Tant qu’on ne me présentera pas de preuves factuelles que le SARS-CoV-2 est un virus provenant de chauve-souris, qu’il s’est adapté à un animal dont on ignore l’identité le rendant infectieux pour l’homme et transmissible aisément entre les êtres humains, je persisterai en soutenant qu’il s’agit d’un virus manipulé expérimentalement pour obtenir un gain de fonction puis répandu dans la ville de Wuhan lors des jeux olympiques militaires qui eurent lieu au cours de l’automne 2019 dans cette ville. J’ai imaginé un scénario dans un article publié il y a quelques jours qui avait pour sujet les avancées cliniques récentes utilisant l’outil CRISPR-cas9 (voir note en fin de billet). Ce scénario est parfaitement plausible mais il reste à déterminer quel laboratoire privé ou public a procédé à la manipulation conduisant à ce gain de fonction. Par voie de conséquence la pandémie de SARS-CoV-2 déclarée comme telle par l’OMS est la conséquence préméditée de cette manipulation du virus. Il existe donc un agenda bien précis pour contrôler les populations et surtout pour que « l’Etat profond apatride » élargisse son pouvoir sur les peuples. C’est dans ce cadre que l’OMS prépare un traité international coercitif de prévention des pandémies. Il est évident que des organismes non gouvernementaux comme le Forum économique mondial, autre appellation du « Club de Davos », a déclaré selon son président fondateur Klaus Schwab que cette pandémie coronavirale était une « fenêtre d’opportunité » pour mettre en place une gouvernance mondiale relative à toute nouvelle préoccupation sanitaire affectant le monde entier.
De nombreux infectiologues de réputation mondiale ont déclaré que ce coronavirus n’avait pas vraiment provoqué une pandémie mortelle comme ce fut le cas par le passé lorsqu’il n’existait aucun traitement pour combattre par exemple la peste qui tuait parfois la moitié de la population. À la louche sur quelques 8 milliards d’être humains il y eut seulement 6 ou 7 millions de morts, soit un taux de létalité inférieur à 1 mort pour 1000 personnes à l’échelle mondiale : c’est négligeable ! J’ignore quels sont les critères choisis pour déclarer une pandémie mais ce chiffre me paraît ridiculement bas. Cette remarque conforte donc le fait que tout était préparé pour que l’« État profond apatride » décide de contrôler les populations.
Dans ce registre la pression exercée par les laboratoires pharmaceutiques pour soumettre des milliards de personnes à un traitement expérimental dont l’efficacité n’était même pas prouvée faisait partie de ce processus, les bons élèves du grand maître Schwab, les « Young leaders », mettant en œuvre une politique inquisitoriale afin de priver de liberté des populations entières avec des gadgets tels que les identifications par QR-code, les pass vaccinaux, les confinements, les mises à pied des personnels pour refus de « vaccination » font tous partie intégrante de cet agenda. Des pays comme la France, la Nouvelle-Zélande, le Canada, tous gouvernés par des politiciens « Young leaders » adoubés par Klaus Schwab, ont décidé de mesures sévères privant les citoyens de leur liberté mais, bien pire encore, ces mesures bafouaient les principes fondamentaux de Code de Nuremberg et du droit de chaque individu à disposer de son corps et à ne prendre de décision que si l’homme de l’art, c’est-à-dire le médecin, l’avait dûment informé ce qui ne fut pas le cas.
L’autre volet de ce coup monté de toute pièce est l’interdiction soudaine et non justifiée de l’hydroxychloroquine qui avait pourtant été montrée comme étant efficace lors des épidémies coronavirales précédentes, SRAS et MERS, au cours des années 2000. Cette interdiction surréaliste compte tenu du fait que des milliards de personnes utilisent quotidiennement ce médicament pour se protéger et atténuer une infection par la malaria faisait partie de ce coup monté. En effet quand un médicament existe pour traiter une nouvelle infection virale, selon un protocole défini, la mise au point d’un vaccin n’est pas requise. Et pourtant tout s’est déroulé sans tenir compte de ce principe. Et pour cause ! Simultanément aux manipulations en laboratoire du SARS-CoV-2 pour obtenir un gain de fonction, c’est maintenant clairement prouvé, les laboratoires pharmaceutiques travaillaient déjà sur la mise au point de « vaccins » expérimentaux dont le principe consistait à injecter aux sujets un ARN messager lu par la machinerie cellulaire pour synthétiser la protéine virale supposée les protéger contre l’infection virale après une réaction hypothétique de leur système immunitaire. C’est ainsi que l’OMS et les agences nationales ou supra-nationales du médicament ont autorisé l’utilisation à grande échelle de ce traitement pourtant toujours expérimental. Il s’agit là encore d’une violation des principes de base de la médecine puisque qu’aucun effet adverse de ce type de traitement n’avait été étudié en détail. Il y avait urgence, « on était en guerre » contre ce virus. La collusion entre les grands groupes pharmaceutiques et l’OMS ainsi que l’influence de personnalités comme Bill Gates ont fait le reste.
La santé des citoyens d’un État fait partie du domaine régalien du gouvernement de cet État au même titre que la protection des frontières ou du maintien de l’ordre public. Aucune entité internationale ne peut imposer à un gouvernement quelconque des mesures qui interféreraient avec ce domaine régalien. Et pourtant l’OMS travaille aujourd’hui à la mise en place de mesures coercitives qui seront imposées aux pays, quels qu’ils soient, pour maîtriser le plus autoritairement possible une possible pandémie.
Le champ d’application d’un tel traité international ne se limite pas à une pandémie virale et c’est là le problème. En effet, le pouvoir décisionnel qui sera accordé à l’OMS par tous ses membres, il y en a 196 !, permettra à cet organisme d’interférer avec la politique de santé de chaque pays. Par exemple la véritable pandémie d’obésité pourra donner lieu à la mise en place de mesures contraignantes pour combattre ce fléau au niveau national. Les maladies cardio-vasculaires pourront également faire l’objet de mesures coercitives … inutile d’insister pour comprendre l’intérêt que portent les laboratoires pharmaceutiques à la mise en œuvre d’un tel traité. Je suppose qu’il sera soumis à l’Assemblée générale des Nations-Unies et devra être ratifié ensuite par chaque État. Cela prendra beaucoup de temps mais je voulais alerter mes lecteurs sur ce qui se trame sous l’impulsion de l’« État profond apatride » et contre lequel tous les pays devront se soumettre. Il y a dix ans presque pour jour l’OMS a émis une directive relative à l’éducation sexuelle des enfants et tous les pays ayant signé une sorte de pacte de soumission à cet organisme ont été contraints d’appliquer cette décision. On ne peut que constater aujourd’hui quelles sont les dérives de la mise en place de cette directive dans les écoles à qui on enseigne à des gamins de 8 ans quel est le « genre » et ce qu’il faut faire si on ne se sent pas bien dans sa peau avec le sexe biologique dont on, l’enfant de 8 ans, peut être victime de par le patrimoine génétique dont il a hérité …
Enfin l’informatisation de la médecine avec des robots qui établiront un diagnostic en lieu et place d’un médecin généraliste comme le préconisent des fous comme Laurent Alexandre fait partie de ce complot mondial. La financiarisation de la médecine est redoutable et il faut que les peuples de bonne volonté s’insurgent vivement contre ce tournant que prend l’OMS à l’insu de chacun, c’est extrêmement préoccupant.
Liens :
https://www.consilium.europa.eu/fr/policies/coronavirus/pandemic-treaty/ et https://www.kla.tv/25686
Note. Je rappelle le passage relatif au coronavirus paru sur un billet précédent de ce blog : « ll existe un preuve récente évidente de la manipulation de l’ARN du SARS-CoV-2 qui a été modifié par insertion d’une séquence codant pour le site de clivage de la furine et cette édition de gène très ponctuelle a probablement été effectuée après avoir converti l’ARN viral en ADN double brin afin d’utiliser les outils existants dont le CRISPR-cas9, plus simple à utiliser que des enzymes de restriction, pour introduire cette petite séquence. Cet ADN modifié a ensuite été converti en ARN avec de l’ARN polymérase produite par génie génétique avec des bases non naturelles comme la pseudo-uridine pour produire l’ARN « vaccinal » mais aussi et surtout en 2019 pour produire le virus lui-même reconstitué par multiplication sur des cultures de cellules compétentes pour le disperser à Wuhan lors des JO militaires. Une telle approche demande quelques mois de travail pour un groupe d’expérimentateurs chevronnés, au pire une année et les dates concordent entre la date de dépôt de brevet de cette séquence artificielle par Moderna et le tout début de l’apparition des premiers cas de premiers malades de syndrome respiratoire aigu chez des athlètes dès l’automne 2019 ».