Où on reparle de l’ozone et des effets délétères des chlorocarbones

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L’histoire du « trou d’ozone » qui agita les méninges de milliers de scientifiques et de fonctionnaires des Nations-Unies jusqu’en 1987 puis les années suivantes finit par aboutir au fameux et fumeux Protocole de Montréal régulant la production de CFCs, ces composés utilisés notamment comme fluides caloporteurs dans les machines frigorifiques. Ce qui est rétrospectivement stupéfiant dans cette histoire rocambolesque de nocivité des chlorocarbones pour l’ozone tient au fait très simple, mais que jamais personne n’a osé relever ouvertement, qu’avant les années 80 il n’y avait jamais eu d’observations par satellite de ce fameux trou d’ozone supposé exister au dessus de l’Antarctique et dans une moindre mesure au dessus de l’Arctique. L’ingéniosité des activistes de l’époque soucieux de l’environnement – on ne parlait pas encore de réchauffement climatique mais ça n’allait pas tarder – fut que ce simple petit détail passa sciemment aux oubliettes. Comment créer une peur planétaire au sujet de ce « trou » si on avait dit ouvertement qu’avant les satellites d’observations il n’y avait pas de trou d’ozone ou encore, en d’autres termes si l’on veut, que ce trou avait peut-être toujours existé pour des raisons inexpliquées mais qu’on ignorait son existence. L’argument aurait été vraiment difficile à digérer lors de ce grand raout québécois qui finit par accoucher du fameux Protocole avec un P majuscule.

Un autre paramètre également soigneusement mis de côté fut l’intense lobbying de Dupont de Nemours qui avait dans ses cartons un remplaçant fraîchement breveté pour les CFCs incriminés. En effet, depuis le début des années 70 des chimistes de l’Université de Californie à Irvine émirent l’hypothèse – difficilement vérifiable et jamais formellement vérifiée depuis – que le chlore issu de la dégradation des CFCs par les rayons ultra-violets réduisait la vitesse de formation d’ozone dans la stratosphère. L’hypothèse de la catalyse par le chlore de la destruction de l’ozone dans les hautes couches de l’atmosphère valut le prix Nobel de chimie en 1995 à trois des imposteurs qui l’émirent, Paul Crutzen, Frank Rowland et Mario Molina ! Il faut le faire mais bon, les sommités attribuant le Prix Nobel sont probablement tous des vieux gâteux qui n’y comprennent strictement rien puisqu’ils ont aussi attribué ce prix à Al Gore pour ses bienfaits rendus à l’humanité …

Bref, cette gigantesque supercherie profita grassement à la firme Dupont et constitua l’un des points de départ de la théorie tout aussi fumeuse des gaz à effet de serre car, émanant d’on ne sait quel laboratoire, les CFCs furent considérés comme des gaz à effet de serre, donc associés au réchauffement climatique d’origine humaine. Qui plus est les CFCs, dont la durée de vie dans l’atmosphère fut estimée à près d’un siècle par on ne sait pas non plus quelle étude dont on ne peut retrouver aucune trace étaient dans la foulée déclarés comme dix mille fois plus efficaces que le CO2 pour contribuer au réchauffement de la planète.

L’année 2015 devrait être celle de la disparition totale des hydrofluorocarbones (HFCs) qui font partie de la famille des gaz à effet de serre selon les termes du Protocole de Kyoto. Pour ceux qui ne se sont jamais vraiment intéressé à cette histoire surréaliste de CFCs les HFCs sont des substituts aux chlorofluorocarbones mais ne contenant pas de chlore (ni de brome) et donc moins « dangereux » pour la couche d’ozone mais « dangereux » tout de même pour le climat. Pour raviver les mémoires quoi de plus opportun que de parler subitement des oubliés du Protocole de Montréal, les bromo- et chlorométhanes. Il en avait été fait mention brièvement lors des discussion de couloir tant à Montréal en 1987 que lors des divers raouts qui suivirent aux frais des contribuables de la planète entière, un peu comme les réunions mondaines de l’Eglise de Scientologie Climatique dont la prochaine grand-messe est prévue en décembre 2015 à Paris sous la présidence de Mademoiselle Ségolène Royal.

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C’est donc un article paru dans la sublimement honnête revue scientifique Nature Geoscience ( doi:10.1038/ngeo2363 ) qui nous rappelle l’existence de ces gaz nocifs pour l’ozone, au cas où on aurait oublié qu’ils existent réellement. Je ne me suis pas abaissé à déranger mes correspondants fidèles de par le monde abonnés à Nature pour m’envoyer un reprint de cet article mais le seul résumé suffit à détecter l’arnaque scientifique judicieusement organisée. Je le traduis aussi fidèlement que possible ici (version originale en fin de billet) :

« Les halogènes issus des substances à longue vie créées par l’homme, telles que les chlorofluorocarbones, sont la principale cause de la récente diminution de l’ozone atmosphérique, un gaz à effet de serre. Des observations récentes montrent que les substances à très faible durée de vie, en général de moins de six mois, sont aussi une source importante d’halogènes stratosphériques. Les substances bromées à vie courte sont naturellement produites par les algues et le phytoplancton, alors que les substances chlorées à vie courte sont principalement d’origine humaine. Ici nous utilisons un modèle de transport chimique pour quantifier la diminution de l’ozone dans l’atmosphère inférieur (lisez basses couches de l’atmosphère) par les substances halogénées à vie courte et un modèle de transfert radiatif pour quantifier les effets radiatifs de cette diminution d’ozone. Selon nos simulations, la perte d’ozone due aux substances à vie courte a un effet radiatif de près de moitié de celui des halocarbones à longue durée de vie en référence à l’année 2011 et, depuis les temps préindustriels, a contribué pour un total d’environ – 0,02 W/m2 au forcing radiatif global. Nous trouvons que les substances bromées à vie courte d’origine naturelle exercent un effet radiatif sur l’ozone 3,5 fois plus important que celui des halocarbones à durée de vie longue, en normalisant la comparaison aux atomes d’halogènes, et montrons que les teneurs atmosphériques au niveau de la mer du dichlorométhane, non controlé par le protocole de Montréal, sont en croissance rapide. Nous en concluons que des accroissements possibles futurs significatifs de ces substances halogénées à vie courte dans l’atmosphère, à la suite de changements dans les processus naturels ou par des émissions d’origine humaines perdurant, pourraient être importants pour le climat futur ».

Il faut noter d’emblée qu’il ne s’agit que d’une modélisation appuyée sur aucune donnée scientifique valable ou observation sur le terrain. Encore une énième régurgitation nauséeuse d’un super-ordinateur qui n’a fait que ce qu’on lui a demandé : abonder dans le sens de l’alarmisme. Car il s’agit bien de cela, alarmer et terroriser les gogos qui ne croient que ce que l’on veut bien leur faire croire. Puisqu’il s’agit en réalité d’abord du bromométhane ou bromure de méthyle, c’est la même chose, ce gaz utilisé pour procéder à des fumigations détruisant bactéries, champignons et insectes et donc produit industriellement, environ 70000 tonnes par an, l’est aussi naturellement à raison d’une soixantaine de milliers de tonnes ( ! ) par le phytoplancton, les algues et aussi par les plantes de la famille des Brassicacées. Cette famille botanique comprend aussi bien le choux que le colza. Cultiver du colza serait-il mauvais pour le climat ? Faut-il détruire les algues et le phytoplancton pour préserver le climat ? Le résumé de l’article mentionne que des changements dans les processus naturels seraient en cause dans cette production de bromure de méthyle. Si on poursuit l’argument des auteurs de cet article, il faudrait donc cesser immédiatement de cultiver une quelconque brassicacée, c’est mauvais pour l’effet de serre et l’ozone ! La prolifération d’algues vertes résultant du lessivage des engrais azotés est également néfaste, donc il ne faudra plus utiliser d’engrais, ils sont mauvais pour le climat. Quand à la production de chlorométhane c’est presque pire puisque l’essentiel provient du phytoplancton, source de toute vie marine. Quant au chlorure de méthylène ou dichlorométhane, il est également produit par les algues mais surtout industriellement comme solvant et dans de nombreuses applications, un composé chimique dont on ne peut raisonnablement pas se passer. Restent les tri-halogénés, bromoforme et chloroforme qui encore une fois sont produits massivement par les algues, beaucoup plus que par l’industrie.

On se demande donc quel est le but de cet article de Nature Geoscience sinon de tout simplement incriminer la nature qui serait responsable de la production indésirable de gaz à effet de serre à durée de vie courte, fort heureusement, pouvant néanmoins contribuer à la destruction de la couche d’ozone et ainsi dérégler le climat. Cet article est un pamphlet terroriste publié à point nommé pour rappeler aux terriens que le Protocole de Montréal avait oublié les algues et le plancton et qu’il faut vite faire quelque chose pour ne pas griller comme des toasts (Christine Lagarde à Davos 2013) mais c’est aussi une bonne occasion pour ces scientifiques auto-proclamés de l’Université de Leeds qui font un usage compulsif et irraisonné de leurs ordinateurs de faire des demandes de crédits de recherche supplémentaires pour poursuivre leurs travaux informatiques sans queue ni tête … C’est ainsi que fonctionne la science climatique !

Source : University of Leeds News Desk et Nature Geoscience, illustration : phytoplancton.

Note : Au début du résumé de cet article de Nature il est mentionné que l’ozone est un gaz à effet de serre. Je rappelle à mes lecteurs le billet de ce blog mentionnant l’ozone, puits à photons énergétiques, UV-B et C. Voici le lien : https://jacqueshenry.wordpress.com/2014/11/18/theorie-de-leffet-de-serre-atmospherique-suite-et-fin/ . Dans cet article citant le Docteur Gerhard Stehlik il est clairement démontré que l’ozone ne peut pas jouer le rôle de gaz à effet de serre selon la terminologie erronée de l’IPCC. En effet, les photons infra-rouges sont dissipés par l’ozone lors du retour O3 → O2 dans toutes les directions. Selon les lois de Planck et de Stefan-Boltzmann ces photons IR ne peuvent pas « réchauffer » les couches inférieures de l’atmosphère plus chaudes mais seulement se dissiper dans l’Espace. Prétendre que l’ozone est un gaz à effet de serre est donc une affirmation anti-scientifique :

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Halogens released from long-lived anthropogenic substances, such as chlorofluorocarbons, are the principal cause of recent depletion of stratospheric ozone, a greenhouse gas. Recent observations show that very short-lived substances, with lifetimes generally under six months, are also an important source of stratospheric halogens. Short-lived bromine substances are produced naturally by seaweed and phytoplankton, whereas short-lived chlorine substances are primarily anthropogenic. Here we used a chemical transport model to quantify the depletion of ozone in the lower stratosphere from short-lived halogen substances, and a radiative transfer model to quantify the radiative effects of that ozone depletion. According to our simulations, ozone loss from short-lived substances had a radiative effect nearly half that from long-lived halocarbons in 2011 and, since pre-industrial times, has contributed a total of about −0.02 W m2to global radiative forcing. We find natural short-lived bromine substances exert a 3.6 times larger ozone radiative effect than long-lived halocarbons, normalized by halogen content, and show atmospheric levels of dichloromethane, a short-lived chlorine substance not controlled by the Montreal Protocol, are rapidly increasing. We conclude that potential further significant increases in the atmospheric abundance of short-lived halogen substances, through changing natural processes. or continued anthropogenic emissions, could be important for future climate.

De la salade d’algues ? Pourquoi pas …

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Plus de la moitié de l’oxygène de l’atmosphère provient du recyclage du « méchant » CO2 par les micro algues, en d’autres termes le phytoplancton. Il a fallu des centaines de millions d’années pour que notre atmosphère arrive à être composée de 20 % d’oxygène afin que nous puissions respirer sans entrave et nous devons remercier le plancton pour ce bienfait. Pourtant les algues ont une très mauvaise réputation, elles empoisonnent l’existence des aquariophiles, elle peut ruiner la saison touristique d’une station balnéaire en s’accumulant sur les plages, ce phénomène étant d’ailleurs dangereux parce qu’il produit de grandes quantités de gaz toxiques, et enfin les algues enragent les propriétaires de piscine car il est parfois difficile de s’en débarrasser. Il est vrai qu’en des millions d’années les algues se sont adapté à toutes sortes d’environnements, des plus insipides aux plus hostiles puisqu’on en trouve naturellement dans les océans mais aussi dans des lacs à la salinité extrême et plus étonnant encore tout près des geysers où la vapeur expulsée des entrailles de la Terre peut atteindre beaucoup plus de cent degrés. Les algues possèdent cet immense avantage de ne pas entrer en compétition avec les cultures traditionnelles puisqu’elles n’ont même pas besoin d’un sol pour se multiplier. Il leur faut de l’eau et du soleil !

Bien que beaucoup de peuples utilisent déjà des algues dans leur alimentation quotidienne, on pense naturellement aux mets délicats de la cuisine japonaise, notamment les sushis, mais les micro-algues sont des nouvelles venues dans l’alimentation, en particulier les spirulines (illustration ci-dessus, cliché ESA) qu’on retrouve dans certaines boissons aux fruits ou aux légumes proposées par Green Machine sous le nom de Naked ( http://nakedjuice.com/our-products/juice/green-machine ). Certains produits de cette société contiennent jusqu’à 1,3 grammes de spiruline par bouteille. Les micro-algues sont aussi très riches en acides gras dits omega-3, normal puisque dans la chaine alimentaire marine, l’apport initial en ces acides gras provient justement du phytoplancton. On a songé a ajouter dans les laits pour enfants des extraits de micro-algues puisque le lait maternel est relativement pauvre en ces mêmes omega-3. Il est difficile d’imaginer une société comme Nestlé se lancer dans une telle aventure car il pourrait y avoir une réaction négative de la part des mères de famille, leurs poupons chéris ne sont tout de même pas des poissons ! Pour la nourriture animale, en particulier pour les poulets et les poules pondeuses, des essais ont démontré la pertinence d’une supplémentation avec des micro-algues conduisant à un enrichissement en carotènes et une diminution de la teneur en cholestérol des œufs.

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Tout le problème avec les micro-algues est de passer du stade expérimental au laboratoire à l’échelle industrielle pour une raison qui semblerait très simple à solutionner mais qui représente en réalité un défi technologique.

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Si la croissance des algues est rapide, la maîtrise de celle-ci a conduit à imaginer des bassins de culture en plein air ressemblant à un circuit automobile afin de ne jamais atteindre une concentration en algues trop importante qui finirait par inhiber la croissance de ces dernières par obscurcissement du milieu aquatique et donc une réduction de l’activité photosynthétique. Si cette configuration des bassins de culture où l’eau ne cesse de circuler pour être prélevée en fin de parcours, traitée par filtration pour récupérer les algues et réinjectée en continu dans le circuit, la concentration en algues obtenue n’est pas satisfaisante et fait apparaître alors d’autres soucis technologiques au niveau du processus de filtration qui serait d’autant plus efficace que la concentration en algues est élevée, ce qui n’est justement pas possible pour atteindre une croissance optimale des algues. Reste la culture en circuit fermé ou dans des réacteurs du type de ceux utilisés pour la croissance des bactéries mais en tout état de cause, la solution sera trouvé prochainement et il faut se préparer d’ors et déjà à la consommation de micro-algues qu’on arrive à produire aujourd’hui pour deux euros par kilo, rien à voir avec la viande de bœuf !

Billet inspiré d’un article de Business Insider, illustrations Wikipedia et ESA

Commentaire du billet de Hashtable sur la planète (qui reverdit).

Je me permets de saluer sur mon blog l’excellence des billets de H16 (Hashtable) et je conseille mes lecteurs de se hasarder sur ce blog, ils ne seront pas déçus. Je commenterai à ma façon la présentation de Matt Ridley dont vous trouverez le lien ici (http://h16free.com/2013/03/26/21887-la-planete-devient-plus-verte).

 

Il est vrai que la planète reverdit surtout quand on cite des exemples avérés et qu’on les généralise hâtivement. Ridley considère que l’usage des combustibles fossiles (pétrole ou charbon) a favorisé le reverdissement de certaines régions du globe citant en exemple Haïti et la République dominicaine. Les Haïtiens font du charbon de bois pour la cuisine des ménages et par conséquent coupent les arbres, plutôt les arbustes puisqu’il ne reste plus d’arbres de haute tige en Haïti, alors que la partie ouest de l’île est boisée et verte tout simplement parce que les habitants de la République dominicaine importent du pétrole et peuvent cuisiner avec du propane ou du butane (GPL). La conclusion est que l’usage de pétrole et de ses dérivés favorise la reforestation ou le verdissement de la planète. Je veux bien, mais combien d’autres exemples de ce genre ? Au Sahel, on a constaté que ce n’est pas l’usage de combustibles fossiles qui a favorisé certains reverdissements de la savane sèche mais la présence de troupeaux dont les excréments enrichissent le sol ce qui favorise la croissance, certes timide, mais bien réelle d’herbes et de buissons précurseurs d’une reforestation, mais rien à voir avec les combustibles fossiles.

Le cas du reverdissement de l’Arabie Saoudite est trivial puisque ce pays consomme plus de la moitié du pétrole pompé de son sous-sol pour produire de l’eau douce. On comprend sans peine aucune que l’énergie fossile conduise à un résultat spectaculaire !

Pour en venir au gaz carbonique directement issu de la combustion de pétrole ou de charbon, l’augmentation de la teneur atmosphérique peut à la rigueur favoriser les plantes C3 mais jusqu’à une certaine limite lorsqu’on sait que dans ces plantes l’enzyme responsable de la fixation de gaz carbonique (rubisco) fonctionne plutôt mieux si le gaz carbonique est plus abondant, alors que les plantes C4 qui ont compartimenté l’étape de fixation du gaz carbonique et celle de l’élimination de l’oxygène (pour être bref) afin que ces deux gaz n’entrent pas directement en compétition ne poussent pas mieux en présence de plus fortes teneurs en gaz carbonique.

A ce propos, je reporte mes lecteurs à un précédent billet de mon blog :

https://jacqueshenry.wordpress.com/2013/01/27/1256/

 

J’en terminerai par une remarque sur la forêt amazonienne qui globalement présente un bilan carbone nul, et je m’explique très rapidement : la biomasse de cette forêt est globalement constante et la production d’oxygène par la végétation est balancée par la production nocturne de gaz carbonique (et de méthane issu des fermentations de matières organiques) et ce n’est pas la forêt amazonienne qui influe sur le climat plaéntaire mais l’ensemble des océans, or Ridley ne mentionne pas ce dernier point puisque la pollution des océans, principal puits à gaz carbonique de la planète, par des organo-phosphorés, chlorés et fluorés conduira à terme à une raréfaction du phytoplancton et par voie de conséquence à un déséquilibre total et irréversible de la biosphère prise dans son ensemble. Or, les polluants rejetés massivement dans les océans sont synthétisés à partir de pétrole … le verdissement des terres, peut-être, mais la mort des océans, certainement à long terme !

Lien : http://h16free.com/2013/03/26/21887-la-planete-devient-plus-verte