SARS-CoV-2 : la bombe à retardement va bientôt exploser !

Le 15 mars 2022 j’expliquais sur ce blog que le SARS-CoV-2 avait été intentionnellement modifié pour obtenir un gain de fonction en introduisant dans son matériel génétique, de l’ARN monocaténaire, une douzaine de nucléotides codant pour la séquence proline-arginine-arginine-alanine située au milieu de la séquence totale de la protéine spike. Ce site est celui du clivage par la furine de cette protéine en deux sous unités rendant la première sous-unité capable lors d’une infection par le coronavirus d’envahir après sa libération l’ensemble de l’organisme et de se fixer sur l’enzyme de conversion de l’angiotensine des cellules épithéliales tapissant en particulier les vaisseaux sanguins. Une recherche “blast” avait montré que cet insert faisait partie d’une séquence de 19 nucléotides ayant fait l’objet d’un brevet déposé par la firme Moderna en 2016 ( https://jacqueshenry.wordpress.com/2022/03/15/breve-rebondissement-sur-lorigine-du-sars-cov-2/ ). L’article original décrivant une manipulation évidente en laboratoire du virus parent le plus proche du SARS-CoV-2, la souche RATG13. Les codons de l’arginine introduits avaient été naïvement choisis comme ceux communément rencontrés chez les mammifères mais très rarement présents chez les coronavirus. Ce simple détail signait à l’évidence une manipulation du matériel génétique du virus pour obtenir un gain de fonction. Article original : doi : 10.3389/fviro.2022.834808 .

La question qui se posait alors était la suivante : qui avait procédé à cette manipulation, les Américains ou les Chinois ? Comme j’ai personnellement tendance à considérer que les Américains mentent maladivement dans tous les domaines, il restait donc l’hypothèse des trois laboratoires P3 et du laboratoire P4 de Wuhan, ville chinoise d’où partit le coronavirus. Encore une fois considérant les Américains comme des menteurs compulsifs et des spécialistes avérés de coups tordus en tout genre, il fallait trouver une preuve que la manipulation de gain de fonction provenait des USA. Rebondissement spectaculaire la semaine dernière lorsque Project Veritas a mis enligne une interview avec caméra cachée d’un biologiste haut placé de la firme Pfizer qui affirmait sur un ton humoristique que les laboratoires de recherche et développement procédaient à des travaux de mutagenèse dirigée sur le même coronavirus avec pour objectif non dissimulé d’obtenir un nouveau SARS-CoV-2 modifié de telle façon que son pouvoir infectieux soit encore plus exacerbé que la souche dite “wuhan” nécessitant la mise au point d’un nouveau “vaccin” spécifique. Comprenez que la firme Pfizer envisage de répandre dans le monde un virus ultra-modifié dont elle aura déjà en production cette nouvelle préparation d’ARN messager pour soit-disant protéger les populations risquant une nouvelle infection par ce coronavirus modifié. Lien : https://www.projectveritas.com/news/pfizer-executive-mutate-covid-via-directed-evolution-for-company-to-continue/ . Comme l’a déclaré à plusieurs reprises le Docteur Robert Malone, l’inventeur de la thérapie génique à l’aide d’ARN messager, cette approche pour “vacciner” des sujets bien portants n’a jamais été couronnée de succès. Les seuls essais cliniques entraient dans le cadre de traitements en dernier recours contre des cancers incurables. Tous les essais sur des animaux s’étaient révélés catastrophiques y compris lors des essais en phase II entrepris par la firme Pfizer qui s’est bien gardé de rendre ces résultats publics. Jamais une autorisation de mise sur le marché de cette solution d’ARN messager de Pfizer ou de Moderna n’aurait été accordée si les autorités de sureté sanitaire n’avaient pas été achetées par ces deux firmes. Corruption donc … https://lemediaen442.fr/fox-news-explication-de-tucker-carlson-sur-les-revelations-dun-cadre-pfizer-piege-par-project-veritas/

Les médias de grand chemin européens ont-ils fait part de ces informations ? Bien sur que non puisqu’ils ont tous été achetés par ces firmes pharmaceutiques ainsi que les décideurs politiques et les agences d’homologation des médicaments et à tout ce petit monde il faut aussi ajouter l’Organisation Mondiale de la Santé. Que représente une centaine de millions de dollars pour corrompre tout ce beau monde, aux USA comme en Europe, au Japon, en Corée, en Afrique du Sud ou en Israël alors que les bénéfices nets attendus se comptent en plusieurs dizaines de milliards de dollars ?

Vous voulez une preuve ? La Présidente de la Commission européenne, dont l’époux est le PDG d’une firme de biologie proche de Pfizer car impliquée dans la production d’ARN messagers, a pris l’initiative personnellement d’acheter 5 milliards de doses à un tarif compris entre 10 et 20 dollars la dose. Etait-ce le volume extravagant de cette commande pour laquelle l’Union Européenne aurait alors obtenu en tarif préférentiel disons de 10 dollars la dose ? Même si tel est le cas les contribuables européens ont payé sans aucun pouvoir démocratique de s’y opposer la coquète somme de 50 milliards de dollars. Il est dès lors évident que Pfizer et Moderna dans un moindre mesure n’ont pas hésité à corrompre tous les décideurs politiques et dans ce lot le président français est en bonne place. Les révélations du biologiste de Pfizer Jordan Tristan Walker sont une preuve supplémentaire de la marchandisation de la médecine et des malades par les firmes pharmaceutiques qui se moquent des règles les plus fondamentales de l’éthique. Regardes l’intervention de Tucker Carlson sous-titrée en français ici :https://lemediaen442.fr/fox-news-explication-de-tucker-carlson-sur-les-revelations-dun-cadre-pfizer-piege-par-project-veritas/ .

Il est venu le temps où la justice de tous les pays occidentaux cités plus haut prenne conscience de l’urgence d’organiser une vaste enquête pour corruption organisée à l’échelle internationale car non seulement il y a eu à l’évidence corruption des élites dirigeantes mais crime contre l’humanité compte tenu de la toxicité de cette sous-unité 1 de la protéine spike libérée par la furine dans l’organisme des sujets infectés par le coronavirus, celle-là même codée par l’ARN messager utilisée comme pseudo-vaccin. Va-t-on devoir porter à longueur de journée non plus un masque en tissu ou en matière non tissée dont l’efficacité a été prouvée comme étant nulle mais un masque NBC (nuclear-biological-chemical) pour se protéger ? 

Cette révélation par un cadre de recherche de Pfizer exonère en quelque sorte la Chine au sujet de laquelle je n’ai jamais cru en la culpabilité, les Américains étant tellement habitués à mentir … Une belle bombe à retardement et à fragmentation qui fera à n’en pas douter un instant de gros dégâts. Rien qu’en France le président de la République devrait démissionner et présenter ses excuses au peuple français, la présidente de la Commission européenne devrait se retrouver en prison pour prise illégale d’intérêts et abus de pouvoir … la liste de tous ceux qui devraient se retrouver en prison est gigantesque de même que la liste des morts par “vaccin” ou victimes d’effets secondaires incurables à la suite de cette thérapie génique sans aucune efficacité l’est également. Le Global Times (Chine) s’est ému du silence des médias occidentaux et à juste titre puisque la Chine a été pointée du doigt dès le début de l’épidémie comme étant le pays fautif numéro 1 ( https://www.globaltimes.cn/page/202301/1284446.shtml ). Cette histoire me plait beaucoup mais malheureusement il est tellement facile aussi d’acheter la justice à coups de millions de dollars … Sans autre commentaire.

Brève. Rebondissement sur l’origine du SARS-CoV-2

Un article paru dans la revue Frontiers in Virology le 21 février 2022 relate une étude dédiée à la séquence du matériel génétique du SARS-CoV-2. Cette étude indique clairement et irréfutablement que dès 2016 les travaux de gain de fonction étaient déjà bien avancés. Le SARS-CoV-2 à l’origine de la pandémie présente une homologie de séquence de 96,2 % avec le coronavirus de chauve-souris RaTG13. Cependant les deux séquences de l’ARN de ces deux coronavirus diffèrent au niveau d’une insertion créant le site de clivage par la furine, un enzyme protéolytique présent chez l’homme, exactement au point médian de codage des sous-unités 1 et 2 de la protéine S (spike) du coronavirus. Cette insertion de 12 nucléotides correspond à la séquence Proline-Arginine-Arginine-Alanine qui est le site de clivage par la furine pour la protéine « spike » S1-S2 qui rend le SARS-CoV-2 hautement infectieux pour les humains alors que le RaTG13 ne l’est que très peu.

Une recherche de similitude de séquence dans la banque publique de données dont l’accès est ouvert à tous le biologistes, recherche appelée « blast », n’a retrouvé qu’un seule similitude dans cette banque de données. Il s’agit de la séquence de 19 nucléotides suivante : CCTCGGCGGGCACGTAG matchant à 100 % avec une séquence faisant l’objet d’un brevet US 9587003 déposé en 2016 par un dénommé Bancel au profit de la société Moderna, une société spécialisée dans le traitement de certaines formes de cancer à l’aide d’ARNs messagers codant pour des protéines spécifiquement toxiques pour les cellules cancéreuses. Les codons CCT, CGG, CGG et CAC codent pour un enchainement dans la protéine spike S1+S2 pour la séquence Proline-Arginine-Arginine-Alanine. Ce qui conduit à envisager une intervention humaine réside dans le fait que la probabilité pour que les codons CGG codent pour l’Arginine est extrêmement faible chez les coronavirus, de l’ordre de 3,21×10-11 , c’est-à-dire zéro. À l’évidence cette insertion a été faite en laboratoire pour obtenir un gain de fonction.

Où et quand ? Telle est la question. Les auteurs de l’étude dirigée par le Docteur Adam M. Brufsky de la faculté de médecine de l’Université de Pittsburg (doi : 10.3389 /fviro.2022.834808 en accès libre) ne se prononcent pas. Ils écrivent qu’il s’agit d’une effet du hasard, d’autres possibilités devant être prises en considération tout en écrivant que des études complémentaires doivent être envisagées. J’adore le langage diplomatique des scientifiques qui redoutent d’être voués aux gémonies. Car dans la communauté très fermée des spécialistes de la biologie moléculaire virale il doit bien y avoir quelques échanges d’informations. Bref, 6 millions de morts plus tard on est toujours au même point.