Depuis quelques semaines, il ne se passe pas un jour sans qu’on soit presque contraint de lire dans la presse les épanchements sémantiques des « défenseurs » du réchauffement climatique alors que les faits ne leur donnent aucunement raison. Qu’est-ce que le GIEC ? Une assemblée de doctes scientifiques qui n’ont de scientifique que l’étiquette qu’ils ont eux-même choisi, encore un de ces comités Théodule parasitant les finances des Nations Unies, ce machin devenu de moins en moins utile et de plus en plus couteux. Bref, les informations sur le non-réchauffement climatique annoncé avec fracas vont devenir carrément néfastes pour ces milliers de pseudo-scientifiques qui clament la catastrophe prochaine et qui survivent à coups de publications truquées et mensongères grâce à des ONG opaques qui n’osent pas avouer les sources obscures de leur financement, je veux bien entendu parler de Greenpeace entre autres organismes parasitaires qui puisent leurs moyens de subsistance dans la poche des contribuables nantis des démocraties moutonnes subjuguées par l’imminence de la catastrophe climatique annoncée à grands renforts publicitaires et qui précipitera à n’en pas douter la fin de l’humanité toute entière. Il faut remettre les faits en ordre. Depuis près de trente ans, depuis le protocole de Montréal qui décréta avec fracas que les CFC étaient mauvais pour la couche d’ozone alors qu’aucune preuve à l’appui ne pouvait être honnêtement avancée mais qui arrangea la compagnie Dow Chemical (pour ne pas la nommer – je me gênerai ) tout a dérivé depuis cette fameuse « réunion » de Montréal et dans le bon sens pour la bien-pensance d’associations occultes et sectaires qui ont peaufiné leur stratégie pour culpabiliser la planète entière pour satisfaire des officines tout aussi occultes afin d’instituer une taxe dite « carbone » auprès des gouvernements occidentaux qui non seulement permettrait de récolter de l’argent à la pelle, mais aussi de maintenir l’ensemble des pays développés dans la nécessité de contribuer au projet improbable de réduction de l’émission des gaz à effet de serre. En effet, les gaz dits à effet de serre sont trop utiles pour qu’on lâche le morceau juteux qui par voie de conséquence implique un ensemble de révisions des schémas énergétiques de la planète entière. Le CO2 es mauvais pour l’avenir, point à la ligne, comme les CFC étaient, soit dit en passant, mauvais pour la couche d’ozone alors qu’il n’y avait aucune preuve avérée permettant d’affirmer qu’il en était ainsi puisque la découverte du fameux trou d’ozone ne fut possible qu’après l’envoi de satellites d’observation équipés pour mesurer la teneur en ozone de l’atmosphère et qui effectivement permirent la découverte de ce trou dont, entre parenthèses, on ne parle plus aujourd’hui, puisque ce trou ne semble pas contribuer au réchauffement tant attendu du climat qui n’arrive toujours pas alors que la teneur en CO2 ne cesse d’augmenter en raison des millions de tonnes de « carbone » rejetées dans l’atmosphère mais aussi taxées de moins en moins pour la simple raison que plus personne n’y croit. C’est encore une imposture à l’échelle planétaire, comme pour l’ozone, et ce qui est le plus surprenant c’est que personne n’ose contredire les rapports circonstanciés et tronqués pour ne pas dire truqués du GIEC. Des scientifiques pour le moins endoctrinés publient des articles fumeux sur la disparition des lézards dans une contrée reculée des Appalaches et tout de suite c’est l’émotion, c’est la faute du gaz carbonique ! Des politiciens crédules décrètent qu’il faut absolument et immédiatement mettre des moulins à vent partout où c’est possible pour diminuer les émissions de CO2, la bête noire à combattre coute que coute. Et là, en écrivant coute que coute, je mets le doigt sur le point sensible de cette mascarade politique pseudo-scientifique : l’énergie éolienne comme l’énergie photovoltaïque sont le résultat d’élucubrations douteuses mais terriblement couteuses pour les contribuables qui n’assimilent que ce qu’on leur répète à longueur d’émission télévisée. Le gaz carbonique est dangereux et tant pis si votre facture d’électricité sera augmentée de 10 %, il fallait absolument faire quelque chose contre le réchauffement climatique… Au Danemark, un des pays d’Europe qui s’est le plus fait piéger par les écologistes, le prix du kilowatt est le plus élevé d’Europe parce que tous les moulins à vent installés ne peuvent en aucun cas subvenir aux besoins en électricité du pays. Alors, pour pallier aux caprices de la météo, il faut maintenir une production électrique à partir de gaz naturel ou de fuel lourd couteuse. Exactement comme en Allemagne où les compagnies d’électricité ont compris que les moulins à vent relevaient du doux rêve des écologistes mais que rien ne remplaçait sur le plan du bilan économique le bon vieux charbon ou encore la lignite. En Espagne, des milliards d’euros ont été pris dans la poche des contribuables pour promouvoir l’éolien et aussi l’énergie solaire avec une centrale thermique solaire qui est d’une puissance ridiculement faible en regard de l’investissement : toute proportion gardée, un EPR couterait 50 milliards d’euro en se référant au coût de cette centrale solaire à sels fondus en Andalousie qui fait soit-disant la fierté de l’ingénierie espagnole dans ce domaine. C’est tout simplement du foutage de gueule mais ce qui est vraiment grave c’est l’espèce me main-mise sectaire des organisations dites écologistes sur les décisions gouvernementales et en particulier en Allemagne. Certes, l’accident de la centrale de Fukushima-Daiichi après le tsunami du 11 mars 2011 a joué son rôle, psychologiquement parlant, mais il n’y avait aucune raison réellement objective et honnête de décréter, dans le cas de l’Allemagne (comme de la Suisse ou de la Belgique) de rayer du paysage énergétique du pays l’incidence du nucléaire sinon pour satisfaire les exigences des partis politiques parasités par des organismes opaques comme Greenpeace épaulés en France par une organisation tout aussi opaque pour ne pas dire subversive comme la Criirad qui s’arroge au nom de dieu sait quelle honnêteté scientifique le droit de contredire les conclusions d’organismes indépendants dont la probité est reconnue et non contestée. Et quand des ministres , je veux ici parler de la ministre française de l’énergie et de l’environnement – association de missions ministérielles incompatible pour le moins qu’on puisse dire – il y a matière à réflexion sur le bien fondé des quelconques décisions que pourra prendre ce dit ministère, pollué dans sa moelle par les écologistes opposés à tout, par principe, j’entend bien à tout, au gaz de schiste, au nucléaire, au charbon, au diésel, au bois, aux OGM, aux CFC (escroquerie), aux dioxines, aux pesticides, aux engrais, aux vaccins (ça va bientôt sortir), mais pourquoi pas aussi à la viande halal puisqu’on égorge les bêtes en les faisant souffrir, ça ce serait de l’écologie constructive !
Pour terminer ma diatribe, j’ai été rassuré d’apprendre que l’équivalent belge de l’IRSN avait décrété que les réacteurs de Doël et Tihange, en Belgique, supposés dangereux en raison de micro-fissures constatées lors d’une inspection de routine de la cuve des réacteurs pouvaient être remis en service mais encore une fois Greenpeace et d’autres associations avaient émis de « sérieux » doutes au sujet de ces fissures, comme s’ils comprenaient quoique ce soit au problème. Belle démonstration, encore une fois de la stratégie de ces groupuscules terroristes, la surenchère basée sur la supercherie !