Le scandale des vaccins à ARNm prend de l’ampleur

Selon une statistique regroupant l’ensemble des grandes compagnies d’assurance américaines prenant en charge entre autres frais ceux des obsèques l’augmentation du nombre de décès toutes causes confondues rapportées à 12 mois depuis le début de la campagne de vaccination contre le coronavirus a été de 40 % dans la seule tranche d’âge 18-50 ans. Compte tenu du nombre de décès par millier d’habitants des Etats-Unis de 8,38 par an (source CIA, mais il n’existe pas de statistiques concernant cette même tranche d’âge) cette augmentation correspondrait alors à 1,13 millions de décès supplémentaires au maximum. Il est donc difficile d’évaluer précisément ce nombre de décès supplémentaires. Il y a plus alarmant encore, ces mêmes compagnies d’assurance ont constaté une augmentation de 269 % d’infarctus du myocarde, un triplement du nombre de fausses-couches, un triplement des cas de paralysies faciales, 156 % d’augmentation du nombre de malformations congénitales, 467 % d’augmentation du nombre d’embolies pulmonaires, et enfin un triplement du nombre de cancers et de troubles neurologiques. Le nombre de cas d’infertilité féminine en augmentation de 471 % durant cette même période courant sur 12 mois doit être considéré avec précaution car le recul n’est pas suffisant pour atteindre une certitude suffisante.

Et pendant ce temps-là le gouvernement américain vient d’acheter 300 millions de doses de « vaccin » à Pfizer pour la très rondelette somme de 9 milliards de dollars dont une partie a été reformulée pour les enfants de moins de 5 ans. Je trouve qu’il y a comme une forte odeur de corruption car le chiffre d’affaire de Pfizer devrait atteindre en cette fin d’année 2022 quelques 130 milliards de dollars … Quelques dizaines de millions de dollars distribués ici ou là et l’affaire est bouclée. Que représente une vie humaine pour ce super-géant de l’industrie pharmaceutique ? Et, comme en Europe, les décideurs politiques ne veulent pas entendre parler de ces statistiques.

La situation prend une tournure inattendue avec le dépouillement minutieux des documents remis par la firme Pfizer à la FDA qui ont été rendus publiques sur décision de la justice. Au cours des essais dits internes de Pfizer il fut constaté plus de 42000 effets indésirables et plus de 1200 décès. Pourtant la FDA a approuvé cette thérapie génique alors qu’elle aurait été normalement interdite en raison de ces résultats qui devaient rester secrets pendant 75 ans. La FDA comme l’Agence européenne du médicament sont des organismes censés protéger la santé des citoyens. Il n’en est rien et comme je viens de l’écrire plus haut il y a comme une très forte odeur de corruption. Enfin injecter des enfants de moins de cinq ans avec ce poison est un crime qui devra un jour ou l’autre est puni !

Sources : https://www.kusi.com/there-was-an-unexpected-40-increase-in-all-cause-deaths-in-2021/ et aussi : https://nouveau-monde.ca/les-effets-secondaires-graves-des-injections-experimentales-eclatent-au-grand-jour-dans-le-monde-entier/ et encore :https://laplumeducitoyen.org/2022/07/04/effets-secondaires/ puis pour ceux qui sont accrocs aux entrevues télévisuelles : https://www.youtube.com/watch?v=sy4hBJOTolo

Brève. 21000 milliards de dollars que le monde entier devra payer

C’est une escroquerie à grande échelle révélée par le magazine Forbes il y a plus de 3 ans tombée dans les oubliettes. On peut dire qu’il s’agit bien d’une escroquerie puisque cette gigantesque somme d’argent n’est pas documentée dans les comptes de l’Etat américain. Nul ne sait où est passé cet argent. Il est connu de tous que le budget du Département de la Défense (DoD) est le premier poste de dépense des Etats-Unis et il existe une totale opacité dans la gestion de ce budget car les cabinets d’audit, qu’ils soient publics ou privés, se heurtent au fameux « secret défense ». Tous les représentants (membres du Congrès) se sont heurté à ce mur et la situation, année après année, se détériore car il faut bien financer la paranoïa dominatrice des USA sur le monde entier.

Alors que le monde s’achemine vers une grave crise financière tous les pays disposant de « T-bonds » américains (bons du trésor), on pense en particulier au Japon et à la Chine possédant respectivement 1303 et 1060 milliards de dollars de ces T-bonds peuvent d’ors et déjà considérer que leur valeur est nulle si on se réfère à la gigantesque escroquerie du DoD mais aussi, curieusement à l’escroquerie du Housing and Urban Development (HUD) qui depuis la crise des sub-primes est devenu un véritable gouffre financier. Qu’à cela ne tienne, la création ex nihilo de dollars inondant le monde entier éponge cette escroquerie et qui va payer ? Tous les détenteurs de dollars et de T-bonds perdront ces actifs du jour au lendemain.

Ceci va avoir lieu très bientôt, en d’autres termes les Etats-Unis sont sur le point de faire défaut sur leur dette souveraine. Le citoyen américain verra son pouvoir d’achat diminuer de 30 %, certes, mais les économies de tous les autres pays du monde seront affectées par ce défaut :

https://www.statista.com/statistics/246420/major-foreign-holders-of-us-treasury-debt/ et par exemple la France constatera un trou de 234 milliards de dollars dans sa balance des comptes, c’est trop bien ! L’escroquerie du département de la défense représente 75 % du total de la dette publique américaine. Ceci signifie que les folies militaires américaines sont financées par la création de dollars et de bons du trésor. Les comptes publics américains, si on lit bien les informations additionnelles du site Statista, sont totalement truqués. J’aimerais connaître dans quelle mesure les comptes de l’Union européenne ne sont pas tout aussi truqués que ceux des Etats-Unis. Source : https://www.forbes.com/sites/kotlikoff/2019/01/09/holding-u-s-treasuries-beware-uncle-sam-cant-account-for-21-trillion/?sh=52c939827644

Climat : Le mensonge est devenu un art de vivre …

Inutile de mentionner les évènements d’Ukraine qui ont provoqué une cascade de mensonges jamais atteinte auparavant ou encore l’épidémie de coronavirus au cours de laquelle le Ministre de la santé français avait pour habitude de mentir à plusieurs reprises lors d’une intervention télévisée et pour le changement du climat depuis 1990 les fonctionnaires internationaux de l’IPCC n’ont pas d’autre choix que de mentir puisque la raison d’être de cet organisme est depuis plus de 30 ans de nier la réalité. Vous êtes intoxiqué par la propagande mensongère anti-Poutine, vous avez cru aux niaiseries du pouvoir politique au cours de l’épidémie de coronavirus, alors vous accepterez volontiers un autre mensonge de la part de l’IPCC, mais ce n’est pas mon cas. Dans le premier « Assessment Report » (AR) de 1990 il était écrit au sujet des effets en retour des gaz à effet de serre, je cite :

« Le plus simple de ces effets en retour apparaît quand l’atmosphère s’échauffe et que la quantité de vapeur d’eau qu’elle contient augmente. La vapeur d’eau est un important gaz à effet de serre et va donc amplifier le réchauffement ». À ce sujet j’ai écrit sur ce blog un billet intitulé « La magie de l’eau » qui met en doute cette affirmation de l’IPCC (lien).

En 2013 et 2014 je ne connaissait strictement rien dans la climatologie et comme la COP21 se précisait à grands renforts de propagande organisée par Laurent Fabius et Ségolène Royal je me suis penché sur une multitude d’articles que j’arrivais à comprendre grâce à mes connaissances scientifiques acquises au cours de mes études universitaires. Je me suis alors très vite rendu à l’évidence : l’affirmation par l’IPCC que l’effet en retour (feed-back en anglais) de la vapeur d’eau augmentait la température au sol et provoquait de ce fait un réchauffement encore plus marqué défiait toutes les lois les plus fondamentales de la thermodynamique. Il s’agissait donc à l’évidence d’une imposture scientifique. Cette imposture s’applique aussi bien à la vapeur d’eau qu’au gaz carbonique pour les mêmes raisons qu’il est facile à comprendre : les photons infra-rouges provenant du Soleil perdent de leur énergie au fur et à mesure qu’ils pénètrent dans l’atmosphère et les photons réémis par le sol, l’océan ou les molécules des gaz atmosphériques perdent encore plus d’énergie. L’effet de retour clamé par l’IPCC encore aujourd’hui pour la vapeur d’eau mais aussi pour le gaz carbonique est une vue de l’esprit. En effet la théorie du « feed-back » défendue par l’IPCC repose sur le fait que les photons IR réémis par la vapeur d’eau et le CO2 provoquent eux et eux seuls, ce réchauffement au niveau du sol sans avoir perdu d’énergie, ce qui est évidemment faux.

Les auteurs de cet article d’où est issue l’illustration ci-dessus, H. Douglas Lightfoot et Gerald Ratzer, examinent les divers scenarii concernant l’évolution du climat à venir. Ils constatent qu’à deux reprises les températures globales relevées par mesures satellitaires ont égalé la limite supérieure fixée par l’IPCC, c’est-à-dire 1,5 degrés de plus que la valeur de référence 1850-1900. Ces deux occurrences n’avaient pas du tout l’air d’être corrélées avec l’augmentation du taux de CO2 atmosphérique mesuré à l’observatoire de Mauna Loa à Hawaii. Elles correspondaient à deux phénomènes El Nino particulièrement puissants. Abandonnant ainsi toute corrélation entre l’évolution des températures et celle du CO2 diverses prédictions ont été examinées, numérotées 9, 10 et 11 dans la figure. Il s’agit du modèle de l’astrophysicien H. Abdussamatov qui relie directement l’évolution du climat à celle de l’activité solaire et prévoit une température moyenne de moins 0,7 degré par rapport à la moyenne 1979-2020 en 2040. La prédiction 10 est celle de Valentina Zharkova que j’ai souvent mentionné dans le présent blog et qui prévoit une température inférieure de un degré par rapport à cette même moyenne dès 2035 et enfin celle de Willy Soon qui est intermédiaire entre les deux précédentes. Toujours est-il que ces prédictions, toutes basées sur l’évolution de l’activité solaire conduisent entre 2030 et 2050 à un véritable âge glaciaire.

Les auteurs concluent ainsi leur papier par ces mots : « en raison des mauvaises récoltes prévisibles les gouvernements doivent dès maintenant prévoir une telle situation ainsi qu’une industrie énergétique capable de procurer assez de chaleur aux citoyens, car la période 2030-2050 sera la plus froide (depuis le minimum de Maunder) ». Quand on sait qu’il faut au minimum dix ans pour construire une centrale nucléaire (si on fait appel aux sociétés chinoises) … Et ils terminent leur article en affirmant que le concept de l’IPCC d’un accroissement du CO2 atmosphérique provoquera un réchauffement du climat n’a jamais été vérifié par les faits depuis plus de 30 ans, ce qui rend caduque la théorie de l’effet de serre.

Source en accès libre : https://doi.org/10.29169/1927-5129.2022.18.03 et https://jacqueshenry.wordpress.com/2017/12/21/la-magie-de-leau/

Crise climatique : quelques précisions de pur bon sens

Je voudrais apporter quelques précisions au sujet du contenu de mon précédent billet relatif au nouveau cycle solaire. Diverses prédictions osées par des géophysiciens au sujet de l’intensité magnétique des futurs cycles solaires font état d’une série de cycles de faible intensité à venir. La mathématicienne Valentina Zharkova a écrit un modèle qui rend compte des fluctuations passées de l’intensité des cycles solaires, ce qui permet de valider son modèle et pour les quelques dizaines d’années à venir il ne faut pas, selon elle, s’attendre à un retour à la normale de cette activité solaire avant 2060. Madame Zharkova n’a pas inclus dans son modèle tout ce que l’on raconte au sujet du réchauffement présent du climat car elle ne s’est intéressée qu’aux fluctuations du champ magnétique du Soleil.

Carbone ou pas carbone le climat terrestre ne dépend que de l’activité solaire et des oscillations océaniques elles-mêmes assujetties à l’activité solaire. Cette affirmation contraire au dogme de l’effet de serre s’explique très facilement pour un ancien scientifique comme votre serviteur (je m’adresse à mes fidèles lecteurs) si on considère qu’on n’est pas obligé de croire que passer de 28 molécules de CO2 pour 100000 molécules d’azote et d’oxygène dans l’atmosphère, au début de la révolution industrielle, à 42 molécules pour 100000 aujourd’hui puisse avoir un effet notoire sur le climat. Personnellement j’ai de très gros doutes ! Le Professeur émérite François Gervais a insisté sur ce point qui n’a l’air de perturber ni les spécialistes de l’IPCC ni des centaines d’organisations non gouvernementales ni enfin des dizaines de milliers de décideurs politiques. Vous voulez une comparaison pour souligner la totale ineptie de cette sale histoire de réchauffement du climat essentiellement due au CO2 ? Prenez un sac de riz de 1 kg, enlevez 7 grains de riz, pesez-le puis enlevez à nouveau 3 grains de riz et pesez ce sac à nouveau. À moins d’avoir sous la main une balance sensible au cent-millième minimum, c’est-à-dire de mesurer de manière fiable une différence de poids de 12 milligrammes sur 1 kg vous ne noterez aucune différence ! D’ailleurs une telle micro-balance n’existe pas car elle est irréalisable d’un point de vue technologique, il s’agissait donc d’une expérience de pensée. Toute cette imposture climatique repose ainsi sur un mensonge.

Pire encore, pour faire passer ce mensonge comme un virus dans le cerveau des politiciens se propageant pour détruire leurs neurones les uns après les autres, les pseudo-scientifiques de l’IPCC ont osé inventer la rétro-radiation infra-rouge (illustration) qui s’auto-alimente comme une machine infernale pour réchauffer la planète parce que trois grains de riz dans un kilo risquaient de paraître suspects. Cette nouvelle imposture, outre le fait qu’elle défie les lois de la thermodynamique, épaissit le mensonge pour être bien certain que tout le monde y croira. Un coup monté d’une rare ingéniosité que n’aurait pas pu imaginer Goebbels en son temps. Il y a d’ailleurs beaucoup à dire au sujet de cette rétro-radiation supposée provoquée par des gaz à effet de serre.

Je ne suis ni un géophysicien ni un climatologue mais seulement un modeste ancien biologiste spécialisé dans l’étude des enzymes, cependant j’arrive à comprendre le contenu des publications scientifiques relatives au climat ou la la thermodynamique de l’atmosphère. Ce qui m’a toujours étonné est le fait que jamais dans aucun de ses modèles climatiques l’IPCC fait apparaître le gradient adiabatique ( https://en.wikipedia.org/wiki/Lapse_rate ) auquel est soumis l’atmosphère en raison du champ de gravité terrestre. Pour faire bref l’atmosphère est plus dense au niveau de la mer et en fonction de l’altitude sa densité diminue, diminution de densité qui s’accompagne d’une diminution de la température. Ce fait indéniable étant acquis comment peut-on persister à affirmer qu’il peut (qu’il doit) exister un effet de serre se matérialisant par des transferts d’énergie sous forme de rayonnement infra-rouge depuis les couches plus élevées de l’atmosphère, donc moins denses et plus froides, vers la surface du sol, où l’atmosphère est plus dense et plus chaude ? Avoir mis délibérément sous le tapis ce dernier point est non seulement un mensonge de plus, cette fois-ci par omission délibérée, mais c’est surtout une escroquerie scientifique.

Retour sur la théorie de l’effet de serre avec des exemples.

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Ce billet n’a pas la prétention de mettre à plat, encore une fois, la théorie de l’effet de serre, j’ai écrit de nombreux billets sur ce blog à ce sujet. Il me paraît néanmoins nécessaire de clarifier les idées. L’effet de serre, par définition, s’applique à un système fermé isolé de l’espace environnant. Je prends un exemple concret. Sur le toit de la maison de mon fils à Tokyo il y a un panneau solaire construit avec un matériau sombre dont la fonction est de chauffer de l’eau. Ce panneau se trouve dans un châssis en verre qui l’isole du milieu extérieur, une sorte de serre. Ainsi, même par temps froid, le moindre rayonnement solaire sera suffisant pour produire de l’eau chaude. Il s’agit là d’une application directe de l’effet de serre : le panneau est isolé du milieu extérieur et l’énergie thermique provenant du Soleil est transférée à l’eau qui circule à l’aide d’une pompe avec un rendement relativement satisfaisant. Combiné à une isolation thermique correcte des canalisations l’eau du ballon d’eau chaude peut atteindre 60°C.

Que se passe-t-il au niveau du panneau solaire ? Sa température reste toujours inférieure à celle de l’air de l’enceinte vitrée tant qu’elle n’a pas atteint une température d’équilibre. Alors la pompe s’arrête. Le circuit de chauffage du ballon est empli d’un mélange eau + glycol pour éviter qu’il gèle en hiver et un échangeur de chaleur se trouve incorporé au sein du ballon d’eau chaude ou à chauffer, c’est selon. Pour que l’installation fonctionne il faut donc que la température du fluide circulant dans le panneau reste inférieure à celle de la « serre » dans laquelle se trouve ce panneau afin qu’il y ait un transfert de chaleur de la source chaude – la serre chauffée par le rayonnement infra-rouge provenant du Soleil – vers le panneau solaire, le corps froid. Au risque de me répéter, quand la différence de température entre l’atmosphère de la serre, une boite de quelques centimètres d’épaisseur épousant les dimension du panneau lui-même, et le liquide glycolé diminue jusqu’à atteindre un équilibre, la pompe de circulation s’arrête. En effet des capteurs permettent de piloter cette opération.

Revenons à la maison de mon fils. En été il fait très chaud à Tokyo et il est agréable sinon indispensable de faire fonctionner des climatiseurs. Un climatiseur fonctionne sur le même principe qu’un réfrigérateur. Un petit compresseur intervient dans le système pour obliger un fluide gazeux à changer de phase et passer de l’état gazeux à l’état liquide. Dans cet état liquide il est refroidi en circulant dans une sorte de radiateur à l’aide d’un ventilateur se trouvant dans la partie extérieure de l’installation. À l’intérieur de l’habitation se trouve un autre radiateur dans lequel va ensuite circuler ce liquide qui va alors être réchauffé par l’air de la pièce provoquant sa vaporisation, pour être ensuite compressé et refroidi à l’extérieur, etc. C’est très schématique mais c’est au moins facile à comprendre. Le but du climatiseur est de transférer de la chaleur d’une source froide, l’intérieur de la maison qu’il faut refroidir, vers un milieu plus chaud, l’air extérieur car l’isolation de la maison n’est pas parfaite et l’air a tendance à se réchauffer (voir note en fin de billet).

Ces deux exemples sont parfaitement décrits par les lois de la thermodynamique. Il ne peut y avoir de transfert d’énergie thermique, sous quelque forme que ce soit, que d’un corps chaud vers un corps froid : c’est le cas du panneau solaire pour chauffer l’eau du bain et de la cuisine. Toute action contraire à ce principe, c’est-à-dire transfert de chaleur d’un corps froid vers un corps chaud, nécessite l’intervention d’un travail extérieur au système : et dans le cas du climatiseur il s’agit du compresseur. La petite pompe du circuit de chauffage de l’eau n’intervient pas dans le processus de transfert, elle ne fait que faciliter la circulation du fluide glycolé. Une illustration de cette dernière remarque peut se trouver dans les premières installations de chauffage central du début du XXe siècle. Il n’existait pas de pompe de circulation et l’eau chaude « montait » du sous-sol vers les étages par simple différence de densité entre l’eau chaude légèrement plus légère que l’eau froide qui, elle, redescendait par gravité vers la chaudière.

Pourquoi ne peut-on pas appliquer ces deux exemples à l’atmosphère ? Tout simplement parce que l’atmosphère est soumise à la gravité terrestre. Au niveau de la mer la pression exercée par le poids de l’air est de 10 tonnes par m2. Sur un carré de 2 mètres sur 2 le poids de l’atmosphère exerce une pression égale au poids d’un semi-remorque de 40 tonnes. Plus on monte en altitude plus l’air se refroidit car la pression diminue et cette pression diminuant la densité des molécules de gaz constituant l’atmosphère diminue également. Ce refroidissement est presque égal à 1 degré pour 100 mètres ce qui est considérable. Tous les climatologues qui ont érigé l’effet de serre en dogme ont oublié que la gravitation terrestre agissait « aussi » sur l’atmosphère !

J’habite pratiquement au niveau de la mer et quand je vais voir mon dentiste qui habite dans un quartier de la ville situé à 600 mètres d’altitude la température a diminué de près de 5 degrés ! Et si je monte au pied du volcan Teide, à 2000 mètres d’altitude, j’ai carrément froid ! Au sommet du téléphérique qui monte au Teide, à 3500 mètres d’altitude autant dire qu’il n’y a plus trace de végétation car il gèle toutes les nuits, toute l’année. Comment un climatologue s’y prendra-t-il, après l’exposé de ces quelques exemples, et par quel subterfuge, qu’il peut y avoir un quelconque transfert de chaleur des hautes couches de l’atmosphère vers le sol comme cela est indiqué sur l’illustration (Wikipedia). J’attends avec impatience une explication, surtout de la part des « spécialistes » de l’IPCC qui ont érigé l’effet de serre du CO2 en ce dogme auquel il faut croire. Comment les couches d’air se trouvant au sommet du Teide peuvent-elles réchauffer l’air situé à 1500 mètres en dessous dans la caldeira de quelque manière que ce soit ou encore au bord de la plage de Las Teresitas d’où on peut apercevoir le volcan ?

Notes. L’exemple du climatiseur doit être complété en mentionnant que le même équipement peut aussi être utilisé pour chauffer l’intérieur de la maison durant les mi-saisons. Le climatiseur fonctionne alors comme une « pompe à chaleur » refroidissant, strictement par le même principe, l’air extérieur pour réchauffer l’air intérieur, c’est-à-dire toujours avec une intervention mécanique externe au système dans le respect du deuxième principe de la thermodynamique. Apparemment l’application de l’effet de serre au climat ne semble en aucun cas respecter ces applications de tous les jours du deuxième principe de la thermodynamique. Pour ce qui concerne la formation des nuages, celle-ci ne peut avoir lieu que parce que la température de l’air en altitude provoque une condensation de la vapeur d’eau. Dès lors si cet effet de serre qui fait l’objet du fondement des théories anti-scientifiques de l’IPCC aboutirai à aucune formation de nuages puisque les hautes couches de l’atmosphère réchaufferaient aussi la vapeur d’eau. De simples observations suivies de raisonnements simples démentent cette théorie. Prochain billet dimanche 11 août.

Eclatement de la nouvelle bulle internet ? Pour très bientôt !

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Tous les analystes financiers s’accordent pour le dire en catimini mais les rumeurs vont vite : les deux géants mondiaux de la publicité en ligne dont la cote boursière est extravagante – Alphabet et Facebook – pratiquent l’escroquerie à grande échelle. Pour rappel la capitalisation boursière de ces deux géants de l’internet est légèrement supérieure au PIB de la France. Le CEO de la société Restoration Hardware, Gary Friedman, a déclaré lors d’une conférence réunissant les grands du commerce de détail américain chez Goldman-Sachs que (je cite) : « (nous) avons découvert que 98 % de notre business provenait de 22 mots. Donc, attendez, nous avons acheté 3200 mots (à Alphabet et Facebook) et pourtant 98 % de notre business provient de seulement 22 mots. Quels sont ces 22 mots ? « Restoration Hardware » et les 21 façons de mal l’épeler, d’accord ? « .

Cette remarque cinglante veut tout simplement dire que la grande majorité des « clics » et des « like » sont de la pure fumisterie. Si les clients de ces deux géants de la publicité en ligne demandent des éclaircissements à ce sujet ils subissent une sorte de chantage du genre : « préférez-vous que ce soit votre concurrent direct qui se trouve en début de page ? » … Restoration Hardware paie des millions de dollars chaque année pour être listé parmi les premières pages quand on ouvre son moteur de recherche Chrome. Il en est, toutes proportions gardées, de même pour le petit restaurateur du coin de la rue qui tente de racoller le client avec Facebook. Et ces pratiques frauduleuses sont répandues dans le monde entier …

À quand l’éclatement et la déchéance définitive de ces escrocs planétaires ?

Source : Wolf Street, article de Tyler Durden originellement paru sur ZeroHedge.

« Aloe vera » : encore une grosse arnaque !

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Quand j’étais enfant je suçais mon pouce et mes parents ne trouvèrent pas d’autre moyen pour corriger cette habitude que de me barbouiller le pouce avec de l' »aloès », une sorte de jus brunâtre que la pharmacienne du village vendait dans ce seul but. Je me souviens très bien de cette célibataire entre deux âges aux cheveux graisseux tressés sur le sommet de la tête, semblant gênée par sa grosse poitrine tendue sous sa blouse blanche, avec une grosse paire de lunettes d’écaille cachant son inquiétant visage qui officiait au milieu de flacons variés dans un réduit où flottait une odeur indescriptible d’iode, d’antiseptiques et de parfum bon marché.

Le résultat de l’application de l' »aloès » était une sorte de teinture et un gout amer du doigt qui était supposé me dissuader de continuer à sucer mon pouce. C’était la seule application connue de ce qu’on appelle maintenant pompeusement l’Aloe vera. Et depuis cette époque rien n’a vraiment changé car toutes les études tendant à prouver que cette plante présentait des effets bénéfiques variés sur la peau ont échoué : l’aloès n’a strictement aucun effet bénéfique pour la peau ! L’unique principe actif de l’Aloe vera est donc l’aloïne, une anthraquinone glycosylée au goût amer très prononcé qui imprègne la peau durablement.

L’utilisation du mot latin a pourtant induit une nouvelle mode et on ne compte plus aujourd’hui le nombre impressionnant de produits supposés contenir des extraits de cette plante qui pousse comme du chiendent dans certaines contrées dont en particulier les Iles Canaries. Les crèmes, les pommades, les gels, les lotions diverses et variées, si possible de couleur verte (artificielle) et parfumées (artificiellement) assurent la fortune de laboratoires de cosmétologie pas vraiment regardants qui se sont précipité les yeux fermés dans cette escroquerie juteuse. Sans jeu de mot, car les feuilles charnues de cette plante dite succulente emmagasinent de l’eau dans un tissu incolore et opalescent pas vraiment « juteux » qui serait à la base de tous ces effets prétendument bénéfiques pour la peau.

Ici aux Canaries les touristes se font arnaquer dans des boutiques spécialisées dans la vente de toutes sortes de préparations soit-disant à base d’Aloe vera. Or des contrôles très sérieux effectués par des laboratoires indépendants mandatés par Bloomberg aux USA pour rechercher au moins deux des composants de cette plante, l’aloïne et accessoirement l’acemannane, ont clairement montré qu’ils sont systématiquement absents de ces préparations frelatées aux noms et aux propriétés mensongères. À n’en pas douter un instant la situation est identique en Europe.

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Pour obtenir un kilo d’extrait sec d’Aloe vera il faut récolter à la main 400 kilos de feuilles en se protégeant avec des gants épais. Or cet extrait est avantageusement remplacé par une vulgaire maltodextrine, un additif alimentaire qui ne coûte que quelques dollars le kilo. Pourquoi se priver : abuser de la bonne foi d’une clientèle manipulée par une publicité mensongère qui a envahi les pages web avec la complicité mercantile de Google est tellement facile …

Source : Bloomberg

Ca se réchauffe !

Un brise-glace pris par les glaces, il faut le faire, en plein été austral, ce serait banal si le climat n’était pas supposé se réchauffer …

Moins 15,5 °C à Philadelphie ce matin, ça se réchauffe !

A Trenton (New Jersey) -16,6 °C, juste deux degrés de moins que le record de 1912, quelques années après la fin du petit âge glaciaire de la fin du XIXe siècle, ça se réchauffe !

A Atlanta, c’est en Géorgie, sensiblement le même climat qu’Avignon ou Toulouse pour situer les esprits de ceux qui n’ont jamais mis les pieds dans cet endroit, – 14,4°C ce matin, ça se réchauffe !

Ce qui est probable mais que les climatologues auto-proclamés de l’IPCC sont incapables de prédire est que le vortex polaire qui a envahi l’Amérique du Nord et constitué d’une gigantesque masse d’air froid et dense pourrait très bien se déplacer vers l’est, c’est-à-dire sur l’Europe, ça se réchauffera, c’est sûr !

Les vieux comme moi se souviennent des hivers de 1956 et de 1962 qui correspondaient très exactement à une chute de l’activité solaire au cours du cycle solaire n° 20 quand à Lyon, ma ville, la Saône était prise par les glaces et que les tramways ne circulaient plus parce les aiguillages étaient bloqués par le froid. Les camionneurs laissaient tourner leur moteur toute la nuit de peur de ne pas pouvoir le redémarrer le matin …

Mais non, j’ai lu hier un article émanant de l’IPCC qui prévoit un réchauffement de près de 5 degrés pour la fin du siècle niant toujours le lien absolu entre l’activité solaire et le climat terrestre, il faut dire qu’ils ne sont pas payés (grassement) pour ça.

Une petite précision, le record absolu de froid à Central Park date de février 1934 ( -26,1 °C) et comme par hasard cette année là se trouve correspondre avec le cycle d’activité solaire n° 16 beaucoup moins intense que le précédent. Il faut avouer que depuis ce cycle 16 jusqu’au cycle 23, pas de souci c’est la période dite « chaude moderne » mais c’est bien fini !

Ca ne se réchauffe plus !

Ce qui me paraît incompréhensible c’est le déni des climatologues auto-proclamés de l’IPCC qui continuent à raconter des histoires à dormir debout, les écologistes qui continuent à abonder dans le sens de ces escrocs en imposant le développement d’énergies alternatives qui affaiblissent les économies occidentales à dessein alors que l’effet du CO2 sur le climat ne peut en aucun cas influer sur l’évolution du climat à cause de ce soi-disant effet de serre dont l’absurde théorie est en violation directe avec les lois basiques de la thermodynamique dont celle fondamentale de Stefen-Boltzmann relative au corps noir qui explique l’ensemble de l’état de l’atmosphère.

Mais je m’égare, ce qui est tout à fait compréhensible c’est que ces escrocs de l’IPCC, Al Gore en tête à qui on a décerné le prix Nobel de la malhonnêteté scientifique sans qu’il s’en rende compte, ne voudront jamais reconnaître publiquement qu’ils mentent à la planète entière depuis 25 ans. Ca se réchauffe !