Donald Trump se prend pour Don Quichotte et il a bien raison !

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Comme votre serviteur, le Président américain parle de « moulins à vent » pour désigner les « turbines » éoliennes. Selon l’association américaine de l’énergie éolienne il y a 57000 « moulins à vent » installés sur le territoire américain et pour Donald Trump c’est déjà beaucoup trop. Je cite : « Je n’ai jamais compris le vent. Je connais bien les moulins à vent. Ils sont bruyants, ils tuent les oiseaux. Vous voulez voir un cimetière d’oiseaux ? Allez sous un moulin à vent un jour ! Vous verrez plus d’oiseaux morts que jamais dans votre vie auparavant. »

Ces propos rapportés par The Guardian, un journal de gauche anglais, n’ont pas vraiment plu aux partisans de l’énergie verte. Et Donald Trump d’ajouter, ce qui n’a pas non plu fait les choux gras des écolos, que ces moulins à vent sont fabriqués en Chine et qu’ils posent de graves problèmes pour l’environnement. Selon un rapport de la WildLife Society publié en 2013 les moulins à vent avaient déjà décimé un demi-million d’oiseaux dont 83000 aigles pêcheurs, le Bald Eagle, emblème de l’Empire américain.

La durée de vie d’une éolienne est estimé à (au mieux) 25 ans. Après on fait quoi ? Le gouvernement allemand a décidé de ne plus subventionner l’énergie éolienne. Résultat : plus un seul « moulin à vent », comme dit Donald Trump, n’a été installé durant ces derniers trois mois en Allemagne. Il semblerait que les Allemands commencent à comprendre que les énergies renouvelables ne sont pas adaptées à l’économie allemande : on ne peut pas alimenter les milliers de robots de l’industrie automobile avec de l’électricité dont la fiabilité laisse à désirer. De plus, ce secteur industriel est en pleine reconversion avec l’abandon progressif du diésel et la manufacture de modèles « tout électrique » (cf. un prochain billet sur ce blog). Il faudra alors également une source d’électricité fiable pour alimenter toutes les voitures électriques. Une dure reconversion qui ne pourra être menée à bien que si l’Allemagne dispose de sources d’électricité non aléatoires.

Conclusion : Donald Trump a raison de s’en prendre aux moulins à vent et il donne l’exemple à d’autres pays après avoir dénoncé l’accord sur le climat de Paris.

Elon Musk et la Tesla modèle 3, ça sent l’escroquerie

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Au mois d’avril dernier j’avais laissé un billet au sujet de la voiture électrique Tesla (voir le lien) et je me posais la question, à juste titre d’ailleurs, de savoir qui était réellement Elon Musk. Des éléments de réponse viennent s’accumuler depuis quelques semaines. Il y a d’abord le fiasco total de la production de la Tesla modèle 3 supposée toucher un plus large public que ses consoeurs les modèle S et X qui sont réservés à une clientèle aisée. Durant le troisième trimestre de cette année Tesla a péniblement produit 3590 véhicules perdant durant la même période la coquète somme de 619 millions de dollars. Pendant cette même période Tesla n’a produit que 220 modèle 3, tous assemblés « à la main » car les chaines de production ne sont pas encore automatisées.

Elon Musk avait pourtant, lui qui est un habitué des apparitions grandioses en public, déclaré en février dernier que la production du modèle 3 atteindrait 5000 véhicules par semaine avant la fin de l’année 2017. Force est de constater qu’il n’en est rien … Quant au modèle S Tesla n’en a produit que 1335 en novembre alors que General Motors a vendu ce même mois de novembre 2987 Chevy Bolt dont le prix est sensiblement identique à celui de la Tesla modèle 3. La Chevy Bolt n’a représenté ce même mois de novembre que 1,2 % de l’ensemble des ventes de GM. Cherchez l’erreur !

Pendant ce temps Elon Musk a présenté son semi-remorque électrique entièrement fait main. C’est un prototype, certes, mais il restera encore longtemps comme une Ferrari pour un conducteur de Deux-Chevaux. Elon Musk, avec la dette abyssale de sa société – les actions émises à Wall Street à hauteur de plus de 52 milliards de dollars – et l’organisation surréaliste de sa société, ressemble de plus en plus à un escroc habitué aux coups de pub pour attirer les investisseurs. Son dernier coup en date réalisé en 100 jours, ça sent la déconfiture à la Napoléon Bonaparte, est le fameux ensemble de batteries dit Powerpack installé à Jamestown au nord d’Adélaïde pour stocker l’électricité produite par les moulins à vent installées et exploités, eux, par la firme française Neoen. D’une capacité de stockage de 100 MW cet ensemble qui a coûté « au moins » 50 millions de dollars selon Musk devrait contribuer à lisser les pics de consommation dans cette région reculée des Nouvelles Galles du Sud (NSW), Etat qui a autoritairement opté pour l’énergie électrique « toute verte » souffre de black-out chroniques. Surgit alors une autre question : comment un tel investissement qui peut à peine subvenir aux besoins de 30000 maisons d’habitation peut-il significativement contribuer à diminuer le nombre de coupures d’électricité dont souffrent les habitant des NSW ?

Le surréalisme a atteint cette fois des sommets mais on est en Australie, ce pays étant le premier producteur de charbon dans le monde et l’un des plus importants producteurs de gaz naturel. À ne plus rien y comprendre ? Non, il reste qu’Elon Musk est un opportuniste doublé d’un escroc et que sa chute est programmée à brève échéance. Les chroniqueurs diront plus tard que c’était un visionnaire et comme beaucoup de visionnaires il n’avait aucun sens de la gestion d’une entreprise, belle excuse. Toujours est-il que certains clients de Tesla ayant versé une avance sur l’achat d’une Tesla modèle 3 et perdant patience ont tenté de se faire rembourser. Ils ont eu la douloureuse surprise de se voir opposé une close en petits caractères au bas de leur contrat stipulant que récupérer ses fonds était impossible et qu’ils devaient être patients. Comme c’est beau les technologies renouvelables !

Sources : Wolfstreet, Techxplore, Mike Shedlock, Futurism

https://jacqueshenry.wordpress.com/2017/04/23/elon-musk-un-genie-un-doux-reveur-un-escroc-ou-les-trois-a-la-fois/

Crise climatique : la fin de la mascarade des écologistes ?

 

Il y a quelques jours James Hansen a livré son point de vue sur la transition énergétique « made in Germany » lors d’une interview au quotidien Der Speigel. Il faut rappeler qui est Hansen pour comprendre les faits. Il a travaillé au sein de la NASA sur l’atmosphère de Vénus et en a déduit à tors que le CO2 qui est le constituant majeur de l’atmosphère de cette planète était un « gaz à effet de serre » puisque la température au sol y atteint près de 500 degrés. Les paramètres applicables à Venus ne sont évidemment pas transposables à la Terre en termes de densité ou de composition chimique atmosphériques. Ce fut la principale erreur commise par James Hansen qui ne sait d’ailleurs plus comment faire amende honorable car tout de même un tel scientifique ne devrait même pas avoir droit à l’erreur.

Pour se racheter de ses exactions dans l’idéologie politique relative au climat – il n’y a plus trace de science dans ce domaine – Hansen a déclaré que l’abandon par l’Allemagne de l’énergie nucléaire était une très grave erreur. La transition énergétique allemande décidée à la va-vite à la suite de l’accident de la centrale nucléaire de Fukushima-Daiichi au Japon est effectivement une véritable catastrophe et Hansen de déclarer, je cite : « (abandonner le nucléaire) c’est une immense erreur pour le monde entier. La plupart des pays ne peuvent pas envisager de futur sans énergie nucléaire« . Et d’ajouter, je cite toujours : « l’énergie nucléaire est la plus respectueuse de l’environnement de toutes les candidates que nous connaissons aujourd’hui« . Nul doute qu’Hansen se démarque de ses amis écologistes dont il a servi la cause durant plus de 20 ans en soutenant fallacieusement la thèse de l’effet de serre du CO2 liée au réchauffement climatique. Ne tarissant pas d’arguments, quand le journaliste du Der Speigel, Axel Bojanowski, lui a posé la question de savoir s’il fallait encore plus d’énergies renouvelables pour l’Allemagne, Hansen a répondu, je cite encore : « Plus d’énergies renouvelables ? Vous plaisantez ! Les subventions mises de côté pour financer les énergies renouvelables obligent les consommateurs à payer encore plus cher l’électricité, un genre de taxe invisible. Les factures d’énergie vont continuer à augmenter mais le consommateur ignore pourquoi« .

L’ancien directeur de l’Institut Goddard pour les études spatiales qui s’est, sous sa propre impulsion, reconverti dans l’étude du réchauffement climatique, a donc jeté un pavé dans la mare écologiste qui refuse tout nucléaire au profit des « renouvelables », un lobby très puissant en Allemagne préparant la chute de la suprématie économique allemande pour la plus grande ruine de toute l’Union Européenne. Le but inavoué des lobbys écologistes est un retour de l’ensemble de l’humanité à l’âge pré-industriel avec des moulins à vent pour produire de l’électricité afin d’éventuellement s’éclairer quelques heures par jour. Les moulins à vent étaient utilisés autrefois en Grèce par exemple pour presser les olives, dans les îles de la Caraïbe pour broyer la canne à sucre, en Batavie pour assécher les polders ou encore ici aux Îles Canaries pour remonter l’eau de mer dans les marais salants. C’était à peu près tout ce que l’on pouvait attendre des moulins à vent et ce qu’on peut en attendre encore aujourd’hui en raison de l’intermittence du vent …

Source : notrickszone

Des moulins à vent ou de l’uranium ? Les Suisses vont devoir choisir

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Le mouvement suisse « Sortir du Nucléaire », une pure émanation de Greenpeace, a obtenu que la votation du 27 novembre prochain décide de l’arrêt des trois plus vieux réacteurs nucléaires de Suisse, ceux de Beznau 1 et 2 et celui de Mühleberg qui ont produit en 2015 8,5 % de l’électricité helvète soit 5580 gigawattsheures. Comment remplacer cette production électrique propre ? Selon le mouvement écologiste c’est une évidence : avec des moulins à vent et des panneaux solaires. Il y a déjà sur le territoire de la Confédération 11 millions de m2 de panneaux solaires pour la plupart sur les toits des habitations particulières, des entrepôts et des usines. La Suisse ne compte que 34 éoliennes dont l’installation fait l’objet d’une autre votation. Or les Helvètes sont très jaloux de l’harmonie des paysages de leur pays. Il y a de très fortes chances que la population ne s’accorde pas pour recouvrir la Confédération de 1789 moulins à vent pour produire en théorie 6600 GWh à pleine puissance, en d’autres termes quand il y a du vent. Quant aux panneaux solaires il en faudrait 69 millions de m2 ou 6900 hectares … ça fait beaucoup ! Où les mettre ? Des panneaux flottants sur le lac Léman et le Bodenzee ?

La production électrique suisse se répartit comme suit (GWh) : nucléaire : 22100, hydraulique : 39500, thermique : 3190, selon les données de l’Office fédéral de l’énergie (OFEN). En 2024 la centrale de Gösgen sera fermée car elle aura atteint la limite d’age de 45 ans comme celle de Leibstadt à son tour en 2029. Ces deux installations ont produit en 2015 25 % de l’électricité du pays. Le problème se reposera alors crucialement et comme les possibilités de développement hydraulique ont atteint leur limite, en abandonnant l’énergie nucléaire la Suisse n’aura plus d’autre choix que de recourir au gaz ou au pétrole : un grave dilemme existentiel pour les écologistes et pas seulement ceux de l’Helvétie …

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Note : les réacteurs de Breznau (1 et 2, illustration) sont deux unités à eau pressurisée jumelles d’une puissance de 365 MW électriques chacune et de technologie Westinghouse. Elles ont été couplées au réseau respectivement en 1969 et 1972. Outre l’électricité ces réacteurs procurent à la ville voisine de l’eau chaude pour le chauffage. L’argument des écologistes pour obtenir la fermeture de ces deux réacteurs est futile. Il s’agit d’inclusions d’oxyde d’aluminium dans l’acier de la cuve des réacteurs qui n’ont aucune incidence sur la solidité de cette dernière. Ces unités devraient, selon l’Inspection fédérale de la sureté nucléaire, pouvoir être encore exploitées jusqu’en 2030 sans dangers. Les écologistes, comme à leur habitude, ne sont pas d’accord …

L’écologie en Europe vue du Japon

Réponse à Vincent Bénard

(http://www.contrepoints.org/2013/09/23/139965-diviser-consommation-denergie-en-france-aberration#comment-549038)

Je vous cite :

« (…) ne pas reproduire certains des travers  de l’action des États concernant le nucléaire : mauvaise prise en compte des coûts de démantèlement et du traitement des déchets, et prise en compte perfectible du coût du risque accidentel, qui n’est pas assurable. Sans sombrer dans l’anti-nucléarisme primaire, il semble aujourd’hui admis que l’influence des États sur ce secteur a tendu à sur-privilégier la filière uranium, la seule exploitable pour produire des armes, sur d’autres voies sans doute plus prometteuses au plan de la sécurité. Mais au moins notre programme nucléaire prétendait il augmenter la disponibilité de l’énergie pour les populations, pas la rationner. »

 

Lorsque De Gaulle a initié le programme de dissuasion nucléaire, ce sont des réacteurs graphite-gaz (CO2) uranium naturel qui ont été utilisés pour produire l’U235 et le plutonium pour fabriquer des bombes sales puis des bombes thermonucléaires. Bref, c’est une histoire bien connue mais quand Framatome a été licencié par Westinghouse pour installer des PWR, en suivant les plans quinquennaux relatifs à l’énergie en France (à la même époque le Rhône a été entièrement maîtrisé ainsi qu’un grand nombre de rivières françaises selon les mêmes plans), l’attrait pour le plutonium (militaire) a progressivement diminué mais la COGEMA et le CEA avaient toujours pour mission de suppléer aux demandes de l’armée. La refonte totale du complexe énergétique nucléaire français a conduit à l’émergence d’ AREVA qui n’a jamais eu pour mission de fournir du plutonium à l’Etat. EDF, de son coté, a cru à juste titre qu’une énergie électrique bon marché se devait d’être promue en particulier après le premier choc pétrolier. Cette énergie électrique bon marché a d’ailleurs substantiellement aidé l’industrie française et contribué au confort de la population, on ne peut pas le nier. Aujourd’hui, des écologistes promus ministres ou « experts » considèrent qu’on peut se passer de l’énergie nucléaire, surtout après l’accident de la centrale de Fukushima-Daiichi au Japon et le « zéro nucléaire » qui s’en est suivi dans ce pays. Comme c’est possible au Japon, la troisième puissance économique du monde, c’est donc possible en Allemagne, en Suisse, en Belgique (98 % nucléaire) et bien entendu en France. Mais ces experts écologistes du genre Martin (le faucheur d’OGM) oublient de voir la réalité en face quant au coût de cette transition nippone obligée pour des raisons de sécurité tant pour l’Etat japonais que pour le simple citoyen.

J’en ai mentionné les retombées dans un précédent billet alors que j’écris ces lignes depuis Tokyo. Les réacteurs japonais déclarés fiables par une autorité indépendante (enfin) comme l’ASN en France seront certainement réactivés, reste à savoir si le prix de kWh diminuera ensuite au Japon … Concernant la filière thorium dans laquelle la Chine s’est résolument engagée (ainsi que l’Inde), le premier pays qui maitrisera de manière totalement fiable cette filière sera le maître du monde, mais pas la France malheureusement car le thorium n’entre pas dans les objectifs et le business plan d’AREVA …

Venons-en aux faits, c’est-à-dire plutôt aux rêves insensés des écologistes qui, tels des termites, sont en train de détruire le peu qui reste d’industrie de pointe en France en dehors de l’armement naturellement, chasse gardée du Palais de la rue Saint-Honoré. Les écolos, auto-nantis du savoir et des bonnes décisions à prendre pour l’avenir de l’humanité, ont déclaré la guerre au nucléaire, au charbon (oublions les verts allemands qui n’en ont rien à faire), au pétrole et au gaz naturel car il s’agit de la survie de l’humanité. Au Japon, puisque je séjourne en ce moment à Tokyo, je discutais avec mon fils qui a investi 100 000 euros dans sa maison pour isoler, installer un panneau solaire pour l’eau chaude et un système de chauffage au gaz (naturel) et il me disait qu’il lui faudrait trente ans pour amortir son investissement, or comme toutes les maisons individuelles n’ont pas de durée de vie supérieure à trente ans en raison des tremblements de terre et des typhons, il en est quitte pour ne pas gagner un yen sur son installation. Il m’a répondu qu’il avait pris cette décision par esprit civique et pour la simple satisfaction de voir ses notes de gaz diminuer d’environ 40 % sur un moyenne d’une année maintenant. Pour le photovoltaïque, même chose, le Japon produit ses propres panneaux solaires de haute qualité (rien à voir avec le bull-shit chinois) et des centaines de milliers de Japonais se sont équipé de panneaux photovoltaïques. On en voit partout dans les quartiers résidentiels de Tokyo où j’aime flâner à ma guise. Mais pas question d’obtenir la moindre subvention de l’Etat qui n’a qu’un mot d’ordre : « la qualité japonaise est inégalable ». Près de 60 % des Japonais sont favorables à un redémarrage des réacteurs nucléaires déclarés aptes à l’exploitation (j’ai lu ça dans le Japan Times il y a quelques jours) car le plan de redressement de Shinzo Abe pourrait être compromis si la balance commerciale continuait à être déficitaire en raison des importations massives d’hydrocarbures comme en France. Maintenant installer des milliers de moulins à vent dans les campagnes japonaises, pas question, je l’ai déjà mentionné dans un précédent billet. On peut d’ailleurs dire sans se tromper que les Japonais, à l’exception d’une infime minorité, n’ont rien à foutre de l’écologie telle qu’elle est pratiquée en Europe, en particulier en Allemagne, en Belgique et au Danemark. A tel point qu’un député socialiste belge de Wallonie s’est senti carrément nerveux quand il a fait un calcul du coût des dizaines de milliers d’éoliennes que les verts veulent faire installer dans les zones favorables. Je le cite : Le député socialiste Claude Eerdekens envisage un avenir sombre, dans lequel ménages wallons et entreprises vont immanquablement s’engluer: «À partir de 2020, les lobbies éoliens recevront une rente de situation durant 20 ans de 700 millions € par an jusqu’en 2040, payés par les contribuables et les entreprises, avec le risque de la délocalisation des entreprises vers des pays plus réalistes».

Il conclut en comparant la participation des ministres Écolo au gouvernement wallon depuis presque 5 ans à une «tragédie pour la Wallonie, qui mettra 20 ans à se remettre de ce désastre». Tout est dit alors que la Belgique est encore le pays le plus nucléarisé (civil) du monde et que ces écologistes abscons ont déclaré la guerre à l’uranium !!!