C’est un vieil adage mis en application par la Russie dans le cadre de la propagande occidentale consistant à appliquer des sanctions dénuées de toute légalité selon les traités internationaux à l’encontre du pays agresseur qu’est supposé être la Russie : « les amis de mes ennemis sont mes ennemis ». Emmanuel Leroy a très clairement expliqué ce qui avait conduit la Russie à procéder à une opération spéciale de protection des populations russophones du Donbass persécutées depuis huit ans par une armée de voyous néo-nazis cocaïnomanes ayant des liens étroits avec les mafias ukrainiennes dont le président actuel fait partie et soutenus contre toute morale de base par l’Europe occidentale. La Finlande est sortie de sa neutralité en soutenant financièrement l’Ukraine, la Bulgarie et la Pologne ont suivi : verdict, plus de gaz russe. Les Pays-Bas, un pays dirigé par des gauchistes pro-américains, a refusé de se plier aux exigences du gouvernement russe c’est-à-dire payer leur gaz en roubles auprès de Gazprombank, toujours connectée pour la « bonne cause » au système SWIFT, même sanction, plus de gaz russe. Cet arrêt des livraisons de gaz a révélé les opérations illégales des Pays-Bas dont les réserves de gaz de Groningue s’amenuisent. Il s’agit de prolonger ce gisement en important du gaz russe à hauteur de 357 milliards de dollars US par an et de revendre du gaz dit de Groningue, en 2020, à hauteur de 2,47 milliards de dollars. Le pays n’a pas réglé sa facture d’avril et Gazprom a mis en garde le gouvernement néerlandais. Pas de réaction, donc le pays va se trouver dans une situation délicate. Pour continuer leur entourloupe les Bataves devront se tourner vers le gaz naturel liquéfié en provenance des Etats-Unis ou du Qatar 35 % plus coûteux. Leurs manigances comptables ne seront plus opérantes.
Cette information révèle deux choses. Le front uni européen contre la Russie commence à se fissurer et se procurer du gaz liquéfié va inexorablement provoquer un chaos économique en Europe et pas seulement aux Pays-Bas. Pour ceux qui douteraient encore des intentions pacifiques de la Russie au Donbass, « pour faire la paix il faut parfois faire la guerre », voici l’exposé très clair d’Emmanuel Leroy : https://www.tvlibertes.com/politique-eco-n346-avec-emmanuel-leroy-ukraine-les-ravages-de-letat-profond-anglo-americain