Nous nous acheminons vers une tyrannie alimentaire mondiale

Remarques liminaires de votre serviteur. Le titre de ce billet est alternatif à celui de l’article ci-dessous de F. William Engdahl initialement paru sur le site New Eastern Outlook (lien en fin de billet) et traduit par le Saker francophone pour Réseau International. Je reproduis l’intégralité de cet article en français. Il est opportun de rappeler ici les récents incendies qui ont ravagé les élevages intensifs d’animaux dans de nombreux pays européens ainsi qu’en Amérique du Nord. Ces évènements ont été classés parmi les faits divers mais ils avaient un but précis : fragiliser les circuits de production de protéines animales (volaille, porc, bovins, poisson d’élevage) dans les pays occidentaux, afin que les consommateurs se familiarisent avec des linéaires de supermarché vides, la première manifestation du véritable complot ourdi par leurs auteurs dénoncés dans l’article ci-dessous. Non satisfaits par l’augmentation décevante de la mortalité et la réduction tout aussi décevante des naissances qui devait être une conséquence directe et souhaitée des injections massives d’ARN messager pratiquées dans ces mêmes pays occidentaux (commercialisés dans l’urgence dans le cadre d’une autorisation temporaire de mise sur le marché), les auteurs de ce complot s’attaquent maintenant à la disponibilité en nourriture qui va inexorablement diminuer et se raréfier au cours des prochaines années. Il apparaît urgent que les pays comme la Chine, l’Inde, la Russie ou encore le Brésil prennent les mesures adéquates pour contrer ce complot occidental. J’ajouterai enfin que ce complot est adossé au mythe, au dogme, de l’effet néfaste du CO2 sur le climat.

Les critères ESG auxquels sont soumis les grands organismes financiers sont la face cachée de ce projet de famine organisée qui va enfin permettre une diminution satisfaisante de la population. Pourtant le CO2 est la source de toute vie halieutique, animale et végétale sur Terre. Ces organisations bien décidées à décimer la population mondiale sont donc bien des organisations complotistes au sens littéral du terme.

Guerre contre l’agriculture mondiale : L’Agenda 2030 « durable » non-durable des Nations unies 

par F. William Engdahl 

Au cours des dernières semaines, un assaut coordonné contre notre agriculture – la capacité de produire la nourriture nécessaire à l’existence humaine – a commencé. La récente réunion gouvernementale du G20 à Bali, la réunion de la COP27 de l’Agenda 2030 des Nations unies en Égypte, le Forum économique mondial de Davos et Bill Gates sont tous complices. En général, ils utilisent un cadre linguistique dystopique pour donner l’illusion qu’ils font le bien, alors qu’ils font en réalité avancer un programme qui conduira à la famine et à la mort de centaines de millions, voire de milliards de personnes si on le laisse se poursuivre. Il est dirigé par une coalition d’argent. 

Du G20 à la COP27 au WEF

Le 13 novembre, le G20 – représentants des 20 nations les plus influentes, dont les États-Unis, le Royaume-Uni, l’Union européenne (bien qu’il ne s’agisse pas d’une nation), l’Allemagne, l’Italie, la France, le Japon, la Corée du Sud et plusieurs pays en développement, dont la Chine, l’Inde, l’Indonésie et le Brésil – a adopté une déclaration finale. 

Le premier point majeur est un « appel à une transformation accélérée vers des systèmes agricoles et alimentaires et des chaînes d’approvisionnement durables et résilients». En outre, « travailler ensemble pour produire et distribuer des aliments de manière durable, veiller à ce que les systèmes alimentaires contribuent mieux à l’adaptation au changement climatique et à son atténuation, et arrêter et inverser la perte de biodiversité, diversifier les sources d’alimentation… » Ils ont également appelé à un «commerce agricole inclusif, prévisible et non discriminatoire, fondé sur les règles de l’OMC ». De même, « Nous sommes déterminés à soutenir l’adoption de pratiques et de technologies innovantes, notamment l’innovation numérique dans l’agriculture et les systèmes alimentaires, afin d’améliorer la productivité et la durabilité en harmonie avec la nature… » Vient ensuite la déclaration révélatrice : «Nous réitérons notre engagement à atteindre l’objectif mondial de zéro émission nette de gaz à effet de serre/neutralité carbone vers le milieu du siècle » ( https://www.consilium.europa.eu/media/60201/2022-11-16-g20-declaration-data.pdf. ). 

« Agriculture durable » avec « zéro émission nette de gaz à effet de serre » est un double langage orwellien. Pour un étranger à la linguistique de l’ONU, ces mots sonnent trop bien. Ce qui est en fait promu, c’est la destruction la plus radicale de l’agriculture et de l’élevage au niveau mondial sous le nom d’« agriculture durable ». Quelques jours seulement après la conférence du G20 à Bali s’est tenue en Égypte la réunion annuelle du Sommet climatique de l’Agenda vert des Nations unies COP27. Là, les participants de la plupart des pays des Nations unies, ainsi que des ONG telles que Greenpeace et des centaines d’autres ONG vertes, ont rédigé un deuxième appel. La COP27 a lancé quelque chose qu’ils appellent de manière révélatrice FAST – la nouvelle initiative de l’ONU sur l’alimentation et l’agriculture pour une transformation durable (FAST). Fast, comme dans « s’abstenir de manger… ». Selon Forbes, l’initiative FAST favorisera une « transition vers des régimes alimentaires sains, durables et résistants au climat, et contribuera à réduire les coûts liés à la santé et au changement climatique d’un montant pouvant atteindre 1,3 billion de dollars, tout en soutenant la sécurité alimentaire face au changement climatique ». Nous parlons de gros chiffres. La transition vers des « régimes alimentaires sains, durables et résistants au climat » permettrait de réduire le coût du changement climatique de 1,3 billion de dollars (https://www.theburningplatform.com/2022/11/13/lab-grown-meat-nuclear-yeast-vats-cop27-reignites-the-war-on-food/ ). Que se passe-t-il réellement derrière tous ces mots ? 

De grosses sommes d’argent

Selon l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO), qui s’est adressée à Reuters lors de la COP27, la FAO lancera d’ici un an un plan directeur « de référence » pour la réduction des gaz à effet de serre issus de l’agriculture. L’impulsion de cette guerre contre l’agriculture vient, sans surprise, des grandes fortunes, de l’Initiative FAIRR, une coalition de gestionnaires d’investissements internationaux basée au Royaume-Uni qui se concentre sur «les risques et opportunités ESG matériels causés par la production animale intensive ». Parmi leurs membres figurent les acteurs les plus influents de la finance mondiale, notamment BlackRock, JP Morgan Asset Management, l’allemand Allianz AG, Swiss Re, la banque HSBC, Fidelity Investments, Edmond de Rothschild Asset Management, Credit Suisse, Rockefeller Asset Management, la banque UBS et de nombreuses autres banques et fonds de pension, avec un total d’actifs sous gestion de 25000 milliards de dollars (https://www.fairr.org/about-fairr/network-members/page/14/ ). Ils ouvrent maintenant la guerre à l’agriculture comme ils l’ont fait pour l’énergie. Le directeur adjoint de la FAO chargé des politiques relatives au changement climatique, Zitouni Ould-Dada, a déclaré lors de la COP27 : « Jamais auparavant l’alimentation et l’agriculture n’avaient fait l’objet d’autant d’attention. Cette COP est définitivement la bonne » ( https://www.reuters.com/business/cop/cop27-un-food-agency-plan-farming-emissions-launch-by-next-year-after-investor-2022-11-10/ ). 

La FAIRR affirme, sans preuve, que « la production alimentaire représente environ un tiers des émissions mondiales de gaz à effet de serre et constitue la principale menace pour 86% des espèces en voie d’extinction dans le monde, tandis que l’élevage de bétail est responsable des trois quarts de la disparition de la forêt amazonienne ». La FAO prévoit de proposer une réduction drastique de la production mondiale de bétail, en particulier des bovins, qui, selon FAIRR, sont responsables de « près d’un tiers des émissions mondiales de méthane liées à l’activité humaine, libérées sous forme de rots de bovins, de fumier et de cultures fourragères ». Pour eux, la meilleure façon de mettre fin aux rots et au fumier de vache est d’éliminer le bétail. 

Une agriculture durable non viable

Le fait que la FAO des Nations unies soit sur le point de publier une feuille de route visant à réduire de manière drastique les soi-disant gaz à effet de serre émis par l’agriculture mondiale, sous le prétexte fallacieux d’une « agriculture durable », sous l’impulsion des plus grands gestionnaires de fortune du monde, dont BlackRock, JP Morgan, AXA et d’autres, en dit long sur le véritable programme. Ces institutions financières sont parmi les plus corrompues de la planète. Elles ne mettent jamais un centime là où elles ne sont pas assurées de faire d’énormes bénéfices. La guerre contre l’agriculture est leur prochaine cible. 

Le terme « durable » a été créé par le Malthusian Club of Rome de David Rockefeller. Dans leur rapport de 1974, « L’humanité au tournant », le Club de Rome a fait valoir : 

« Les nations ne peuvent pas être interdépendantes sans que chacune d’entre elles renonce à une partie de sa propre indépendance, ou du moins reconnaisse des limites à celle-ci. Le moment est venu d’élaborer un plan directeur pour une croissance organique durable et un développement mondial fondé sur une répartition mondiale de toutes les ressources finies et un nouveau système économique mondial (https://web.archive.org/web/20080316192242/http:/www.wiseupjournal.com/?p=154 )». 

Telle était la formulation initiale de l’Agenda 21 des Nations unies, de l’Agenda 2030 et de la grande réinitialisation de Davos en 2020. En 2015, les nations membres de l’ONU ont adopté ce que l’on appelle les Objectifs de développement durable ou ODD : 17 objectifs pour transformer notre monde. 

L’objectif 2 est « Éliminer la faim, assurer la sécurité alimentaire et une meilleure nutrition et promouvoir une agriculture durable ».

Mais si nous lisons en détail les propositions de la COP27, du G20 et du WEF de Davos de Klaus Schwab, nous découvrons ce que signifient ces belles paroles. Aujourd’hui, nous sommes inondés d’affirmations, non vérifiées, par de nombreux modèles de groupes de réflexion financés par des gouvernements ou par le secteur privé, selon lesquelles nos systèmes agricoles sont une cause majeure du réchauffement climatique. Pas seulement le CO2, mais aussi le méthane et l’azote. Pourtant, tout l’argument des gaz à effet de serre, selon lequel notre planète est au bord d’un désastre irréversible si nous ne changeons pas radicalement nos émissions d’ici 2030, est une absurdité invérifiable provenant de modèles informatiques opaques. Sur la base de ces modèles, le GIEC des Nations unies insiste sur le fait que si nous n’empêchons pas une augmentation de la température mondiale de 1,5 °C par rapport au niveau de 1850, la fin du monde est imminente d’ici 2050. 

La guerre ne fait que commencer

Les Nations unies et le WEF de Davos se sont associés en 2019 pour faire progresser conjointement l’Agenda 2030 des Nations unies en matière de développement durable. Sur le site web du WEF, il est ouvertement admis que cela signifie se débarrasser des sources de protéines carnées, introduire la promotion de la fausse viande non éprouvée, préconiser des protéines alternatives telles que les fourmis salées ou les grillons ou vers moulus pour remplacer le poulet ou le bœuf ou l’agneau. Lors de la COP27, la discussion a porté sur «les régimes alimentaires qui peuvent rester dans les limites de la planète, notamment en réduisant la consommation de viande, en développant des alternatives et en encourageant le passage à davantage de plantes, de cultures et de céréales indigènes (réduisant ainsi la dépendance actuelle vis-à-vis du blé, du maïs, du riz et des pommes de terre (https://cop27.eg/assets/files/days/COP27%20FOOD%20SECURITY-DOC-01-EGY-10-22-EN.pdf ) ».

Le WEF encourage le passage d’un régime alimentaire à base de protéines de viande à un régime végétalien, en faisant valoir qu’il serait plus «durable » (https://www.weforum.org/agenda/2022/10/vegan-plant-based-diets-sustainable-food/ ). Il promeut également des alternatives de viande de laboratoire ou à base de plantes, comme les Impossible Burgers financés par Bill Gates, dont les propres tests de la FDA indiquent qu’ils sont probablement cancérigènes car ils sont produits avec du soja OGM et d’autres produits saturés de glyphosate. La PDG d’Air Protein, une autre entreprise de fausse viande, Lisa Lyons, est une conseillère spéciale du WEF. Le WEF promeut également les protéines d’insectes comme alternatives à la viande. Notez également qu’Al Gore est un administrateur du WEF (https://www.weforum.org/podcasts/house-on-fire/episodes/have-we-reached-the-end-of-meat ). 

La guerre contre l’élevage d’animaux pour la viande devient de plus en plus sérieuse. Le gouvernement des Pays-Bas, dont le Premier ministre Mark Rutte, anciennement d’Unilever, est un contributeur à l’agenda du WEF, a créé un ministre spécial pour l’environnement et l’azote, Christianne van der Wal. En s’appuyant sur des lignes directrices de protection de la nature Natura 2000 de l’UE, jamais invoquées et dépassées, conçues prétendument pour « protéger la mousse et le trèfle » et basées sur des données d’essai frauduleuses, le gouvernement vient d’annoncer qu’il va fermer de force 2500 exploitations bovines à travers la Hollande. Leur objectif est de forcer 30% des exploitations bovines à fermer ou à être expropriées. 

En Allemagne, l’Association allemande de l’industrie de la viande (VDF) affirme que dans les quatre à six prochains mois, l’Allemagne sera confrontée à une pénurie de viande et que les prix monteront en flèche. Hubert Kelliger, membre du conseil d’administration de la VDF, a déclaré : « Dans quatre, cinq ou six mois, nous aurons des manques sur les étagères ». Le porc devrait connaître les pires pénuries. Les problèmes d’approvisionnement en viande sont dus à l’insistance de Berlin à réduire de 50% le nombre de têtes de bétail afin de réduire les émissions liées au réchauffement climatique ( https://hotair.com/jazz-shaw/2022/11/21/germany-cutting-back-meat-production-to-fight-global-warming-n512518 ). Au Canada, le gouvernement Trudeau, autre produit du WEF de Davos, selon le Financial Post du 27 juillet, prévoit de réduire les émissions des engrais de 30% d’ici à 2030 dans le cadre d’un plan visant à atteindre le zéro émission dans les trois prochaines décennies. Mais les producteurs disent que pour y parvenir, ils devront peut-être réduire considérablement leur production de céréales. 

Lorsque le président autocratique du Sri Lanka a interdit toute importation d’engrais azotés en avril 2021 dans un effort brutal pour revenir à un passé d’agriculture « durable », les récoltes se sont effondrées en sept mois et la famine, la ruine des agriculteurs et les manifestations de masse l’ont contraint à fuir le pays. Il a ordonné que l’ensemble du pays passe immédiatement à l’agriculture biologique, mais n’a fourni aucune formation de ce type aux agriculteurs. 

Si l’on ajoute à cela la décision politique catastrophique de l’UE d’interdire le gaz naturel russe utilisé pour fabriquer des engrais azotés, ce qui entraîne la fermeture d’usines d’engrais dans toute l’UE, et qui provoquera une réduction mondiale des rendements agricoles, ainsi que la fausse vague de grippe aviaire qui ordonne à tort aux agriculteurs d’Amérique du Nord et de l’UE de tuer des dizaines de millions de poulets et de dindes, pour ne citer que quelques cas supplémentaires, il apparaît clairement que notre monde est confronté à une crise alimentaire sans précédent. Tout ça pour le changement climatique ? 

Source: http://www.williamengdahl.com/gr30November2022.php

SARS-CoV-2 ou ARN messager : que choisir ?

Selon les dernières statistiques disponibles il y aurait eu dans le monde entier 6 millions de morts provoquées par l’infection avec le coronavirus. Cette estimation globale comprend toutes les souches mutantes qui se sont succédées au cours de cette pandémie, soit un taux de mortalité global conforme aux premières prévisions des épidémiologistes de l’ordre de 0,075 % ou 1 décès pour 1350 personnes ( https://en.wikipedia.org/wiki/COVID-19_pandemic_deaths ). Pour l’ensemble de l’Europe, Turquie et Russie comprises, le nombre de décès a atteint 1,77 million ( https://en.wikipedia.org/wiki/COVID-19_pandemic_in_Europe ).

Comparons ces données, au moins pour l’Europe, au nombre d’effets secondaires de la thérapie génique par ARN messager synthétique abusivement appelée vaccin. Malgré une très grande incertitude entourant cette estimation, le chiffre de 5 millions de personnes souffrant d’effets secondaires temporairement invalidant a été avancé. Toutes les études relatives à ces effets secondaires sont entachées d’erreurs dont la source se situe à deux niveaux. D’une part les autorités de santé des divers pays refusent d’admettre une relation directe de cause à effet entre cette thérapie génique et les effets secondaires observés et péniblement reportés dans les statistiques nationales. D’autre part le nombre de décès liés à cette thérapie est tout simplement ignoré voire nié par ces mêmes autorités. Toutes sortes de dispositions législatives ont été mises en place pour faire obstruction à cette remontée des données fournies par les médecins traitants. Menaces, interdictions de pratiquer des autopsies, falsification des causes de la mort dans les certificats de décès, … ont contraint les médecins à ne plus faire remonter l’information auprès des autorités de santé. Tant aux USA avec le système de veille VAERS qu’en Europe avec le système mis en place par l’Agence européenne du médicament, cette collecte des données est très largement sous-estimée. On estime que les statistiques disponibles sont sous-estimées d’un facteur maximal de 25 correspondant à une prise en compte de seulement 4 % des déclarations des médecins traitants.

Pourtant, par d’autres biais on a pu faire une estimation de ce nombre de décès en analysant les informations produites par les compagnies d’assurance et aussi, aussi curieusement que cela puisse paraître, des compagnies de pompes funèbres. De mémoire (j’ai malencontreusement égaré la référence) il y aurait eu en Europe, non comprises la Russie et la Turquie, depuis le début de la mise en place de la thérapie génique supposée protéger la population contre l’infection par le coronavirus, entre 100000 et 250000 décès directement attribuables à cette thérapie malgré les dénégations des autorités de santé nationales et européennes. Il s’agit de l’estimation brute obtenue en interrogeant également plusieurs milliers de médecins traitants choisis au hasard dans divers pays européens sous couvert d’anonymat.

Si on rapproche cette estimation non officielle de la grave sous-estimation des statistiques gouvernementales et européennes, dans l’hypothèse médiane on arrive alors à un nombre de décès consécutifs à cette thérapie génique de 100000 x (25/2) = 1,25 millions de morts dont la cause suspectée est liée à celle thérapie. L’obligation « vaccinale » mise en place par les décideurs politiques de divers pays européens est donc clairement criminelle. La planification d’une nouvelle campagne de « vaccination » à l’aide d’un mélange d’ARNs codant pour la souche originelle dite de Wuhan et pour le dernier en date des mutants de la souche générique omicron s’avère déjà dévastatrice sur le plan des effets secondaires. Combien faudra-t-il de morts supplémentaires pour qu’il soit mis un terme à toute cette mascarade ? J’utilise le terme mascarade à dessein car les décisions politiques prises tant par la Commission européenne que par les gouvernements nationaux dissimule l’objectif de diminution de la population décidé par des pouvoirs obscurs comme de WEF, le Club de Bilderberg et d’autres instances supranationales reprenant les théories malthusiennes du Club de Rome. Il n’est pas fortuit que l’on fasse en ce moment même grand cas d’une population mondiale qui aurait atteint 8 milliards de personnes. Cette information constitue un alibi pour justifier une nouvelle campagne de « vaccination ». Bienvenue dans un monde meilleur sans surpopulation, sans pollution urbaine, sans changement climatique, sans guerres !

Pfizer, Astra-Zeneca, Moderna, J&J : charlatanisme !

Dans un pays, l’Australie, où les plus sévères mesures de privation de liberté ont été prises allant jusqu’à pourchasser par la police les récalcitrants à la « vaccination » et à taxer ces récalcitrants de lourdes amendes, il faut constater que le fiasco de cette « vaccination » obligatoire est tout simplement flagrant. L’ARN messager codant pour la protéine de la spicule du coronavirus était supposé protéger les habitants de ce pays contre toute infection et contre toute forme grave d’infection. Le même discours a été tenu dans la plupart des pays occidentaux : « faites-vous injecter cet ARN messager, vous serez sauvé et vous protégerez votre entourage ». En Autriche, aux Pays-Bas, en Italie et en France le problème a été abordé avec les mêmes mesures de privation des libertés.

Et pourtant ces « vaccins » dont les vertus protectrices étaient vantées par le pouvoir politique n’ont pas permis d’éviter une véritable hécatombe avec l’apparition du dernier mutant appelé « omicron » supposé être 7 à 10 fois moins létal que ses prédécesseurs, ce qui avait était constaté en Afrique du Sud, pays à l’origine de ce mutant. En Australie, pays où la population a été contrainte d’être soumise à plusieurs injections de cet ARN messager par la force, il s’avère que c’est une catastrophe, du jamais vu depuis le début de l’épidémie au début de l’année 2020. Il est possible que le gouvernement fédéral australien commence à comprendre qu’il a été floué par la bande des quatre que sont Pfizer, Astra-Zeneca, Moderna et J&J bien qu’il soit difficile de connaître quels « vaccins » ont été utilisés dans ce pays. En Europe la situation est assez floue, ces quatre labos s’étant réparti les tâches puis progressivement il ne reste plus que Pfizer, les vaccins russes et chinois étant interdits, il faut savoir ce que l’on veut.

Comme pour les effets secondaires de cette « drogue » expérimentale sont soigneusement occultés il reste un fait qui ne peut plus être nié quand l’Etat des Nouvelles Galles du Sud a publié ses statistiques sanitaires. Le site Our World in Data ne ment pas, il constate :

La campagne de « vaccination » a débuté en avril 2021 et on ne peut que constater qu’aucune protection n’a été constatée contre l’apparition du variant delta puis, pire encore, du variant omicron. Les autorités politiques de l’Etat des Nouvelles Galles du Sud ont également constaté que, aussi curieusement que cela puisse paraître les personnes « vaccinées » avaient tendance à mourir plus facilement que les non-vaccinés. Les mauvaises langues vont tout de suite dire que ce type de graphique n’a aucune signification :

En effet l’échantillon dont on ne connait pas la taille est trop petit pour tirer des conclusions claires. De plus il reste un résidu de la population non « vacciné ». En conséquence l’histogramme ci-dessus ne reflète que cette répartition de la population. Or c’est faux car si seuls les non-vaccinés meurent cet histogramme serait inversé. Comme les autorités sanitaires du Japon l’ont constaté les décès enregistrés depuis l’apparition du variant omicron concernent des populations plus jeunes et vaccinées. Dans ce pays la « vaccination » n’a jamais été obligatoire mais la psychose généralisée a conduit de nombreux Japonais à se faire injecter la mixture de Pfizer et en conséquence le Japon assiste au pire tableau hospitalier depuis le tout début de l’épidémie, exactement comme en Australie.

Après ces commentaires que peut-on en conclure ? Le « vaccin » de Pfizer, le plus utilisé en Australie et au Japon, ne protège pas contre la maladie, les « vaccinés » deviennent porteurs sains et propagent la maladie, et les anticorps apparus après ce traitement ne sont pas neutralisants. Comme pour le vaccin contre la dengue expérimenté aux Philippines il y a aussi l’apparition d’anticorps facilitants et les « vaccinés » naïfs, c’est-à-dire n’ayant jamais été en contact avec le virus auparavant sont victimes de formes graves de la maladie. Ce symptôme est appelé VAID ou « Vaccine Acquired Immune Deficiency » (lien). Cette observation contredit les affirmations prédisant une protection contre les formes graves, c’est exactement le contraire qui est observé, pas seulement chez des « vieux » mais également chez des sujets de moins de 50 ans. Ce produit appelé abusivement vaccin est donc une escroquerie et je suis assez convaincu que la firme Pfizer sera poursuivie pour charlatanisme comme cela lui est arrivé à plusieurs reprises par le passé.

Sources : https://dailyexpose.uk/2022/02/15/australia-4-in-5-covid-deaths-fully-vaccinated/ ethttps://dailyexpose.uk/2022/02/17/pfizergate-world-wide-coverup-covid-vaccines-cause-vaids/

Note. Lorsque j’ai été infecté par le coronavirus à la fin du mois de mars 2020 une analyse sanguine indiqua que je souffrais de lymphocytopénie, en d’autres termes d’une chute des lymphocytes. Les personnes nouvellement injectées pour un « rappel vaccinal » pourraient suggérer à leur médecin traitant une analyse sanguine, par curiosité, pour connaître l’état de leurs lymphocytes. Je pense qu’il y aurait de sérieuses surprises …

« Vaccins » : Les compagnies d’assurance sont des témoins incontestables

Le CEO de Indiana Life Insurance faisant partie du groupe OneAmerica n’en revient pas ! Le nombre de morts des assurés auprès de son groupe et dans la tranche d’âge 18-64 ans a augmenté de 40 % en 2021 par rapport aux années précédentes y compris 2020. La probabilité pour qu’un tel phénomène, aujourd’hui, on ne parle pas naturellement de la grande épidémie de H1N1 appelée « grippe espagnole » qui fut en son temps considérablement mortelle, mais de ce qui se passe dans l’Etat de l’Indiana ces derniers mois arrive en une seule année – 2021 – est de une chance sur 14 milliards, soit l’âge de l’Univers ! Jamais les actuaires du groupe auraient pu envisager une telle situation. En effet, en temps normal le nombre de décès reste pratiquement inchangé et il augmente légèrement à mesure que la tranche d’âge 60-64 ans vieillit. Au delà de cet âge ces personnes ne sont plus assurées mais bénéficiaires de leur plan de retraite. De plus, et c’est très important, l’espérance de vie n’a pas diminué en 2020 car la très grande majorité des personnes décédées à la suite d’une infection par le coronavirus avaient atteint l’âge de leur espérance de vie.

Alors que s’est-il passé ? Ce n’est pas le « covid » puisque le nombre de morts a diminué dès le début de 2021. Le CEO de la compagnie Indiana Life Insurance suspecte quelque maladie inconnue beaucoup plus mortelle que le coronavirus lui-même qui touche non plus les « vieux » mais des personnes parfois beaucoup plus jeunes. Les actuaires du Groupe ont établi une liste de leurs constatations et de leurs hypothèses.

La majorité des morts ont moins de 64 ans.

Jamais une telle augmentation de la mortalité dans cette tranche d’âge 18-64 ans n’avait été observée durant les 100 dernières années. La cause de ces décès doit être massive et affecter massivement la population.

Le nombre de « morts par covid » n’a cessé de diminuer au cours de l’année 2021.

La seule modification récente du statut sanitaire des habitants de l’Etat d’Indiana est la vaccination contre le « covid », le gouverneur de l’Etat, Eric Holcomb, ayant souhaité que tout le monde soit vacciné.

Les statistiques de la VAERS n’expliquent pas ce phénomène, donc ces statistiques sous-estiment très largement ce phénomène d’un facteur estimé à 41. En d’autres termes pour 10 morts dûment répertoriés comme liés à la vaccination anti-covid, dans la réalité il y en aurait 410 ! 

La même situation a été observée au Texas (et quid de la France?).

Finalement on s’achemine vers une mortalité due au « vaccin » identique, voire supérieure à celle provoquée par l’épidémie elle-même ! Pourtant le CDC et la FDA continuent à encourager la vaccination, continuant à ignorer superbement les faits, pourtant indéniables dans la mesure où ils proviennent d’une source indépendante des officines en charge de la santé des citoyens. Si le gouvernement américain, fédéral ou des Etats, continue à ignorer cette révélation en provenance d’une compagnie d’assurance alors la situation risque de devenir dangereuse. Liens :

https://rwmalonemd.substack.com/p/what-if-the-largest-experiment-on

https://jessicar.substack.com/p/insurance-companies-just-like-banking

https://roundingtheearth.substack.com/p/why-are-non-covid-deaths-at-historic

SARS-CoV-2 : Fausses données de mortalité, fausse pandémie

L’Institut supérieur italien de la santé a considérablement réduit le nombre officiel de décès dus au SARS-CoV-2 dans le pays de plus de 97% après avoir changé la définition d’un décès d’une personne décédée du SARS-CoV-2. Le journal italien Il Tempo rapporte que l’Institut a révisé à la baisse le nombre de personnes décédées de comorbidités plutôt que du SARS-CoV-2 de 130 000 à moins de 4 000.

Sur les 130 468 décès enregistrés comme décès officiels dus au SARS-CoV-2 depuis le début de la pandémie, seuls 3 783 sont directement attribuables au seul virus. Tous les autres Italiens qui ont perdu la vie avaient entre une et cinq maladies préexistantes. Parmi les personnes de plus de 67 ans décédées, 7 % avaient plus de trois comorbidités et 18 % au moins deux.

Selon l’Institut, 65,8% des Italiens décédés après avoir été infectés par le SARS-CoV-2 étaient atteints d’hypertension artérielle, 23,5% souffraient de démence, 29,3% de diabète et 24,8% de fibrillation auriculaire. Ajoutez à cela : 17,4% avaient des problèmes pulmonaires, 16,3% avaient eu un cancer au cours des cinq dernières années et 15,7% avaient déjà souffert d’insuffisance cardiaque.

La nouvelle définition de l’Institut italien d’un décès par SARS-CoV-2 signifie que ce virus a tué moins de personnes en Italie que la grippe saisonnière moyenne. Si un changement similaire était apporté par d’autres gouvernements nationaux, le nombre officiel de décès dus au COVID serait réduit de plus de 90 %.

Ne vous attendez pas à ce que beaucoup d’autres emboîtent le pas, étant donné que les gouvernements ont investi une grande partie de leur autorité dans la promotion de la menace que constitue le virus.

Notes. L’information provenant d’Italie relatée dans ce billet n’est pas très récente mais elle a été soigneusement occultée par les grands médias car elle ébranle les fondements de la politique de privation des libertés individuelles mise en place par de nombreux pays européens. Si on multiplie par 0,09 toutes les statistiques publiées pour tous les pays on retrouve les vrais chiffres du nombre de décès par SARS-CoV-2. Le cas des Etats-Unis est particulier. Dans ce pays, plus de 60 % de la population est en surpoids pathologique. En suivant la méthodologie de l’Institut supérieur italien de la santé sur les 780000 décès classés « par SARS-CoV-2 » plus de la moitié peut être classée comme comorbidité d’obésité soit soit 340000 décès favorisés par cette pathologie et si on multiplie ce nombre restant par 0,09 on obtient 30600 morts. C’est stupéfiant mais je reconnais que mon calcul est sujet à la critique. Remarque : la plupart des « cas » et des décès « avec SARS-CoV-2 » sont de faux résultats dus aux faux positifs du test PCR discrédité par l’OMS.

https://www.iltempo.it/attualita/2021/10/21/news/rapporto-iss-morti-covid-malattie-patologie-come-influenza-pandemia-disastro-mortalita-bechis-29134543/

https://www.globalresearch.ca/italian-institute-health-drastics-reduces-official-covid-death-toll-number/5760891

Petite coronarithmétique française

Selon les données de la CIA et du worldometers (liens en fin de billet) on peut se livrer à quelques petits calculs qui éclairent le commun des mortels ou plutôt ceux qui ont survécu au SARS-CoV-2 au sujet de l’« extrême » gravité et de la dangerosité de ce virus. Les données démographiques relatives à la France sont les suivantes (CIA) : 68 millions d’habitants, espérance de vie : 82,4 ans, mortalité : 651500 décès par an. Le nombre de morts par SARS-CoV-2 depuis le début de l’épidémie (mars 2020) est de 117000 avec un âge médian des morts de 82 ans. L’organisme officiel français INSEE a fait de savants calculs pour bien montrer que le SARS-CoV-2 a provoqué une hausse massive de la mortalité. Les données ci-dessus infirment les résultats de ces calculs de l’INSEE.

En effet, l’âge médian signifie que la moitié des morts avait plus de 82 ans et l’autre moitié moins de 82 ans. Durant ces 18 mois passés, dans la stricte théorie statistique toutes les personnes de plus de 82 ans seraient mortes, coronavirus ou pas. Pour les personnes plus jeunes la situation est plus complexe et c’est sur ce point que l’INSEE a commis un biais de perception comme l’indique dans son exposé Pierre de Décoder l’éco. Par une analyse statistique fine il a été montré qu’en 2020, et probablement aussi en 2021, la mortalité toutes causes confondues était identique à celle observée en 2010. Cette affirmation tient en effet compte de l’augmentation du nombre de personnes de plus de 80 ans au cours de cette décennie. Cet « ajustement » statistique élimine ainsi le biais de perception dont a été victime l’INSEE et il réduit l’incidence du SARS-CoV-2 sur les populations de moins de 82 ans.

Comme je ne suis pas du tout un statisticien chevronné j’ai donc fait mes petites règles de trois de mon côté. Sur la période de mars 2020 à septembre 2021 le nombre de morts « par covid » a représenté 11,9 % des décès toutes causes confondues et comme la moitié d’entre eux seraient morts (statistiquement parlant) coronavirus ou pas en raison de leur âge, ce pourcentage tombe à un peu moins de 6 %. Cette grandeur est très inférieure à la fluctuation observée année après année entre les étés et les hivers. Elle est très inférieure à celle de l’arrivée dans la tranche d’âge supérieure à 80 ans qui a augmenté de 3,9 millions en dix ans (voir l’illustration ci-dessus). Comme l’auteur de cette présentation l’a précisé, la mortalité n’a donc pas augmenté en raison de cette augmentation du nombre de « vieux » de plus de 80 ans car ils sont loin d’avoir tous été victimes du coronavirus !

L’épidémie de SARS-CoV-2 n’est donc finalement qu’une maladie virale plutôt peu mortelle affectant surtout les personnes âgées souffrant d’autres maladies, l’âge étant aussi considéré comme un facteur de « co-morbidité » et personne ne peut le nier. L’étude présentée par le prénommé Pierre mérite d’être vue et revue car son analyse bouscule les idées reçues et surtout la propagande gouvernementale mensongère. L’illustration est une capture d’écran de l’exposé de Pierre.

https://www.worldometers.info/coronavirus/country/france/

https://www.cia.gov/the-world-factbook/countries/france/

https://www.francesoir.fr/videos-lentretien-essentiel/lesperance-de-vie-de-2020-est-exactement-la-meme-que-celle-de-2015

Nouvelles du SARS-CoV-2 : l’exemple de la Suède

La Suède a, selon les gouvernements de l’Europe occidentale, tout fait à l’envers pour gérer la maladie du SARS-CoV-2. Alors que des pays comme la France, l’Espagne et la Belgique s’enfoncent dans une gestion sanitaire qui ressemble de plus en plus à la mise en place par petits décrets et petites lois sans aucune consultation des élus du peuple à un totalitarisme digne de l’Allemagne de l’est du temps de Walter Ulbricht et de sa tant redoutée STASI, la Suède, une vraie démocratie au sens strict du terme, a choisi de respecter les droits fondamentaux des citoyens tout en laissant le virus, pourtant inconnu, faire son chemin. La gestion de cette pseudo-grippe a donc été en tous points identique à celle des autres grippes saisonnières qu’a connu ce pays dans le passé.

La remarquable précision des données démographiques de ce pays existant depuis le milieu du XIXe siècle a permis de mettre en évidence l’aspect tout à fait bénin de cette épidémie coronavirale dont la « dangerosité » fait toujours la une des médias d’Europe occidentale et préoccupe quotidiennement les gouvernements. Ces derniers ne cessent de littéralement martyriser les citoyens qui depuis des mois n’ont plus droit à la parole comme encore moins les parlementaires. La Suède, le mauvais élève qui a refusé les injonctions de l’OMS, montrée du doigt au printemps dernier, accusée de livrer à une mort certaine des millions de personnes, s’en en très bien sortie, merci !

Le très faible taux de surmortalité rapporté au million d’habitants, moins de 600, n’est pas suffisant pour qualifier cette pseudo-grippe d’épidémie. En effet selon des sources sûres (source CIA) sur l’ensemble de l’année 2020 le nombre excédentaire de morts par rapport à l’année précédente n’a été que de 5975 pour une population de 10,4 millions de personnes.

Aujourd’hui, avec une population comptant plus de 600000 personnes déclarées officiellement avoir été en contact avec le coronavirus et guéries, il y dans le pays l’apparition d’une deuxième « vague » essentiellement provoquée par les conditions hivernales rudes que connaît la Suède chaque année. Rien d’alarmant pour un pays dont les infrastructures hospitalières sont considérées comme parmi les meilleures du monde avec des habitants dont le revenu annuel moyen calculé sur la base du pouvoir d’achat est de 51000 dollars (source CIA, 2019). La fameuse immunité de groupe dont la définition n’est pas très claire n’a pas été atteinte, certes, mais si le virus circule toujours librement comme pour toute autre maladie virale il finira par disparaître. La Suède commence donc l’année avec optimisme contrairement aux autres pays de l’Union européenne qui ont choisi des mesures ressemblant étrangement à celles du régime communiste de l’Allemagne de l’Est des années 1960 …

Source partielle et illustration : site de Paul Craig Roberts, statistiques : CIA

Les étudiants de la Johns Hopkins University jettent un pavé dans la mare !

Il y a quelques jours les étudiants de l’Université américaine qui centralise les données mondiales relatives au SARS-CoV-2 ont publié sur leur journal interne des statistiques concernant la mortalité aux USA entre le premier février et le 5 septembre de cette année 2020. Le graphique ci-dessous résume l’ensemble des données par tranche d’âge :

Le fait que le virus ait muté durant cette période en essaimant en divers clones tous issus de la souche dite Wuhan initiale n’a pas modifié l’agressivité de ce microorganisme qui semble toujours aussi létal pour les patients âgés de plus de 65 ans … selon les statistiques officielles traitées par cette équipe d’étudiants. En effet sur cette période de 7 mois 74 % des morts étaient âgés de plus de 65 ans. De plus, et là cette étude interne de l’Université a quelque peu gêné le monde politique et pas seulement aux Etats-Unis puisque le monde politique américain a fait pression pour qu’elle soit retirée, sur la même période le nombre de décès quotidiens dans cette tranche d’âge est resté stable avant comme après le pic épidémique du printemps. Inutile ici de revenir sur le fait qu’il existait et qu’il existe encore un traitement parfaitement efficace lorsqu’il est appliqué dès l’apparition des premiers symptomes et que ce traitement n’est plus remis en question, je veux dire la tri-thérapie hydroxychloroquine+azithromycine+zinc, ce que les étudiants de la Johns Hopkins ont montré est que le nombre de morts n’a pas varié avant ce pic épidémique et durant ce même pic puisque les mois de février et mars ont été inclus dans ce graphique alors que le premier pic épidémique a débuté au cours des derniers jours de mars 2020.

Ces mêmes étudiants non conformistes ont découvert en analysant toutes les causes les plus communes de mortalité aux USA que, en raison du coronavirus, toutes ces autres causes de mortalité avaient diminué comme par magie y compris pour les cancers ! Curieux n’est-il pas ? Il est important de rappeler ici que toutes les co-morbidités potentielles ou avérées sont consignées par les médecins et qu’elles sont centralisées par le CDC. Ces données sont disponibles pour les universitaires. Or ce n’est pas le cas dans les pays de l’Union européenne mais globalement la situation en Europe comme aux Etats-Unis est sensiblement identique. Par conséquent l’étude des étudiants de la Johns Hopkins pourrait être transposée point par point à n’importe quel pays européen. Cette étude met donc en évidence le fait que, et les étudiants n’en expliquent pas les raisons, la mortalité du coronavirus a été largement surévaluée d’ailleurs curieusement au détriment, si on peut dire les choses ainsi, de la grippe saisonnière et des maladies respiratoires chroniques.

Comment appeler ce genre de trucage des données ? C’est de la malhonnêteté délibérément organisée sur ordre du gouvernement central dont en particulier le sinistre Docteur Fauci dont les homologues français sont Salomon ou Delfressy. Pour les amateurs anglophones voici le lien vers cet article : https://johnbwellsnews.com/a-closer-look-at-u-s-deaths-due-to-covid-19/ . On se trouve donc clairement devant une gigantesque machination statistique mise en place par les gouvernements délibérément sur ordre du lobby pharmaceutique occidental pour transformer tous les citoyens en consommateurs obligés en détournant l’opinion de cette supercherie par la mise en place de mesures totalement inadaptées et inutiles entretenant parallèlement une peur qui finalement, comme l’indiquent les travaux de ces étudiants de la Johns Hopkins l’ont clairement indiqué, n’avait pas lieu d’être. Au final, quoiqu’en disent les décideurs politiques, ce virus n’a pas du tout été aussi dangereux et létal qu’ils le prétendent. Tout ça pour rien, à un détail près : qu’il s’agisse de l’Amérique du nord ou de l’Europe occidentale les économies ont été profondément perturbées, un signe de décadence de la civilisation ?

Brève. Coronavirus : Messieurs les politiciens il faut rester pragmatique !

Le seul propos intelligent qu’ont tenu Agnès et Sibete était le suivant : « le port du masque n’est utile que lorsque l’on est malade », sous-entendu de la grippe coronavirale. Pourtant les médias l’ont oublié pensant que cette courte phrase disant pourtant la vérité dissimulait la vérité sur la pénurie de masques. Si on ne souffre pas de la grippe il est inutile de porter un masque puisque l’on n’éternue pas ni ne tousse. De plus j’ignore où les politiciens ont trouvé des preuves irréfutables que la fumée de cigarette pouvait transmettre le virus et leur décision d’interdire la cigarette dans la rue ou aux terrasses de café est tout simplement stupide. Quelle seront leurs prochaines inventions géniales pour emmerder les populations ?

Venons-en à quelques chiffres pour la France (source INSEE). En France 610000 personnes sont mortes en 2019. Cela représente 1671 décès par jour qui se répartissent comme suit : Cancers, 460 morts par jour ; maladies cardiovasculaires, 420 morts par jour ; infections pulmonaires, 110 morts par jour ; suicides, 27 par jour ; autres causes, vieillesse, accidents de la route, accidents professionnels, autres maladies infectieuses, autres maladies, accidents de la route, meurtres, over-dose de drogues et causes inconnues : 654. Du premier au 6 août 2020 il y a eu 47 décès prouvés comme étant la conséquence d’une infection avec le coronavirus, co-morbidité ou non, soit 7,8 décès par jour sur cette période, donc 4 fois moins que les décès par suicide et seulement 6 % de tous les morts à la suite d’infections pulmonaires. Et avec ces chiffres on parle déjà de nouveau confinement et de deuxième vague …

Et on veut continuer à nous emmerder avec cette histoire de virus ultra-dangereux. De qui se moquent les politiciens ? En fait la question est mal posée. À qui obéissent le chef de l’Etat français, son gouvernement et son administration pour prendre des décisions aussi stupides ? Ma question ne se limite pas seulement au coronavirus mais également aux décisions prises pour « sauver le climat », des mesures qui ne vont pas plaire aux ex-gilets jaunes accablés par une récession économique sans précédent depuis la fin de la deuxième guerre mondiale, eux qui vont se trouver confrontés à toutes sortes de taxes insidieuses relatives à l’énergie. Ils vont ressortir de leur province non plus avec des gilets jaunes mais des gilets couleur de sang et armés de manches de pioche …

Si vous perdez l’odorat (anosmie) préparez votre testament …

L’odorat est un des sens, il y en a 5 et c’est bien connu, jouant un rôle essentiel pour la santé et le comportement. Par exemple, c’est avec l’odorat que l’on maintient un bon appétit, il suffit de sentir le fumet d’un bœuf bourguignon mijotant doucement pour avoir une envie soudaine de se mettre à table surtout si cette préparation est accompagnée d’un bon vin rouge que le nez appréciera. Mais l’odorat remplit d’autres fonctions, il est important pour détecter des odeurs dangereuses, il est associé à la mémoire, les émotions et les relations intimes. Le bon fonctionnement de l’odorat dépend de la bonne régénération du neuro-épithélium olfactif qui est lié directement au bulbe rachidien et à l’hippocampe. Les terminaisons nerveuses olfactives sont les seuls nerfs exposés au milieu extérieur. La perte d’odorat, l’anosmie en terme savants, pouvait donc être le signe précurseur d’un dysfonctionnement neuronal, encore fallait-il le prouver car le vieillissement général de l’organisme peut également conduire à des troubles de l’odorat et bien d’autres facteurs influent sur la « santé » du cerveau. Partant de cette hypothèse, l’anosmie peut donc constituer l’un des signes avant-coureurs des maladies neuro-dégénératives telles que les maladies d’Alzheimer ou de Parkinson.

Pour répondre à cette question, il fallait donc disposer d’un échantillon suffisamment grand de sujets étudiés sur une longue période avec toutes les données médicales permettant de procéder à des analyses statistiques qui ne soient pas biaisées par d’autres facteurs.

Le programme national américain de suivi de la santé des personnes vieillissantes a donc en 2005-2006 interviewé 3005 personnes (1454 hommes et 1551 femmes) âgées de 57 à 85 ans et cinq ans plus tard, ces mêmes personnes ont été à nouveau sollicitées, elles avaient exprimé par écrit leur consentement pour participer à l’étude. La capacité olfactive avait été déterminée par des tests précis en présentant des lamelles de papier buvard imprégnées de substances odorantes, comme ce que font les parfumeurs. Les odeurs suivantes furent utilisées : rose, cuir, orange, poisson et menthe. Selon les erreurs d’identification les sujets furent classés en anosmiques (4 ou 5 erreurs), hyposmiques (2 ou 3 erreurs) et normosmiques (0 – 1 erreur). Lors de la deuxième vague d’interviews et de recensement de la mortalité, cinq années plus tard, 430 personnes étaient décédées et sur l’ensemble des 3005 personnes initialement interviewées, seules 2918 furent finalement prises en compte pour l’analyse statistique finale. Cette analyse fut conduite conformément aux règles communément admises quand il s’agit d’approche multifactorielle, sachant que l’évaluation de l’odorat est une variable indépendante des sujets alors que les causes des décès ne le sont pas comme l’âge, l’indice de masse corporelle ou encore le niveau social et enfin l’origine ethnique des sujets. Bref, en s’entourant de toutes les précautions d’analyse, il est finalement apparu une remarquable corrélation entre le degré d’anosmie et la mortalité :

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Comme les causes de morbidité sont multifactorielles, l’analyse a permis de classer les risques de mortalité selon les degrés d’anosmie, les nombres d’erreurs d’appréciation des odeurs, connaissant les dossiers médicaux de tous les sujets décédés après 5 années :

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Encore une fois l’anosmie ressort clairement comme étant significativement liée aux décès. On ne meurt pas d’anosmie mais ce symptôme est donc avant-coureur d’une dégénérescence cérébrale conduisant dans les cinq ans à la mort. Note : la figure montre les effets sur la mortalité à 5 ans selon les divers facteurs de morbidité étudiés (il s’agit d’un forest plot) et cette représentation est communément utilisée pour comparer divers risques non nécessairement liés les uns aux autres dans les méta-analyses, heart failure signifie un accident cardiaque congestif alors que heart attack est l’infarctus du myocarde. Le point indique la moyenne pondérée de l’évènement et la ligne horizontale l’intervalle de confiance dans lequel se situe l’évènement étudié. Ce type de représentation montre par exemple que le risque de mourir d’AVC (stroke) est sensiblement identique à celui de mourir de diabète, idem pour l’emphysème, le cancer et l’infarctus.

Les auteurs de l’étude réalisée à l’Université de Chicago et publiée dans PlosOne (open access : DOI: 10.1371/journal.pone.0107541 ) considèrent que l’hyposmie et l’anosmie sont un peu comme les canaris des mineurs de fond, un bon indicateur de la santé cérébrale en ce sens que cette pathologie a priori non mortelle révèle directement les mécanismes de vieillissement cérébral et également les expositions à l’environnement car le nerf olfactif est le seul directement en contact avec le milieu extérieur. De plus l’anosmie révèle une détérioration des capacités régénératives des cellules souches du système olfactif et par voie de conséquence l’imminence du développement d’une maladie neurodégénérative mortelle. Si vous ne sentez plus rien, rédigez votre testament car dans les cinq années vous serez probablement passé à la trappe …