Climat. Mais que se passe-t-il dans l’Océan Pacifique ?

L’Océan Pacifique est la plus grande étendue d’eau de la Terre. Si vous cherchez sur Google-Earth les Îles Marquises vous constaterez que cet archipel est entouré d’eau. À plus de 6000 km à la ronde il n’y a que de l’eau et il n’est pas difficile de comprendre que cet océan puisse jouer un rôle prépondérant dans les variations du climat perceptibles à l’échelle d’une vie humaine. En effet, l’Océan Pacifique est le lieu d’un phénomène climatique majeur appelé l’alternance El Nino-La Nina (ENSO, acronyme de El Nino Southern Oscillation) dont les effets sont ressentis dans le monde entier. J’insiste ici sur les effets perceptibles au cours de la vie d’un être humain et non pas des tendances sur le long terme. Aucune explication convaincante n’a pu être apportée pour expliquer ce type de phénomène météorologique majeur mais également climatique comme nous allons le découvrir. Aux Îles Marquises, archipel situé exactement dans la zone de convergence intertropicale le climat reste équatorial humide quel que soit l’état du phénomène El Nino. Mais pour les Chiliens la situation est différente. Au cours d’un épisode La Nina les eaux côtières sont plus chaudes qu’à l’accoutumée et donc moins poissonneuses. En revanche au niveau des Philippines et du Japon elles sont plus froides et l’archipel nippon n’est que peu soumis à des typhons dévastateurs. Quant à la Chine il peut exister des épisodes de sécheresse mettant en péril la production agricole.

Inversement au cours d’un épisode El Nino, littéralement le « sauveur », les eaux chiliennes sont froides et très poissonneuses mais la situation inverse a lieu au Japon et en Chine. C’est une description générale qui ne tient pas compte des petits aléas météorologiques locaux. La partie nord-ouest de l’Océan Pacifique est plus froide au cours de La Nina. Il n’y a pas d’alternance précise ou de périodicité prévisible pour ce phénomène comme l’indique l’illustration ci-dessous (liens pour la source en fin de billet) :

On constate que les évènements El Nino ne présentent aucune périodicité. Leur « intensité » ne peut être corrélée à aucun paramètre externe comme les cycles solaires. Les données disponibles relatives aux températures moyennes de surface ont été collectées par le Dr Chris Schoneveld, géophysicien maintenant à la retraite s’intéressant à l’évolution du climat. L’aspect le plus remarquable réside dans le fait qu’après chaque événement El Nino la température moyenne de surface augmente, se stabilise mais ne semble pas diminuer pour retrouver sa valeur initiale. C’est du moins ce qu’indique cette illustration. Les tenant du réchauffement du climat d’origine humaine seraient enclins à attribuer ce phénomène comme étant une conséquence directe de l’augmentation du CO2 atmosphérique. Ce serait trop simple car dans ce cas les phénomènes El Nino devraient, depuis la fin de la deuxième guerre mondiale et la reprise de l’activité industrielle et commerciale qui s’en suivit, devenir de plus en plus fréquent. L’hypothèse avancée par Sir Christopher Monckton serait une augmentation de l’activité volcanique du plancher océanique le long de la dorsale pacifique qui suit à peu près le profil des côtes américaines à quelques milliers de kilomètres de la Terre de feu à l’Alaska. Je ne crois pas trop à cette autre hypothèse mais je peux me tromper. Pour l’instant le fonctionnement global de l’Océan Pacifique reste inexpliqué.

L’alternance Nino-Nina met en œuvre un transfert d’énergie thermique dont je n’ai trouvé nulle part un ordre de grandeur parmi tous les articles scientifiques à ce sujet. Ce gigantesque transfert d’énergie dont l’unique origine est le rayonnement solaire reste une énigme doublée par le fait que la température moyenne de la surface de la Terre, une notion contestable mais la seule utilisée à ce jour, ne revient pas à la normale. Tant qu’une explication ne sera pas trouvée à un tel phénomène les propagandistes du réchauffement climatique auront de quoi se nourrir, d’autant plus qu’ils ne sont pas motivés par ce réchauffement. Pour eux il s’agit d’une action politique globale et tous les moyens sont les bien venus pour, sinon piétiner la science sans vergogne, du moins atteindre un agenda malthusien, conséquence d’une mise à la diète énergétique de l’ensemble de l’humanité. L’Océan Pacifique nécessite encore de nombreuses études, c’est la conclusion de ce billet.

https://www.nsstc.uah.edu/data/msu/v6.0/tlt/uahncdc_lt_6.0.txt

HadCRUT4 : Met Office Hadley Center observations datasets

La grande famine de 1876-1878

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De 1876 à 1878, la « Grande Famine » a tué entre 30 et 60 millions de personnes dans le monde. La sécheresse a affecté une grande partie de la planète, provoquant des pénuries alimentaires du Brésil à l’Inde et à la Chine, et anéantissant environ 3% de la population mondiale.

La climatologue Deepti Singh de l’Observatoire de la Terre Lamont-Doherty de l’Université Columbia (elle est maintenant à l’Université de Vancouver) se souvient d’avoir lu des articles au sujet la dévastation des sécheresses et de se demander: « Qu’est-ce qui pourrait avoir provoqué quelque chose comme celle de 1876-1878 ? Et quelle est la probabilité que cela se reproduise dans les prochaines décennies ? « 

Elle et ses collègues quantifient l’étendue et la gravité de cette sécheresse mondiale et tentent de découvrir ce qui l’a rendue si grave. Elle a présenté les recherches il y a quelques jours lors de la réunion de l’American Geophysical Union (AGU) à la Nouvelle-Orléans, en Louisiane.

La Grande Famine a été « sans doute la pire catastrophe environnementale jamais survenue à l’humanité », note l’équipe dans un prochain article. Ce phénomène «a contribué à créer les inégalités mondiales qui seraient plus tard qualifiées de « monde développé » et de « tiers monde ».» Il est donc important de comprendre les forces motrices de la sécheresse, dit Singh, car elles pourraient frapper à nouveau à tout moment – peut-être pire que jamais, car les températures actuelles plus chaudes que celles sévissant durant le petit âge glaciaire du XIXe siècle rendraient les sécheresses plus intenses.

Les scientifiques soupçonnent depuis longtemps qu’El Niño est en partie responsable de la famine mondiale. Poussé par les températures de l’océan Pacifique équatorial, El Niño est un modèle climatique qui s’accompagne souvent de conditions chaudes et sèches en Inde, en Australie et en Amérique du Sud. Dans leur article (qui n’a pas encore été publié), Singh et ses collègues fournissent certaines des premières preuves quantitatives que cette catastrophe environnementale a probablement été provoquée par le plus fort El Niño que les instruments humains aient jamais mesuré. Ils trouvent également que d’autres conditions record ont peut-être été en jeu.

Un problème global

Pour savoir exactement où, quand et pendant combien de temps les sécheresses se sont produites, ainsi que leur gravité, les chercheurs se sont tournés vers des atlas de la sécheresse basés sur les cernes de croissance des arbres. Les cernes des arbres deviennent plus épais pendant les années humides, de sorte que les vieux arbres peuvent fournir une histoire des conditions climatiques passées. Edward Cook, co-auteur et directeur du Columbia Ring Tree Lab, a développé trois des atlas utilisés dans le document. Les données du pluviomètre, dont certaines remontent à 175 ans, ont également indiqué la rareté de l’eau au moment de la sécheresse.

Les résultats de l’équipe suggèrent que les sécheresses de 1876-78 se sont étendues bien au-delà du Brésil, de l’Inde et de la Chine, bien que ce soit là que la famine ait frappé le plus durement. La recherche a révélé des preuves de conditions sèches en Égypte, au Maroc, en Australie et même dans le sud-ouest et l’est de l’Amérique du Nord. Les cernes des arbres suggéraient que la sécheresse en Asie était la pire depuis 800 ans ou plus.

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Prélude au désastre

Pour découvrir ce qui a rendu les conditions si sévères, les chercheurs ont examiné les données sur la température de la surface de la mer recueillies par les marins depuis les années 1870.

Les températures à la surface de la mer ont confirmé qu’il y avait en effet un El Niño intense qui a persisté pendant la majeure partie des deux années de la Grande Famine (1877-1878). Mais l’extrême El Niño peut avoir été amorcé par les eaux plus froides du Pacifique tropical central de 1870 à 1876. Cette période de fraîcheur prolongée – la plus longue jamais enregistrée – a peut-être conduit à une immense accumulation d’eau chaude dans le Pacifique tropical occidental. Cela s’est terminé par un fort événement La Niña en 1875-1876. La Niña a déclenché des conditions sèches en Inde, au Mexique et dans le sud-ouest des États-Unis, puis s’est déversée dans un fort El Niño, ce qui a entraîné plus de sécheresse sur une grande partie du globe.

« C’est comme un pendule », explique Singh. « Si vous continuez à le pousser dans une direction, de plus en plus loin du centre, puis à le relâcher, il ira à l’extrême dans l’autre direction.« 

Complices océaniques

El Niño n’a pas travaillé seul pour générer la Grande Famine. Singh et ses collègues ont également trouvé des preuves de conditions exceptionnelles dans les océans Atlantique et Indien.

En 1877, l’océan Indien a connu des températures exceptionnellement chaudes, en particulier dans sa partie ouest, générant un dipôle dans les températures de surface de la mer. Ces conditions contrastées dans l’océan Indien peuvent souvent conduire à des conditions sèches en Australie et en Afrique du Sud. Mais en 1877, le contraste thermique entre les deux moitiés était le plus fort jamais enregistré avant, ce qui a probablement aidé El Niño à générer de graves sécheresses dans ces régions.

En 1877 et 1878, l’Atlantique Nord a été le plus chaud qu’il n’ait jamais été, selon des données remontant aux années 1850. Cela a peut-être poussé les vents atmosphériques porteurs d’humidité vers le nord, loin du Nordeste brésilien, qui a perdu deux millions de vies pendant la famine qui a suivi.

Les scientifiques ne s’entendent pas sur la question de savoir si El Niño aurait pu déclencher ces effets dans les océans Atlantique et Indien. Ce n’est peut-être que par malchance que des conditions extrêmes se sont produites dans les trois océans à la fois. Mais les océans sont tous connectés, et Singh et ses collègues soupçonnent El Niño de déclencher une cascade d’effets. »Il est difficile de penser que tout cela était une coïncidence« , dit Singh.

Regard vers l’avenir

Dans l’ensemble, l’équipe conclut qu’une multitude de conditions record – un El Niño intense et durable, probablement amorcé par un Pacifique frais et exacerbé par un Atlantique chaud et de forts contrastes thermiques dans l’océan Indien – combinés dans un synchronisme qui a provoqué la Grande Famine. Et cela pourrait se reproduire.

Étant donné que les conditions qui ont préparé la Grande Famine sont dues aux variations climatiques naturelles, rien n’empêche une sécheresse mondiale de se reproduire. Si ces conditions devaient se reproduire, elles pourraient à nouveau mettre en danger la sécurité alimentaire mondiale.

En fait, cela pourrait être pire la prochaine fois. Alors que le thermostat mondial augmente – réchauffement climatique oblige – les températures plus chaudes pourraient aggraver les futures sécheresses, explique Singh.

Ensuite, elle et ses collègues espèrent savoir à quelle fréquence de tels événements pourraient se produire à l’avenir, à quel point ils pourraient être graves et quels pays seraient les plus touchés. Comprendre ce qui a causé la sécheresse mondiale pourrait aider à prévoir et à préparer la prochaine, dans l’espoir qu’elle ne déclenchera pas une autre famine mondiale.

L’étude est actuellement en préparation pour être soumise à une revue à comité de lecture. D’autres auteurs incluent Richard Seager, Benjamin I Cook, Mark Cane et Mingfang Ting du Lamont-Doherty Earth Observatory, et Michael Davis de l’Université de Californie à Riverside.

Source : AGU

COP21 : Quand la crosse de hockey réapparaît

 

On sort à peine de l’hiver et tout se réchauffe. Ce n’est pas tout à fait exact car dans le nord-est des USA, une nouvelle bouffée de blizzard est prévue pour cette fin de semaine et il fait toujours un temps à ne pas mettre le nez dehors dans l’archipel des Canaries. Je vis depuis plus de 8 ans à Santa Cruz de Tenerife et il y a 10 jours la température est descendue au niveau de la mer jusqu’à 14 degrés, du jamais ressenti de mémoire de Canarien, d’autant plus qu’il n’y a pas de chauffage dans les appartements. D’après les météorologues c’était une petite percée d’air polaire et peut-être bien que El Nino y est aussi pour quelque chose et là ce sont les climatologues qui l’affirment. « Le Petit » sévit dans la partie centrale de l’Océan Pacifique, il est donc tout à fait normal et prévisible qu’il ait une influence sur la météorologie locale, entendez dans le Vermont, les Iles Canaries et pourquoi pas aussi sur la pluviométrie de la Lozère.

Tout a donc concouru pour déclarer le mois de février 2016 le plus chaud jamais enregistré depuis des milliers d’années, ce sont les spécialistes du HadCRUT qui l’affirment, il n’y a qu’à observer le graphique publié par cet organisme :

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Pour les non-initiés dont je fais partie le HadCRUT saison 4 est un acronyme de Hadley Center de l’Office Météo anglais et CRUT signifie Climatic Research Unit de l’Université d’East Anglia. Tous les relevés mondiaux des températures de surface y sont rassemblées en temps réel, passées à la moulinette statistique, bien retriturées pour obtenir une représentation en dent de scie non pas des « vraies » températures relevées par les stations météo et les bouées disséminées dans les océans mais de l’anomalie de ces dernières. En d’autres termes cette représentation n’a aucune valeur tangible. Il suffit en effet de choisir judicieusement (et malhonnêtement) la valeur de référence pour faire dire aux données brutes ce qu’on veut bien leur faire dire. Il s’agit d’un exercice de style permettant aux médias, aux politiciens et au pouvoir financier de l’ombre de terroriser la planète entière en martelant que si on ne fait rien « on va tous griller comme des toasts » (Christine Lagarde au Forum de Davos il y a 2 ans, spécialiste du climat de son état). Depuis 1980, selon ce graphique mensonger, la température moyenne globale de la surface de la Terre a augmenté de plus de 1 degrés !

On remarque très bien la contribution de l’épisode El Nino de 1997-1998 et donc la nouvelle contribution du même El Nino depuis le début de l’année 2015 … qui aboutit à une crosse de hockey, CQFD.

En conséquence le hiatus très dérangeant d’un non-réchauffement durant les quelques 20 dernières années tant attendu pour apporter une preuve à la propagande quotidiennement soutenue par les alarmistes, ce hiatus est, oh surprise, réparé, effacé, oublié avec cette nouvelle crosse de hockey. Les tréfonds de la fausse science et de l’imposture ont été atteints. Les grands groupes financiers à l’affut de profits mirifiques peuvent se frotter les mains, la partie n’est pas perdue …

Source : bobtisdale.wordpress.com

COP21 : La fraude climatique de la NOAA sur ordre de la Maison-Blanche !

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La NOAA (National Oceanic and Atmospheric Administration) qui fait autorité en matière de météorologie aux USA et est la principale source d’information de l’Organisation Météorologique Mondiale, une filiale de l’ONU avec l’IPCC, a reçu l’ordre de la Maison-Blanche en août dernier de falsifier – encore une fois – les données brutes des relevés de températures satellitaires et au sol afin d’annoncer triomphalement que l’activité humaine était détrimentale pour le climat de la planète Terre. Selon ces données falsifiées les mois de septembre et octobre ont été les plus chauds depuis 100 ans et le phénomène El Nino de cette année 2015 a atteint des records d’intensité. Il y a donc une fraude caractérisée mais ce qui est plus grave est que celle-ci a reçu un blanc-seing officiel du salon oval de la Maison-Blanche.

Ce n’est pas tout car cette histoire qu’on qualifie déjà outre-Atlantique de « NOAAgate » concerne aussi la supposée fonte des glaciers du Groenland qui se serait accélérée d’une manière alarmante ces derniers mois, ce qui n’est absolument pas le cas selon les études danoises relatées ici sur ce blog (voir le lien). La NOAA a été désavouée par un vote du Congrès qui a rejeté les décisions du Président Obama de contraindre les « utilities », entendez les compagnies d’électricité, de réduire leurs émissions de carbone. On voit donc se profiler au grand jour l’escroquerie climatique dont j’ai à de nombreuses reprises disserté sur ce blog. Et ce n’est plus le fait d’illuminés membres d’ONGs fortement orientées vers une idéologie malthusienne mais d’agissements officiels de chefs d’état !

L’aspect comique de cette histoire est que la Chambre des Représentants américaine ne ratifiera jamais une décision contraignante émanant de la COP21. Le Canada a déjà fait savoir que toute décision allant dans le sens d’une réduction des émissions de carbone serait préjudiciable pour l’économie du pays qui est déjà entrée en récession. L’Inde et la Chine ont fait de vagues déclarations d’intention qui ne seront à l’évidence jamais respectées. Le Japon qui n’a pour le moment remis en activité que deux réacteurs nucléaires restera toujours en retard dans le développement des énergies alternatives en raison de la configuration du pays et de son exposition aux catastrophes naturelles. Enfin l’Australie qui dépend à 100 % des combustibles fossiles pour sa production d’électricité n’a certainement pas envie d’opter pour une récession imposée par le diktat des Nations-Unies.

En Europe la situation est contrastée mais réserve de belles surprises. La Pologne a déclaré qu’elle ne voulait pas entendre parler d’un accord contraignant tout simplement parce que le pays dépend à 100 % du charbon. En Espagne, pays où toute subvention aux énergies alternatives a été supprimée, on voit les compagnies impliquées dans ce business opaque faire faillite les unes après les autres. Qu’en est-il des oubliés comme l’Indonésie, la Thaïlande ou encore l’Afrique du Sud et le Brésil ? Le bilan de la COP21 se mesurera dans les dix années à venir mais d’ors et déjà on peut dire que tous les pays mentionnés ne ratifieront jamais un quelconque traité les engageant sous cette contrainte vers une récession inévitable.

Les falsifications et les truquages des organisations gouvernementales n’ayant plus aucune dignité scientifique seront un jour dénoncées et condamnées par les tribunaux mais comme d’habitude les politiciens échapperont à toute poursuite, au contraire on les honorera pour leurs actions courageuses.

Dans 20 ans cet épisode fâcheux de l’humanité choisissant le totalitarisme le plus insupportable car basé sur des mensonges ne sera plus qu’un mauvais souvenir, du moins je l’espère pour mes petits-enfants …

Source et illustration : Washington Post et pour le Groenland : https://jacqueshenry.wordpress.com/2015/10/21/changement-climatique-episode-12-les-calottes-glaciaires-ne-fondent-plus-le-niveau-des-oceans-baisse/

Billet d’humeur climatique : Trois cyclones (typhons) simultanément dans le Pacifique !

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Ce lundi 31 août la NASA s’en empressée de mettre en ligne cette somptueuse image du Pacifique Nord pour bien montrer que El Nino est en train de se renforcer et que ça va faire des dégâts planétaires car le réchauffement climatique y est certainement pour quelque chose. Toutes ces dépressions se forment aux alentours de 10 degrés de latitude et peuvent évoluer en typhons ravageurs. Le souci c’est que lorsque ces perturbations remontent vers le nord l’eau de surface n’est pas assez chaude, surtout au milieu du Pacifique, pour que le phénomène soit entretenu par une évaporation suffisante … C’est une histoire de réchauffement climatique comme tant d’autres. Le dernier typhon Jimena va s’avachir en tempête tropicale alors que le typhon Ignacio plus à l’ouest est déjà une vulgaire dépression de rien du tout (au milieu de la photo recomposée de la NASA. Le typhon encore plus à l’ouest s’est déjà évaporé :

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Ça se réchauffe – surtout les esprits complètement à l’ouest des climatologues – et El Nino n’arrive toujours pas à sortir franchement du ventre de l’Océan.

Illustrations NASA et http://tropic.ssec.wisc.edu/# où on voit l’archipel d’Hawaii

El Nino officiellement de retour, mais pas en grande forme …

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Officiellement pour les organismes américains concernés par le climat « Le Petit », comprenez El Nino, est de retour, enfin ! Après une grossesse issue de l’accouplement entre l’atmosphère et l’océan, mais si, c’est vrai, ce n’est pas de l’humour, grossesse donc, prolongée de plusieurs mois puisqu’on attendait son arrivée au mois de mai dernier, elle a été selon les docteurs de la NOAA, retardée parce que la température de la mère océane ou du père atmosphère, on ne sait pas trop, n’était pas assez élevée. Allez comprendre … En dehors du Pérou qui est l’un des pays les plus impactés par El Nino il y a aussi l’Australie qui n’aime pas trop le phénomène. Les pêcheurs péruviens reviennent systématiquement bredouilles et il tombe des seaux d’eaux pendant des mois dans le pays et l’Australie souffre de chaleur étouffante au même moment ou presque.

Et pourtant, les services météorologiques australiens ont plutôt fait la moue, par vraiment convaincus par leurs homologues américains. Peut-être bien que oui, peut-être bien que … pas pour le moment. Rien ne semble indiquer formellement que El Nino soit bien arrivé. Donc pas de panique. Si l’on en croit les belles illustrations mises en ligne par la NOAA (National Oceanic and Atmospheric Association) on est en droit de se demander où se situe le curseur ou point zéro permettant d’obtenir une telle carte des anomalies de température océanique. Il suffit de le déplacer de 1 demi-degré vers la droite : pschittt, plus de Nino, disparu, ou de 1 demi-degré vers la gauche : un Nino d’une ampleur exceptionnelle qui laisse présager des dévastations planétaires pendant plusieurs années. Il s’est fait attendre mais cette fois pour la NOAA c’est un gros bébé bien joufflu qui va donner du fil à retordre aux politiciens. Et si c’était à cause du réchauffement climatique ? Il n’y a qu’un tout petit pas à franchir pour déclarer sans s’embarrasser de scrupules que tout compte fait la température à la surface des océans a juste atteint le seuil pour considérer que El Nino est bien là alors que le hiatus du réchauffement tant attendu depuis près de 20 ans était dû à une descente dans les abysses océaniques de cette même masse d’eau surchauffée. C’est à ne plus rien y comprendre !

Michelle L’Heureux, prédictologue climatique, je viens d’inventer le mot qui décrit sa profession de prêtresse, n’y va pas par quatre chemins (sic) : « La neige c’est de la neige, l’ENSO (El Nino Southern Oscillation) c’est du vent, de la pluie, de la pression, la surface des océans et en dessous, etc, sur une immense étendue des tropiques (à des échelles de temps variées). Pour cette raison, il est justifié de comprendre pourquoi El Nino arrive « border line », faible comme c’est le cas. Des Ninos puissants sont plus faciles à comprendre parce que tous les paramètres sont sur la même page ». C’est une scientifique qui tient ce genre de propos : on ne peut qu’être intimement convaincu de la véracité de son discours pour le moins sybillin.

Je laisse mes lecteurs curieux se délecter de l’article suivant :

http://www.climate.gov/news-features/blogs/enso/why-are-there-so-many-enso-indexes-instead-just-one

Finalement comme la base de données ENSO ne date que de quelques années et qu’il n’y a pas suffisamment de recul pour se faire une idée précise des oscillations décadales de l’Océan Pacifique, toute cette histoire d’El Nino tant attendu mais qui n’arrive toujours pas – selon les Australiens – apporte encore des arguments à ceux qui, comme moi, ne croient pas un traitre mot de la science climatique d’aujourd’hui, faite de spéculations, de modélisations truquées et, bien pire, de modifications à dessein de données expérimentales.

Source : NOAA News ( http://www.noaanews.noaa.gov/stories2015/20150305-noaa-advisory-elnino-arrives.html )

Changement climatique : La NASA auto-alimente son fond de commerce, maintenant ce sont les volcans …

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Puisque le réchauffement climatique n’a finalement pas eu lieu alors qu’il y a près de 25 ans on prédisait des étés de plomb et des hivers sans neige avec cette fameuse courbe en crosse de hockey brandie par tous les prédicateurs de l’Eglise de Scientologie Climatique (je veux parler de l’IPCC et de son clergé de climatologues autoproclamés qui siègent en concile deux fois par an, le prochain ayant lieu à Paris avec la grande prêtresse Mademoiselle Ségolène en maître de cérémonie) il a bien fallu mettre encore plus de satellites d’observation autour de la Terre, encore plus d’équipes au sol et d’aéronefs renifleurs de CO2 et d’autres vilains gaz à effet de serre et encore plus de sondes marines ou atmosphériques pour tenter de trouver une explication à ce « hiatus » climatique. Et El Nino qui n’arrive toujours pas complique encore plus la tâche de ces charlatans …

On a inventé la descente au fond des océans de l’eau chaude, il fallait avoir l’audace d’y penser, la fonte des glaciers qui radoucit l’eau de mer et perturbe les courants marins, malheureusement ils ne fondent toujours pas aussi vite que prévu et beaucoup de glaciers ont tendance à de nouveau s’épaissir. La NASA scrute le ciel mais telle Soeur Anne du sommet de sa tour elle ne voit rien venir. Et pourtant, il y aurait comme un petit frémissement de commencement d’explication à ce « hiatus climatique » finalement bien difficile à gérer. Les observations de l’atmosphère ont été tout simplement mal conduites, c’est ce qu’affirme une équipe de climatologues du Lawrence Livermore National Laboratory (LLNL), l’un des bras armés de la NASA, dans deux articles parus dans les Geophysical Research Letters. Il faudra encore plus de moyens pour affiner les observations réalisées mais d’ors et déjà on en est sûr et certain, le « hiatus climatique » est provoqué par les éruptions volcaniques à répétition de ces 20 dernières années, c’est écrit noir sur blanc, avec de belles photos à l’appui, et si on ne veut pas croire à cette énième baliverne on est soit hérétique, soit fasciste, soit négationniste mais en tous les cas on n’est pas du tout une personne recommandable car on verse dans le politiquement incorrect global.

Bien qu’admettant qu’après tout l’éruption cataclysmique du Pinatubo (1991) qui aurait dégagé un gros proute d’oxydes de soufre dans l’atmosphère, 17 millions de tonnes d’après les estimations de la NASA, n’a finalement par vraiment perturbé durablement le climat intertropical, ce sont toutes les « petites » éruptions qui contribueraient fortement au « hiatus climatique » en émettant des oxydes de soufre réfléchissant le rayonnement solaire non pas dans les couches stratosphériques de l’atmosphère mais beaucoup plus bas qu’attendu et prédit par les modèles, soit à environ 12 à 15 kilomètres d’altitude. La NASA n’avait pas mis son nez dans cette zone de l’atmosphère parce que les observations sont compliquées par la présence de cirrus, des nuages constitués de cristaux de glace très fins, qui eux aussi réfléchissent le rayonnement solaire et ça fausse les observations.

Les « modèles » climatiques doivent donc être revus de fond en comble parce que ça ne marche pas, ça ne marche plus et ça n’a jamais marché et cette découverte sensationnelle et inattendue est là pour le prouver.

Le refroidissement climatique résultant de ces émissions d’oxydes de soufre plus bas que prévu dans l’atmosphère serait de – 0,05 à – 0,12 degrés depuis l’année 2000 selon le nouveau modèle développé pour la cause au LLNL, c’est énorme ! Heureusement qu’il y a des volcans pour sauver l’humanité de la grillade généralisée mais il ne faut pas trop s’en approcher surtout quand ils sont nerveux …

Source et illustration (éruption du Tavurvur en Papouasie-Nouvelle-Guinée, août 2014) : Lawrence Livermore National Laboratory News.

Note : il y a une quarantaine de volcans en activité dans le monde, ils ne sont pas tous en éruption permanente fort heureusement. Les dernières éruptions notoires sont celle du Chaitén au Chili en 2008, celle du Merapi en 2010 (Java), celle de l’Eyjafjallajökull en 2010 (Islande) et enfin celle du Puyehue-Cordon en 2011 encore au Chili. Celle du Tavurvur n’a pas été répertoriée comme notoire, ça rassure …

Ça se réchauffe ou pas ? Allez savoir !

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Il y a quelques semaines les « spécialistes » de l’IPCC clamaient que finalement le réchauffement climatique qui n’avait pas eu lieu depuis près de 18 ans était tout simplement le résultat d’une plongée des eaux chaudes des océans dans les profondeurs de ces derniers. Il fallait tout de même faire très fort pour diffuser une telle information qui est encore une fois en violation directe avec des lois physiques tellement basiques qu’on finit par se demander qui sont réellement ces « spécialistes du climat » qui font la pluie et le beau temps (sans jeu de mot) auprès des gouvernements du monde entier, via des partis écologistes puissamment organisés et politisés, afin de les contraindre à réduire les émissions de CO2 à grands renforts de taxes et d’investissements à perte en dollars, euros, couronnes, yens, yuans ou pesos. La NASA qui vit comme des milliers de laboratoires dans le monde de la « manne climatique » a tout de même fini par admettre tout compte fait, honnêtement, enfin presque, et malgré toutes les tentatives pour garder bonne figure, que non, la profondeur des océans ne s’était pas réchauffée au moins ces dix dernières années. Ouf ! On est rassuré, tenter de violer une deuxième fois une loi fondamentale de la physique pour faire passer l’imposture monumentale du soi-disant changement climatique, ça commençait à faire carrément désordre. Prétendre que l’eau chaude est plus dense que l’eau froide, il fallait tout de même avoir eu l’audace d’y penser. Comme on a coutume de le dire, plus le mensonge est gros mieux il est avalé sans sourciller.

Les « scientifiques » de la NASA au JPL à Pasadena en Californie ont effectué des mesures satellitaires de la température des océans entre 2005 et 2013 corroborées par les données envoyées par 3000 bouées dispersées dans les océans un peu au hasard mais pas partout et les résultats ont montré qu’en dessous d’une profondeur de 1995 mètres (il faut admirer la précision) l’eau ne s’est pas significativement réchauffée. Ben voyons ! A cette profondeur la température de l’eau atteint au mieux une dizaine de degrés, tout y noir froid et noir, et si on va plus en profondeur on atteint 4 degrés au maximum de densité de l’eau de mer, point à la ligne.

Les « spécialistes » de la NASA ont fait une immense découverte pourtant décrite par les lois de la dilatation des corps en fonction de la température auxquelles l’eau n’échappe pas. Josh Willis, l’un des auteurs du papier (toilette) paru dans Nature Climate Change, l’organe politique et pseudo-scientifique de l’IPCC, déclare avec un courage évident que ces résultats n’infirment en rien le changement climatique lui-même ! « Le niveau de la mer continue à monter, on essaye simplement de comprendre les détails et d’aller au fond des choses ». Il y a tout de même un gros problème, les prétendus gaz à effet de serre continuent à s’accumuler dans l’atmosphère et le réchauffement ne suit pas. C’est à n’y rien comprendre. Les « spécialistes » de la NASA qui disposent d’une tribune libre pour publier leurs conneries, je veux parler de Nature Climate Change (30 euros pour accéder à l’article et abonnement d’une année 178 euros), dûment reviewés par leurs pairs qui ne les contrediront jamais, ne savent plus trop où ils en sont ni de quoi il parlent. On a l’impression qu’ils sont tout simplement désemparés et qu’ils commencent à se demander s’il ne va pas falloir, un jour ou l’autre, avouer publiquement leurs turpitudes, leurs falsifications systématiques des données de leurs instruments coûteux payés par les contribuables, je veux parler des satellites et des bouées Argo, leurs modélisations abracadabrantesques pour enfin avouer leurs mensonges répétés. Mais non, il manque de la chaleur produite par l’ « effet de serre » du CO2 dont la teneur augmente inexorablement et on ne sait pas où elle est passée. Les modèles de réchauffement seraient-ils erronés ? Puisque ces modèles prédisent un réchauffement directement corrélé à l’augmentation gigantesque de CO2, quelques dizaines de parties par million en 50 ans tout au plus, et que ça ne se réchauffe pas, c’est que les océans se sont plus réchauffé que prévu depuis 35 ans, entre 1970 et 2005 pour être plus précis, de 24 à 58 % de plus que prévu ! Cette fois c’est du précis, du costaud, du vrai, tellement vrai qu’il faut le croire sans sourciller. Et puis le niveau des océans, tous calculs faits, n’a pas autant augmenté que prévu par les modèles, Al Gore peut dormir tranquille dans sa somptueuse villa au bord de la baie de San Francisco avec vue imprenable sur le Golden Gate, elle ne sera pas inondée de son vivant ! Ouf …

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Aux dernières nouvelles, la banquise antarctique a atteint cet hiver austral qui se termine une surface record, plus de 20 millions de km2, du jamais vu depuis 1979. L’illustration (NASA) montre le dépassement de la ligne rouge en de nombreux endroits, ligne qui matérialise l’extension maximale de cette banquise entre 1979 et … 2014, les premières observations satellitaires datant de 1979 et on se demande pourquoi la moyenne englobe l’année 2014 : il doit y avoir un tour de passe-passe là dessous. Les explications à ce phénomène inattendu de l’extension de la banquise sont pour le moins confuses. On sent que la NASA ne sait plus trop comment expliquer ce qui est observé car remettre en cause le « réchauffement climatique » reviendrait à voir les crédits d’équipements et de recherches lourdement amputés par l’administration américaine. Et il en serait de même pour de nombreux organismes et associations non gouvernementales dans de nombreux pays.

Quant à El Nino, il joue l’Arlésienne ! Il était attendu pour le mois de juin de cette année, rien ne s’est passé. Le mois d’octobre est bien entamé, toujours rien, peut-être pour la Saint-Sylvestre ou la saint Glinglin. La zone intertropicale de l’Océan Pacifique ne se réchauffe pas comme prévu par la NASA. Il faut dire que si l’eau chaude s’enfonce dans les abysses, rien de plus évident …

Autant dire finalement que les « mensonges climatiques » ont encore de beaux jours devant eux …

Sources : NASA press release 14-272 du 6 octobre 2014 et press release du 7 octobre 2014 (Goddard).

El Nino : encore des conjectures de la NASA jetées aux oubliettes !

 

Cette dépêche d’agence date d’une semaine mais rien n’a changé sur le front météorologique :

Japan reduces chance of El Nino weather pattern this year

Monday, August 11, 2014

TOKYO (Reuters) – Japan’s weather bureau said on Monday it sees less chance of an El Nino weather pattern forming later this year than it previously forecast. In a monthly online bulletin, the Japan Meteorological Agency said it sees a 50 percent chance of an El Nino, which is often linked to heavy rainfall and droughts. The agency last month said there was a high chance of an El Nino weather pattern emerging in autumn. A U.S. weather forecaster last week scaled down its estimate for the chances of an El Nino later this year. Australia’s weather bureau said last month that if the weather phenomenon occurred, it was increasingly unlikely to be a strong event. The El Nino – a warming of sea-surface temperatures in the Pacific – can trigger drought in Southeast Asia and Australia and floods in South America, hitting production of key foods such as rice, wheat and sugar.

Cette dépêche d’agence a au moins le mérite d’être sibylline puisqu’elle n’infirme ni ne confirme les prévisions catastrophistes de la NASA qui affirmait en mai de cette année un phénomène « El Nino » de grande ampleur pour la fin de cette année 2014 ( https://jacqueshenry.wordpress.com/2014/05/19/la-nasa-ne-sait-plus-ou-faire-ses-previsions/ ). On est naturellement en droit de se poser la question de savoir si la NASA ne fait pas tout pour abonder dans le sens des pseudo-scientifiques de l’IPCC pour qui tous les arguments sont bons pour apeurer l’ensemble de la planète avec des prévisions tellement alarmistes qu’elles en deviennent lassantes. En effet, la température « globale » du globe terrestre devait se réchauffer et rien ne s’est passé comme prévu par ces experts (IPCC) à la petite semaine depuis près de 17 ans. L’agressivité des phénomènes météorologiques a continument diminué depuis ces 17 années même si l’actualité insiste un peu lourdement sur les cyclones, typhons et autres tornades dévastateurs, plutôt moins dévastateurs d’ailleurs qu’il y a 20 ans, bref, cette histoire rocambolesque de réchauffement ou de changement climatique est une vaste fumisterie qui va coûter un maximum à tous les citoyens, en particulier aux Français dont les dirigeants politiques sont des affidés inconditionnels des arrogants membres de l’IPCC et de leurs bras armés les ONGs diverses et variées, à commencer par Mademoiselle Royal en charge du refroidissement énergétique et de la paupérisation de la France.

La NASA ne sait plus où faire ses prévisions !

La NASA prévoit un phénomène El Nino pour la fin de l’année 2014 d’une « extrême violence » avec une chance probabilistique revue et corrigée de 65 % ! La prudence devient donc de mise depuis les déboires relatifs aux prédictions sur le réchauffement, on est passé de 95 à 65 %. Il faut reconnaître que toutes les courbes prévisionnistes en crosse de hockey si alarmantes de l’IPCC n’ont pas été à la hauteur de leur exactitude puisque le réchauffement a disparu et les observations sont bien là pour le prouver, quand ça ne se réchauffe pas ça refroidit, la Mère Denis, habituée des lessives à la main, n’aurait pas dit le contraire, quand l’eau est froide elle est froide, bondla !

Pour le phénomène El Nino qui nait dans la zone intertropicale du Pacifique, ce sont les mêmes incantations divinatoires qui autorisent les prévisionnistes de la NASA à justifier leur gigantesque budget que Dame Nature a l’air de considérer avec le plus parfait mépris. Normal, puisque le soleil semble avoir choisi la sieste après des dizaines d’années d’activité forcenée, un repos bien mérité, il faut s’attendre à un Nino dont l’ampleur, justement, dépend étroitement de l’intensité de l’activité solaire ne sera que normale et non pas « extrêmement violente ». Si au cours de l’été et de l’automne à venir les prévisions alarmistes de la NASA ne se confirment pas, cet organisme devra revoir encore une fois sa copie. Les deux entités de recherche les plus dispendieux de la planète sont la NASA et le CERN, inutile de mentionner le projet ITER dont n’importe quel scientifique ayant les deux pieds sur Terre dira qu’il sera abandonné à terme, ses limites technologiques étant déjà connues, il faut au moins reconnaître que le CERN a accouché du boson de Higgs et la NASA a permis des avancées incontestables en astronomie et en astrophysique mais au niveau de ses prévisions climatiques c’est un fiasco total !

Donc, il faudra que les faits confirment les prévisions de la NASA basées sur les observations illustrées par la figure ci-dessous. Promis et juré, on en reparle dans moins d’un an …

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