SARS-CoV-2 : le bout du tunnel ?

Il reste encore trop de zones d’ombre au sujet de la pandémie de coronavirus qui débuta il y a 3 ans quelque part à Wuhan en Chine juste au moment où se déroulaient les jeux olympiques militaires internationaux, trop de zones d’ombre pour s’en désintéresser. De nombreux athlètes regagnèrent leur pays atteints d’une maladie mystérieuse et inconnue qui ne fit l’objet d’aucune « une » dans la presse jusqu’à l’apparition de foyers infectieux en particulier en Savoie et en Italie centrale. Ce qu’on ignorait à l’époque, du moins ce que les médias ignoraient, était le fait que tout était déjà plié : le mécanisme international de corruption allait prendre en main la suite des évènements avec l’appui bienveillant de l’OMS et du NIH, entre autres organismes. Le moindre petit grain de sable dans les rouages de cette manipulation internationale issue des Etats-Unis devait être éliminée, je vais revenir sur ce point dans le suite de ce billet.

Ce qui m’a déterminé à revenir à nouveau sur cette pandémie est une transcription d’un exposé du sénateur australien Gerard Rennick qui en quelques minutes détruit point par point la machination de la « vaccination », conséquence de la pandémie de SARS-CoV-2 : https://crowdbunker.com/@leLibrePenseurOrg . Ne tentez pas de visualiser cette intervention du sénateur australien sans sous-titre, son accent du Queensland profond est inaudible y compris pour un anglophone comme votre serviteur. L’autre fait qui m’a également motivé est une retransmission d’une table ronde organisée par la Vaccine Safety Research Foundation paru ce 13 décembre 2022 sur Rumble dont voici le lien : https://rumble.com/v20gj44-bret-weinstein-robert-malone-md-and-steve-kirsch-save-the-world-in-3-steps-.html et celui permettant de sélectionner les interventions de chacun des participants à cette table ronde :https://rumble.com/c/VaccineSafetyResearchFoundation .

J’aborderai le premier fait révélateur de la machination sous-jacente qui accompagna cette pandémie jusqu’à ce jour. Il s’agit du traitement précoce de l’infection par le SARS-CoV-2 avec l’hydroxychloroquine préconisé très tôt par le Professeur Didier Raoult. Il appliqua ce type de traitement à la fin des années 1990 pour traiter la fièvre Q en associant la chloroquine à un macrolide ou d’autres antibiotiques comme la doxycycline, une tétracycline (https://onlinelibrary.wiley.com/doi/abs/10.1111/j.1529-8019.2009.01244.x ). L’utilisation de la chloroquine (600 mg par jour) pour traiter la fièvre Q et d’autres rickettsioses découlait de l’observation que cette molécule alcalinise les lyzosomes et favorise donc la mort du parasite intracellulaire obligatoire, un peu comme un virus qui peut être également considéré comme un parasite intracellulaire. Les premières observations cliniques du Professeur Raoult démontrèrent l’efficacité de l’hydroxychloroquine pour réduire en quelques jours la charge virale en SARS-CoV-2 chez des patients infectés par ce virus. Quelle ne fut pas la véritable chasse aux sorcières dont fut victime le Professeur Raoult car il était le « grain de sable » pouvant bloquer tout le complot qui prenait forme autour de la pandémie. En effet la séquence de l’ancêtre le plus proche du SARS-CoV-2, RaTG13, comparée à celle de ce dernier révélera par la suite que ce virus avait été modifié au niveau du gène codant pour la protéine spike par l’insertion d’une séquence de 19 nucléotides qui avait fait l’objet d’un brevet déposé par la société Moderna en 2019 ( https://jacqueshenry.wordpress.com/2022/03/15/breve-rebondissement-sur-lorigine-du-sars-cov-2/ et https://www.frontiersin.org/articles/10.3389/fviro.2022.834808/full ). Ce qui était troublant dans cet article était la présence de deux codons CGG codant pour l’arginine qui sont extrêmement rares dans toutes les séquences de coronavirus connues. Ce simple fait signe une manipulation dans un laboratoire. Donc les grandes firmes pharmaceutiques étaient déjà prêtes à produire un « vaccin » basé sur de l’ARN messager dérivé de celui du virus codant pour la sous-unité-1 de la protéine spike partant du principe trompeur que si l’organisme recevant cet ARN messager synthétisait cette protéine, alors elle servirait à induire une réponse immunitaire et protégerait ainsi contre une infection par le SARS-CoV-2.

Le grain de sable, la bête noire à pourchasser devenait de facto l’animal nuisible à pourchasser. Tout fut fait pour persécuter cet éminent scientifique parce qu’il contrecarrait les projets des grandes entreprises pharmaceutiques. Une telle série d’évènements laisse des traces indélébiles dans la mémoire et le simple exposé que je viens de brosser ci-dessus prouve indirectement la culpabilité de ces grandes entreprises pharmaceutiques. Dès le retour des athlètes de Wuhan le virus se répandit dans le monde entier et il devenait donc urgent de mettre les grands moyens en œuvre pour ouvrir le marché de cette thérapie génique. À ce jour près de 5 milliards de personnes ont reçu au moins deux doses de cet ARN messager dans le monde avec un succès proche de zéro, j’y reviendrai. Le deuxième grain de sable qui subit le même traitement médiatique et politique fut l’ivermectine qui apparut dans ce mécanisme diabolique fomenté par les laboratoires pharmaceutiques mais quelques mois plus tard.

Le docteur Robert Malone a bien résumé ce que je viens d’écrire (https://rwmalonemd.substack.com/p/irreparable-vaccine-induced-harm ) et il a ouvert le débat au sujet de l’imprévisible désinvolture des grands laboratoires pharmaceutiques occidentaux. Le cas de l’interdiction de l’ivermectine a fait l’objet de nombreux débats dont celui mené par le Docteur Pierre Kory par exemple ici : https://www.lewrockwell.com/2022/10/joseph-mercola/the-war-on-ivermectin/ .

Je reviens donc ici sur le problème de la stoechiométrie vaccinale qui a été éludée par ces firmes pharmaceutiques. Un vaccin contre un virus classique est constitué de ce virus obtenu après culture dans des œufs ou des cultures de cellule puis désactivé pour qu’il perde ses propriétés pathogènes. On injecte à un sujet une quantité connue de particules virales et le résultat prouvé après de longues études est une immunité acquise satisfaisante. Au cours de ces longues études tous les effets secondaires possibles et déjà répertoriés pour d’autres vaccins sont explorés en profondeur au cours d’essais cliniques longs et coûteux. L’énorme différence avec la thérapie génique utilisée dans l’espoir d’immuniser les sujets est que dans ce dernier cas cette stoechiométrie n’est pas contrôlable. L’organisme du receveur va synthétiser avec sa machinerie cellulaire un nombre de copies inconnu d’une protéine, la sous-unité-1 de la protéine spike codée par l’ARN messager synthétique injecté, qui s’est révélée par la suite toxique car c’est précisément elle qui confère au virus sa toxicité en particulier au niveau circulatoire sanguin. Confrontés à ce problème très grave sinon criminel ces mêmes laboratoires pharmaceutiques ont organisé auprès des gouvernements une sorte d’omerta en ce qui concerne ces effets secondaires. Sur les quelques 4 à 5 milliards de personnes dans le monde ayant reçu de gré ou de force et sans aucune information cet ARN messager le nombre d’effets secondaires toutes causes confondues n’a jamais été corrélé à ces injections, et pour cause il fallait en dissimuler l’ampleur. Les estimations font état de 45000 sujets ayant fait l’objet de rapports détaillés transmis aux organismes ad hoc nord-américains ou européens, 45000 tous effets confondus y compris les morts subites quand celles-ci étaient prises en compte. La mise en forme d’un dossier « effets secondaires » est tellement laborieuse que les médecins traitants négligent de faire remonter les informations dont ils disposent. Outre ces complications administratives les autopsies de patients ayant succombé subitement après ces injections ont été découragées voire interdites. C’est dire à quel point les laboratoires pharmaceutiques se sentent gênés ! Bref, moins de 1 % des dossiers sont remontés auprès des instances administratives dédiées. On peut donc raisonnablement considérer que ce nombre d’effets secondaires pourrait atteindre 5 millions de patients seulement dans les pays occidentaux. Et le nombre de morts consécutifs à une injection d’ARN messager est difficilement comptabilisable malgré le fait qu’on découvre peu à peu une surmortalité « inexplicable » dans de nombreux pays occidentaux, de la Nouvelle-Zélande au Québec en passant par Israël, pays qui ont rendu cette « vaccination » obligatoire alors que cette obligation est contraire au droit international.

En conclusion de cette longue prose il faut que des personnes courageuses, comme par exemple Madame Virginie Joron, députée européenne, qui tente vainement de soumettre la présidente de la Commission européenne à un interrogatoire devant l’Assemblée parlementaire européenne, que des élus de ces instances européennes et des élus de divers pays décident de faire toute la lumière sur ce scandale, sur ce crime organisé par les laboratoires pharmaceutiques avec la complicité des instances sanitaires internationales et nationales et encouragés par les médias et les décideurs politiques. Il y a comme une forte odeur de corruption, pensez-donc : au minimum dix à 15 ­ milliards de doses à 15 dollars en moyenne l’unité c’est un gigantesque profit pour ces entreprises sans foi ni loi, la plupart d’entre elles déjà condamnées par le passé pour comportement frauduleux ou mensonger.

Coronavirus : on marche maintenant sur la tête !

Il ne fait maintenant plus aucun doute que la « vaccination » à l’aide d’ARNm est toxique, qu’elle ne protège pas contre l’infection par le coronavirus, qu’elle tue et qu’elle fait apparaître une multitude de symptômes après lesquels certaines personnes deviennent infirmes à vie sans oublier les profondes perturbations du cycle menstruel des femmes et les fausses-couches en cours de grossesse. Tout cela est nié en bloc par les institutions étatiques, fédérales ou communautaires (en ce qui concerne l’Europe). Non ! Il n’y a pas de relation de cause à effet et il n’est pas prouvé que cet ARNm codant pour l’une des sous-unités de la protéine spike du SARS-CoV-2 puisse conduire à une telle multitude d’effets secondaires. On nage aujourd’hui dans le plus incroyable délire. En effet, comme je l’ai encore rappelé dans un tout récent billet sur ce blog les deux molécules génériques utilisées depuis des dizaines d’années pour traiter diverses infections et parasitoses, prescrites des milliards de fois dans le monde entier, ont été interdites d’utilisation par les autorités de santé sous la pression des laboratoires pharmaceutiques, véritables Etats de par leur puissance financière, pour les traitements précoces de l’infection par le SARS-CoV-2. Des molécules efficaces disponibles mais ne rapportant pas le moindre dollar à ces laboratoires pharmaceutiques devaient absolument être interdites. En France ce ne sont pas des clowns comme Buzin, Delfressy ou Véran, ni le chef de l’Etat, qui ont pris cette décision car l’ordre venait de beaucoup plus haut. Et c’est à ce point qu’il faut introduire le billet de Paul Craig Roberts, encore lui, à ce sujet, daté du 28 juin 2022. Cf. le commentaire en fin de billet.

Deux médecins ont trouvé un traitement pour les millions de patients victimes du « vaccin » contre le coronavirus

Officiellement, personne n’a été victime du vaccin. Les autorités corrompues dans la poche de Big Pharma disent que les effets secondaires du vaccin sont une « légende urbaine ». En fait, il y a des millions de victimes de ce vaccin. Comme le système médical corrompu ne reconnaîtra pas cette vérité, des médecins courageux que le système cherche désespérément à détruire développent des protocoles de traitement qui fonctionnent. L’ivermectine, le remède contre la COVID-19 qui a été officiellement interdit afin de faire place à des milliards de dollars de profits avec ces « vaccins », s’est avérée efficace également pour le traitement des effets secondaires provoqués par ce « vaccin ».

Les Américains doivent comprendre que les grandes sociétés pharmaceutiques, les officines médicales et les prétendues « agences de santé publique » des NIH, des CDC et de la FDA, qui sont en fait des agents de marketing corrompus pour les grandes sociétés pharmaceutiques, constituent une menace massive pour la santé publique. De plus, Big Pharma et ses subventions de « recherche » avec les assureurs de santé privés éliminent progressivement la pratique médicale privée, forçant les médecins à jouer le rôle d’employés qui doivent suivre les protocoles élaborés par Big Pharma et ses agents ou être congédiés. De plus en plus, les médecins sont des employés d’organismes de « soins de santé » motivés uniquement par le profit. Ces médecins ont perdu leur indépendance, et cette perte d’indépendance est la raison pour laquelle tant de gens ont été assassinés et meurtris gratuitement par les vaccins à ARNm.

Le fait est que les Américains ne peuvent faire confiance à leur système de santé ou aux organismes « publics » chargés de le réglementer. Le système de santé est entièrement pris en charge par les grandes sociétés pharmaceutiques. Cette vidéo d’un journaliste d’investigation interviewant deux des principaux médecins qui se battent depuis le début pour défendre les traitements dits précoces afin de sauver des vies (selon leurs dires 80 % des décès auraient pu être aisément évités). La prévention du décès par ces injections toxiques de soit-disant vaccin est l’une des sources d’information les plus importantes pour comprendre la corruption totale de la santé publique par l’argent.

J’ajouterai en conclusion un bref commentaire : selon les résultats thérapeutiques de ces médecins, Pierre Kory et Paul Marik, l’Ivermectine présente des effets curatifs incontestables contre les effets secondaires de la « vaccination » par ARN messager. L’Ivermectine ayant été interdite de prescription pour le traitement précoce de l’infection par le virus lui-même il est donc évident que les laboratoires pharmaceutiques feront tout pour nier l’existence même de ces effets secondaires. Enfin, pour rajouter un peu de beurre dans la soupe d’épinards de ce complot « coronavirus-vaccin ARN » une étude basée sur les statistiques des grandes compagnies d’assurance et extrapolée à la population américaine totale fait état d’au moins 600000 décès provoqués par la « vaccination ». Ce sont les actuaires de ces compagnies qui l’on indiqué. En quelques mois l’injection irraisonnée de cet ARN messager a dépassé le nombre de morts en dix ans provoqués par l’usage démesuré de l’oxycodone (Purdue Labs conseillés par McKinsey). On se trouve ainsi en plein surréalisme. Va-t-on devoir se soigner avec de l’Ivermectine pour ne pas risquer de mourir des effets secondaires du « vaccin » ? Ce sera une première mondiale. On marche sur la tête !https://www.redvoicemedia.com/video/2022/05/amazing-new-discoveries-for-treating-the-vaccine-injured-dr-kory-dr-marik-break-down-their-findings-video-interview/

Une nouvelle stratégie anti-Covid est désespérément nécessaire

Il y a exactement un an aujourd’hui, le Docteur en soins intensifs Pierre Kory témoignait devant une commission du Sénat américain. Après avoir passé de longues heures, mois après mois, à lutter pour sauver des personnes désespérément malades, cet homme s’est avancé avec un message d’espoir.

« Nous avons une solution à cette crise », a-t-il déclaré. « Un traitement précoce est la clé. » Les médecins doivent prescrire des médicaments tôt, avant que les personnes ne tombent suffisamment malades pour nécessiter une hospitalisation. « Tout autre décès sera un décès inutile », a-t-il déclaré. « Je ne peux pas continuer à soigner les patients quand je sais qu’ils auraient pu être sauvés avec un traitement plus précoce. »

Le médicament ayant le pouvoir de tout changer, a insisté Kory, est un médicament générique, lauréat du prix Nobel de 2015, connu pour traiter les parasites. Ces derniers mois, il avait également démontré des propriétés antivirales et anti-inflammatoires impressionnantes contre le COVID. « L’ivermectine doit être mise en œuvre et mise en oeuvre maintenant », a déclaré Kory.

À ce moment-là, 290 000 Américains avaient officiellement péri de COVID. Les familles avaient été traumatisées. Des cœurs avaient été brisés.

Morts par SARS-CoV-2 aux USA : 2020 : 353000, 2021 : 459000 en dépit de la campagne de « vaccination » massive mise en place.

Étonnamment, de manière obscène, les pouvoirs en place ont répondu au témoignage passionné de Kory en détournant leur visage. Les sénateurs du Parti démocrate qui siègent à ce comité sénatorial ont quitté la salle plutôt que de passer 10 minutes à écouter ce médecin de soins intensifs.

Les médias ont également prétendu que son témoignage n’avait jamais eu lieu. Son message d’espoir, à l’approche de Noël, au cours d’une année qui avait marqué des millions de personnes, a reçu un black-out quasi total de l’actualité.

Au lieu de cela, les politiciens et les sociétés de médias (qui encaissent tous régulièrement des chèques de Big Pharma) ont continué à faire confiance aux bureaucrates médicaux qui avaient déjà mal géré les choses. Ils ont continué à écouter Anthony Fauci, qui n’a jamais traité un seul patient COVID, plutôt que des médecins de soins intensifs tels que Kory.

Aujourd’hui, un an plus tard, le nombre de morts aux États-Unis du COVID s’élève à 812 000.

Ces chiffres sont terribles. Ils le sont malgré une campagne de vaccination d’une année maintenant. La conclusion est on ne peut plus évidente. Les vaccins contre le COVID ont échoué. Ils ne font pas la seule chose dont nous avons besoin : empêcher la maladie de se propager.

Nous devons changer de cap. Veuillez regarder cette vidéo. Merci d’en parler aux autres. Lorsque les journalistes refusent de faire leur travail, le public doit lui-même passer le mot.

Par pitié, ne passons pas encore une année de perdue en continuant à poursuivre des politiques qui ne fonctionnent pas.

Le régime ridicule du « sans traitement précoce » continue de dominer les autres systèmes de soins de santé. Malgré leurs généreux salaires financés par les contribuables, les responsables de la santé publique de nombreux pays semblent plus intéressés à jouer le rôle de chef de file (américain) qu’à penser par eux-mêmes. Des gens meurent en conséquence.

Ici au Canada, 15 598 décès ont été attribués au COVID en 2020. Le bilan de cette année, avec trois semaines encore au calendrier, est de 14 229.

En Australie, 909 décès ont été attribués au COVID en 2020. Le bilan de cette année est jusqu’à présent de 1 156.

Au Royaume-Uni, 73 512 décès ont été attribués au COVID en 2020. Le bilan de cette année est jusqu’à présent de 72 314.

Le succès ne ressemble pas à ça.

Source et pour voir l’intervention du Docteur Kory allez sur le site de Donna Laframboise :https://nofrakkingconsensus.com/2021/12/08/new-covid-strategy-desperately-needed/