Après le coronavirus l’OMS prépare un traité coercitif de prévention des pandémies

Tant qu’on ne me présentera pas de preuves factuelles que le SARS-CoV-2 est un virus provenant de chauve-souris, qu’il s’est adapté à un animal dont on ignore l’identité le rendant infectieux pour l’homme et transmissible aisément entre les êtres humains, je persisterai en soutenant qu’il s’agit d’un virus manipulé expérimentalement pour obtenir un gain de fonction puis répandu dans la ville de Wuhan lors des jeux olympiques militaires qui eurent lieu au cours de l’automne 2019 dans cette ville. J’ai imaginé un scénario dans un article publié il y a quelques jours qui avait pour sujet les avancées cliniques récentes utilisant l’outil CRISPR-cas9 (voir note en fin de billet). Ce scénario est parfaitement plausible mais il reste à déterminer quel laboratoire privé ou public a procédé à la manipulation conduisant à ce gain de fonction. Par voie de conséquence la pandémie de SARS-CoV-2 déclarée comme telle par l’OMS est la conséquence préméditée de cette manipulation du virus. Il existe donc un agenda bien précis pour contrôler les populations et surtout pour que « l’Etat profond apatride » élargisse son pouvoir sur les peuples. C’est dans ce cadre que l’OMS prépare un traité international coercitif de prévention des pandémies. Il est évident que des organismes non gouvernementaux comme le Forum économique mondial, autre appellation du « Club de Davos », a déclaré selon son président fondateur Klaus Schwab que cette pandémie coronavirale était une « fenêtre d’opportunité » pour mettre en place une gouvernance mondiale relative à toute nouvelle préoccupation sanitaire affectant le monde entier.

De nombreux infectiologues de réputation mondiale ont déclaré que ce coronavirus n’avait pas vraiment provoqué une pandémie mortelle comme ce fut le cas par le passé lorsqu’il n’existait aucun traitement pour combattre par exemple la peste qui tuait parfois la moitié de la population. À la louche sur quelques 8 milliards d’être humains il y eut seulement 6 ou 7 millions de morts, soit un taux de létalité inférieur à 1 mort pour 1000 personnes à l’échelle mondiale : c’est négligeable ! J’ignore quels sont les critères choisis pour déclarer une pandémie mais ce chiffre me paraît ridiculement bas. Cette remarque conforte donc le fait que tout était préparé pour que l’« État profond apatride » décide de contrôler les populations.

Dans ce registre la pression exercée par les laboratoires pharmaceutiques pour soumettre des milliards de personnes à un traitement expérimental dont l’efficacité n’était même pas prouvée faisait partie de ce processus, les bons élèves du grand maître Schwab, les « Young leaders », mettant en œuvre une politique inquisitoriale afin de priver de liberté des populations entières avec des gadgets tels que les identifications par QR-code, les pass vaccinaux, les confinements, les mises à pied des personnels pour refus de « vaccination » font tous partie intégrante de cet agenda. Des pays comme la France, la Nouvelle-Zélande, le Canada, tous gouvernés par des politiciens « Young leaders » adoubés par Klaus Schwab, ont décidé de mesures sévères privant les citoyens de leur liberté mais, bien pire encore, ces mesures bafouaient les principes fondamentaux de Code de Nuremberg et du droit de chaque individu à disposer de son corps et à ne prendre de décision que si l’homme de l’art, c’est-à-dire le médecin, l’avait dûment informé ce qui ne fut pas le cas.

L’autre volet de ce coup monté de toute pièce est l’interdiction soudaine et non justifiée de l’hydroxychloroquine qui avait pourtant été montrée comme étant efficace lors des épidémies coronavirales précédentes, SRAS et MERS, au cours des années 2000. Cette interdiction surréaliste compte tenu du fait que des milliards de personnes utilisent quotidiennement ce médicament pour se protéger et atténuer une infection par la malaria faisait partie de ce coup monté. En effet quand un médicament existe pour traiter une nouvelle infection virale, selon un protocole défini, la mise au point d’un vaccin n’est pas requise. Et pourtant tout s’est déroulé sans tenir compte de ce principe. Et pour cause ! Simultanément aux manipulations en laboratoire du SARS-CoV-2 pour obtenir un gain de fonction, c’est maintenant clairement prouvé, les laboratoires pharmaceutiques travaillaient déjà sur la mise au point de « vaccins » expérimentaux dont le principe consistait à injecter aux sujets un ARN messager lu par la machinerie cellulaire pour synthétiser la protéine virale supposée les protéger contre l’infection virale après une réaction hypothétique de leur système immunitaire. C’est ainsi que l’OMS et les agences nationales ou supra-nationales du médicament ont autorisé l’utilisation à grande échelle de ce traitement pourtant toujours expérimental. Il s’agit là encore d’une violation des principes de base de la médecine puisque qu’aucun effet adverse de ce type de traitement n’avait été étudié en détail. Il y avait urgence, « on était en guerre » contre ce virus. La collusion entre les grands groupes pharmaceutiques et l’OMS ainsi que l’influence de personnalités comme Bill Gates ont fait le reste.

La santé des citoyens d’un État fait partie du domaine régalien du gouvernement de cet État au même titre que la protection des frontières ou du maintien de l’ordre public. Aucune entité internationale ne peut imposer à un gouvernement quelconque des mesures qui interféreraient avec ce domaine régalien. Et pourtant l’OMS travaille aujourd’hui à la mise en place de mesures coercitives qui seront imposées aux pays, quels qu’ils soient, pour maîtriser le plus autoritairement possible une possible pandémie.

Le champ d’application d’un tel traité international ne se limite pas à une pandémie virale et c’est là le problème. En effet, le pouvoir décisionnel qui sera accordé à l’OMS par tous ses membres, il y en a 196 !, permettra à cet organisme d’interférer avec la politique de santé de chaque pays. Par exemple la véritable pandémie d’obésité pourra donner lieu à la mise en place de mesures contraignantes pour combattre ce fléau au niveau national. Les maladies cardio-vasculaires pourront également faire l’objet de mesures coercitives … inutile d’insister pour comprendre l’intérêt que portent les laboratoires pharmaceutiques à la mise en œuvre d’un tel traité. Je suppose qu’il sera soumis à l’Assemblée générale des Nations-Unies et devra être ratifié ensuite par chaque État. Cela prendra beaucoup de temps mais je voulais alerter mes lecteurs sur ce qui se trame sous l’impulsion de l’« État profond apatride » et contre lequel tous les pays devront se soumettre. Il y a dix ans presque pour jour l’OMS a émis une directive relative à l’éducation sexuelle des enfants et tous les pays ayant signé une sorte de pacte de soumission à cet organisme ont été contraints d’appliquer cette décision. On ne peut que constater aujourd’hui quelles sont les dérives de la mise en place de cette directive dans les écoles à qui on enseigne à des gamins de 8 ans quel est le « genre » et ce qu’il faut faire si on ne se sent pas bien dans sa peau avec le sexe biologique dont on, l’enfant de 8 ans, peut être victime de par le patrimoine génétique dont il a hérité … 

Enfin l’informatisation de la médecine avec des robots qui établiront un diagnostic en lieu et place d’un médecin généraliste comme le préconisent des fous comme Laurent Alexandre fait partie de ce complot mondial. La financiarisation de la médecine est redoutable et il faut que les peuples de bonne volonté s’insurgent vivement contre ce tournant que prend l’OMS à l’insu de chacun, c’est extrêmement préoccupant.

Liens :

https://www.consilium.europa.eu/fr/policies/coronavirus/pandemic-treaty/ et https://www.kla.tv/25686

Note. Je rappelle le passage relatif au coronavirus paru sur un billet précédent de ce blog : « ll existe un preuve récente évidente de la manipulation de l’ARN du SARS-CoV-2 qui a été modifié par insertion d’une séquence codant pour le site de clivage de la furine et cette édition de gène très ponctuelle a probablement été effectuée après avoir converti l’ARN viral en ADN double brin afin d’utiliser les outils existants dont le CRISPR-cas9, plus simple à utiliser que des enzymes de restriction, pour introduire cette petite séquence. Cet ADN modifié a ensuite été converti en ARN avec de l’ARN polymérase produite par génie génétique avec des bases non naturelles comme la pseudo-uridine pour produire l’ARN « vaccinal » mais aussi et surtout en 2019 pour produire le virus lui-même reconstitué par multiplication sur des cultures de cellules compétentes pour le disperser à Wuhan lors des JO militaires. Une telle approche demande quelques mois de travail pour un groupe d’expérimentateurs chevronnés, au pire une année et les dates concordent entre la date de dépôt de brevet de cette séquence artificielle par Moderna et le tout début de l’apparition des premiers cas de premiers malades de syndrome respiratoire aigu chez des athlètes dès l’automne 2019 ».

Diversions … pour établir un régime totalitaire

Après l’épidémie de coronavirus qui, contrairement aux souhaits de l’« Etat Profond Mondial », n’a pas tué assez de personnes, fort à propos les évènements d’Ukraine ont été très utiles pour divertir l’attention des peuples européens. L’arrivée d’une inflation soudaine et massive dont les prémisses dataient de 2010 à la suite de la crise financière jamais correctement réglée par les banques centrales, les alertes climatiques ont commencé à resurgir plutôt timidement. Les gouvernements européens devenus des experts dans la manipulation de l’opinion se sont donc attaché à la mise en évidence de toutes sortes de peurs pour mieux asservir les citoyens dont ils sont dépositaires de la responsabilité qui leur a été octroyée par des votes dits démocratiques. La menace de la variole du singe a été une fausse alerte et constatant cet échec l’« Etat Profond Mondial » a mandaté l’Organisation Mondiale de la Santé afin d’émettre des mesures coercitives en cas de nouvelle épidémie. Selon les traités internationaux l’OMS émet des recommandations mais ces dernières sont laissées à l’appréciation des États. Or la préparation de nouvelles dispositions conférant tout pouvoir à l’OMS en cas de nouvelle pandémie privera les États de toute initiative démocratique pour la protection de sa population. En un mot la santé de chacun sera contrôlée par une instance internationale. Il faudra être « pucé » comme les animaux, s’auto-diagnostiquer en se connectant à un site spécialisé auquel on accédera avec cette « puce » wifi. Hors cas graves un algorithme prendra soin de vous. C’est cette évolution que défend en France Laurent Alexandre et il n’a pas sorti ce délire de son chapeau car cette approche informatisée de la santé entre dans le cadre du projet totalitaire de l’« Etat Profond Mondial ».

L’« Etat Profond Mondial » réunit une multitude d’organisations onusiennes, la plupart situées à Genève en Suisse, qui ne sont plus indépendantes et n’oeuvrent plus pour le bien-être du monde entier, mais sont contrôlées par les puissances financières apatrides et des organisations telles que le World Economic Forum, le Club de Bilderberg et d’autres officines telles que les Global Young Leaders, l’Open Society et j’en oublie beaucoup qui échappent aux radars car elles sont secrètes. Le mouvement sociétal qui en ressort est appuyé par des médias contrôlés par quelques groupes de multimilliardaires pour accoutumer les peuples à ces changements radicaux de la société. Le président français a été un très bon élève lors de l’épidémie de SARS-CoV-2 puisqu’il fait partie de cette confrérie des Young Leaders et est formaté aux idéologies totalitaires du Club de Davos.

Nulle part la presse de grand chemin ne mentionne le danger de ce projet de l’OMS pour les libertés individuelles alors que ces dispositions bafouent les règles fondamentales de l’éthique et ont poussé le Code de Nuremberg dans les oubliettes de l’histoire. Voilà l’une des conséquences de la numérisation du monde et on ne peut plus y échapper puisque nous avons maintenant tous besoin d’un téléphone mobile pour la moindre démarche administrative. Cet état de fait n’était pas prémédité mais il se trouve que c’est l’outil idéal pour établir une surveillance des populations avant d’implanter sous la peau une « puce » rechargeable comme on recharge une montre électronique en la posant quelques minutes sur un petit socle. Enfin tous les individus seront « sous contrôle », telle est la finalité de ce projet qui sans nul doute sera décidé et adopté après une propagande parfaitement bien étudiée par l’Assemblée Générale des Nations-Unies, tous les membres de cette assemblée étant membres de l’OMS. C’est le vœu le plus cher d’un Bill Gates ou d’un George Soros ou encore d’un Klaus Schwab qui s’imaginent être les « leaders » du monde. Michel Maffesoli, l’extraordinaire logicien de la langue française imagine des traductions du mot anglo-saxon « leader » comme « Duce » ou « Führer », le guide, celui qui conduit les autres à la schlague, suivez mon regard.

La science fiction a imaginé un tel monde avec le film de George Lucas (1971) THX 1138 dans lequel est décrit un monde sans émotions, sans amour, tout le monde sous la dépendance de neuroleptiques, vivant dans des conditions sanitaires stériles, sous la surveillance d’une police d’androïdes, un monde bien plus effrayant que ce qu’avait imaginé George Orwell. Voilà ce qui attend nos enfants, petits-enfants et les générations futures : tous « pucés », ne possédant rien mais heureux, en quelque sorte THX 1138 …

https://www.consilium.europa.eu/en/infographics/towards-an-international-treaty-on-pandemics/

Conséquences de la pandémie de SARS-CoV-2

L’ARNm de Pfizer et de Moderna : une arme de destruction massive !

Selon un nombre de plus en plus important d’études, la « vaccination » de milliards de personnes dans le monde n’a jamais eu les effets protecteurs escomptés qu’il s’agisse de la protection contre les formes graves de l’infection par le coronavirus, de la protection des individus contre l’infection elle-même ou de la disparition des risques de contagion. Mais il y a pire : cette thérapie génique a provoqué la morts de plus de 2 millions de personnes de tous âges, en particulier de jeunes personnes en excellente santé qui paradoxalement ne couraient qu’un risque très limité de contracter la maladie car leur système immunitaire était suffisamment solide pour combattre ce virus. Cette estimation est considérée comme basse. Et il y a pire encore : lorsque la cellule de l’individu soumis de gré ou de force à cette thérapie génique reçoit cet ARN presque totalement synthétique elle synthétise une protéine, la sous-unité 1 de la protéine de la spicule du virus, celle-ci est toxique pour l’organisme. Les effets de cette protéine sont multiples, depuis une perturbation du cycle menstruel de la femme, l’apparition de thromboses pouvant aller jusqu’à des arrêts du cœur, des effets délétères sur les gonades, le réveil de cancers jusque là endormis, l’effet facilitant d’une nouvelle infection ou encore l’apparition de maladies auto-immunes, et j’en passe.

Ce nombre de morts supplémentaires évalué par des statisticiens chevronnés comme en France Pierre Chaillot défie l’entendement sauf si on part de l’hypothèse qu’il est lié à cette « vaccination ». Avec cette corrélation tout s’explique clairement. On pourrait argumenter ainsi : puisque l’augmentation de cette mortalité restait inexpliquée et que la « vaccination » coïncidait alors la relation de cause à effet pouvait en être la cause. Certes ce rapprochement est scientifiquement contestable et jamais un scientifique ne se hasarde à ce genre de rapprochement, en d’autres termes le hasard n’est pas une preuve scientifique. C’est un principe fondamental enseigné par les patrons de laboratoire de recherche quand on commence une carrière de chercheur en science. Les contestataires comme Laurent Alexandre ou Olivier Veran, médecin de son état, oublient de mentionner que dans les pays dits pauvres n’ayant pas eu les moyens d’acheter ce « vaccin » il n’y a jamais eu de cas de morts suspectes ou d’effets secondaires comme dans les pays dits développés. Il s’agit d’une preuve par la négative comme on la pratique au cours d’essais cliniques correctement accomplis dans les règles de l’art.

Apparemment toutes ce observations ne suffisent pas et elles sont rejetées par les décideurs politiques. On les comprend puisqu’ils ont été achetés par les deux laboratoires pharmaceutiques cités plus haut pour que cette thérapie génique soit imposée au peuple pour leur plus grande satisfaction financière. Par exemple le prix de revient d’une dose de « vaccin » est un peu inférieur à 1 dollar et cette dose est facturée entre 15 et 20 dollars. Il n’y a rien d’étonnant que Pfizer ait réalisé un chiffre d’affaires de 100 milliards de dollars … Des essais cliniques bâclés, des contrats de vente secrets : n’est-ce pas là la preuve qu’il y a eu une fraude dès le début de cette campagne de « vaccination » ? Il est compréhensible que les politiciens se protègent en déléguant à des individus peu recommandables de répandre la propagande sur les « plateaux télé » des pseudo-spécialistes qui ne connaissent strictement rien au sujet des ARNs en général ni au sujet des ARNs messagers en particulier. Lorsque j’étais étudiant en maîtrise de science (on dit maintenant « master » par snobisme anglo-saxon) on venait de découvrir les ARNs messager mais on ignorait le rôle des petits ARNs dans la transcription de l’ARN ou la régulation de le traduction de ce Dernier en protéines, pour ne citer qu’un exemple particulier. La France a le privilège d’abriter l’une des plus grandes spécialistes mondiales des micro ARNs. Il s’agit d’Alexandra Henrion-Caude. Ses prises de position au sujet des ARNs messagers commercialisés par Pfizer, pour ne citer que cette entreprise, à des fins thérapeutiques ont eu pour conséquence que cette éminente biologiste soit insultée, trainée dans la boue la plus putride qui soit par des béotiens qui défendent en réalité les décideurs politiques. Il faut appeler les choses par leur nom : la politique sanitaire est conduite par une bande d’escrocs et pas seulement en France avec l’acquiescement de l’OMS.

L’OMS et le Nouvel Ordre Mondial sanitaire

L’épidémie de SARS-CoV-2 a été classée comme pandémie par l’OMS dès le début des premiers cas. Cette décision fut trop rapide car ce ne sont pas quelques cas en Italie, en France, en Chine puis en Belgique si je me souviens bien qui pouvaient conduire à cette classification aussi rapidement. L’OMS avait donc une petite idée dans la prévoyance de l’apparente gravité qu’allait revêtir cette maladie. C’est troublant ! Il apparaît maintenant qu’en réalité l’OMS, un organisme international financé en partie par des intérêts privés, a des visées totalitaires et ces visées viennent d’être révélées au grand jour avec la variole du singe qui a été déclarée « urgence sanitaire » alors que nombre de cas dans le monde se compte avec les dix doigts des mains. En ce qui concerne le coronavirus on assiste aujourd’hui au mélange des genres à l’OMS avec la nomination comme « Chief scientist » auprès de cet organisme le dénommé Jeremy Farrar par ailleurs directeur du Wellcome Trust, une organisation « charitable » impliquée dans le domaine biomédical avec en particulier ses investissements dans un certain nombres d’entreprises pharmaceutiques. Ça rappelle un peu la Fondation Bill&Melinda Gates qui sous couvert d’activités humanitaires est en réalité une entreprise financière profitable.

Pourquoi l’OMS dérive vers le totalitarisme le plus exécrable, riche de la gestion du coronavirus ? Parce que le projet de mise en place d’une structure qui prendra des mesures autoritaires que les gouvernements du monde entier devront appliquer entre dans le cadre d’une modification de la structure de l’OMS qui passerait d’une organisation consultative internationale à un organe directeur dont les décisions seraient juridiquement contraignantes. Un autre article de ce projet reprend une décision de Ronald Reagan prises en 1986 accordant aux fabricants de vaccin une immunité juridique pour les blessures et les décès causés par leurs produits ! Il n’est pas difficile d’imaginer alors pourquoi les laboratoires Moderna et Pfizer bénéficient d’une totale protection juridique au sujet des dégâts provoqués par leurs « vaccins » et poourquoi cette clause a été mentionnée dans les contrats de fourniture de ces produits à des pays ou des groupes de pays comme l’Union européenne.

On s’achemine donc vers une financiarisation de la santé au niveau mondiale sous l’impulsion d’un organisme international profondément corrompu qui détiendra une autorité absolue sur les gouvernements nationaux. Visiblement les démocraties occidentales, elles-mêmes corrompues, n’ont pas l’air de vouloir réagir à la mise en place de ce projet de mise en place d’un nouvel ordre mondial si cher au néo-nazi Klaus Schwab. Tout est expliqué en détail dans l’excellent article de Jean-Dominique Michel dont je conseille la lecture soigneuse à mes fidèles lecteurs.https://anthropo-logiques.org/oms-et-nouvel-ordre-mondial/

Le gros pavé dans le panier des crabes coronaviraux …

Xavier Azalbert (France-Soir) vient de frapper un grand coup en invitant à une longue conversation le Docteur Joseph Tritto, Président de la World Alliance for Biomedicine & Technology ( http://www.thewabt.com/WWO_organization.aspx ). Cet honorable médecin, dont j’ignorais l’existence avant cette entrevue magistrale, a méticuleusement décortiqué la genèse du SARS-CoV-2. Il a clarifié le rôle de Moderna dont le CEO est un transfuge de la société Biomérieux dans ce projet et la lourde responsabilité d’Antony Fauci qui, pour laver les Etats-Unis de tout soupçon, a financé les recherches dans le laboratoire P4 de Wuhan spécialisé dans l’étude des coronavirus de chauve-souris. Cette manœuvre avait en réalité pour but de masquer les longs travaux au sein des laboratoires de l’armée américaine sur les virus du SARS-1 et du MERS dès le début des années 2000. L’intervention de l’OMS, par conséquent en sous-main de Bill Gates, dans cette grossière manœuvre devait laver la conscience des militaires américains et rejeter l’erreur sur le laboratoire P4 de Wuhan. Antony Fauci est donc pour Joseph Tritto au cœur de cette sombre histoire.

Tritto insiste sur le fait que l’insert de 19 nucléotides breveté par Moderna pour induire un gain de fonction datait bien de 2016. Les Chinois ont également créé un virus génétiquement modifié en introduisant un insert différent d’origine bactérienne qui est indétectable par les généticiens. Comme je l’ai écrit à plusieurs reprises sur ce blog Moderna n’a pas pris la précaution de vérifier que les codons de l’arginine insérés dans l’ARN du virus n’étaient jamais rencontrés chez les coronavirus, ce qui signait la supercherie. Le Docteur Alexandra Henrion-Caude l’avait très vite signalé d’ailleurs.

Bref cet entretien révèle le montage invraisemblable qui a conduit au désastre de la pandémie. Mais il y a bien pire et le Docteur Tritto en dit un mot dans son entrevue en anglais, pour stabiliser l’ARN messager utilisé pour la thérapie génique appelée abusivement vaccin. L’armée américaine, dans sa grande mansuétude, a également financé dès 2016 la mise au point d’une technique de protection faisant appel à la technique de l’ARN messager supposé obliger l’organisme à produire l’antigène de surface du coronavirus, la sous-unité 1 de la protéine de la spicule d’attachement du virus à la membrane cellulaire. La préoccupation de l’armée américaine était de protéger ses personnels contre une nouvelle arme bactériologique, en l’occurence un virus artificiellement modifié qui puisse servir d’arme de destruction massive. On connait la suite car cette protéine s’est révélée toxique en induisant une multitude d’effets secondaires dont on ignore encore les effets à long terme sur cinq, dix ans voire plus. 

Dans son exposé en anglais Tritto mentionne également la toxicité des nano-particules de lipides synthétiques protégeant l’ARN messager injecté à des milliards de personnes. Si les investigations sur les ovaires n’ont pas encore été clairement détaillées en revanche un effet sur les testicules et la prostate a été bien documenté. Ces nano-particules provoquent des troubles graves de la spermatogenèse et ont également tendance à s’accumuler dans la prostate et encore une fois personne ne peut prévoir quelles seront les conséquences de ce phénomène à cinq ou dix ans. Selon Tritto il s’agit bien d’un gigantesque complot organisé dès 2016 par l’armée américaine …

Joseph Tritto a exposé l’histoire de l’hydroxychloroquine. Au cours des années 2000 les biologistes chinois avaient décrit l’effet inhibiteur de l’hydroxychloroquine sur l’accrochage du virus sur la membrane des cellules épithéliales et ces résultats avaient été publiés dans une revue scientifique mais écrits en chinois avec seulement un court résumé en anglais comme par exemple en France les Comptes Rendus de l’Académie Française publient des articles en français avec un petit résumé en anglais. L’impact de cet article fut presque nul mais des curieux comme le Professeur Raoult en France s’intéressèrent à ces travaux. À l’IHU de Marseille le mode d’action de l’HCQ fut précisé. Cette molécule inhibe bien la fixation du virus sur les cellules épithéliales mais provoque également un alcalinisation du milieu intracellulaire et par conséquent une inhibition de la réplication du virus. Comme l’a précisé Joseph Tritto la confirmation de l’effet bénéfique de l’HCQ a été confirmé dans tous les pays d’Afrique dont l’usage est prophylactique pour la prévention de la malaria.

Joseph Tritto est revenu sur la technique à ARN messager. Cette technique a été mise au point par le Docteur Robert Malone. Ce dernier a toujours insisté sur le fait que cette approche devait être considérée comme expérimentale et en dernier recours pour tenter de soigner des formes de cancers réfractaires à tous les traitement chimiques connus. L’interdiction de l’HCQ puis de l’ivermectine fait naturellement partie du complot ourdi par l’armée américaine. Aveuglés par les perspectives prometteuses de la technique à ARN messager dans le fait qu’il serait possible sur le papier de mettre au point rapidement une sorte de thérapie de protection contre tout agent pathogène nouvellement manipulé en laboratoire afin de protéger les personnels militaires, les laboratoires pharmaceutiques étaient prêts à inonder très rapidement le monde entier avec des pseudo-vaccins pour le plus grand bénéfice de ces mêmes laboratoires pharmaceutiques. C’est la raison pour laquelle l’interdiction de l’HCQ fut imposée à tous les pays qui suivent les directives des organismes tels que le CDC et le NIH aux USA, directives reprises par l’OMS.

Enfin l’« affaire » des tests de diagnostic utilisant la technique dite PCR, car il s’agit bien d’une gigantesque affaire au sens financier du terme, a également été abordée par Tritto. Ce sont des milliards de dollars qui ont été engloutis dans ces tests. J’ai utilisé cette technique au cours de mes travaux de recherche et je la connais bien. Comme je l’ai déjà mentionné sur ce blog la technique PCR n’est opérationnelle qu’en présence d’ADN double brin. Quand il s’agit d’amplifier la présence d’ARN il faut d’abord convertir cet ARN en ADN avec un enzyme appelé transcriptase réverse (RT en anglais, ne pas confondre avec Russia Today). Les cycles d’amplification permettent d’isoler un gène pour en étudier ensuite la séquence de nucléotides. Il s’agit d’une technique initialement utilisée en recherche dans le domaine de la biologie moléculaire. Je me souviens n’avoir utilisé que 16 cycles d’amplification pour isoler le gène codant pour une protéine présentant une activité enzymatique. Au delà de 16-20 cycles d’amplification à l’aide d’une amorce synthétique, un petit morceau d’ADN, dérivée dans ce type d’investigation de la séquence d’un fragment de la protéine en question après séquençage des amino-acides de celle-ci, on commence à voir apparaître n’importe quoi. C’est la raison pour laquelle le test dit PCR ne peut pas être utilisé comme outil de diagnostic en raison de l’apparition inévitable de faux positifs. Des firmes spécialisées dans la production de réactifs pour les laboratoires de recherche, en particulier allemands et américains, ont sauté sur l’occasion pour réaliser d’immenses profits en proposant ce test pour le dépistage des cas « positifs » PCR-coronavirus autorisant les gouvernements occidentaux à mettre en place des mesures coercitives mais surtout à favoriser la bonne santé financière de ces fabricants de réactifs de laboratoire. On connait la suite : les nombres de cas augmentent donc il faut procéder à des rappels de « vaccins » et la mécanique de la machination s’auto-entretient, indépendamment du fait que cette « vacination » fait apparaître des anticorps facilitants qui fragilisent les sujets sains à une nouvelle infection. Les tests PCR font partie de ce complot coronaviral !

Il faut écouter avec une grande attention les propos de Giuseppe Tritto. Selon mes informations son ouvrage dans lequel il détaille ses travaux d’enquête tous factuellement vérifiés est malheureusement en italien car la somme d’informations qu’il a divulgué au cours de ses deux exposés est tout simplement extraordinaire … Liens :

https://www.youtube.com/watch?v=xRuvqiMrNJg (en anglais)

https://www.francesoir.fr/videos-l-entretien-essentiel/les-armes-biologiques-sont-developpees-malgre-les-traites

Deux brèves : Francis Boyle et les plus vieilles traces d’outils il y a 3 millions d’années

Francis Boyle : un gros pavé dans le marigot des institutions internationales, en particulier l’OMS !

Interviewé par Xavier Azalbert, ce juriste américain, une grosse pointure, expose dans cet exposé son point de vue au sujet de la pandémie de coronavirus et la position de l’OMS, de la DARPA, Fort Dietrick, le P4 de Wuhan, et bien d’autres institutions et personnalités dont Antony Fauci dans cette sombre histoire qui prit sa source il y a de nombreuses années avec les manipulation de germes pathogènes par les armées pour mettre au point des armes biologiques. Avec la pandémie coronavirale le monde entier a été, à son corps défendant plongé dans cette problématique. Le rôle de l’OMS, pour Boyle l’organisme international le plus corrompu, est majeur et va amplifier dans les prochains mois. Je conseille vivement mes lecteurs à se plonger dans l’audition de ce debriefing. Je salue au passage Xavier Azalbert qui est à la tête d’un des rares médias français choisissant des sources d’information que tous les autres « informateurs » négligent sur ordre des autorités politiques. Faites vite car cette entrevue a toutes chances d’être censurée !

https://www.francesoir.fr/videos-les-debriefings/le-traite-sur-les-pandemies-e-l-oms-instaureront-un-etat-mondial-policier

Bien avant l’apparition d’Homo sapiens sapiens nos lointains ancêtres mi-hommes mi-singes …

Des fouilles d’archéo-paléontologie effectuées au bord du Lac Victoria au Kénya débutées en 2016 ont montré la présence d’un site de boucherie organisée pour débiter des hippopotames et toutes sortes d’autres gibiers. Le site a été précisément daté par la technique uranium/thorium/hélium à environ 3 à 2,8 millions d’années avant l’ère commune. Des éclats de silex ont été retrouvé sur ce site ainsi que des traces de feu et tous ces restes prouvent que nos lointains ancêtres maîtrisaient le feu, la confection d’outils de boucherie et l’abattage de gros animaux qui devait être le résultat d’une chasse collective organisée. À quoi ressemblait cet ancêtre correspondant à celui qui est appelé Homo parenthropus, que mangeait-il ? Pour la chasse au gros gibier il est clair que les femmes (femelles?) restaient à l’écart, c’est à peu près tout ce que l’on peut imaginer. La confection d’outils de découpage de la viande et de décharnement des os devait être du ressort des hommes mais pour l’entretien du feu il s’agissait probablement d’une tâche partagée.

L’étude minutieuse du site a permis de retrouver deux dents « humaines » et l’étude isotopique de ces dents a clairement indiqué que ces hommes se nourrissaient essentiellement de viande avec un petit détail tout de même, le rapport entre les isotopes 12 et 13 du carbone étudié dans les deux uniques molaires a indiqué que les animaux abattus étaient des animaux brouteurs compte tenu du fait qu’il est possible de différencier par l’étude de ces deux isotopes de quel type de plantes ces derniers se nourrissaient.

La forme des molaires retrouvées montre enfin que le maxillaire était robuste et la dentition bien adaptée pour mastiquer des aliments de consistance solide et robustes. Le travail de boucherie a été bien précisé avec l’étude des entailles de ces outils rudimentaires sur les os des animaux tandis que la récupération de la moelle des os long était méticuleusement effectuée, ces os long étant systématiquement brisés en petits fragments permettant d’atteindre avec facilité cette moelle. D’autres sites du même type étudiés en Ethiopie dans la région du triangle des Afars ont été également datés avec précision. Ils sont tous postérieurs de près de 400000 ans à celui de Nyayanga dans la péninsule de Homa, diverticule du Lac Victoria, le site de la présente étude. La culture Oldowan dérivée des découvertes dans la région de la gorge d’Olduvai en Tanzanie est maintenant « déclassée » par cette découverte la plus ancienne connue à ce jour.

Une telle découverte conforte la thèse maintenant admise que l’homme moderne est le fruit d’une lente évolution à partir d’un ancêtre commun avec les grands singes et cette évolution fut relativement rapide, une dizaine de millions d’années, mais cette dernière remarque de ma part est purement spéculative. Et j’en assume l’entière responsabilité …

Illustrations : Smithonian Institution, et liens suivants :https://www.science.org/doi/10.1126/science.abo7452?adobe_mc=MCMID%3D23240271894792280002703349530301608848%7CMCORGID%3D242B6472541199F70A4C98A6%2540AdobeOrg%7CTS%3D1677098931et pour les lecteurs exigeants un exposé sur la datation U/Th/He :https://www.geo.arizona.edu/~reiners/arhdl/longer.htm

L’Europe s’enfonce délibérément dans le totalitarisme vaccinal

L’OMS inféodée aux intérêts du lobby pharmaceutique a déclaré en utilisant sa boule de cristal que l’automne serait traversé par une horrible reprise de la pandémie coronavirale. En conséquence notre chère Ursula, mère de tous les Européens, a commandé de quoi injecter 9 fois tous ces Européens quel que soit leur âge. Ou bien la Commission européenne est complètement corrompue avec en premier lieu la Présidente de cette commission ou alors l’OMS dispose d’informations relatives à l’existence d’un nouveau coronavirus encore plus génialement manipulé en laboratoire. Dans cette perspective l’OMS prépare à la hâte un traité contraignant pour imposer ses directives sanitaires (voir la note en fin de billet).

Ce sont ainsi les bailleurs de fond de l’OMS qui dicteraient leur loi. Parmi ceux-ci on trouve Youtube filiale de Google qui, comme chacun sait, censure la moindre vidéo non conforme aux projets de domination du lobby pharmaceutique sur la santé des personnes. L’Open Society de George Soros, la Wellcome Foundation, la Fondation Rockefeller et la Ford Foundation, Microsoft, la Fondation Bill & Melinda Gates et … l’Union européenne comptent parmi les principaux contributeurs sans oublier le groupe Brunswick, société de conseil financier et social. Les Etats membres de l’ONU ne représentent plus que 20 % du financement de l’OMS. Par conséquent l’OMS, comme un quotidien papier appartenant à un oligarque, ne peut plus prendre de décisions objectives adossées à la science médicale. Et avec cette disposition que va prendre l’OMS il va sans dire que les libertés seront foulées aux pieds, qu’il n’existera plus que deux sortes de personnes : les « vaccinés » et les autres. Ces derniers seront traités comme des parasites ou pire encore n’auront plus accès aux systèmes de protection de santé qui existent dans les pays européens. Le terme « vacciné » n’est pas adéquat puisque la thérapie génique (Pfizer ou Moderna) n’a rien à voir avec un vaccin traditionnel. Il faut en effet des injections de rappel périodiques puisque cette thérapie est totalement inefficace ce qui n’a jamais été le cas pour tous les autres vaccins mis au point au cours du vingtième siècle.

Il apparaît en ce qui concerne le contrat européen d’achats de doses d’ARN messager que la Pologne et les Etats baltes refusent de suivre la Commission européenne et on les comprends puisque parmi les 9 milliards de doses d’ARN quelques 80 millions ont été proposés gratuitement à divers pays africains avant que ces doses soient périmées. Ces derniers pays ont manifesté leur étonnement puisque le coronavirus n’a tué que très peu de personnes chez eux car les populations prennent chaque jour leur dose de chloroquine ou d’hydroxychloroquine en raison de la malaria endémique si ce n’est de l’ivermectine en cas de cécité des rivières ou d’autres vers parasites ou encore si des protozoaires pathogènes sévissent dans une région ou une autre de ces pays. Bill Gates aura beau agiter les mains il ne pourra pas imposer une quelconque thérapie génique en Afrique. Il ne faut pas prendre les Africains pour des idiots.

Pour comprendre quelle est la pression exercée par les laboratoires pharmaceutiques sur les gouvernements et sur les instances internationales comme la Commission européenne ou encore l’OMS la seule commande de l’Europe via Madame Ursula von der Leyen, une proche du PDG de Pfizer, 4,2 milliards de doses à un prix moyen de 16 dollars représente, pour Pfizer seulement, la coquette somme de 67 milliards de dollars. Un milliard de dollars suffit à corrompre toutes les parties prenantes dans ce scandale.

Enfin derrière la carte d’identité sanitaire électronique à l’échelle européenne se dissimule le grand dessein des hommes de Davos, la réduction de la population en raison des multiples effets secondaires de la thérapie génique rendue de facto obligatoire pour tous, quel que soit l’âge ou l’état de santé. La fréquence et la gravité de ces effets secondaires croitront exponentiellement en faction des divers rappels qu’il est commun d’appeler « boosters ». Avec l’OMS on entre dans une ère totalitaire au cours de laquelle les libertés chèrement acquises au cours des siècles passés seront insidieusement abolies en quelques mois ou quelques années …

Note. Un récent article paru dans la revue Nature ( https://doi.org/10.1038/s41586-022-04788-w) indique que le changement climatique favorisera l’apparition de 5000 nouveaux virus pathogènes pour l’homme au cours des 50 prochaines années. Peut-être que l’OMS a été inspirée par cet article qui, à nouveau, n’est qu’une modélisation à laquelle il ne faut accorder qu’un crédit limité.

Retour sur la chloroquine

En 2005 le CDC (Center for Disease Control, Atlanta Georgia) publia un article dans le Virology Journal (doi : 10.1186/1743-422X-2-69 ) dans lequel il était précisé que la chloroquine était un inhibiteur de l’infection et de la dissémination du SARS coronavirus. Cet article est en accès libre et peut être consulté par n’importe qui. En 2014 une équipe de biologistes du NIAID (National Institute of Allergy and Infectious Diseases) publia un intéressant article relatif cette fois à l’application de « vieilles molécules » pour le traitement du MERS (Middle East Respiratory Syndrome) provoqué par un coronavirus très proche du SARS-CoV-2 d’aujourd’hui (doi : 10.1128/AAC.03036-14 ) également en accès libre. Cette étude réalisée dans l’institut dirigé par Antony Fauci que tout le monde connaît de nom fait état de 66 vieilles molécules actives pour neutraliser le SARS-CoV, le MERS-CoV ou les deux.

Bien avant l’explosion de l’épidémie de SARS-CoV-2 en 2020 le gouvernement américain savait qu’il existait de vieilles molécules éprouvées sur le plan de la toxicité pour traiter cette maladie virale. Les autorités médicales européennes étaient également informées puisqu’un groupe de biologistes des Universités de Leiden aux Pays-Bas et de Louvain en Belgique confirmaient également en 2014 ce que leurs homologues du NIAID avaient démontré (doi : 10.1128/AAC.03011-14, en accès libre). Dans ces trois études l’Ivermectine n’apparaissait pas. Pourquoi la chloroquine, entre autres vieilles molécules éprouvées mais dont l’autorisation de mise sur le marché ne concernait pas un traitement antiviral, fut-elle immédiatement interdite de vente et de prescription par les médecins de premières ligne ? D’où provenait cette interdiction toujours de rigueur dans les pays occidentaux ? Un incroyable enchainement d’évènements liés les uns aux autres conduisit à l’interdiction de la chloroquine et de sa version moins toxique sur le long terme, l’hydroxychloroquine, dont le point culminant fut la publication par The Lancet d’une étude complètement frauduleuse dont les auteurs étaient des inconnus dans la sphère scientifique. Des essais cliniques furent bâclés pour ne surtout pas arriver à la conclusion que l’hydroxychloroquine, associée ou non à l’azithromycine, était efficace comme par exemple en traitant des malades presque mourants ou en utilisant des posologies hautement toxiques.

Tout fut donc méthodiquement organisé pour interdire cette molécule et le même sort fut réservé à l’Ivermectine quand son efficacité fut démontrée par hasard lorsque des vieillards souffrant de la gale furent traités dans des hospices de la région parisienne. Qui sont les instigateurs de ces interdictions ? Personne n’ose le dire. Il me faudra attendre d’être à Tokyo, peut-être au mois d’avril, pour lire l’opus de Robert F. Kennedy,Jr qui sera disponible en français dans quelques jours car Amazon est inopérant à Tenerife. Antony Fauci connaissait les travaux de gain de fonction réalisés sur les coronavirus, il connaissait également les travaux réalisés au NIAID relatifs à la chloroquine et il savait que la séquence de l’ARN du coronavirus était connue bien avant sa publication par les Chinois au début de l’année 2020. Fauci a-t-il subi la pression des laboratoires pharmaceutiques qui « planchaient » déjà sur un « vaccin » à ARN messager ? C’est l’hypothèse la plus vraisemblable car les laboratoires pharmaceutiques américains, en particulier Pfizer, connaissaient de graves difficultés financières et l’opportunité d’inonder le monde entier, sans faire de jeu de mots, avec une mixture qui se révélera toxique et inutile contre argent sonnant et trébuchant, des centaines de milliards de dollars, était la bien venue. Au cours d’une entrevue avec la journaliste Catherine Austin Fitts le Sénateur Robert F. Kennedy,Jr a exposé le détail de ses investigations : la corruption est omniprésente aux Etats-Unis qu’il s’agisse de la FDA, des agences de santé HHS, du CDC et de la NIH. Selon le Sénateur Fauci a transformé la NIH en incubateur pour les produits pharmaceutiques des grandes firmes américaines. Par un effet miroir tous les organismes européens et des nations européennes ont subi la même corruption et enfin l’OMS n’est qu’une marionnette tant des laboratoires pharmaceutiques américains que du GAVI, une émanation de la fondation Bill & Melinda Gates. Enfin un autre aspect paraissant inattendu est la censure systématique de toutes les interventions médiatisées hostiles à ces « vaccins » ou qui concernent l’hydroxychloroquine et l’Ivermectione. Les « GAFAM » ont subi la gentille pression des laboratoires pharmaceutiques pour collaborer. Après plus d’un million de morts qui auraient pu être sauvés la justice, s’il y en a encore une, devra s’intéresser de très près à cette affaire, un sacrifice sur l’autel du profit des grands laboratoires pharmaceutiques.

Quelles que soient les manifestations de rue dans les villes ou de routes comme au Canada et maintenant en Europe on ne remarque qu’une forte mobilisation policière qui est le signe d’une dérive des démocraties européennes vers le totalitarisme généralisé. Des blindés dans les rues de Paris : il faut remonter à l’occupation allemande pour retrouver un tel spectacle ! 

Un lien pour les anglophones : https://doctors4covidethics.org/d4ce-symposium-ii-video-replay-the-real-anthony-fauci-catherine-austin-fitts-talks-with-robert-f-kennedy-jr/

Est-il déjà trop tard ? (suite)

Avant même la mise au point des thérapies géniques à ARN messager les laboratoires pharmaceutiques savaient que l’hydroxychloroquine associée ou non à un macrolide comme l’azithromycine présentait des propriétés antivirales. Cette activité avait été mise en évidence par les biologistes chinois au cours des années 2000 après l’émergence du SRAS. De plus ce dérivé de la quinine est très largement utilisé dans le monde pour combattre le parasite de la malaria. Les propriétés immuno-modulatrices de cette molécule ont élargi son spectre de prescription puisqu’elle est une thérapie de choix pour traiter la polyarthrite rhumatoïde inflammatoire et le lupus. Le Professeur Raoult, familier de cette molécule qu’il a étudié pour combattre certaines endo-parasitoses comme les rickettsies, a donc naturellement utilisé ce produit comme traitement précoce de l’infection par le SARS-CoV. On ne peut pas, en effet, reprocher au Professeur Raoult de mettre à jour ses connaissances en lisant les articles scientifiques relatifs à une molécule bien connue de son laboratoire, c’est presque un réflexe de tout scientifique digne de ce nom.

L’hydroxychloroquine (HCQ) a alors, à la demande des laboratoires pharmaceutiques engagés dans la production de la thérapie génique, été interdite de vente et de prescription. Pour masquer la vraie raison de cette interdiction ont été avancés des arguments fallacieux comme l’induction de problèmes cardiaques, la dangerosité intrinsèque de cette molécule pourtant utilisée par des milliards de personnes dans le monde et enfin le manque de preuves conformément au protocole d’essai clinique en double aveugle, de son efficacité. Le Professeur Raoult est un clinicien pragmatique et il a très vite publié les résultats de l’HCQ sur la diminution de la charge virale lorsque ce produit est utilisé au stade précoce de la maladie. Il a été traité d’escroc, de charlatan et d’autres noms d’oiseau car il risquait de déstabiliser l’agenda des grands laboratoires pharmaceutiques. Ces derniers ont porté le coup de grâce en commanditant la publication dans The Lancet (c’est mon point de vue personnel) d’un article frauduleux qui a entériné définitivement l’interdiction de l’HCQ dans tous les pays occidentaux. Le Professeur Raoult a été censuré. L’Ordre des Médecins, émanation du régime fasciste de Vichy, a fait le reste. S’il n’y a pas de complot derrière cette histoire de l’HCQ alors je n’ai rien compris.

Presque simultanément le Professeur Perronne, infectiologue, expert en vaccins reconnu mondialement, souvent ostracisé pour ses travaux sur la maladie de Lyme car il combattait le point de vue des psychiatres qui considéraient cette maladie relevant de la psychiatrie (c’est une autre histoire), a également été censuré, insulté et privé de sa fonction de chef de service à l’hôpital de Garches pour avoir eu l’audace de critiquer la thérapie génique et les mesures décidées par le fameux conseil de guerre sanitaire. S’il n’y a pas de complot derrière la déchéance organisée du Professeur Perronne alors je n’ai rien compris.

Au cours de l’année 2020 l’effet de l’Ivermectine sur le coronavirus a été découvert fortuitement. Ce produit est extrêmement efficace pour combattre toutes sortes de parasitoses, vers intestinaux ou oculaires (cécité des rivières), les protozoaires comme celui à l’origine de la gardiase, une diarrhée souvent fatale chez les très jeunes enfants, et enfin pour se débarrasser des acariens tels que les poux, les demodex, la gale … Encore une fois des milliards de personnes utilisent l’Ivermectine dans les pays dits du tiers-monde. Jamais aucun effet toxique de ce produit n’a été décrit en 40 ans d’utilisation. Et pourtant quand l’effet antiviral de l’Ivermectine a été découvert ce produit a été immédiatement interdit pour le traitement précoce de l’infection par le coronavirus et cette interdiction a été encouragée par l’OMS, un organisme onusien notoirement corrompu par les laboratoires pharmaceutiques et des organismes privés comme la fondation Gates. S’il n’y a pas un complot derrière l’interdiction de l’Ivermectine alors je n’ai encore une fois rien compris.

En Europe la Commission européenne, infiltrée par le puissant lobbying des majors de la pharmacie n’a eu d’autre choix que d’encourager la thérapie génique par ARN messager à l’exclusion de tout traitement précoce de l’infection coronavirale. La censure et la collaboration des médias européens, eux-mêmes corrompus, ont fait le reste : des centaines de milliers de morts auraient pu être évités à l’aide de ces traitements précoces peu coûteux. Il est impossible d’ignorer que tous les décideurs politiques occidentaux sont donc complices de crimes, et pour être plus précis d’assassinats en règle puisqu’à l’évidence tout était prémédité depuis le début de l’épidémie. La question que l’on peut se poser aujourd’hui est de savoir comment cet état de fait va être mis au grand jour, mais il est peut-être déjà trop tard, j’écrirai quelques lignes à ce sujet dans un prochain billet. 

Brève. Le mutant omicron

Dans l’alphabet grec il y a deux « o » le petit, omicron, et le grand : omega qui porte bien son nom. Selon toutes les source scientifiques disponible à l’heure actuelle ce nouveau mutant, le « super-variant » comme le pensent les analystes financiers, plonge les grands spécialistes de l’OMS, filiale de la fondation Bill Gates (oui, seulement « fondation Bill », car Melinda n’a pas apprécié que son époux se livre à des orgies sexuelles avec des pucelles grassement payées par Jeff Epstein), donc l’OMS cherche avec appréhension combien de morts ce mutant inattendu a provoqué. En Afrique du Sud : zéro, et dans tous les pays maintenant hôtes de ce mutant, même situation. C’est vraiment décevant ! Quelques petits mensonges de plus et tout rentrera dans l’ordre.

Dès qu’il y a un mort estampillé « coronavirus » les biologistes s’empressent de cultiver les prélèvements pour multiplier le virus et en faire la séquence de l’ARN génomique. Rien ! Il trouvent invariablement le variant dit « delta » car dire « indien » ce serait une connotation colonialiste, je n’en dirai pas plus. Bref, le mutant omicron n’a tué personne en Afrique du Sud, pire encore personne n’a été hospitalisé car ce mutant ne provoque qu’un rhume bénin. Quelle déception pour l’OMS et ses affidés, je veux dire les laboratoires pharmaceutiques occidentaux, car si cette forme mutante du coronavirus originaire de Wuhan, c’est la doxa, est hautement contagieuse mais vraiment pas dangereuse (puisqu’il n’existe toujours pas de preuve de cette dangerosité) alors on ne peut que souhaiter que ce nouveau mutant envahisse la planète entière, infecte tout le monde y compris les « vaccinés » et leur procure, enfin, une immunité et qu’enfin également l’épidémie disparaisse d’elle-même.

Il paraît qu’il existe des amorces adaptées pour la détection du mutant omicron par RT-PCR mais comme cette technique est utilisée en dépit du bon sens les pouvoirs politiques exigeront des tests systématiques pour mieux stigmatiser les peuples afin de les priver encore plus profondément de leurs libertés. On assiste donc, impuissants, au retour du fascisme et du totalitarisme dans des pays européens qui ne voulaient plus en entendre parler. L’histoire dit que lorsque l’armée allemande envahit l’Autriche en 1938 elle fut accueillie par des applaudissements. L’Autriche a retrouvé ses vieux démons et l’exemple de ce pays fait des émules en Europe. Il est vrai que priver les peuples de liberté doit être jouissif pour des chefs d’Etat qui ne sont que des pantins désarticulés manipulés par des puissances financières qui ont trouvé en eux le moyen de mettre en application leurs desseins totalitaires. Paul Craig Roberts l’a très bien montré dans son article que j’ai mis en ligne hier sur ce blog : l’Europe s’achemine vers une dictature à la chinoise et si les peuples continuent à nier l’évidence il sera rapidement trop tard. Il sera trop tard quand les policiers tireront à balles réelles sur des manifestants désarmés, il sera trop tard quand ces politiciens criminels et corrompus d’Europe auront ouvert des camps de concentration dans lesquels on laissera mourir ceux qui refusent de se plier à la thérapie génique obligatoire. Il ne suffit plus de manifester avec des petits drapeaux dans la rue, l’heure est devenue trop grave et il n’y a plus d’autre alternative que la violence et la révolution. Triste avenir … À mes lecteurs de déterminer qui est la personnalité figurant dans ce billet.

La corruption de l’OMS enfin dévoilée au grand jour !

Pourquoi l’OMS a interdit l’hydroxychloroquine en 2020 et plus récemment l’ivermectine pour le traitement précoce et la prophylaxie contre le SARS-CoV-2 ? C’est une grave question que chacun est en droit de se poser. À cette question il est opportun d’en adjoindre une autre : les Etats, souverains, sont-ils tenus de suivre à la lettre les recommandations de l’OMS ? J’ignore quels sont en détail les statuts de l’OMS mais compte tenu de l’opacité entourant les décisions de cet organisme et la participation à hauteur de 15 % de la Fondation Gates associée au GAVI l’activité de l’OMS est par conséquent contestable. Les recommandations de l’OMS au sujet des traitements précoces contre le SARS-CoV-2 ont été contestées officiellement par le Ministère de la santé du Sénégal mais de nombreux pays ont autorisé la prescription par les médecins traitants de l’hydroxychloroquine, au Mexique, dans de nombreux pays d’Amérique du Sud, en Afrique et en Extrême-Orient. Il y a une nuance de taille entre la recommandation et l’interdiction. L’OMS a recommandé le Remdesivir et s’est ravisée quelques mois plus tard en déclarant que ce produit était « déconseillé », un épisode qui révèle à quel point cet organisme est corrompu ou, dans un langage plus diplomatique, perméable aux pressions des laboratoires pharmaceutiques. Il est nécessaire de rappeler ici que l’Union européenne a commandé pour un milliard d’euros de doses de cet antiviral fantôme quelques heures avant que l’OMS n’en déconseille l’utilisation. Il faut être aveugle pour ne pas se rendre compte que cet organisme est complètement pourri de l’intérieur.

L’Inde est une fédération d’Etats et le gouvernement central dispose de peu de pouvoirs en matière de santé car ce sont les Etats qui prennent les dispositions adéquates pour la santé de leurs populations. Il en est de même au Mexique ou encore au Brésil. Au niveau des actions en justice l’Inde a nettement pris de l’avant attaque l’OMS. La cour de justice de l’Etat du Maharashtra dont la capitale est Mumbai a donc décidé d’attaquer l’OMS non seulement au sujet de l’interdiction de la prescription de l’hydroxychloroquine mais également de celle de l’ivermectine. C’est une première depuis que cet organisme supranational existe car il a été créé en 1947 et bien que sous son impulsion de grandes réussites aient été achevées comme l’éradication de la variole ou la quasi élimination de la polyomyélite le vieillissement aidant cet organisme est maintenant totalement corrompu par les laboratoires pharmaceutiques.

Ces interdictions des traitements précoces du SRAS-CoV-2 sont à l’évidence téléphonées par ces laboratoires qui ont réalisé à ce jour 400 milliards de dollars de profits. Ces profits sont réalisés avec un produit expérimental dont ils ignorent les effets sur la durée. De plus ils ont obtenu des gouvernements occidentaux qu’ils soient lavés de toute responsabilité juridique mettant en avant le caractère d’urgence pour immuniser massivement les populations afin d’éradiquer le virus. C’est tout simplement de l’escroquerie, un scandale planétaire qu’il faut dénoncer. Une multitude d’avocats s’occupent de ce scandale et je suis impatient d’assister au résultat de ces actions.

L’enseignement à tirer de cette affaire est clair : il ne faut pas politiser la santé, ce domaine est du ressort des médecins et d’eux seuls. Dans cette corporation il y a aussi des brebis galeuses vendues au lobby pharaceutique. Il faut les poursuivre en justice également et faire en sorte qu’elles soient emprisonnées pour des motifs très évidents : mise en danger d’autrui et non respect des principes fondamentaux de la médecine ayant entrainé la mort. Peut-être qu’en France, seulement, 50000 morts auraient pu être sauvés et dans le monde des centaines de milliers des vies auraient pu été épargnées. C’est une attitude massivement criminelle qu’il est urgent de dénoncer. L’OMS est complice dans cette sombre histoire mais également les gouvernements. Les mois à venir vont être passionnants …

Inspiré d’un article paru sur le site de France-Soir ( https://www.francesoir.fr/politique-monde/livermectine-utilisee-en-inde-avec-succes-confirmee-comme-traitement-contre-la-covid ). Prochain article sur ce sujet, le cas du Texas. Je rappelle à mes lecteurs que j’exprime mes propres opinions mais qu’en aucun cas on peut me qualifier de « complotiste ».