays européens ni bien d’autres pays dans le monde.

On se trouve ainsi devant une accumulation de mensonges de la part des autorités sanitaires des pays européens mais également et surtout de l’OMS qui a diffusé des informations alarmantes sans que ces dernières soient un seul instant appuyées sur des études scientifiques convaincantes. Devant tous ces éléments on est en droit de se poser une série de questions. Pourquoi une telle campagne de dénigrement à l’encontre de la Suède ? La réponse est claire : parce que la Suède ne s’est pas pliée aux injonctions de l’OMS. Alors que les autres pays européens avaient atteint une sorte de psychose généralisée au sujet du coronavirus et privaient leurs citoyens de toute liberté individuelle, ce qui est contraire au préambule de la Constitution européenne, la Suède suivait son propre chemin. C’était le mauvais élève de la classe ! La Suède a refusé les injonctions venues d’en haut. Au fil du présent exposé j’en arrive donc à la question suivante : d’où venaient les ordres appliqués scrupuleusement par les gouvernements des pays européens ?

Deux hypothèses paraissent plausibles. D’abord les personnels de l’OMS ne sont pas tous des fonctionnaires ignares et certains d’entre eux savaient parfaitement que le confinement retarderait l’établissement d’une immunité de groupe. Ceci allongerait le délai que mettraient à profit les grandes compagnies pharmaceutiques pour la mise au point d’un médicament ou d’un vaccin. Or nul n’ignore que l’OMS est un organisme onusien corrompu travaillant étroitement avec le cartel mondial de la pharmacie, cartel lui-même contrôlé par l’industrie financière transnationale. La deuxième hypothèse me paraît trop simpliste : tous les politiciens à la tête des pays européens ont été pris de panique à la suite des affirmations erronées de Neil Ferguson, craignant d’ailleurs d’être poursuivis devant les tribunaux en raison de leur parfaite faillite dans la gestion de cette crise sanitaire. Cette hypothèse est à écarter d’autant plus fermement que les prises de position de certains gouvernements dont en particulier celui de la France à propos de la bithérapie hydroxychloroquine + azithromycine préconisée par le Professeur Didier Raoult a eu pour résultat de révéler la corruption du monde politique occidental et en particulier le monde politique français, lui-même corrompu à tous les niveaux. Ces molécules génériques, donc ne générant plus de profits pour les laboratoires pharmaceutiques, ont été classées comme toxiques pour prévenir toute démonstration de leur efficacité contre la charge virale des personnes nouvellement atteintes par le coronavirus. Devant toutes ces évidences et tous ces mensonges, on ne peut donc que déplorer l’emprise du cartel mondial de l’industrie pharmaceutique sur le monde politique que l’on peut considérer comme également corrompu. La « marchandisation » de la santé par les politiciens au profit de l’industrie pharmaceutique est donc révélée avec une clarté stupéfiante par cette grippe coronavirale qui finalement est encore très loin d’avoir fait autant de morts que celle de 1957-1958, un sujet pour lequel je ferai quelques commentaires dans un prochain billet.

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Lorsque le Président Macron mentionna l’immunité de groupe quelques heures avant de mettre en place le confinement généralisé de la population française il ne savait pas de quoi il parlait. Il n’en a d’ailleurs jamais reparlé. Avait-il reçu des ordres « d’en haut » ? Revenons donc à l’immunité de groupe « made in Sweden ». Le premier graphique ci-dessus fait état du nombre de morts par jour depuis le 12 mars et jusqu’au 16 juillet 2020. Pour la bonne compréhension de ce graphique il est important de rappeler une fois encore que la Suède n’a jamais fermé les écoles et que la population n’a jamais été confinée durablement. Les bars et restaurants ont toujours été ouverts ainsi que tous les commerces et toutes les usines. Le port du masque était laissé à l’appréciation de chaque citoyen et n’a jamais été imposé autoritairement. La courbe en noir indique que le pic épidémique a été atteint la deuxième semaine d’avril puis le nombre de morts n’a cessé de décroître pour atteindre zéro au cours de la seconde semaine de juillet. Tous les morts répertoriés étaient positifs pour le coronavirus puisque la Suède avait mis en place très tôt les tests PCR relayés à la fin du mois d’avril par des tests sérologiques.

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Si on examine maintenant le nombre brut de sujets positifs (ci-dessus) il est évident que plus de trois mois ont été nécessaires pour atteindre une immunité de groupe puisqu’entre le début du mois de mai et la mi-juillet le nombre de cas positifs n’a cessé d’augmenter alors que le nombre de morts diminuait linéairement. L’examen de ces deux graphiques permet donc d’affirmer que la population suédoise est dans son ensemble immunisée maintenant contre le coronavirus version 2019. J’ajouterai malicieusement que ce pays n’aura pas besoin de vaccin puisque sa population est d’ors et déjà immunisée ! La Suède est donc doublement un mauvais élève aux yeux des puissances de l’ombre qui ont imposé aux démocraties occidentales des décisions stupides contraires aux principes fondamentaux de la liberté individuelle pour ouvrir ultérieurement cet immense marché aux vaccins.

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Vous voulez une preuve supplémentaire de la stupidité sanitaire des décisions des politiciens, en voici une qui prouve à quel point le port obligatoire du masque est tout aussi stupide (illustration ci-dessus). Au Nouveau-Mexique le port obligatoire du masque a été décrété le 15 mai alors que le nombre de nouveaux cas positifs pour le coronavirus s’était stabilisé et semblait même avoir tendance à diminuer. Il n’a pas fallu plus de deux semaines pour que le nombre de nouveaux cas augmente à nouveau pour progresser ensuite d’une façon alarmante. N’est-ce pas là la preuve évidente qu’il fallait tout simplement laisser cette épidémie suivre son cours normal comme toute autre grippe ? Certes des esprits chagrins diront que le Nouveau Mexique ce n’est pas la Suède, j’en conviens, mais ce seul exemple montre à quel point la gestion de cette crise sanitaire a été faite en dépit du bon sens par des politiciens ignorants les principes de base de l’épidémiologie et ne prenant des décisions stupides que « sur ordre d’en haut ». Ces gens devront être traduits devant les tribunaux ou alors nous sommes tous déjà consentants à la mise en place d’une gouvernance mondiale totalitaire. Je ne pense pas que les Suédois soient vraiment d’accord …

Inspiré d’un article de Tony Heller paru sur son blog realclimatescience.com

SRAS-Covid-19 : la controverse suédoise

Le seul pays développé à ne pas avoir imposé de mesures sévères de confinement lorsque l’épidémie l’a atteint au cours du mois de mars 2020 est la Suède. Dans une moindre mesure le Japon n’a pas imposé non plus de confinement car cette mesure aurait été contraire à la Constitution et a laissé aux Japonais adultes le soin de gérer leur propre confinement sur une base volontaire tandis que les écoles et la majorité des lieux publics ont été fermés pendant 2 mois et demi au plus fort de l’épidémie. En ce qui concerne la Suède il existe très peu de documents en langue anglaise décrivant en détail le déroulement de l’épidémie, par conséquent la propagande relative à la mauvaise gestion de cette crise sanitaire par le gouvernement suédois va bon train, les médias ayant pour détestable habitude de colporter toutes sortes de rumeurs et de fausses nouvelles pour « faire de l’audience ». Il est donc opportun de faire le point sur le « cas suédois ».

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Voici ci-dessus un graphique résumant la situation globale de l’épidémie de Covid-19. Le nombre de nouveaux cas augmentait jusqu’à la fin du mois d’avril puis s’est stabilisé progressivement jusqu’à la fin du mois de mai quand fut prise la décision de généraliser les tests PCR. On assista alors à une augmentation importante de nouveaux cas. Il faut multiplier par 100 l’échelle des ordonnées pour obtenir le nombre de nouveaux cas. Ajusté au nombre de tests l’ensemble des nouveaux cas est resté stable. Le nombre de morts strictement attribués au coronavirus a atteint un maximum au cours de la deuxième moitié du mois d’avril pour lentement décliner ensuite. De même le nombre de patients admis en soins intensifs (ICU) a diminué progressivement.

La controverse relative à la gestion de l’épidémie par les autorités suédoises réside dans le fait que le nombre de morts a été important dans les hôpitaux, là où les tests PCR étaient effectués et là où les malades sévères étaient dirigés avant le mois de juin. D’autre part les autorités sanitaires ont choisi une politique sélective d’admission en soins intensifs : les malades de plus de 80 n’étaient pas pris en charge en soins intensifs afin de privilégier ceux qui avaient une espérance de vie plus robuste et qui ne souffraient pas déjà de pathologies multiples. De ce fait 49 % des malades de plus de 70 ans ont été victimes du coronavirus alors qu’ils ne représentaient que 15 % du total de malades en soins intensifs à l’hôpital. Il faut mentionner enfin que près de 50 % de la totalité des décès dus au coronavirus a été comptabilisé dans les résidences médicalisées pour personnes âgées.

Faut-il pour autant critiquer les autorités et le corps médical suédois pour avoir pris ce genre de décision sélective ? Tous âges confondus le taux de létalité (nombre de morts par personnes infectées confirmées par tests PCR) a atteint en Suède 0,015 % alors que ce taux a atteint au paroxysme de l’épidémie 4,3 % pour la tranche d’âge 70 ans et plus à l’hôpital uniquement. Pour cette même tranche d’âge le taux n’est plus maintenant que de 0,1 %. Le débat qui agite aujourd’hui les commentateurs dans d’autres pays européens et même aux Etats-Unis consiste à se demander combien de vies auraient pu être sauvées en Suède si la gestion de l’épidémie avait été différente. Jamais aucune réponse satisfaisante n’émergera. Il reste que le cas de la Suède est statistiquement conforme à celui d’autres pays européens. Le nombre total de morts, 5500, rapporté au nombre de cas positifs, largement sous-estimé puisque les tests ont été rendus systématiques après la fin du mois de mai, ne représente que 0,05 % de la population totale, soit 50 morts pour 100000 habitants, la grande majorité de ceux-ci ayant plus de 70 ans, c’est-à-dire sensiblement comme en France : à ce jour pour la France : 170000 cas positifs, 30000 morts donc 17,6 % de létalité et 0,04 % de mortalité alors que la population française a souffert d’un confinement strict qui a détruit durablement l’économie du pays. Fallait-il confiner ou non ? Je pose la question et la pose aussi aux politiciens italiens, espagnols, belges et à bien d’autres (dernières statistiques de la Johns Hopkins University).

Source détaillée et illustration : https://judithcurry.com/2020/06/28/the-progress-of-the-covid-19-epidemic-in-sweden-an-analysis/ . Dans cet article il apparaît clairement un autre bénéfice du non-confinement : l’immunité de groupe atteinte pour les tranches d’âge de zéro à 60 ans. À ce sujet des rumeurs circulent quant au fait que les anticorps disparaissent au cours du temps et que la grippe coronavirale peut à nouveau frapper un individu ayant été auparavant en contact avec le virus. Je ne suis pas spécialiste mais je voudrais comprendre pourquoi les enfants et les adolescents de moins de 20 ans ayant été en contact avec d’autres coronavirus ayant provoqué chez eux des rhumes bénins ont résisté mieux que toute autre tranche d’âge de la population à ce SRAS-Covid-19. Je suis persuadé que les médias et les responsables politiques racontent n’importe quoi (sur ordre?).

Brève. Crise climatique : la Suède inonde les marchés d’obligations Canadiennes et Australiennes

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C’est une retombée inattendue des conséquences sur les marchés boursiers des dispositions qui seront imposées un jour ou l’autre au monde entier pour sauver le climat. Depuis le mois de mars dernier la banque centrale de Suède vend des obligations émises par les Etats d’Alberta, du Queensland et de Western Australia. La Banque Centrale de Suède considère que l’état des finances de ces Etats est risqué en raison des politiques de réduction des émissions de « gaz à effet de serre » qui impacteront négativement ces Etats dont l’économie repose sur l’extraction de charbon, de pétrole et de gaz de roches mères.

Dans le même temps les émissions de « Green bonds » sont mises en place par diverses institutions financières ainsi que par certaines banques centrales comme la Banque Centrale Européenne. La destination des capitaux collectées reste opaque. Il serait question d’investir dans des entreprises innovantes du secteur des énergies renouvelables, des « start-up vertes » comme aimerait le dire le Président français Macron. Il est tout de même surprenant que la Banque centrale de Suède n’ait pas envisagé d’adopter la même attitude concernant les obligations des Etats gros émetteurs de gaz à effet de serre tels que la Chine, les USA ou l’Inde, allez savoir pourquoi …

Source : wattsupwiththat.com

La Suède n’est plus ce qu’elle fut il y a encore à peine 10 ans

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Traditionnellement les pays d’Europe occidentale comme l’Italie, l’Allemagne ou la France ont toujours considéré que la Suède était l’exemple de démocratie à suivre, le pays des droits de l’homme, de l’égalité homme femme, de société où il fait bon vivre bien que la Suède soit le troisième pays européen après la France et le Danemark en ce qui concerne la pression fiscale, mais bon, il y a un prix à payer pour vivre dans un pays « démocratique ». Ces principes humanitaires de respect des individus ont conduit la Suède à accueillir ces dernières années environ 600000 immigrants, des familles entières avec des femmes enceintes au nom du sacro-saint respect de la famille et de la femme. Et qu’est-il arrivé en moins de dix ans ? Comme en France, en Belgique ou encore en Grande-Bretagne il y a des zones périurbaines de non-droit en Suède qui ont favorisé l’apparition de gangs, de trafics en tous genres y compris d’armes, de prostitution et de drogue. Pire encore, le nombre de viols perpétrés à l’encontre de femmes d’origine suédoises a triplé en 4 ans à tel point que 25 % des suédoises de souche (il ne faut pas le dire c’est illégal, on est Suédois, point final) envisagent de quitter leur pays car elles sont terrifiées par ce qui arrive dans leur pays et ce qui peut leur arriver n’importe où à n’importe quelle heure du jour.

Ces femmes, victimes de viols dans l’immense majorité commis par des immigrants récents, ne peuvent même pas aller déposer une plainte à la police car elles seraient accusées de racisme si elles mentionnent que leur(s) violeur(s) n’est pas suédois de souche. Elles peuvent elles-mêmes se retrouver au tribunal accusées de racisme ! Une étude confidentielle à peine mentionnée par le quotidien Aftonbladet a montré que près de 90 % de tous les actes de violence sexuelle sont le fait d’immigrants récents de confession musulmane. Dans un pays comme la Suède qui a toujours été ultra-féministe par tradition c’est tout à fait paradoxal. Les autorités danoises, devant la recrudescence des crimes en tous genres à Copenhague qui est le fait d’immigrants venus pour la plupart de Suède a rétabli un strict contrôle frontalier avec son voisin.

Plus étonnant encore, mais il ne faut pas en parler, c’est illégal en Suède, la grande majorité de la presse suédoise est contrôlée par des familles d’origine juive et le promoteur du multiculturalisme suédois, un certain David Schwarz, était un survivant de l’holocauste et non pas un Suédois d’origine, il ne faut pas dire de souche, c’est illégal en Suède. Aujourd’hui la Suède est le champion d’Europe des viols avec violence, des vols, des incendies criminels et des trafics en tous genres avec 14 « no-go zones » réparties dans tout le pays, tout ceci grâce au multiculturalisme qui faisait jadis la grandeur du pays, mais il ne faut pas en parler …

Sources : Paul Craig Roberts et The Herland Report. Illustration : scène de la vie quotidienne dans une grande ville de Suède.

La Suède est en guerre !

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Il y a quelques années les médias d’Europe occidentale titraient que la Suède se préparait à une guerre … contre la Russie. Il est difficile d’imaginer que le Kremlin ait pu envisager un seul instant d’envahir la Suède. C’était une « fake-news ». Mais c’est pourtant une vraie information que de rapporter le fait que la Suède est en état de guerre. Le ministère de l’intérieur a distribué à tous les habitants des manuels de survie en cas de blocus de leur quartier de résidence. Ça ressemble vraiment à un état de guerre. Il y a dans le pays 61 zones où il ne faut pas aller – des « no-go zones » – au risque d’être assassiné au coin de la rue en plein jour. Une majorité de ces quartiers urbains et sub-urbains se trouve dans le sud du pays et en particulier autour de la ville de Malmö. La police, les pompiers, les ambulances et les livreurs ne s’y aventurent plus. Seule l’armée, lourdement équipée, tente parfois d’y pénétrer en cas d’extrême urgence comme par exemple pour protéger les pompiers afin d’éteindre un incendie ou évacuer un blessé. En 2018 seulement il y a eu 306 attaques à main armée qui se sont soldées par 135 morts, du jamais vu auparavant dans ce pays réputé pour être calme.

Ces no-go zones sont habitées par des immigrés récents d’origine africaine ou moyen-orientale à qui le gouvernement a accordé un logement, des allocations de subsistance et l’accès à l’école pour les enfants alors que des Suédois de souche ont des difficultés pour vivre.

Les troubles récurrents dans ces zones désertées par les Suédois sont le résultat de rivalités claniques ou religieuses. Ces zones de non-droit sont le théatre de règlements de compte entre sunnites et chiites, salafistes et Kurdes nationalistes y compris des chrétiens « levantins ». Malmö compte 300000 habitants dont un tiers sont des immigrés récents et la police n’est plus capable de maintenir l’ordre. Il ne se passe plus un jour sans qu’il y ait des explosions, des meutres et des règlements de compte en pleine rue. Les habitants sont tout simplement terrorisés.

Voilà le résultat d’une politique d’immigration non pas laxiste mais généreuse, le gouvernement suédois ayant cru naïvement que tout immigré accueilli comme tel se conformerait spontanément aux us et coûtumes du pays. La petite ville de Lund, connue pour sa prestigieuse université et proche de Malmö ne peut que constater que chaque jour des voitures sont incendiées et que les citoyens paisibles sont attaqués dans la rue parfois avec des armes de guerre et des immigrés mineurs s’amusent à conduire des voitures volées pour foncer dans la foule des passants.

Les médias des pays d’Europe occidentale, Espagne, Italie, France ou Belgique, n’osent même pas mentionner ce qui se passe en Suède quotidiennement pour la simple raison qu’il y a aussi des zones de non-droit dans ces pays et qu’il faut tant bien que mal préserver la paix sociale. Cette paix sociale est maintenue par des aides financières substantielles à fond perdu car tous ces immigrés récents n’ont pas l’intention de s’assimiler dans leur nouveau pays de résidence. Ils ne veulent qu’une chose : préserver leur identité politique et religieuse et vivre en marge de la société tout en profitant des largesses que celle-ci leur offre. Ça ne pourra que mal se terminer.

Source et illustration : Gatestone Institute. Avis à mes lecteurs : j’ai choisi le mode estival, donc un billet chaque 48 heures.

La guerre civile pour bientôt ?

La guerre civile pour bientôt ?

En France comme en Belgique il existe des zones urbaines de non-droit, des quartiers le plus souvent situés en banlieue des grandes agglomérations mais aussi parfois en pleine ville habités par une population majoritairement issue de l’immigration récente ou ancienne qui a pour rêgle de vie son communautarisme par opposition avec les institutions en place dans ces pays depuis plusieurs siècles. Personne n’en parle, aucun média n’ose publier un article ou un reportage télévisuel sur ces endroits où ni la police, ni les ambulances ni les pompiers ni les taxis n’osent s’aventurer. Et de telles zones de non-droit (no-go en anglais, « ne pas y aller ») existent aussi en Suède, le pays d’accueil d’une multitude d’immigrés (197000 en 2017). La Suède, la démocratie européenne la plus sociale, celle qui ose tout avant tous les autres pays, se trouve confrontée au problème qu’elle a elle-même favorisé.

Pour la première fois depuis la deuxième guerre mondiale le gouvernement suédois s’apprête à distribuer à 4,7 millions de foyers une brochure de « défense totale » car il prévoit une guerre civile imminente. Cette brochure, sorte de manuel de survie, explique comment assurer en cas de conflit civil la nourriture, l’eau, le chauffage ou encore l’hygiène. Selon le Financial Times, non seulement l’armée mais tous les civils doivent se préparer à un conflit de grande ampleur. Le Premier Ministre suédois Stefan Lofven a déclaré ce mercredi 17 janvier que tout allait être mis en oeuvre pour faire cesser la criminalité, les violences et anéantir le pouvoir des gangs, y compris en envoyant l’armée dans ces zones de non-droit. Même le leader du Parti Démocrate Jimmie Akesson a soutenu le Premier Ministre dans cette initiative.

Pour résumer la situation le gouvernement se prépare à une action militaire de grande envergure alors que les media main-stream continuent à affirmer que la Russie est l’instigatrice de cet état de fait ! Mercredi soir une grenade a été lancée contre un poste de police à Malmö et tout est en place maintenant pour un évènement national imminent de grande ampleur.

Source : Zerohedge

Une mère donne naissance à son petit-fils

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C’est un titre un peu sibyllin mais qui reflète pourtant la réalité. Une Suédoise de 53 ans n’a pas aidé sa fille à accoucher mais a porté l’embryon provenant de cette dernière obtenu par fertilisation in vitro pour porter son petit-fils durant les 9 mois d’une gestation parfaitement normale. Ça s’est passé en Suède en 2014. Emilie, la fille de Marie est née sans utérus et sa mère lui a prêté le sien pour, donc, donner naissance à son petit-fils. L’enfant et la grand-mère (à droite sur la photo) se portent bien. Le Docteur suédois Matts Brannstrom a déjà procédé à ce type de « location » d’utérus couronnée de succès à 5 reprises. La mère d’Emilie a proposé à sa fille de l’aider malgré le fait qu’elle ne désirait pas d’autre enfant … Son utérus a donc porté sa fille et son petit-fils !

Source : BioEdge