Il me paraît important pour initier cette réflexion d’insister sur un premier point dont personne n’a fait mention : où est passée en Europe, en Extrême-Orient et en Amérique du Nord la grippe saisonnière à virus Influenza durant les 5 premiers mois de cette année 2020 ? Et pourquoi, si cette grippe saisonnière coexistait avec la grippe coronavirale, n’en a-t-on jamais parlé ? Ces questions naïves que peut se poser n’importe quel non-spécialiste des maladies à virus (dont je fais partie) soulèvent donc un problème important : comment peut-on accorder la moindre confiance dans les statistiques angoissantes répétées jusqu’à la nausée durant toute cette période, de janvier à mai, au sujet de l’extrême dangerosité du coronavirus ? Si les statisticiens de l’administration de la santé, dans tous les pays occidentaux, ont mélangé tous les cas de grippes, cette manipulation a certainement été décidée dans un but précis. De plus il s’agit d’une malhonnêteté qui a conduit à une catastrophe économique et sociale dans les pays d’Europe les plus touchés, je veux dire l’Italie, la France, l’Espagne, la Belgique, l’Autriche et la Grande-Bretagne dont les gouvernements n’ont pas envisagé un seul instant que le confinement strict de l’ensemble de la population allait provoquer une crise économique très grave dont on ne ressent aujourd’hui que les premiers effets : la vraie crise, le plat de résistance, ce sera pour cet automne.
Non seulement il n’y a eu aucune modification sensible du nombre de morts ou de cas à la suite de ce confinement mais le manque de prévoyance des gouvernements a complètement discrédité ces derniers aux yeux du public. L’une des explications possibles de la mise en place de ces confinements dignes d’une peste noire moyenâgeuse aurait pu être de faire trainer l’épidémie pour que les gros et moins gros laboratoires pharmaceutiques aient tout le loisir de trouver une ou plusieurs molécules anti-virales « nouvelles » (les vieilles molécules ne sont plus à la mode et ne coûtent rien) qui seraient mises sur le marché dans l’urgence, sans respecter les moindres règles de l’éthique, pour juguler l’épidémie pour laquelle ces mêmes gouvernements entretenaient quotidiennement la peur et l’angoisse des peuples. La seule molécule étant supposée avoir un effet sur le coronavirus s’est révélée être toxique dans 15 % des cas en provoquant des lésions rénales irréversibles sans présenter d’efficacité antivirale avérée. Ces confinements ont-ils été, donc, suggérés aux décideurs politiques par les grands laboratoires pharmaceutiques ? Je me pose la question sans y apporter de réponse claire.
Il y a pire au sujet de ces nouveaux antiviraux supposés d’une rare efficacité alors qu’aucune étude détaillée n’avait été effectuée : les laboratoires pharmaceutiques avaient un espoir de réaliser d’immenses profit et c’est pourquoi, sans être « complotiste », je suppose que le lobby de l’industrie pharmaceutique a fait son travail pour créer le conflit franco-français absurde et choquant au sujet de l’hydroxychloroquine dans le seul but de dénigrer cette molécule prescrite par ailleurs à des milliards de personnes dans le monde. Je pense que de nombreux dirigeants politiques français ne doivent pas avoir la conscience tranquille.
Parallèlement et depuis que la séquence de l’ARN du virus a été rendue publique dès le mois de janvier 2020 ces mêmes laboratoires pharmaceutiques ont développé par diverses approches expérimentales des candidats pour une vaccination de masse, source de gigantesques profits potentiels pouvant atteindre des centaines de milliards de dollars. Or la mise au point d’un vaccin ne se fait pas d’un coup de baguette magique et une nouvelle fois les gouvernements des pays qui ont le plus mal géré l’épidémie hivernale de 2020 ont décidé d’entretenir à nouveau la peur en utilisant cette fois d’autres arguments grossiers comme une deuxième vague l’hiver prochain ou un accroissement alarmant du nombre de personnes porteuses du virus. C’est exactement ce à quoi on assiste en ce moment par exemple en France, en Espagne et en Italie ou encore en Israël, pays dont le gouvernement a décrété à la hâte un nouveau confinement afin d’enrayer la progression du nombre de nouveaux cas en oubliant de mentionner qu’il n’y a pratiquement plus de décès provoqués de manière non équivoque par ce coronavirus.
Le cas de la France est caricatural :

Après avoir déclaré l’hydroxychloroquine toxique voire mortelle alors qu’elle est prescrite à plusieurs milliards de personnes dans le monde, je le rappelle, puis avoir interdit aux médecins de la prescrire – ce qui est totalement contraire à la loi – et enfin aux pharmaciens de la vendre sans ordonnance circonstanciée, une accumulation d’évidences indiquant que la totalité du gouvernement français est vendu aux intérêts du lobby de la pharmacie, y compris le président, alors aujourd’hui la caste parisienne dominante (ou croyant être dominatrice) oblige la ville de Marseille à respecter des mesures liberticides à la population et aux autres petits commerces au bord de la faillite comme si elle voulait punir le Professeur Didier Raoult, le trouble fait numéro un de l’agenda du cartel apatride de la pharmacie. La France n’est plus gouvernée par des politiciens intègres mais par des mafieux du plus mauvais genre. Alors il n’y a plus qu’une solution aux politiciens en place : faire respecter la loi par la force ou bidouiller encore et encore les chiffres pour entretenir la peur.
Il faut en effet continuer à entretenir cette peur pour préparer la population à la vaccination obligatoire qui fait déjà partie de l’agenda des grands groupes pharmaceutiques pour la plus grande satisfaction de leurs actionnaires, dont les banques, cela va de soi. Oublié le fait que ce virus n’a pas provoqué plus de morts qu’une grippe saisonnière classique, oubliées les manipulations statistiques honteuses pour entretenir la peur, oubliées les libertés individuelles, il faut que les gouvernements satisfassent les désirs (qui sont des ordres) du lobby pharmaceutique mondial. Si les politiciens n’étaient pas aussi corrompus par la finance et les grands groupes industriels ils défendraient la liberté des citoyens, mais ils ont déjà aliénés la leur, le pistolet des banquiers et des grands groupes industriels sur la tempe, alors ils ne savent plus ce que signifie le mot liberté … (à suivre)