Tout va très bien Monsieur Donald

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En Europe les politiciens ressemblent de plus en plus à des marchands de tapis orientaux. Ils sont entré dans des discussions interminables pour définir le montant des aides débloquées par la BCE pour donner un petit coup de pouce à l’économie qu’ils ont systématiquement sabotée à coup de confinements et d’interdictions diverses. Mais ces palabres risquent de ne trouver aucun arrangement car les pays vertueux ne veulent pas payer pour les pays cigales. Or créer des corona-bonds doit être une décision approuvée à l’unanimité, condition qui relève du rêve. Les Van der Leyen et autres affidés de Greenpeace exigent une reprise économique verte : la BCE veut bien aider les entreprises mais il faut qu’elles soient « vertes », en d’autres termes seuls les installateurs de moulins à vent (made in PRC) et de panneaux solaires (made in PRC) recevront quelques euros, les autres se contenteront d’acheter des cercueils si possible recyclables et de couleur verte parce qu’il va y avoir des victimes.

Pour se faire pardonner les politiciens européens tablent sur une chute du PIB européen de moins de 10 %. Ben voyons ! La FED d’Atlanta prévoit aux USA, malgré les 2000 milliards de dollars d’aide en argent frais, une chute de plus de 50 % du PIB américain et la FED de New-York se contente d’un moins-35,5 %. Les prévisions, au fil des jours, deviennent terrifiantes. Avec des révoltes populaires à quelques « blocs » de la Maison-Blanche, toujours autant de vieux qui meurent de la grippe coronavirale et plus de 40 millions de chômeurs nouvellement inscrits, sans compter les 50 millions qui ne cherchent plus de travail depuis longtemps et toujours pas d’avions dans le ciel les prévisions ont atteint de telles valeurs que la crise déjà installée va battre dans son ampleur celle de 1929. Aux USA tout est toujours plus grand !

Comme si les statisticiens du gouvernement américain voulaient rajouter une couche d’ironie ils ont découvert que le confinement avait eu au moins une conséquence bénéfique à défaut d’avoir jugulé la progression de la grippe : les petites économies des ouvriers et employés ont augmenté de 13 % et devinez pourquoi ? Tout simplement parce que ces gens d’en bas ont diminué leurs dépenses de 13 % pendant le confinement qui dans certains Etats n’est toujours pas levé. Comme la vie est belle chez Oncle Sam …

Source : MishTalk

El Nino : encore des conjectures de la NASA jetées aux oubliettes !

 

Cette dépêche d’agence date d’une semaine mais rien n’a changé sur le front météorologique :

Japan reduces chance of El Nino weather pattern this year

Monday, August 11, 2014

TOKYO (Reuters) – Japan’s weather bureau said on Monday it sees less chance of an El Nino weather pattern forming later this year than it previously forecast. In a monthly online bulletin, the Japan Meteorological Agency said it sees a 50 percent chance of an El Nino, which is often linked to heavy rainfall and droughts. The agency last month said there was a high chance of an El Nino weather pattern emerging in autumn. A U.S. weather forecaster last week scaled down its estimate for the chances of an El Nino later this year. Australia’s weather bureau said last month that if the weather phenomenon occurred, it was increasingly unlikely to be a strong event. The El Nino – a warming of sea-surface temperatures in the Pacific – can trigger drought in Southeast Asia and Australia and floods in South America, hitting production of key foods such as rice, wheat and sugar.

Cette dépêche d’agence a au moins le mérite d’être sibylline puisqu’elle n’infirme ni ne confirme les prévisions catastrophistes de la NASA qui affirmait en mai de cette année un phénomène « El Nino » de grande ampleur pour la fin de cette année 2014 ( https://jacqueshenry.wordpress.com/2014/05/19/la-nasa-ne-sait-plus-ou-faire-ses-previsions/ ). On est naturellement en droit de se poser la question de savoir si la NASA ne fait pas tout pour abonder dans le sens des pseudo-scientifiques de l’IPCC pour qui tous les arguments sont bons pour apeurer l’ensemble de la planète avec des prévisions tellement alarmistes qu’elles en deviennent lassantes. En effet, la température « globale » du globe terrestre devait se réchauffer et rien ne s’est passé comme prévu par ces experts (IPCC) à la petite semaine depuis près de 17 ans. L’agressivité des phénomènes météorologiques a continument diminué depuis ces 17 années même si l’actualité insiste un peu lourdement sur les cyclones, typhons et autres tornades dévastateurs, plutôt moins dévastateurs d’ailleurs qu’il y a 20 ans, bref, cette histoire rocambolesque de réchauffement ou de changement climatique est une vaste fumisterie qui va coûter un maximum à tous les citoyens, en particulier aux Français dont les dirigeants politiques sont des affidés inconditionnels des arrogants membres de l’IPCC et de leurs bras armés les ONGs diverses et variées, à commencer par Mademoiselle Royal en charge du refroidissement énergétique et de la paupérisation de la France.

La NASA ne sait plus où faire ses prévisions !

La NASA prévoit un phénomène El Nino pour la fin de l’année 2014 d’une « extrême violence » avec une chance probabilistique revue et corrigée de 65 % ! La prudence devient donc de mise depuis les déboires relatifs aux prédictions sur le réchauffement, on est passé de 95 à 65 %. Il faut reconnaître que toutes les courbes prévisionnistes en crosse de hockey si alarmantes de l’IPCC n’ont pas été à la hauteur de leur exactitude puisque le réchauffement a disparu et les observations sont bien là pour le prouver, quand ça ne se réchauffe pas ça refroidit, la Mère Denis, habituée des lessives à la main, n’aurait pas dit le contraire, quand l’eau est froide elle est froide, bondla !

Pour le phénomène El Nino qui nait dans la zone intertropicale du Pacifique, ce sont les mêmes incantations divinatoires qui autorisent les prévisionnistes de la NASA à justifier leur gigantesque budget que Dame Nature a l’air de considérer avec le plus parfait mépris. Normal, puisque le soleil semble avoir choisi la sieste après des dizaines d’années d’activité forcenée, un repos bien mérité, il faut s’attendre à un Nino dont l’ampleur, justement, dépend étroitement de l’intensité de l’activité solaire ne sera que normale et non pas « extrêmement violente ». Si au cours de l’été et de l’automne à venir les prévisions alarmistes de la NASA ne se confirment pas, cet organisme devra revoir encore une fois sa copie. Les deux entités de recherche les plus dispendieux de la planète sont la NASA et le CERN, inutile de mentionner le projet ITER dont n’importe quel scientifique ayant les deux pieds sur Terre dira qu’il sera abandonné à terme, ses limites technologiques étant déjà connues, il faut au moins reconnaître que le CERN a accouché du boson de Higgs et la NASA a permis des avancées incontestables en astronomie et en astrophysique mais au niveau de ses prévisions climatiques c’est un fiasco total !

Donc, il faudra que les faits confirment les prévisions de la NASA basées sur les observations illustrées par la figure ci-dessous. Promis et juré, on en reparle dans moins d’un an …

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Ca va griller !

YOKOHAMA, Japan (AP) March 31, 2014 — Global warming makes feeding the world harder and more expensive, a United Nations scientific panel said. A warmer world will push food prices higher, trigger « hotspots of hunger » among the world’s poorest people, and put the crunch on Western delights like fine wine and robust coffee, the Intergovernmental Panel on Climate Change concluded in a 32-volume report issued Monday. « We’re facing the specter of reduced yields in some of the key crops that feed humanity » (…).

Nourrir la population mondiale sera de plus en plus difficile et plus cher avec le réchauffement climatique, c’est un comité scientifique des Nations Unies qui l’affirme. Un monde plus chaud va pousser les prix alimentaires vers le haut, déclencher des «points chauds de la faim » parmi les populations les plus pauvres du monde, et entrainer une crise des délices occidentaux comme le bon vin et café robusta. C’est ce qu’a conclu l’IPCC dans un rapport de 32 volumes publié lundi. « Nous faisons (ferons?) face au spectre de la baisse des rendements dans certaines des principales cultures qui nourrissent l’humanité ».

 

Ben voyons ! Les « experts » en climatologie auto-proclamés de l’IPCC maintiennent la pression médiatique avec des arguments dans la droite ligne de leur action terroriste, au sens littéral du terme, qui consiste à semer la terreur tout en appuyant leurs arguments sur des mensonges. J’ai démontré dans un précédent billet comment ces escrocs avaient fait apparaître la fameuse courbe en crosse de hockey décrivant l’augmentation des températures en reprenant les données issues de la dendrochronologie, de l’étude des stalagmites et des carottes glaciaires et en ignorant purement et simplement l’Optimum médiéval dans la détermination de la moyenne des températures leur permettant d’effectuer les simulations prédictives du climat sur les cent années à venir. Inutile de revenir sur leurs prédictions hasardeuses qui ne prennent jamais en compte les variations de l’activité solaire.

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Mais revenons à l’optimum médiéval (950 – 1350)qui a été parfaitement expliqué par l’étude des proxys de l’activité solaire. Une forte activité solaire durant presque 400 ans explique cet optimum. Ce n’est pas du tout une vue de l’esprit, je cite les chroniqueurs qui ne faisaient que rapporter les observations populaires : 1116 : A la période de Noël, des fraises sont cueillies à Liège ; 1183 : Les vendanges commencèrent dans l’Est à la fin juillet ; 1268 : En Alsace, la chaleur et la sécheresse furent cause d’une telle abondance de fruits que de nombreux arbres s’en trouvèrent brisés. Il ne faut pas non plus oublier que cette période plus chaude de près de 1 degrés que la moyenne 1900-2000 (voir la figure) fut étonnamment prospère avec l’apogée de la construction des cathédrales, une augmentation démographie importante : plus de nourriture, plus d’enfants et meilleur état de santé général, la présence de vignobles jusqu’en Normandie et dans le sud de l’Angleterre, la conquête du Groenland par les Vikings accostant sur des cotes verdoyantes, Genghis Khan envahissant tout le continent asiatique parce que ses armées pouvaient progresser avec l’abondance du foin pour les chevaux et les troupeaux, bref, une sorte d’Age d’Or qui n’a plus été revécu depuis parce que le Soleil s’est assoupi durant les 600 années suivantes.

Les « experts » de l’IPCC prévoient des calamités en se basant toujours sur leurs modèles mensongers totalement flous. Je cite ce passage de la dépêche d’agence:

Food prices are likely to go up somewhere in a wide range of 3 percent to 84 percent by 2050 just because of climate change, the report said.

Les prix des denrées alimentaires vont vraisemblablement augmenter dans une large fourchette de 3 % à 84 % vers 2050 simplement en raison du changement climatique, selon ce rapport.

Si les 32 volumes de ce rapport sont dans la même veine d’approximations autant dire tout de suite que c’est un torchon innommable. Les chroniques datant de l’optimum médiéval seraient-elles en désaccord avec ce qu’affirment ces experts ou bien ces « experts » ignorent-ils sciemment l’optimum médiéval ? Les deux ma bonne dame ! Parce ça dérange, parce ce n’est pas politiquement correct de trouver des évidences en contradiction avec les mensonges des éminents membres du Clergé (l’IPCC) de l’Eglise de Scientologie Climatique qui ont créé de toute pièce ce nouveau courant de pensée, cette nouvelle idéologie, plus précisément cette nouvelle religion où les moindres faits-et-gestes de tout un chacun et des gouvernements doivent être mesurés à l’aune du changement climatique dont il est maintenant prouvé qu’il arrivera avec une certitude de 3 à 84 % puisque 2500 « experts » l’affirment dans un rapport de 32 volumes, rien que ça ! Il faut donc les croire car ce sont les seuls détenteurs de la vérité scientifique relative au climat puisque leurs modèles mathématiques aussi sophistiqués et coûteux qu’incorrects le prouvent indubitablement !  

Climatologues et météorologistes …

Quelle différence entre un météorologiste (ou météorologue) et un climatologue, voilà une question que beaucoup se posent en ces temps d’intoxication médiatique à propos du soit-disant réchauffement climatique, le nerf de la guerre écologique, et le printemps complètement pourri qui a sévi en Europe cette année. Les météorologues disposent de puissants ordinateurs pour effectuer des simulations afin de prévoir quel temps il fera à tel endroit dans cinq jours au mieux. Au delà leurs prévisions relèvent du pur hasard car ces pseudo-scientifiques sont incapables de maîtriser l’ensemble des paramètres qui constituent in fine un système plus proche du chaos au sens mathématique du terme que d’un ordre pouvant être décrit par des équations simples. Il faudrait en effet maîtriser des milliers de paramètres pour arriver à décrire à un instant donné l’état de l’atmosphère, des océans et des terres émergées en un point donné de la planète. Les observations satellitaires ont considérablement fait progresser l’observation, mais la compréhension fine de la météorologie globale n’a pas pour autant progressé. Les météorologues se bornent donc à prévoir au mieux à 5 jours l’évolution du temps et la prose d’une présentatrice météo sur une chaine de télévision est à la limite du comique car elle comporte tellement d’incertitude qu’on a tendance à croire qu’elle se moque du téléspectateur. C’est la même chose pour la météo marine dont je ne peux malheureusement plus écouter les bulletins émis par France Inter grandes ondes. Là encore le degré d’approximation est tel qu’il pourrait se réduire à un conseil de prudence pour les navigateurs. Autant que je me souvienne, ces prévisions marines étaient du genre : vent de secteur nord à nord-ouest force trois à quatre pouvant souffler en rafales de force quatre à six, ça veut dire que les navigateurs n’ont qu’à bien se tenir… Donc, les météorologistes font de la prévision et c’est leur métier qui est encore largement perfectible. Le météorologue ne peut donc en aucun cas prédire l’avenir du climat comme un vulcanologue ne peut pas non plus précisément prévoir que tel ou tel volcan explosera prochainement et modifiera durablement le climat de toute la planète. La météorologie est donc en définitive une science d’approximation qui n’a pour seul rôle la gestion des incertitudes. Il n’en reste pas moins vrai que les météorologues ont fait quelques progrès à court terme que je vais illustrer ici.

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La première image (photographie d’écran du site eltiempo.es) représente la prévision telle qu’établie le 5 juin pour les précipitations (en bleu) sur l’Europe pour le samedi 8 juin à 20 heures GMT. A quelques différences près la prévision à 4 jours est satisfaisante comme on peut le constater sur l’état des lieux aujourd’hui à 16 heures GMT pour 20 heures ce jour, à une petite différence près, les pluies sur le Portugal et la Galice n’étaient pas vraiment prévues :

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Le site se garde bien d’ailleurs de faire des prévisions à plus de 4 jours pour ne pas se ridiculiser. A huit jours, on entre dans l’inconnu et à quinze jours, cela entre dans le domaine de la boule de cristal ou du marc de café. Les météorologues n’ont donc aucun moyen de prédire le climat.

Les climatologues, par contre, étudient le climat passé puisque le climat à venir n’existe pas. Ils ont à leur disposition un large éventail de techniques allant des carottes glacières aux stalagmites des grottes, des cernes de croissance des arbres aux coraux et autres coquilles de mollusques, des boues marines et d’estuaires aux chroniques des moines médiévaux. Bref, il s’agit d’une science dans tous les sens du terme et non pas d’une approximation aléatoire. La climatologie a montré clairement que la planète entière subit des cycles liés à l’activité solaire et à de subtiles modifications des courants marins et de la température des océans. A ces observations s’ajoutent aussi les vents de haute altitude qui varient pour des raisons encore mal connues mais qui ont une influence considérable sur le climat. Enfin, les éruptions volcaniques cataclysmiques jouèrent également un rôle loin d’être négligeable en modifiant parfois durablement l’albédo de la planète avec comme conséquences une baisse générale des températures, un enneigement plus abondant, une croissance des glaciers et aussi une modification des courants marins. L’étude des bulles de gaz emprisonnées dans la glace du Groenland ou de l’Antarctique apporte également des renseignements précieux sur l’évolution de l’état de l’atmosphère en fonction des variations de températures elles-mêmes liées à l’activité solaire et parfois aux éruptions volcaniques. Le climatologue et le paléo-climatologue sont donc devenus aptes à faire des prévisions climatiques sur le long terme mais certainement pas des prévisions météorologiques sur le court terme. Cependant, le climatologue agit comme tout scientifique honnête, il ne peut exclure une part d’incertitude dans toute prévision formulée à partir des nombreuses données dont il dispose car malgré la précision d’analyse étonnante dont il dispose aujourd’hui il lui est impossible d’affirmer avec certitude que par exemple l’augmentation de la teneur en méthane ou de gaz carbonique dans l’atmosphère aura un effet rapide sur le climat futur. Il ne peut pas prévoir le futur climatique, il peut seulement formuler des tendances compte tenu des analyses des situations climatiques passées.

Note : si un de mes lecteurs peut m’expliquer comment faire une capture d’écran avec un Mac Book Air tournant sur Lion, je lui en serai reconnaissant. 

Réflexions boursières …

Ce matin, la bourse de Paris s’envole et pourtant les indicateurs sont toujours dans le rouge virant progressivement au noir, c’est à n’y rien comprendre. L’activité économique chinoise ralentit plus que prévu par les analystes qui n’analysent plus rien et s’en remettent aux boules de cristal et autres marcs de café tant leurs prévisions atteignent des degrés d’incertitude comparables aux prévisions météorologiques à dix jours, c’est-à-dire le flou savamment dosé pour ne pas trop affoler l’opinion publique. Et il y a aussi cette histoire de bail in. Je m’explique, dorénavant et depuis l’escroquerie chypriote, les déposants clients de leur banque donc prêteurs puisque l’argent des comptes courants ou d’épargne est utilisé par ces banques, se verront dans l’obligation de subir une tonsure de leur épargne (on dit hair cut en anglais) au cas où leur banque se trouverait dans une situation de faillite. En d’autres termes votre argent sagement déposé sur votre compte en banque ne sera plus garanti. Si les politiciens en sont arrivés à cette extrémité, ce doit être parce que la fin est proche, la grande crise financière se profile à l’horizon …

Comme si la bourse de Paris voulait saluer une hypothétique reprise économique en France, il semble que les financiers n’ont pas encore eu sous les yeux le PMI flash de Markit que je me permets de soumettre à l’appréciation de mes lecteurs : 

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Et comme si ça ne suffisait pas, voilà un autre graphique tout aussi explicite :

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L’emploi dans les secteurs manufacturiers et des services chute depuis maintenant plus de 16 mois et la tendance n’a pas vraiment l’air de s’inverser.

Donc, les investisseurs sont dans une attitude attentiste et vivent dans l’instant présent pour réaliser les quelques profits encore possibles dans une bourse très volatile. Mais l’avenir reste bien sombre …

Source: Business Insider