Conséquences de la pandémie de SARS-CoV-2

L’ARNm de Pfizer et de Moderna : une arme de destruction massive !

Selon un nombre de plus en plus important d’études, la « vaccination » de milliards de personnes dans le monde n’a jamais eu les effets protecteurs escomptés qu’il s’agisse de la protection contre les formes graves de l’infection par le coronavirus, de la protection des individus contre l’infection elle-même ou de la disparition des risques de contagion. Mais il y a pire : cette thérapie génique a provoqué la morts de plus de 2 millions de personnes de tous âges, en particulier de jeunes personnes en excellente santé qui paradoxalement ne couraient qu’un risque très limité de contracter la maladie car leur système immunitaire était suffisamment solide pour combattre ce virus. Cette estimation est considérée comme basse. Et il y a pire encore : lorsque la cellule de l’individu soumis de gré ou de force à cette thérapie génique reçoit cet ARN presque totalement synthétique elle synthétise une protéine, la sous-unité 1 de la protéine de la spicule du virus, celle-ci est toxique pour l’organisme. Les effets de cette protéine sont multiples, depuis une perturbation du cycle menstruel de la femme, l’apparition de thromboses pouvant aller jusqu’à des arrêts du cœur, des effets délétères sur les gonades, le réveil de cancers jusque là endormis, l’effet facilitant d’une nouvelle infection ou encore l’apparition de maladies auto-immunes, et j’en passe.

Ce nombre de morts supplémentaires évalué par des statisticiens chevronnés comme en France Pierre Chaillot défie l’entendement sauf si on part de l’hypothèse qu’il est lié à cette « vaccination ». Avec cette corrélation tout s’explique clairement. On pourrait argumenter ainsi : puisque l’augmentation de cette mortalité restait inexpliquée et que la « vaccination » coïncidait alors la relation de cause à effet pouvait en être la cause. Certes ce rapprochement est scientifiquement contestable et jamais un scientifique ne se hasarde à ce genre de rapprochement, en d’autres termes le hasard n’est pas une preuve scientifique. C’est un principe fondamental enseigné par les patrons de laboratoire de recherche quand on commence une carrière de chercheur en science. Les contestataires comme Laurent Alexandre ou Olivier Veran, médecin de son état, oublient de mentionner que dans les pays dits pauvres n’ayant pas eu les moyens d’acheter ce « vaccin » il n’y a jamais eu de cas de morts suspectes ou d’effets secondaires comme dans les pays dits développés. Il s’agit d’une preuve par la négative comme on la pratique au cours d’essais cliniques correctement accomplis dans les règles de l’art.

Apparemment toutes ce observations ne suffisent pas et elles sont rejetées par les décideurs politiques. On les comprend puisqu’ils ont été achetés par les deux laboratoires pharmaceutiques cités plus haut pour que cette thérapie génique soit imposée au peuple pour leur plus grande satisfaction financière. Par exemple le prix de revient d’une dose de « vaccin » est un peu inférieur à 1 dollar et cette dose est facturée entre 15 et 20 dollars. Il n’y a rien d’étonnant que Pfizer ait réalisé un chiffre d’affaires de 100 milliards de dollars … Des essais cliniques bâclés, des contrats de vente secrets : n’est-ce pas là la preuve qu’il y a eu une fraude dès le début de cette campagne de « vaccination » ? Il est compréhensible que les politiciens se protègent en déléguant à des individus peu recommandables de répandre la propagande sur les « plateaux télé » des pseudo-spécialistes qui ne connaissent strictement rien au sujet des ARNs en général ni au sujet des ARNs messagers en particulier. Lorsque j’étais étudiant en maîtrise de science (on dit maintenant « master » par snobisme anglo-saxon) on venait de découvrir les ARNs messager mais on ignorait le rôle des petits ARNs dans la transcription de l’ARN ou la régulation de le traduction de ce Dernier en protéines, pour ne citer qu’un exemple particulier. La France a le privilège d’abriter l’une des plus grandes spécialistes mondiales des micro ARNs. Il s’agit d’Alexandra Henrion-Caude. Ses prises de position au sujet des ARNs messagers commercialisés par Pfizer, pour ne citer que cette entreprise, à des fins thérapeutiques ont eu pour conséquence que cette éminente biologiste soit insultée, trainée dans la boue la plus putride qui soit par des béotiens qui défendent en réalité les décideurs politiques. Il faut appeler les choses par leur nom : la politique sanitaire est conduite par une bande d’escrocs et pas seulement en France avec l’acquiescement de l’OMS.

L’OMS et le Nouvel Ordre Mondial sanitaire

L’épidémie de SARS-CoV-2 a été classée comme pandémie par l’OMS dès le début des premiers cas. Cette décision fut trop rapide car ce ne sont pas quelques cas en Italie, en France, en Chine puis en Belgique si je me souviens bien qui pouvaient conduire à cette classification aussi rapidement. L’OMS avait donc une petite idée dans la prévoyance de l’apparente gravité qu’allait revêtir cette maladie. C’est troublant ! Il apparaît maintenant qu’en réalité l’OMS, un organisme international financé en partie par des intérêts privés, a des visées totalitaires et ces visées viennent d’être révélées au grand jour avec la variole du singe qui a été déclarée « urgence sanitaire » alors que nombre de cas dans le monde se compte avec les dix doigts des mains. En ce qui concerne le coronavirus on assiste aujourd’hui au mélange des genres à l’OMS avec la nomination comme « Chief scientist » auprès de cet organisme le dénommé Jeremy Farrar par ailleurs directeur du Wellcome Trust, une organisation « charitable » impliquée dans le domaine biomédical avec en particulier ses investissements dans un certain nombres d’entreprises pharmaceutiques. Ça rappelle un peu la Fondation Bill&Melinda Gates qui sous couvert d’activités humanitaires est en réalité une entreprise financière profitable.

Pourquoi l’OMS dérive vers le totalitarisme le plus exécrable, riche de la gestion du coronavirus ? Parce que le projet de mise en place d’une structure qui prendra des mesures autoritaires que les gouvernements du monde entier devront appliquer entre dans le cadre d’une modification de la structure de l’OMS qui passerait d’une organisation consultative internationale à un organe directeur dont les décisions seraient juridiquement contraignantes. Un autre article de ce projet reprend une décision de Ronald Reagan prises en 1986 accordant aux fabricants de vaccin une immunité juridique pour les blessures et les décès causés par leurs produits ! Il n’est pas difficile d’imaginer alors pourquoi les laboratoires Moderna et Pfizer bénéficient d’une totale protection juridique au sujet des dégâts provoqués par leurs « vaccins » et poourquoi cette clause a été mentionnée dans les contrats de fourniture de ces produits à des pays ou des groupes de pays comme l’Union européenne.

On s’achemine donc vers une financiarisation de la santé au niveau mondiale sous l’impulsion d’un organisme international profondément corrompu qui détiendra une autorité absolue sur les gouvernements nationaux. Visiblement les démocraties occidentales, elles-mêmes corrompues, n’ont pas l’air de vouloir réagir à la mise en place de ce projet de mise en place d’un nouvel ordre mondial si cher au néo-nazi Klaus Schwab. Tout est expliqué en détail dans l’excellent article de Jean-Dominique Michel dont je conseille la lecture soigneuse à mes fidèles lecteurs.https://anthropo-logiques.org/oms-et-nouvel-ordre-mondial/

Le gros pavé dans le panier des crabes coronaviraux …

Xavier Azalbert (France-Soir) vient de frapper un grand coup en invitant à une longue conversation le Docteur Joseph Tritto, Président de la World Alliance for Biomedicine & Technology ( http://www.thewabt.com/WWO_organization.aspx ). Cet honorable médecin, dont j’ignorais l’existence avant cette entrevue magistrale, a méticuleusement décortiqué la genèse du SARS-CoV-2. Il a clarifié le rôle de Moderna dont le CEO est un transfuge de la société Biomérieux dans ce projet et la lourde responsabilité d’Antony Fauci qui, pour laver les Etats-Unis de tout soupçon, a financé les recherches dans le laboratoire P4 de Wuhan spécialisé dans l’étude des coronavirus de chauve-souris. Cette manœuvre avait en réalité pour but de masquer les longs travaux au sein des laboratoires de l’armée américaine sur les virus du SARS-1 et du MERS dès le début des années 2000. L’intervention de l’OMS, par conséquent en sous-main de Bill Gates, dans cette grossière manœuvre devait laver la conscience des militaires américains et rejeter l’erreur sur le laboratoire P4 de Wuhan. Antony Fauci est donc pour Joseph Tritto au cœur de cette sombre histoire.

Tritto insiste sur le fait que l’insert de 19 nucléotides breveté par Moderna pour induire un gain de fonction datait bien de 2016. Les Chinois ont également créé un virus génétiquement modifié en introduisant un insert différent d’origine bactérienne qui est indétectable par les généticiens. Comme je l’ai écrit à plusieurs reprises sur ce blog Moderna n’a pas pris la précaution de vérifier que les codons de l’arginine insérés dans l’ARN du virus n’étaient jamais rencontrés chez les coronavirus, ce qui signait la supercherie. Le Docteur Alexandra Henrion-Caude l’avait très vite signalé d’ailleurs.

Bref cet entretien révèle le montage invraisemblable qui a conduit au désastre de la pandémie. Mais il y a bien pire et le Docteur Tritto en dit un mot dans son entrevue en anglais, pour stabiliser l’ARN messager utilisé pour la thérapie génique appelée abusivement vaccin. L’armée américaine, dans sa grande mansuétude, a également financé dès 2016 la mise au point d’une technique de protection faisant appel à la technique de l’ARN messager supposé obliger l’organisme à produire l’antigène de surface du coronavirus, la sous-unité 1 de la protéine de la spicule d’attachement du virus à la membrane cellulaire. La préoccupation de l’armée américaine était de protéger ses personnels contre une nouvelle arme bactériologique, en l’occurence un virus artificiellement modifié qui puisse servir d’arme de destruction massive. On connait la suite car cette protéine s’est révélée toxique en induisant une multitude d’effets secondaires dont on ignore encore les effets à long terme sur cinq, dix ans voire plus. 

Dans son exposé en anglais Tritto mentionne également la toxicité des nano-particules de lipides synthétiques protégeant l’ARN messager injecté à des milliards de personnes. Si les investigations sur les ovaires n’ont pas encore été clairement détaillées en revanche un effet sur les testicules et la prostate a été bien documenté. Ces nano-particules provoquent des troubles graves de la spermatogenèse et ont également tendance à s’accumuler dans la prostate et encore une fois personne ne peut prévoir quelles seront les conséquences de ce phénomène à cinq ou dix ans. Selon Tritto il s’agit bien d’un gigantesque complot organisé dès 2016 par l’armée américaine …

Joseph Tritto a exposé l’histoire de l’hydroxychloroquine. Au cours des années 2000 les biologistes chinois avaient décrit l’effet inhibiteur de l’hydroxychloroquine sur l’accrochage du virus sur la membrane des cellules épithéliales et ces résultats avaient été publiés dans une revue scientifique mais écrits en chinois avec seulement un court résumé en anglais comme par exemple en France les Comptes Rendus de l’Académie Française publient des articles en français avec un petit résumé en anglais. L’impact de cet article fut presque nul mais des curieux comme le Professeur Raoult en France s’intéressèrent à ces travaux. À l’IHU de Marseille le mode d’action de l’HCQ fut précisé. Cette molécule inhibe bien la fixation du virus sur les cellules épithéliales mais provoque également un alcalinisation du milieu intracellulaire et par conséquent une inhibition de la réplication du virus. Comme l’a précisé Joseph Tritto la confirmation de l’effet bénéfique de l’HCQ a été confirmé dans tous les pays d’Afrique dont l’usage est prophylactique pour la prévention de la malaria.

Joseph Tritto est revenu sur la technique à ARN messager. Cette technique a été mise au point par le Docteur Robert Malone. Ce dernier a toujours insisté sur le fait que cette approche devait être considérée comme expérimentale et en dernier recours pour tenter de soigner des formes de cancers réfractaires à tous les traitement chimiques connus. L’interdiction de l’HCQ puis de l’ivermectine fait naturellement partie du complot ourdi par l’armée américaine. Aveuglés par les perspectives prometteuses de la technique à ARN messager dans le fait qu’il serait possible sur le papier de mettre au point rapidement une sorte de thérapie de protection contre tout agent pathogène nouvellement manipulé en laboratoire afin de protéger les personnels militaires, les laboratoires pharmaceutiques étaient prêts à inonder très rapidement le monde entier avec des pseudo-vaccins pour le plus grand bénéfice de ces mêmes laboratoires pharmaceutiques. C’est la raison pour laquelle l’interdiction de l’HCQ fut imposée à tous les pays qui suivent les directives des organismes tels que le CDC et le NIH aux USA, directives reprises par l’OMS.

Enfin l’« affaire » des tests de diagnostic utilisant la technique dite PCR, car il s’agit bien d’une gigantesque affaire au sens financier du terme, a également été abordée par Tritto. Ce sont des milliards de dollars qui ont été engloutis dans ces tests. J’ai utilisé cette technique au cours de mes travaux de recherche et je la connais bien. Comme je l’ai déjà mentionné sur ce blog la technique PCR n’est opérationnelle qu’en présence d’ADN double brin. Quand il s’agit d’amplifier la présence d’ARN il faut d’abord convertir cet ARN en ADN avec un enzyme appelé transcriptase réverse (RT en anglais, ne pas confondre avec Russia Today). Les cycles d’amplification permettent d’isoler un gène pour en étudier ensuite la séquence de nucléotides. Il s’agit d’une technique initialement utilisée en recherche dans le domaine de la biologie moléculaire. Je me souviens n’avoir utilisé que 16 cycles d’amplification pour isoler le gène codant pour une protéine présentant une activité enzymatique. Au delà de 16-20 cycles d’amplification à l’aide d’une amorce synthétique, un petit morceau d’ADN, dérivée dans ce type d’investigation de la séquence d’un fragment de la protéine en question après séquençage des amino-acides de celle-ci, on commence à voir apparaître n’importe quoi. C’est la raison pour laquelle le test dit PCR ne peut pas être utilisé comme outil de diagnostic en raison de l’apparition inévitable de faux positifs. Des firmes spécialisées dans la production de réactifs pour les laboratoires de recherche, en particulier allemands et américains, ont sauté sur l’occasion pour réaliser d’immenses profits en proposant ce test pour le dépistage des cas « positifs » PCR-coronavirus autorisant les gouvernements occidentaux à mettre en place des mesures coercitives mais surtout à favoriser la bonne santé financière de ces fabricants de réactifs de laboratoire. On connait la suite : les nombres de cas augmentent donc il faut procéder à des rappels de « vaccins » et la mécanique de la machination s’auto-entretient, indépendamment du fait que cette « vacination » fait apparaître des anticorps facilitants qui fragilisent les sujets sains à une nouvelle infection. Les tests PCR font partie de ce complot coronaviral !

Il faut écouter avec une grande attention les propos de Giuseppe Tritto. Selon mes informations son ouvrage dans lequel il détaille ses travaux d’enquête tous factuellement vérifiés est malheureusement en italien car la somme d’informations qu’il a divulgué au cours de ses deux exposés est tout simplement extraordinaire … Liens :

https://www.youtube.com/watch?v=xRuvqiMrNJg (en anglais)

https://www.francesoir.fr/videos-l-entretien-essentiel/les-armes-biologiques-sont-developpees-malgre-les-traites

Nouvelles peu rassurantes

L’article de H16 est illustratif du but recherché par l’injection d’ARN messager supposé « vacciner » contre le coronavirus : agir sur la fertilité humaine : Lien :https://h16free.com/2022/10/28/72001-cette-etrange-sous-natalite-occidentale

Il y a de nombreuses semaines le Professeur Didier Raoult avait montré au cours d’une de ses interventions en direct de l’IHU de Marseille que les anticorps dirigés contre la protéine spike du virus croisaient avec la syncytine, une protéine présente dans les muscles, la membrane basale et divers autres organes du corps. Cette démonstration faisait appel à une technique dite Western Blot. Brièvement il s’agit de séparer les protéines par électrophorèse puis d’appliquer un film de nitrocellulose sur le gel d’électrophorèse pour adsorber ces protéines sur le film. Ensuite on procède à un contact entre celui-ci et une dissolution d’un sérum dont les anticorps présents reconnaissent la sous-unité 1 de la protéine spike du virus, celle-la même codée par l’ARN contenu dans ce qui est appelé abusivement vaccin. Après rinçage on révèle la présence d’anticorps fixé sur la membrane de nitrocellulose à l’aide d’un anticorps anti-anticorps humain. C’est ainsi que la réactivité croisée avec la syncytine a été montrée.

La syncytine est absolument nécessaire pour l’implantation du placenta dans l’utérus, elle est également nécessaire pour la régénération des muscles et la formation des fibres musculaires issues de la fusion de plusieurs cellules musculaires ne contenant qu’un seul noyau en cellules multinuclées. Elle est enfin présente dans les gonades. Il est dès lors tout à fait évident que la présence d’anticorps anti-spike-1 chez les sujets dits « vaccinés » va provoquer des avortements, une diminution de la production de spermatozoïdes et probablement des enfants morts-nés car le placenta n’a pas été correctement arrimé à l’endomètre utérin et enfin des troubles au niveau du muscle cardiaque au sein duquel la régénération des fibres musculaires est constante au cours du temps.

Ce n’est pas un délire de ma part mais une simple constatation tout à fait troublante. Il suffit de franchir un tout petit pas pour comprendre la vraie finalité de cet ARN messager injecté à des centaines de millions de personnes sous un faux prétexte, celui de protéger contre le coronavirus. Je doute que qui que ce soit puisse obtenir les données corrélant le statut « vaccinal » des femmes ayant mis au monde un enfant mort in utero ou à la naissance. Je doute que le monde médical corrompu par les fabricants de ce pseudo vaccin avouent être complices de ces assassinats de masse, des troubles du cycle menstruel chez les femmes, de la baisse de la qualité du sperme ou encore des arrêts cardiaques imprévisibles. Merci Pfizer, merci Moderna, vous avez obéi le doigt sur la couture aux injonctions des fous qui veulent gouverner la planète entière, je veux parler et je n’ai pas peur de l’écrire des Klaus Schwab, des Bill Gates et de bien d’autres personnalités politiques. 

SARS-CoV-2 : Trop de faits troublants …

Depuis deux ans et demi le monde occidental subit la psychose coronavirale et cette mascarade va perdurer pour le plus grand bien des laboratoires pharmaceutiques et afin que le pouvoir politique conforte son emprise sur les peuples pour les tétaniser encore plus profondément dans le but de les esclavagiser en invoquant toutes sortes de prétextes comme le réchauffement du climat, les pénuries alimentaires, le prix de l’énergie, la menace russe ou chinoise, bref, tout est réuni pour que le Forum économique mondial finisse par imposer ses vues totalitaires sur l’Occident. Il faut reconnaître que ce coup monté depuis le milieu des années 2010 est magistral. Tout était prêt pour que la machine infernale soit activée. J’ai lu des centaines d’articles au sujet du coronavirus et de ses effets sur l’organisme et tout était prémédité. Commençons par les manipulations génétiques ayant permis d’introduire la séquence proline-arginine-arginine-alanine afin d’amplifier le pouvoir infectieux du virus. Cette séquence d’amino-acides est reconnue par un enzyme protéolytique présent à la surface de toutes les cellules épithéliales appelé « furine » et dont la fonction est de couper les protéines indésirables. Dans le cas du coronavirus cette séquence n’existe pas, elle n’a jamais été retrouvée dans aucun coronavirus connu. De plus l’aspect artificiel de cette séquence introduite à dessein est corroboré par le fait que les « codons » ou triplets de bases nucléotidiques spécifiques de l’arginine ne sont jamais retrouvés dans aucun coronavirus connu mais existent chez les vertébrés. Ces codons cytidine-guanine-guanine signent l’aspect artificiel de cette insertion. C’est une erreur de débutant commise par la société Moderna qui n’a même pas jugé nécessaire de dissimuler cette supercherie en introduisant des codons plus communs aux coronavirus … Erreur grossière de Bancel qui devra bien rendre un jour des comptes devant la justice.

Déjà en 2016 on connaissait les armes permettant de combattre le coronavirus, nommément l’hydroxychloroquine associée à un macrolide. Mais dans le même temps les laboratoires pharmaceutiques étaient déjà très occupés par la mise au point d’un nouveau type de « vaccination » basé sur l’utilisation d’un ARN messager modifié codant précisément pour la sous-unité 1 de la protéine dite « spike », celle-là même apparaissant à la suite du clivage de l’ensemble de la grosse protéine de la spicule au niveau du site introduit par manipulation génétique en laboratoire pour atteindre ce gain de fonction tant rêvé par les militaires dans le cadre de leurs travaux de mise au point d’armes biologiques.

Tout était prêt. Où et par qui le coronavirus a-t-il été manipulé puisque la probabilité de l’apparition de ce site furine est totalement improbable dans la nature ? Personnellement je penche pour la possibilité de travaux de gain de fonction exécutés par l’armée américaine sur le sol des USA. Pourquoi les installations ultra-secrètes de Fort Dietrick ont-elles été démantelées si ce n’est pour dissimuler les agissements de l’armée américaine encouragés par Antony Fauci, le grand maître du gain de fonction virale ? Pourquoi également existait-il une collaboration assez officielle entre des laboratoires américains et chinois ? Sans chercher à être traité de complotiste je me pose la question, comme si les Américains n’étaient pas capables de conduire eux-mêmes de tels travaux de recherche … Un autre point tout à fait troublant est ce brevet déposé par Moderna en 2016, entreprise dirigée par un transfuge de Biomérieux, cette société qui a en grande partie financé l’installation du laboratoire P4 de Wuhan. Dans ces conditions on peut dire que la France se trouve de facto complice de cette pandémie organisée de main de maître par l’armée américaine tout en organisant la complicité des Chinois pour que les Américains s’en lavent les mains.

Il restait le gros morceau : produire l’ARN messager codant pour la sous-unité-1 de la protéine spike qui comporte 671 amino-acides. L’ARN correspondant comprend donc 2013 bases nucléotidiques avec des ajouts en 5′ et 3′ pour éviter une dégradation trop rapide de la molécule ainsi que des bases modifiées dans le même but. La technique est connue et ne constitue plus un défi. Brièvement l’ARN qui servira (abusivement) de vaccin est synthétisé dans un système acellulaire en mettant à profit la synthèse d’ARN à l’aide d’ARN polymérase après avoir converti l’ARN dont on s’intéresse en ADN double brin qui sert de modèle pour l’activité de l’ARN polymérase. Les apprenti-sorciers de Moderna et Pfizer ont fait le reste en appliquant ces techniques de laboratoire devenues triviales.

Il restait à répandre le virus en feignant que son origine était la ville de Wuhan. Rien de plus simple puisque devaient se dérouler les jeux olympiques militaires précisément dans cette ville. De nombreux athlètes, au cours de l’automne 2019 alors que tout était plié, souffrirent de maux d’origine inconnue et, innocents, ils répandirent la maladie de retour dans leur pays d’origine. Quelle belle organisation … On n’aurait pas trouvé mieux dans le scénario d’un film d’horreur. Le reste ce sont des arrangements entre décideurs politiques et grosses firmes pharmaceutiques avec leur lot de corruption, la mise en place de tests pour entretenir la psychose épidémique, l’interdiction des traitements précoces … La liste est longue. Ce qu’il faut retenir de ces deux années et demi de coronavirus est l’utilisation de la science à des fins mercantiles en niant systématiquement les résultats des cliniciens et des spécialistes mondialement réputés dans le domaine de la virologie. Le monde politique s’est emparé de cette science et c’est le signe évident d’une décadence de l’Occident pour lequel les valeurs fondamentales de l’éthique n’ont plus cours.

Le Docteur Zelenko n’est plus mais sa mémoire aura des conséquences

Lorsque le docteur en médecine Vladimir Zelenko, médecin généraliste, commença à constater au printemps 2020 que le SARS-CoV-2 tuait beaucoup plus de personnes que la grippe saisonnière, contrairement à la grande majorité de ses collègues médecins, il se pencha sur la bibliographie récente au sujet de ce nouveau virus. Et il découvrit des travaux très récents disponibles en « preprint » avant leur date de publication officielle. Ces travaux étaient relatifs au traitement précoce de l’infection par le coronavirus avec une bi-thérapie hydroxychloroquine-azithromycine confirmée par l’équipe de Professeur Didier Raoult en France :https://doi.org/10.1016/j.ijantimicag.2020.105949 . Le Docteur Zelenko appliqua le protocole en utilisant la posologie alors universellement connue pour traiter la malaria et l’azithromycine étant un antibiotique très largement prescrit. Les premiers cinquante patients que Zelenko traita furent tous guéris très rapidement et il publia à son tour ses travaux :https://doi.org/10.1016/j.ijantimicag.2020.106214 . Un peu naïvement Zelenko eut l’audace de prévenir le Président américain Donald Trump par courrier. Comme par un effet du hasard sa missive atterrit sur le bureau du Président qui s’empressa de déclarer publiquement que l’HCQ était un « don des dieux ».

À partir de cette courte prestation de Donald Trump le complot anti-HCQ se structura et s’accéléra pour plusieurs raisons. Tout ce que déclarait Donald Trump était un tissu de mensonges, selon les Démocrates, par conséquent cette histoire d’HCQ était une « fake-news ». Alors que les Laboratoires Gilead venaient de mettre au point une molécule active in vitro sur la réplication du virus, le Remdesivir, inspiré de travaux de recherche sur le virus de la fièvre Ebola, et que d’autres laboratoires et non des moindres envisageait sérieusement de mettre au point ce qui sera plus tard abusivement appelé un vaccin, en réalité la formulation d’un ARN messager provenant de la séquence du SARS-CoV-2 publiée par les Chinois au début de l’année 2020, modifié pour ne pas être trop rapidement dégradé dans l’organisme et formulé dans des nano particules de lipides de synthèse il était urgent de réagir contre cette funeste nouvelle de l’efficacité de l’HCQ. Les Démocrates, puissamment soutenus financièrement par les grands laboratoires pharmaceutiques prirent le train en marche et forcèrent les instances sanitaires, CDC, FDA et NIH, la plupart d’entre eux percevant de confortables émoluments de ces laboratoires y compris Gilead, pour construire aussi rapidement que possible une véritable obstruction dirigées contre l’HCQ. Il en ressortit que si l’HCQ ne présente aucun effet secondaire connu lorsqu’elle est utilisé en traitement contre la malaria, elle est par contre toxique, hautement toxique, si elle est utilisée avec des posologies similaires pour traiter l’infection au stade précoce par le coronavirus. Comprenne qui pourra mais ce véritable coup monté n’avait plus rien à voir avec la science médicale. Les médecins de ville, les premiers à voir les malades, furent rigoureusement interdits de prescription de l’HCQ, les pharmacies n’eurent plus l’autorisation de satisfaire une ordonnance comportant de l’HCQ. Seuls les patients souffrant de maladies auto-immunes comme la polyarthrite rhumatoïde ou le lupus pouvaient encore en obtenir mais difficilement.

Anthony Fauci, lui-même compromis dans cette cabale, abonda dans le sens de l’interdiction de l’HCQ puis de l’Ivermectine. Cette affaire prit rapidement une ampleur internationale. De nombreux médecins traitants et soignant leurs malades en leur âme et conscience furent interdits d’exercer la médecine comme par exemple le Docteur Meryl Nass dans l’Etat du Maine. En France l’immense infectiologue qu’est le Professeur Didier Raoult fit l’objet de menaces de mort, de calomnies invraisemblables, mais il resta droit dans ses bottes et ne succomba nullement à cette agressivité constante organisée et téléguidée par l’immense lobby pharmaceutique, un véritable état dans l’Etat qui dicte sa loi aux décideurs politiques quitte à les corrompre s’ils s’avèrent difficiles à convaincre.

Combien de morts auraient pu être évités si l’HCQ avait été généralisée en traitement préventif et prophylactique dès le printemps 2020 ? Les assassins devront payer un jour car il s’agit probablement de plusieurs millions de morts non pas gratuits mais pour le plus grand profit des laboratoires pharmaceutiques qui ne reculent devant rien et se révèlent être une véritable mafia criminelle. Il y a en effet les effets secondaires de ces « vaccins » toujours passés sous silence par les grands médias eux aussi corrompus. Avoir osé de la part des décideurs politiques d’injecter des centaines de millions de personnes avec un produit qui n’avait pas ses preuves, résultat de recherches et de mises de cette technique qui n’a jamais montré de résultats satisfaisants depuis 20 ans est tout aussi criminel … Ce bref billet est inspiré d’un article de Meryl Nass dont je conseille la lecture à mes lecteurs :http://anthraxvaccine.blogspot.com/2022/07/our-obituary-for-dr-zev-zelenko.html et pour tous ceux qui sont « vraiment » convaincus que la thérapie génique est souvent mortelle, ce long exposé du Docteur Joseph Mercola qui a subi la vindicte de la presse « presstitute » :https://www.lewrockwell.com/2022/07/joseph-mercola/pathologist-speaks-out-about-covid-jab-effects/

BigPharma : le prochain grand crack boursier ?

Edward Dowd, diplômé en économie de l’Université Notre-Dame et ancien gestionnaire de portefeuilles chez BlackRock tire la sonnette d’alarme sur la situation du monde financier. Il avait prévu la chute de la bulle financière dot com en 2000 et pressenti l’imminence de la crises des sub-prime en 2008. Considéré comme une sorte de gourou de la finance bien que retiré depuis quelques années sur les rivages de l’île de Maui il a livré ses impressions au sujet de Moderna et Pfizer et son analyse sur le proche avenir est préoccupante. Alors qu’en France un tribunal a tranché en faveur de la banque auprès de laquelle un contrat d’assurance-vie avait été souscrit après le décès d’une personne à la suite de l’administration du vaccin Pfizer. Les ayant-droit ont vu disparaître la coquette somme de 1 million d’euros, les juges ayant décrété qu’il n’y avait pas de relation de cause à effet. Cette information soigneusement étouffée par les médias est tout de même parvenue jusqu’aux Etats-Unis.

Les compagnies d’assurance américaines constatant que le nombre de décès excède jusqu’à 300 % dans certains Etats sont en cours de constitution d’une class-action pour poursuivre Pfizer et Moderna pour fraude, ce qui n’était pas prévu dans les closes de la FDA lorsque cet organisme a accordé une autorisation de mise sur le marché du vaccin à ARN messager dans l’urgence. Pour Edward Dowd Moderna sera acculé à la faillite et ses dirigeants poursuivis devant la justice et le destin de Pfizer ne sera pas plus rassurant. Cette affaire pourrait avoir de lourdes répercussions de ce côté-ci de l’Atlantique. En effet le contrat léonin conclu entre Pfizer et La Commission européenne pourrait faire l’objet de poursuites au pénal d’autant plus que la Commission européenne a usurpé ce droit qui ne lui était pas reconnu par les traités en la personne d’Ursula van der Leyen.

Revenons aux Etats-Unis. La situation des compagnies d’assurance est tellement préoccupante que le dossier risque d’être traité lui aussi dans l’urgence car les compagnies de réassurance sont également impliquées directement. Un autre signal alarmant qui a été relevé par Edward Dowd est la désaffectation soudaine des hedge funds pour ces deux valeurs, Moderna et Pfizer, qui ont déjà perdu respectivement 40 et 19 % par rapport aux plus hauts de leur cotation. Une maigre consolation pour les détenteurs d’actions des principales compagnies de pompes funèbres, ils ont réalisé de confortables plus-values … La FDA se bat toujours pour rendre publiques les quelques 450000 pages du document remis par Pfizer pour obtenir l’autorisation d’utilisation d’urgence de son vaccin à ARN messager. La justice vient d’obliger la FDA a rendre publique ce dossier à raison de 55000 pages par mois. On connaitra enfin jusqu’à quel point la FDA, puis l’OMS, puis l’Agence européenne du médicament ont été corrompues par Pfizer. La chute des deux icônes de la « BigPharma », révélant cette corruption généralisée, entrainera une grave crise boursière puis financière.

Source : https://www.thedesertreview.com/opinion/columnists/pfizer-moderna-investors-run-for-the-exits/article_f33832ce-9347-11ec-830c-6fe60d1a126b.html et aussi sur ce blog :https://jacqueshenry.wordpress.com/2022/01/06/vaccins-les-compagnies-dassurance-sont-des-temoins-incontestables/