Le gros pavé dans le panier des crabes coronaviraux …

Xavier Azalbert (France-Soir) vient de frapper un grand coup en invitant à une longue conversation le Docteur Joseph Tritto, Président de la World Alliance for Biomedicine & Technology ( http://www.thewabt.com/WWO_organization.aspx ). Cet honorable médecin, dont j’ignorais l’existence avant cette entrevue magistrale, a méticuleusement décortiqué la genèse du SARS-CoV-2. Il a clarifié le rôle de Moderna dont le CEO est un transfuge de la société Biomérieux dans ce projet et la lourde responsabilité d’Antony Fauci qui, pour laver les Etats-Unis de tout soupçon, a financé les recherches dans le laboratoire P4 de Wuhan spécialisé dans l’étude des coronavirus de chauve-souris. Cette manœuvre avait en réalité pour but de masquer les longs travaux au sein des laboratoires de l’armée américaine sur les virus du SARS-1 et du MERS dès le début des années 2000. L’intervention de l’OMS, par conséquent en sous-main de Bill Gates, dans cette grossière manœuvre devait laver la conscience des militaires américains et rejeter l’erreur sur le laboratoire P4 de Wuhan. Antony Fauci est donc pour Joseph Tritto au cœur de cette sombre histoire.

Tritto insiste sur le fait que l’insert de 19 nucléotides breveté par Moderna pour induire un gain de fonction datait bien de 2016. Les Chinois ont également créé un virus génétiquement modifié en introduisant un insert différent d’origine bactérienne qui est indétectable par les généticiens. Comme je l’ai écrit à plusieurs reprises sur ce blog Moderna n’a pas pris la précaution de vérifier que les codons de l’arginine insérés dans l’ARN du virus n’étaient jamais rencontrés chez les coronavirus, ce qui signait la supercherie. Le Docteur Alexandra Henrion-Caude l’avait très vite signalé d’ailleurs.

Bref cet entretien révèle le montage invraisemblable qui a conduit au désastre de la pandémie. Mais il y a bien pire et le Docteur Tritto en dit un mot dans son entrevue en anglais, pour stabiliser l’ARN messager utilisé pour la thérapie génique appelée abusivement vaccin. L’armée américaine, dans sa grande mansuétude, a également financé dès 2016 la mise au point d’une technique de protection faisant appel à la technique de l’ARN messager supposé obliger l’organisme à produire l’antigène de surface du coronavirus, la sous-unité 1 de la protéine de la spicule d’attachement du virus à la membrane cellulaire. La préoccupation de l’armée américaine était de protéger ses personnels contre une nouvelle arme bactériologique, en l’occurence un virus artificiellement modifié qui puisse servir d’arme de destruction massive. On connait la suite car cette protéine s’est révélée toxique en induisant une multitude d’effets secondaires dont on ignore encore les effets à long terme sur cinq, dix ans voire plus. 

Dans son exposé en anglais Tritto mentionne également la toxicité des nano-particules de lipides synthétiques protégeant l’ARN messager injecté à des milliards de personnes. Si les investigations sur les ovaires n’ont pas encore été clairement détaillées en revanche un effet sur les testicules et la prostate a été bien documenté. Ces nano-particules provoquent des troubles graves de la spermatogenèse et ont également tendance à s’accumuler dans la prostate et encore une fois personne ne peut prévoir quelles seront les conséquences de ce phénomène à cinq ou dix ans. Selon Tritto il s’agit bien d’un gigantesque complot organisé dès 2016 par l’armée américaine …

Joseph Tritto a exposé l’histoire de l’hydroxychloroquine. Au cours des années 2000 les biologistes chinois avaient décrit l’effet inhibiteur de l’hydroxychloroquine sur l’accrochage du virus sur la membrane des cellules épithéliales et ces résultats avaient été publiés dans une revue scientifique mais écrits en chinois avec seulement un court résumé en anglais comme par exemple en France les Comptes Rendus de l’Académie Française publient des articles en français avec un petit résumé en anglais. L’impact de cet article fut presque nul mais des curieux comme le Professeur Raoult en France s’intéressèrent à ces travaux. À l’IHU de Marseille le mode d’action de l’HCQ fut précisé. Cette molécule inhibe bien la fixation du virus sur les cellules épithéliales mais provoque également un alcalinisation du milieu intracellulaire et par conséquent une inhibition de la réplication du virus. Comme l’a précisé Joseph Tritto la confirmation de l’effet bénéfique de l’HCQ a été confirmé dans tous les pays d’Afrique dont l’usage est prophylactique pour la prévention de la malaria.

Joseph Tritto est revenu sur la technique à ARN messager. Cette technique a été mise au point par le Docteur Robert Malone. Ce dernier a toujours insisté sur le fait que cette approche devait être considérée comme expérimentale et en dernier recours pour tenter de soigner des formes de cancers réfractaires à tous les traitement chimiques connus. L’interdiction de l’HCQ puis de l’ivermectine fait naturellement partie du complot ourdi par l’armée américaine. Aveuglés par les perspectives prometteuses de la technique à ARN messager dans le fait qu’il serait possible sur le papier de mettre au point rapidement une sorte de thérapie de protection contre tout agent pathogène nouvellement manipulé en laboratoire afin de protéger les personnels militaires, les laboratoires pharmaceutiques étaient prêts à inonder très rapidement le monde entier avec des pseudo-vaccins pour le plus grand bénéfice de ces mêmes laboratoires pharmaceutiques. C’est la raison pour laquelle l’interdiction de l’HCQ fut imposée à tous les pays qui suivent les directives des organismes tels que le CDC et le NIH aux USA, directives reprises par l’OMS.

Enfin l’« affaire » des tests de diagnostic utilisant la technique dite PCR, car il s’agit bien d’une gigantesque affaire au sens financier du terme, a également été abordée par Tritto. Ce sont des milliards de dollars qui ont été engloutis dans ces tests. J’ai utilisé cette technique au cours de mes travaux de recherche et je la connais bien. Comme je l’ai déjà mentionné sur ce blog la technique PCR n’est opérationnelle qu’en présence d’ADN double brin. Quand il s’agit d’amplifier la présence d’ARN il faut d’abord convertir cet ARN en ADN avec un enzyme appelé transcriptase réverse (RT en anglais, ne pas confondre avec Russia Today). Les cycles d’amplification permettent d’isoler un gène pour en étudier ensuite la séquence de nucléotides. Il s’agit d’une technique initialement utilisée en recherche dans le domaine de la biologie moléculaire. Je me souviens n’avoir utilisé que 16 cycles d’amplification pour isoler le gène codant pour une protéine présentant une activité enzymatique. Au delà de 16-20 cycles d’amplification à l’aide d’une amorce synthétique, un petit morceau d’ADN, dérivée dans ce type d’investigation de la séquence d’un fragment de la protéine en question après séquençage des amino-acides de celle-ci, on commence à voir apparaître n’importe quoi. C’est la raison pour laquelle le test dit PCR ne peut pas être utilisé comme outil de diagnostic en raison de l’apparition inévitable de faux positifs. Des firmes spécialisées dans la production de réactifs pour les laboratoires de recherche, en particulier allemands et américains, ont sauté sur l’occasion pour réaliser d’immenses profits en proposant ce test pour le dépistage des cas « positifs » PCR-coronavirus autorisant les gouvernements occidentaux à mettre en place des mesures coercitives mais surtout à favoriser la bonne santé financière de ces fabricants de réactifs de laboratoire. On connait la suite : les nombres de cas augmentent donc il faut procéder à des rappels de « vaccins » et la mécanique de la machination s’auto-entretient, indépendamment du fait que cette « vacination » fait apparaître des anticorps facilitants qui fragilisent les sujets sains à une nouvelle infection. Les tests PCR font partie de ce complot coronaviral !

Il faut écouter avec une grande attention les propos de Giuseppe Tritto. Selon mes informations son ouvrage dans lequel il détaille ses travaux d’enquête tous factuellement vérifiés est malheureusement en italien car la somme d’informations qu’il a divulgué au cours de ses deux exposés est tout simplement extraordinaire … Liens :

https://www.youtube.com/watch?v=xRuvqiMrNJg (en anglais)

https://www.francesoir.fr/videos-l-entretien-essentiel/les-armes-biologiques-sont-developpees-malgre-les-traites

Nouvelles du front coronaviral vues de Tokyo

Ce dernier samedi nous étions allés chez les parents du plus fidèle ami de mon petit-fils. Deux jours plus tard ce dernier était malade et sa mère procéda à un test dit antigénique. Résultat : positif. Comme je devais obtenir un test PCR la veille de mon départ vers les mers du sud, il s’avéra que celui-ci était également positif. Ma belle-fille, triplement injectée, est restée 4 jours au fond de son lit. Ma petite-fille a également subi quelques accès de fièvre. Mon fils a résisté, fort heureusement d’ailleurs puisqu’il assure le ravitaillement et la cuisine.

Les régulations au Japon précisent que s’il y a un cas avéré d’infection coronavirale au sein d’une famille la totalité de ses membres doit respecter une quarantaine de 7 jours. Le port du masque est toujours obligatoire partout y compris dans la rue et pourtant le Japon traverse une très forte recrudescence du nombre de “cas” alors que la très grande majorité des Japonais est triplement injectée malgré le fait que cette démarche n’est pas obligatoire. La pression sociale a fait le reste … 

L’enseignement à dégager de ce petit épisode familial est simple. Malgré les injections répétées supposées protéger la personne, celles-ci sont sans effet. L’immunité acquise après une première infection n’est pas suffisante pour se protéger contre un nouveau mutant, ce qui ressortait de l’inefficacité de la vaccination contre la grippe. La recherche médicale a donc encore beaucoup à découvrir dans ce domaine mais sans se précipiter vers de nouvelles technologies qui n’ont, donc, toujours pas fait leurs preuves bien au contraire. Ci-après un article de mon fils sur son blog:https://www.rosenight.net/?p=8402

Petite chronique du jour

En ce mardi 19 juillet, veille de mon départ pour les mers du sud, il me fallait un test RT-PCR pour pouvoir embarquer. Malgré le fait que je me suis traité avec 400 mg par jour de chloroquine lorsque mon petit-fils s’est retrouvé malade ce samedi, cela n’a pas été suffisant. Ma belle-fille a suivi le sort de son petit et est au fond de son lit depuis hier. Le test PCR a révélé une positivité sans symptômes et je suis maintenant cloué chez mon fils pour deux semaines supplémentaires. Il doit aller demain au service de l’immigration mon visa expirant le 21 juillet !

Je hais ces régulations stupides décidées par de faux médecins qui ne savent même pas qu’un test PCR ne constitue pas un outil de diagnostic surtout quand on procède à 40 cycles d’amplification.

Conclusion : je partirai donc dans 18 jours définitivement dégouté par la gestion sanitaire mise en place par les pays dits développés gouvernés par des incapables et ignorant la science. À plus pour d’autres petites chroniques …

Souvenirs et actualité du jour

Lorsque je sévissais dans le centre de recherches de Rhône-Poulenc Agro à Lyon l’un des ingénieurs de cette entreprise était mon interlocuteur préféré en raison de son ouverture d’esprit et de la liberté d’investigation dont il bénéficiait. Philippe D. était ingénieur chimiste et son domaine préféré était les néo-nicotinoïdes. La nicotine se trouve dans l’ « herbe à Nicod » et elle protège les plantations de tabac contre les insectes ravageurs. L’agriculteur qui produit du tabac, en France en Dordogne ou dans la plaine de la Limagne, n’a tout simplement pas besoin de traiter ses champs avec des insecticides. Cependant il faut des dizaines de kilos de cette molécule par hectare pour traiter un champ. Les chimistes dont Philippe D. ont donc essayé toutes sortes de modifications de la nicotine et avec le temps, un paramètre non négligeable dans ce type de recherche ont atteint une efficacité notoire de certains dérivés de la nicotine en arrivant à une centaine de grammes par hectare.

J’évoquais le facteur temps car en effet après les essais en serre il faut procéder à des essais en plein champ, ce qui est long et fastidieux car toute nouvelle molécule doit faire l’objet de diverses formulations pour chaque parcelle de 100 m2 en plein champ. Et comme tout chercheur passionné par son métier Philippe D. me racontait la progression de ses travaux. En dix ans il arriva à trouver un dérivé de la nicotine qui était actif à une dose extraordinaire de 4 grammes par hectare. C’était en quelque sorte son objectif final. Il me racontait, sûr de lui, qu’avec de telles doses les insectes pollinisateurs ne seraient pas foudroyés sur place. Ces néo-nicotinoïdes de nouvelle génération, il y a 25 ans de cela, étaient incorporés à l’enrobement des semences et se répandait dans toute la plante au cours de sa croissance. Les insectes suceurs et les larves de papillons ne survivaient pas à ces traces de néo-nicotinoïdes.

Et les grains de pollen ? Rien, zéro : toutes les extractions de grains de pollen soumises à des analyses par spectrographie de masse ont été négatives. Alors pourquoi de telles polémiques au sujet de cette classe d’insecticides extraordinairement efficace et inoffensive pour les insectes pollinisateurs ? Tout simplement par pure idéologie.

Actualité du jour. Comme j’embarque ce mercredi pour Tokyo je me suis plié à un test PCR ce lundi. Coût de l’opération : 98 euros. J’ai demandé à la laborantine si elle était bien payée. Elle m’a répondu qu’elle gagnait 1080 euros par mois … Prochain billet : peut-être samedi 23 

Diagnostiquer à coup sûr la présence d’un virus dans un prélèvement sanguin : l’affaire de quelques heures.

Il y a quelques semaines le Docteur Ian Lipkin, spécialiste des diagnostics à l’école de médecine de l’Université Columbia a eu une grosse surprise. Son laboratoire a reçu un échantillon de sang d’un patient de l’hôpital universitaire pour analyse car les médecins ne comprenaient pas de quelle maladie mystérieuse souffrait ce malade, un genre de fièvre hémorragique. Comme quelques temps auparavant Lipkin avait découvert un nouveau virus apparenté à celui de la polyomyélite à l’aide des techniques d’analyse qu’il avait développé dans son laboratoire et que les symptomes du patient d’alors ressemblaient étrangement à ceux décrits pour ce nouveau patient, il préféra ne pas prendre de risques et effectua l’analyse du sang de ce patient. Il identifia immédiatement le virus comme étant celui de la dengue, une fièvre hémorragique. Une brève enquête révéla que le patient avait séjourné au Viet-Nam quelques mois auparavant. Comme il était sous traitement immunodépresseur pour recevoir une greffe de moëlle osseuse, le virus de la dengue réapparut.

Cette histoire n’aurait aucun intérêt si on ne se penchait pas sur la technologie innovante mise au point par Lipkin. Il a adapté la technique dite PCR (Polymerase Chain Reaction) pour effectuer des diagnostics à haute fréquence. La PCR consiste à amplifier le nombre de copies d’un morceau d’ADN présent dans un échantillon afin d’en déterminer ultérieurement la séquence avec une machine de séquençage automatique Illumina (voir le lien):

Polymerase_chain_reaction.svg

Pour être certain de ce que l’on veut amplifier, il est nécessaire de connaître le petit morceau d’ADN qui sert à amorcer la réaction (DNA primer) et plus ce morceau comporte de bases (A, T, G et C) plus la spécificité de la PCR est élevée. Il existe maintenant des millions d’amorces disponibles commercialement et Lipkin, n’ayant pas froid aux yeux, on peut dire les choses ainsi, a réalisé une gymnastique incroyable en ajoutant dans le milieu réactionnel les amorces – un peu plus de deux millions – correspondant à pas moins de 502 virus pathogènes pour les mammifères dont l’homme. Il a fait le pari que comme les virus ont tendance à muter sans arrêt une amorce suffisamment longue ne s’apariant pas parfaitement avec un acide nucléique pourrait tout de même fonctionner correctement. Passons sur la préparation des échantillons car beaucoup de virus ont un matériel génétique constitué d’ARN qu’il faut transformer en ADN par une opération maintenant routinière et il faut éviter que l’ADN soit malencontreusement détruit par des activités enzymatiques indésirables présentes dans l’échantillon analysé.

Bref, une fois cette amplification par PCR terminée le mélange est analysé dans un séquençeur automatique et le tour est joué. Sans entrer dans les détails complexes de la technique développée par Lipkin la spécificité, les faux-positifs et le traitement des échantillons ont été optimisés ainsi que le logiciel d’analyse des résultats du séquençage pour atteindre des résultats rapides et fiables car souvent, en milieu hospitalier la vie d’un malade peut dépendre de la rapidité d’un diagnostic. Lipkin a appellé sa technologie VirCapSeq-VERT ou plateforme de séquençage de virome de vertébrés, virome signifiant la population de virus rencontrés seulement chez les mammifères. N’importe quel échantillon biologique peut être analysé en toute confiance pour un prix relativement modique de l’ordre de 60 dollars, le système automatisé permettant d’analyser en parallèle jusqu’à 21 échantillons. Belle avancée dans le diagnostic clinique !

Source : http://mbio.asm.org/ Illustration PCR : Wikipedia

http://www.illumina.com/systems/sequencing-platform-comparison.html?sciid=2014107IBN2