Les Français aiment se faire sodomiser par les Allemands et ça ne date pas d’aujourd’hui !

Depuis plus de 150 ans les Allemands agressent la France : 1870, 1914, 1940 et aujourd’hui c’est la guerre économique, qui gagnera ? Je préviens mes lecteurs que je suis quelque peu grossier dans cet article mais quand mon grand-père qui n’avait jamais tenu un fusil de sa vie a été envoyé au front en septembre 1914 il a été abattu comme un lapin par les boches à peine parvenu là où ça chauffait. Ma grand-mère a attendu 9 ans avant qu’on retrouve le corps de son époux, elle est devenue ainsi veuve de guerre après cette longue attente. Elle nous répétait qu’il ne fallait jamais apprendre la langue allemande car c’était un langage de sauvages, de brutes. Et elle avait raison …

Après avoir écouté Alain Juillet au cours d’une entrevue avec l’un des membres de l’École de Guerre Économique (EGE) je me suis plongé dans la lecture du rapport de l’EGE qui décrit dans les moindres détails l’influence des ONGs allemandes dans la politique énergétique de la France reposant sur l’énergie nucléaire. On sait quelle fut la décision de Lionel Jospin, un crypto-trotskyste, de fermer l’usine NERSA de Creys-Malville. Il serait intéressant de connaître aussi l’implication de ces ONGs dans l’attitude de Corinne Lepage dans cette histoire puisqu’elle défendait les intérêts de groupes anti-nucléaires de Bavière, de Rhénanie et de Suisse. Il s’agissait du premier réacteur surrégénérateur du monde de taille industrielle et il épouvanta les organisations non-gouvernementales opposées à l’énergie nucléaire et en particulier à cette nouvelle technique qui plaça la France dans une position de leader mondial de l’énergie nucléaire. Les manifestations violentes qui eurent lieu sur le site de Creys-Malville furent certainement organisées par les deux principales ONGs citées dans ce rapport vraiment explosif. Il date de Juin 2023 et personne n’en a parlé. Il a fallu qu’Alain Juillet ose le mettre sur la place publique, les médias de grand chemin, au nom de la préservation du mythique couple franco-allemand, se sont tues, un silence lourd de sous-entendus puisque les hautes sphères du gouvernement étaient parfaitement informées de la publication de ce rapport. Comme l’a si bien dit Alain Juillet la France est le cocu de cette sombre machination allemande pour fragiliser la production d’énergie électro-nucléaire et ça ne date certainement pas d’hier.

L’École de Guerre Économique cite deux ONGs parmi les 9 fondations allemandes officiellement reconnues par le gouvernement allemand et financées par des deniers publics à hauteur de plus de 90 %, il s’agit de la Fondation Heinrich Böll et de la Fondation Rosa Luxembourg. La première a aidé les partis verts dont les Grünen qui ont obtenu la liquidation du parc nucléaire allemand. Elle est très active au niveau du Parlement européen et du Conseil de l’Europe tout en maintenant une pression constante sur la Commission européenne.Elle a subverti toutes sortes d’associations françaises anti-nucléaires comme Negawatt ; Les Amis de la Nature et même la LPO ! La Fondation Rosa Luxembourg est notoirement trotskyste (coucou Jospin !) et a probablement participé à l’organisation des manifestations à répétition sur le site de NERSA mais également sur le site de Fessenheim. Il ne faut pas oublier Greenpeace qui ajoute de l’huile sur le feu de la protestation anti-nucléaire sans être officiellement financée par le gouvernement allemand.

L’attitude du gouvernement français au sujet de la tarification européenne de l’électricité est révélatrice de la soumission de la France à l’Allemagne. À croire que Macron a accepté de se faire sodomiser par les Allemands et qu’il en redemande … Et le peuple français, où est-il passé ? À croire également que les Français ont renoué avec les heures sombres de la collaboration quand les nazis allemands faisaient la loi en France il y a 84 ans. J’ai honte de mon pays. Voici le lien pour obtenir gratuitement ce rapport, imprimez-le, répandez le lien autour de vous, il faut réveiller les Français qui pensent peut-être que se faire violer ou sodomiser par les Allemands relève de l’ordre naturel des choses … Je le répète j’ai honte de mon pays !

https://www.ege.fr/actualites/rapport-dalerte-ingerence-des-fondations-politiques-allemandes-et-sabotage-de-la-filiere-nucleaire-francaise

Fessenheim et Superphénix : on prend les mêmes et on recommence !

19 juin 1997

Jospin annonce la fermeture de Superphénix

Lionel Jospin, répondant aux exigences des Verts de la Gauche plurielle, annonce la fermeture du surgénérateur Superphénix de Creys-Malville, dans l’Isère. Projet international commencé en 1977 financé essentiellement par EDF et ENEL, Superphénix fut l’objet de tensions et de scandales avant même que sa construction ne soit commencée. Débutant sa production en 1985, il n’atteindra que rarement sa pleine puissance et subira de nombreux disfonctionnements autant techniques qu’administratifs. Après seulement 12 années de fonctionnement laborieux, le surgénérateur n’aura pas été rentabilisé.

 

Source : linternaute.com (dépêche d’agence)

 

On est en 2013 et le gouvernement actuel, allié contre nature avec les écologistes, encore une fois, a décidé pour des raisons purement électoralistes de fermer en 2016 au plus tard le site électronucléaire de Fesseinheim car il serait soit-disant obsolète alors que l’ASN, une administration indépendante tant du gouvernement que de l’exploitant (EDF), a conclu après une expertise minutieuse qui ne peut être mise en doute que cette usine pouvait encore fonctionner une dizaine d’années sans encombre.

L’histoire se répète donc et les socialistes sous la pression des Verts (Voynet avec Jospin, Duflot avec Hollande) prennent des décisions absurdes qui vont encore aggraver le déficit commercial du pays et doper le chômage. Il faudra importer du gaz ou du pétrole pour produire l’équivalent d’environ 1500 MW électriques, la puissance en charge moyenne de Fessenheim. Et, contrairement à ce que prétendent les écologistes qui n’y connaissent décidément rien, la fermeture du site de Fesseinheim ne crééra aucuns emplois immédiats comme ils le prétendent, car avant d’intervenir sur le site, après son arrêt définitif, il faudra attendre au moins trois ans pour que le combustible soit désactivé, puis encore au moins cinq années avant d’envisager le début du démantèlement des organes situés dans le bâtiment réacteur, dont en particulier les auxiliaires de contrôle. Les écologistes se trompent donc deux fois et le gouvernement a mis le rapport de l’ASN dans la déchiqueteuse. C’est complètement ubuesque. Je comprend que la CGT réagisse et je laisse une copie du commentaire laissé sur l’article du figaro.fr ce jour à propos de l’article intitulé « La CGT conteste en justice la fermeture de Fessenheim » :

 

« Je voudrais rappeler que c’est la CGT qui a exigé une amélioration de la sécurité des sites électronucléaires au milieu des années 80 et a par exemple obtenu la robotisation de certaines interventions lors des arrêts de tranche, la redondance des équipements de secours et l’installation de nombreux capteurs en divers points du bâtiment réacteur. Toutes ces améliorations ont débuté justement sur le site de Fessenheim qui fut le précurseur de la série de PWR 900 MWe puisque le premier à être construit sous licence Westinghouse par EDF, la COGEMA et Framatome et les améliorations exigées à Fessenheim par la CGT au niveau de la sécurité mais aussi de bien d’autres aspects ont été répercutées sur tous les autres sites électronucléaires français . Il est donc légitime pour la CGT de mettre en avant la décision de l’ASN qui a autorisé la prolongation en connaissance de cause l’exploitation de ce site. Il est évident que pour des raisons idéologiques techniquement infondées le gouvernement et le chef de l’Etat méprisent la décision indépendante et objective de l’ASN. On croit rêver en apprenant que ce site sera fermé en 2016. Le Japon, durement échaudé par le tsunami du 11 mars 2011 vient de décider le redémarrage des réacteurs jugés sûrs par l’autorité indépendante mise en place récemment. Pourquoi les dirigeants français s’obstinent-ils dans le déni de la réalité sinon pour plaire à une poignée d’écologistes opportunistes ignorants des réalités économiques. »

 

A propos de la fermeture de Superphénix, selon le rapport d’une commission du Sénat qu’on peut lire (voir le lien) il est dit en résumé que la fermeture de Superphénix fut une décision grave car elle fut prise sans concertation (Hollande n’a demandé leur avis qu’aux Verts?) ni avec le Parlement, ni avec l’exploitant, ni les partenaires étrangers, ni les collectivités locales, (au mépris des principes de base de la démocratie, c’est moi qui ajoute ce commentaire). Cette décision fut prise sans fondement autre qu’électoraliste suite à un accord entre le parti politique « Les Verts » et le gouvernement socialiste. La sureté de Superphénix n’ayant jamais été remise en cause et l’argument financier ne pouvant en aucun cas justifier un arrêt prématuré.

Cette désinvolture du gouvernement de l’époque aura coûté près de 10 milliards d’euros à la France en incluant l’électricité fournie gratuitement à ENEL, partenaire de NERSA, pendant quatre années.

Voilà en gros ce que prépare Hollande, pris au piège de ses alliances électoralistes contre nature avec EELV. Hollande, sur les traces de Jospin, refait l’histoire en pire.

C’est de plus en plus désespérant de voir le chef de l’Etat piloter à vue le pays comme un simple capitaine de pédalo qu’il est, en définitive…

archive.wikiwix.com/cache/?url=http://www.senat.fr/rap/l97-4392/l97-439229.html#toc50&title=il%20était%20une%20fois…%20Superphénix