Depuis deux ans et demi le monde occidental subit la psychose coronavirale et cette mascarade va perdurer pour le plus grand bien des laboratoires pharmaceutiques et afin que le pouvoir politique conforte son emprise sur les peuples pour les tétaniser encore plus profondément dans le but de les esclavagiser en invoquant toutes sortes de prétextes comme le réchauffement du climat, les pénuries alimentaires, le prix de l’énergie, la menace russe ou chinoise, bref, tout est réuni pour que le Forum économique mondial finisse par imposer ses vues totalitaires sur l’Occident. Il faut reconnaître que ce coup monté depuis le milieu des années 2010 est magistral. Tout était prêt pour que la machine infernale soit activée. J’ai lu des centaines d’articles au sujet du coronavirus et de ses effets sur l’organisme et tout était prémédité. Commençons par les manipulations génétiques ayant permis d’introduire la séquence proline-arginine-arginine-alanine afin d’amplifier le pouvoir infectieux du virus. Cette séquence d’amino-acides est reconnue par un enzyme protéolytique présent à la surface de toutes les cellules épithéliales appelé « furine » et dont la fonction est de couper les protéines indésirables. Dans le cas du coronavirus cette séquence n’existe pas, elle n’a jamais été retrouvée dans aucun coronavirus connu. De plus l’aspect artificiel de cette séquence introduite à dessein est corroboré par le fait que les « codons » ou triplets de bases nucléotidiques spécifiques de l’arginine ne sont jamais retrouvés dans aucun coronavirus connu mais existent chez les vertébrés. Ces codons cytidine-guanine-guanine signent l’aspect artificiel de cette insertion. C’est une erreur de débutant commise par la société Moderna qui n’a même pas jugé nécessaire de dissimuler cette supercherie en introduisant des codons plus communs aux coronavirus … Erreur grossière de Bancel qui devra bien rendre un jour des comptes devant la justice.
Déjà en 2016 on connaissait les armes permettant de combattre le coronavirus, nommément l’hydroxychloroquine associée à un macrolide. Mais dans le même temps les laboratoires pharmaceutiques étaient déjà très occupés par la mise au point d’un nouveau type de « vaccination » basé sur l’utilisation d’un ARN messager modifié codant précisément pour la sous-unité 1 de la protéine dite « spike », celle-là même apparaissant à la suite du clivage de l’ensemble de la grosse protéine de la spicule au niveau du site introduit par manipulation génétique en laboratoire pour atteindre ce gain de fonction tant rêvé par les militaires dans le cadre de leurs travaux de mise au point d’armes biologiques.
Tout était prêt. Où et par qui le coronavirus a-t-il été manipulé puisque la probabilité de l’apparition de ce site furine est totalement improbable dans la nature ? Personnellement je penche pour la possibilité de travaux de gain de fonction exécutés par l’armée américaine sur le sol des USA. Pourquoi les installations ultra-secrètes de Fort Dietrick ont-elles été démantelées si ce n’est pour dissimuler les agissements de l’armée américaine encouragés par Antony Fauci, le grand maître du gain de fonction virale ? Pourquoi également existait-il une collaboration assez officielle entre des laboratoires américains et chinois ? Sans chercher à être traité de complotiste je me pose la question, comme si les Américains n’étaient pas capables de conduire eux-mêmes de tels travaux de recherche … Un autre point tout à fait troublant est ce brevet déposé par Moderna en 2016, entreprise dirigée par un transfuge de Biomérieux, cette société qui a en grande partie financé l’installation du laboratoire P4 de Wuhan. Dans ces conditions on peut dire que la France se trouve de facto complice de cette pandémie organisée de main de maître par l’armée américaine tout en organisant la complicité des Chinois pour que les Américains s’en lavent les mains.
Il restait le gros morceau : produire l’ARN messager codant pour la sous-unité-1 de la protéine spike qui comporte 671 amino-acides. L’ARN correspondant comprend donc 2013 bases nucléotidiques avec des ajouts en 5′ et 3′ pour éviter une dégradation trop rapide de la molécule ainsi que des bases modifiées dans le même but. La technique est connue et ne constitue plus un défi. Brièvement l’ARN qui servira (abusivement) de vaccin est synthétisé dans un système acellulaire en mettant à profit la synthèse d’ARN à l’aide d’ARN polymérase après avoir converti l’ARN dont on s’intéresse en ADN double brin qui sert de modèle pour l’activité de l’ARN polymérase. Les apprenti-sorciers de Moderna et Pfizer ont fait le reste en appliquant ces techniques de laboratoire devenues triviales.
Il restait à répandre le virus en feignant que son origine était la ville de Wuhan. Rien de plus simple puisque devaient se dérouler les jeux olympiques militaires précisément dans cette ville. De nombreux athlètes, au cours de l’automne 2019 alors que tout était plié, souffrirent de maux d’origine inconnue et, innocents, ils répandirent la maladie de retour dans leur pays d’origine. Quelle belle organisation … On n’aurait pas trouvé mieux dans le scénario d’un film d’horreur. Le reste ce sont des arrangements entre décideurs politiques et grosses firmes pharmaceutiques avec leur lot de corruption, la mise en place de tests pour entretenir la psychose épidémique, l’interdiction des traitements précoces … La liste est longue. Ce qu’il faut retenir de ces deux années et demi de coronavirus est l’utilisation de la science à des fins mercantiles en niant systématiquement les résultats des cliniciens et des spécialistes mondialement réputés dans le domaine de la virologie. Le monde politique s’est emparé de cette science et c’est le signe évident d’une décadence de l’Occident pour lequel les valeurs fondamentales de l’éthique n’ont plus cours.