Le « vaccin » anti-coronavirus est une loterie : 5 % de chances de mourir ou d’être gravement malade !

Le vieux Paul C. Roberts ( https://en.wikipedia.org/wiki/Paul_Craig_Roberts ) m’étonnera toujours à l’âge de 84 ans. Il doit statistiquement, comme votre serviteur, souffrir de problèmes de glande typiquement masculine qui ne sert que pour avoir des enfants, ce qui fut mon cas seulement trois fois. Bref, comme Seymour Hersh qui a le même âge ces deux phénomènes remuent la fange et je les en félicite profondément. Voici donc la première partie de deux papiers de Paul C. Roberts datée du 11 mais 2023 relatif à la « vaccination » anti-covid traduite par mes soins aussi fidèlement que possible par respect pour le vieux Paul. Bonne lecture ! Quelques commentaires en fin de papier et dans le cours du papier lui-même notes en caractères italiques et en parenthèses. 

« Il s’agit d’un meurtre de masse intentionnel, prémédité. Cela ne fait absolument aucun doute, car rien d’autre n’a de sens. Nous allons les coincer » (avocat Reiner Fuellmich).

Un chercheur a découvert que 5 % des lots de « vaccins » contre le SARS-CoV-2 sont responsables du grand nombre de décès et de blessures liées à la « vaccination » aux États-Unis. De plus, les analystes ont conclu que l’étiquetage séquentiel des lots selon les niveaux de toxicité constitue une preuve de violation intentionnelle de la réglementation fédérale exigeant l’uniformité des doses. Pour Pfizer, 4 % des lots de vaccins représentaient tous les décès attribuables au vaccin de Pfizer et 5 % des doses de Moderna représentaient tous les décès attribuables au vaccin de Moderna. La toxicité de certains lots explique pourquoi certaines personnes ont été tuées ou ont été blessées par le vaccin contre le SARS-CoV-2, tandis que d’autres, du moins jusqu’à maintenant, n’ont subi aucune réaction indésirable. 

Le chercheur a constaté que les lots hautement toxiques avaient une répartition entre les États, et on se demande si la distribution était principalement dans les États rouges (note : il s’agit d’Etats à majorité démocrate). Mais la conclusion la plus troublante du chercheur est que la différence très inhabituelle de toxicité et le schéma inhabituel de distribution indiquent un « crime important » qui « doit faire l’objet d’une enquête ».

Reiner Fuellmich, qui a enquêté avec des milliers d’avocats et de scientifiques réunis dans le Comité d’enquête allemand Corona sur la toxicité du vaccin, a recueilli d’énormes preuves que le vaccin est toxique. Le casse-tête est la raison pour laquelle certains ont été tués ou blessés et d’autres non. La réponse est l’incohérence des lots de vaccins. Des experts, comme l’ancien vice-président et directeur scientifique de Pfizer, le Dr Michael Yeadon, et l’ancien chef du Comité de la santé de l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe, le Dr Wolfgang Wodran, ont conclu que « des actes criminels sont commis » et que « un crime grave est aussi évident ». Vous pouvez lire le rapport ici : https://www.globalresearch.ca/small-percent-vaccine-batches-responsible-large-number-adverse-reactions-analysts-claim/5767604 . Je vous encourage à le faire. Je vais maintenant parler de ses répercussions.

Nous savons pertinemment que la « pandémie de coronavirus » a été orchestrée par la peur et qu’aucun aspect du protocole de traitement n’était efficace ou logique. Les masques ne protègent pas. Le confinement a fait plus de mal que de bien. Les droits de la personne ont été violés par des vaccinations forcées non volontaires avec une substance non testée et utilisées en vertu d’une autorisation d’urgence qui exigeait qu’il n’y ait aucun traitement ou remède connu. L’exigence d’utilisation d’urgence signifiait que les remèdes connus utilisés avec succès dans d’autres pays, comme le Brésil et l’Inde, devaient être refusés et interdits d’utilisation aux États-Unis et dans d’autres parties du monde occidental. Les autorités de santé publique des États-Unis et les « presstitutes » ont menti à travers leurs dents que l’ivermectine et la HCQ étaient des médicaments dangereux et non approuvés. L’ivermectine était considérée comme une médecine du cheval dangereuse pour les humains. En fait, les deux médicaments avaient été approuvés depuis longtemps pour usage humain et avaient de nombreuses décennies d’utilisation et des dossiers d’innocuité parfaits. L’ivermectine est couramment utilisée pour prévenir la cécité des rivières dans les régions d’Afrique où le parasite est répandu, et la HCQ est depuis longtemps utilisée pour prévenir le paludisme.

Il aurait été juste de dire que ni l’ivermectine ni le HCQ n’ont été approuvés par la FDA pour le traitement du coronavirus, mais que la maladie était nouvelle et qu’il n’y avait donc pas eu de demande pour les années d’essais qui font partie du processus d’approbation. Toutefois, dans la pratique médicale aux États-Unis, c’est aux médecins de juger lorsqu’ils cherchent des moyens d’aider leurs patients. Pourtant, les médecins qui ont sauvé des vies avec l’Ivermectin ou l’HCQ ont été punis. S’ils étaient des employés de la médecine d’entreprise, ils ont été congédiés. S’ils exerçaient de façon indépendante, des efforts ont été faits pour leur retirer leur licence médicale. De nombreuses pharmacies ont été empêchées de remplir les ordonnances d’ivermectine et de HCQ.

Ce que nous savons maintenant, c’est que pratiquement personne n’est mort du coronavirus, sauf les personnes atteintes de morbidité qui se sont vu refuser un traitement. N’oubliez pas le protocole relatif au SARS-CoV-2. Si tu tombais malade, tu devais rester à la maison, et si tu avais des problèmes respiratoires, tu devais aller à l’hôpital où ils t’ont tué avec des respirateurs. Apparemment, le protocole voyait les problèmes respiratoires comme une pneumonie, mais le vrai problème était que le virus artificiel empêchait les globules rouges de transporter de l’oxygène. Rappelez-vous également que les hôpitaux ont été incités à maximiser les décès liés au coronavirus, car ils ont reçu environ 39000 $ pour chaque décès lié à ce coronavirus. Par conséquent, presque tous les décès ont été signalés comme étant des décès liés au coronavirus, même des accidents de moto, ce qui a maximisé le taux de décès lié à ce virus et conduit les gens à la vaccination. N’oubliez pas que l’inventeur du test a dit que le test PCR utilisé pour diagnostiquer cette maladie était incapable de le faire. Le test PCR a produit jusqu’à 97 % de faux positifs, exagérant ainsi énormément la pandémie.

Rappelez-vous aussi que l’explication initiale de cette maladie était la viande de chauve-souris infectée vendue dans un marché chinois. Nous savons maintenant que le SARS-CoV-2 était un virus artificiel et que l’aspect « gain de fonction », qui le rendait contagieux et dangereux, a été financé par les NIH de l’Université de Caroline du Nord et que, lorsque des critiques ont été formulées en raison de préoccupations, il a violé la Convention sur la guerre biologique. le financement a été transféré à Wuhan, en Chine. Rappelez-vous aussi que la DARPA était impliquée dans la fabrication du virus. La nouvelle, c’est que le virus s’est échappé du laboratoire de Wuhan, mais que des personnes plus alertes croient que le virus a été libéré intentionnellement.

De nombreux scientifiques indépendants n’ayant aucun conflit d’intérêts avec les grandes sociétés pharmaceutiques considèrent le « vaccin » non seulement comme plus mortel que cette maladie elle-même, mais aussi comme une arme biologique. De toute évidence, le fait que 5% des doses représentent les effets indésirables implique un motif et une intention. Cela doit être étudié par des scientifiques et des organisations indépendants. Il est difficile et peu probable de s’attendre à ce que le Congrès, même si ses membres dépendent des fonds de la campagne Big Pharma, et les organismes de santé publique de réglementation, la FDA, les NIH, les CDC, les organismes qui sont des agents de marketing Big Pharma à porte tournante, enquêtent honnêtement sur la « pandémie de SARS-CoV-2 » et les lots toxiques du « vaccin ».

S’il n’y a pas d’enquête ni de rendu honnête de comptes, on peut s’attendre à de pires pandémies orchestrées dans un proche avenir (cf. mon commentaire en fin de billet). Il y a des indications que les États-Unis ont essayé de militariser le virus Ebola, et au cours des deux dernières années, j’ai signalé que des flacons de variole mortelle avaient été découverts deux fois présentés sur des comptoirs au lieu d’être sous clé. Les gens de ma génération ont été vaccinés contre la variole, et une campagne mondiale a éradiqué la maladie, mettant ainsi fin à la vaccination des populations. Pour une raison quelconque, les cultures du virus étaient gardées sous clé dans des laboratoires prétendument hautement sécurisés.

La variole est naturellement très contagieuse. Si elle devait s’échapper ou être libérée, le taux de mortalité serait beaucoup plus élevé qu’avec le coronavirus. Les protocoles d’urgence mettraient essentiellement fin à la liberté humaine, et la population humaine serait considérablement réduite. À cause du retour de flamme (conséquences sur l’armée assaillante si elle ne dispose pas d’antidote ou de vaccin efficace et spécifique), les armes biologiques sont essentiellement inutiles comme armes de guerre à moins qu’elles ne puissent être conçues pour attaquer uniquement l’ennemi. Vous vous souvenez peut-être qu’il y a quelque temps, il y avait plusieurs rapports, dont un de Russie, selon lesquels la CIA recueillait des informations génétiques russes. Les scientifiques russes spéculaient que Washington était engagé dans la recherche sur les armes biologiques ciblant les Russes. La recherche sur les armes biologiques est satanique et contraire à la Convention sur la guerre biologique. Que les États-Unis poursuivent cette recherche illégale est un danger pour tous les Américains et pour le monde entier. En outre, cette recherche montre une insouciance téméraire de la part du gouvernement américain et de ses scientifiques pour le droit et la vie. 

Les organismes gouvernementaux qui opèrent secrètement en dehors de la loi peuvent mentir éternellement au Congrès et peuvent invoquer « la sécurité nationale », une vache sacrée pour le Congrès, et échapper à la responsabilité. Nous observons actuellement le FBI et le ministère de la Justice continuer leur protection de Joe et Hunter Biden tout en poursuivant le président Trump avec de fausses accusations. La guerre nucléaire est une réelle possibilité. L’hostilité des néoconservateurs envers tous les pays capables de faire obstacle à l’unilatéralisme américain, ainsi que la tolérance sans fin du Kremlin aux provocations, conduisent à une guerre nucléaire.

Nous faisons face au même risque d’extermination que la militarisation des virus mortels par le gouvernement américain. Ce travail se poursuit sans obstruction et justifié avec toutes sortes de faux arguments. « Nos ennemis le font, alors nous devons aussi nous protéger ». Ou comme le prétendent Fauci, Gates et d’autres, nous devons fabriquer des virus mortels pour les étudier afin de pouvoir nous pré-vacciner. Ces arguments sont faux. De plus, les conséquences pour l’humanité et toute la vie de la guerre nucléaire et des armes biologiques sont si horribles qu’elles font de la poursuite de la paix le but ultime de tous les objectifs. Mais Washington poursuit l’hégémonie, ce qui est une garantie de guerre.

Le danger de notre situation ne peut être exagéré. Seule la responsabilité pour la pandémie orchestrée par le coronavirus peut rétablir la vie humaine comme étant plus importante que les profits des grandes sociétés pharmaceutiques et sauver la vie de la tyrannie.

Commentaires de votre serviteur. Comme cela a été signalé à plusieurs reprises sur ce blog l’Organisation Mondiale de la Santé aidé financièrement par la Fondation Bill Gates (je ne mentionne plus Melinda qui a divorcé de son époux après les révélations de pédophilie de Bill qui abusait de jeunes filles que Jeffrey Epstein mettait à la disposition des grands de ce monde pour ensuite les faire chanter avec des vidéo du genre porno pédophile confiées au Mossad. La collusion entre ce triste individu et l’OMS donne le ton de l’état de pourrissement des institutions internationales caviardées de l’intérieur par des personnages peu recommandables. La prochaine épidémie sera organisée à dessein par les Etats-Unis voire un autre pays, mais on ne situe pas clairement lequel pourrait tenter d’asseoir son hégémonie par ce biais totalement immoral foulant les lois fondamentales de l’éthique en en violation totale du Code de Nuremberg. J’ai exposé sur ce blog le fait qu’accuser la Chine d’avoir répandu le virus après son étude dans le laboratoire P4 de la ville Wuhan est selon mon point de vue un mensonge grossier organisé par les Américains. M’accuser d’anti-américanisme primaire me laisse indifférent. Les Américains sont un peuple sans foi ni loi et ils seraient bien avisés de s’occuper de leurs affaires intérieures car avec 4 Etats (Nevada, Nouveau-Mexique, Texas et Floride) qui envisagent une sécession le pouvoir fédéral risque de s’effondrer car une vraie guerre civile fera oublier les visées impérialistes de ce pays que je méprise de plus en plus et je n’ai aucune honte à l’écrire …

Source : https://www.paulcraigroberts.org/2023/05/11/the-covid-deception-the-dire-consequences-of-the-lack-of-accountability/

Brève. Coronavirus encore et toujours …

En complément au billet précédent voici une nouvelle intéressante qui révèle la position des « démocraties occidentales » au sujet de la campagne mondiale de « vaccination » organisée par ce même occident. En Allemagne environ 192 millions de doses de « vaccin » anti-coronavirus ont été injectées à la population de gré ou de force à ce jour. Supposée être efficace à 99 % cette thérapie génique était également considérée comme sans effets secondaires. Les faits ont prouvé le contraire et pourtant les autorités allemandes refusent de reconnaître ces faits pourtant prouvés par la science et malgré la quasi disparition de l’épidémie continuent à encourager l’injection de rappel au cas où un nouveau variant apparaitrait. Selon un sondage incluant 1700 participants pris au hasard plus de 52 % des personnes interrogées ont déclaré avoir souffert d’effets secondaires dont 23 % ont souffert d’effets secondaires graves. Selon ce sondage il ressort que 36,6 % des 18-29 ans et 45 % des 30-39 ans ont fait l’expérience d’effets secondaires sévères de cette « vaccination ». Cette proportion diminue avec l’âge puisque moins de 30 % des personnes âgées de 70 ans et plus ont souffert d’effets secondaires seulement légers.

Enfin ce sondage a révélé un étrange résultat : les effets secondaires du « vaccin » semblent dépendre de la religion pratiquée par les personnes contactées puisque 79,8 % des musulmans ont déclaré avoir souffert d’effets secondaires alors que 55,2% des catholiques et 51,7 % des chrétiens protestants ont rapporté des effets secondaires. Ce sondage a été effectué entre le 10 et le 15 mars 2023 et 84,9 % des personnes contactées ont déclaré avoir reçu au moins une dose de « vaccin ». Ce sondage a été organisé par INSA Meinungstrend, un organisme indépendant du pouvoir. Source : notrickszone.com. Conclusion : qui ment, le sondage ou les autorités politiques allemandes ?

Conséquences de la pandémie de SARS-CoV-2

L’ARNm de Pfizer et de Moderna : une arme de destruction massive !

Selon un nombre de plus en plus important d’études, la « vaccination » de milliards de personnes dans le monde n’a jamais eu les effets protecteurs escomptés qu’il s’agisse de la protection contre les formes graves de l’infection par le coronavirus, de la protection des individus contre l’infection elle-même ou de la disparition des risques de contagion. Mais il y a pire : cette thérapie génique a provoqué la morts de plus de 2 millions de personnes de tous âges, en particulier de jeunes personnes en excellente santé qui paradoxalement ne couraient qu’un risque très limité de contracter la maladie car leur système immunitaire était suffisamment solide pour combattre ce virus. Cette estimation est considérée comme basse. Et il y a pire encore : lorsque la cellule de l’individu soumis de gré ou de force à cette thérapie génique reçoit cet ARN presque totalement synthétique elle synthétise une protéine, la sous-unité 1 de la protéine de la spicule du virus, celle-ci est toxique pour l’organisme. Les effets de cette protéine sont multiples, depuis une perturbation du cycle menstruel de la femme, l’apparition de thromboses pouvant aller jusqu’à des arrêts du cœur, des effets délétères sur les gonades, le réveil de cancers jusque là endormis, l’effet facilitant d’une nouvelle infection ou encore l’apparition de maladies auto-immunes, et j’en passe.

Ce nombre de morts supplémentaires évalué par des statisticiens chevronnés comme en France Pierre Chaillot défie l’entendement sauf si on part de l’hypothèse qu’il est lié à cette « vaccination ». Avec cette corrélation tout s’explique clairement. On pourrait argumenter ainsi : puisque l’augmentation de cette mortalité restait inexpliquée et que la « vaccination » coïncidait alors la relation de cause à effet pouvait en être la cause. Certes ce rapprochement est scientifiquement contestable et jamais un scientifique ne se hasarde à ce genre de rapprochement, en d’autres termes le hasard n’est pas une preuve scientifique. C’est un principe fondamental enseigné par les patrons de laboratoire de recherche quand on commence une carrière de chercheur en science. Les contestataires comme Laurent Alexandre ou Olivier Veran, médecin de son état, oublient de mentionner que dans les pays dits pauvres n’ayant pas eu les moyens d’acheter ce « vaccin » il n’y a jamais eu de cas de morts suspectes ou d’effets secondaires comme dans les pays dits développés. Il s’agit d’une preuve par la négative comme on la pratique au cours d’essais cliniques correctement accomplis dans les règles de l’art.

Apparemment toutes ce observations ne suffisent pas et elles sont rejetées par les décideurs politiques. On les comprend puisqu’ils ont été achetés par les deux laboratoires pharmaceutiques cités plus haut pour que cette thérapie génique soit imposée au peuple pour leur plus grande satisfaction financière. Par exemple le prix de revient d’une dose de « vaccin » est un peu inférieur à 1 dollar et cette dose est facturée entre 15 et 20 dollars. Il n’y a rien d’étonnant que Pfizer ait réalisé un chiffre d’affaires de 100 milliards de dollars … Des essais cliniques bâclés, des contrats de vente secrets : n’est-ce pas là la preuve qu’il y a eu une fraude dès le début de cette campagne de « vaccination » ? Il est compréhensible que les politiciens se protègent en déléguant à des individus peu recommandables de répandre la propagande sur les « plateaux télé » des pseudo-spécialistes qui ne connaissent strictement rien au sujet des ARNs en général ni au sujet des ARNs messagers en particulier. Lorsque j’étais étudiant en maîtrise de science (on dit maintenant « master » par snobisme anglo-saxon) on venait de découvrir les ARNs messager mais on ignorait le rôle des petits ARNs dans la transcription de l’ARN ou la régulation de le traduction de ce Dernier en protéines, pour ne citer qu’un exemple particulier. La France a le privilège d’abriter l’une des plus grandes spécialistes mondiales des micro ARNs. Il s’agit d’Alexandra Henrion-Caude. Ses prises de position au sujet des ARNs messagers commercialisés par Pfizer, pour ne citer que cette entreprise, à des fins thérapeutiques ont eu pour conséquence que cette éminente biologiste soit insultée, trainée dans la boue la plus putride qui soit par des béotiens qui défendent en réalité les décideurs politiques. Il faut appeler les choses par leur nom : la politique sanitaire est conduite par une bande d’escrocs et pas seulement en France avec l’acquiescement de l’OMS.

L’OMS et le Nouvel Ordre Mondial sanitaire

L’épidémie de SARS-CoV-2 a été classée comme pandémie par l’OMS dès le début des premiers cas. Cette décision fut trop rapide car ce ne sont pas quelques cas en Italie, en France, en Chine puis en Belgique si je me souviens bien qui pouvaient conduire à cette classification aussi rapidement. L’OMS avait donc une petite idée dans la prévoyance de l’apparente gravité qu’allait revêtir cette maladie. C’est troublant ! Il apparaît maintenant qu’en réalité l’OMS, un organisme international financé en partie par des intérêts privés, a des visées totalitaires et ces visées viennent d’être révélées au grand jour avec la variole du singe qui a été déclarée « urgence sanitaire » alors que nombre de cas dans le monde se compte avec les dix doigts des mains. En ce qui concerne le coronavirus on assiste aujourd’hui au mélange des genres à l’OMS avec la nomination comme « Chief scientist » auprès de cet organisme le dénommé Jeremy Farrar par ailleurs directeur du Wellcome Trust, une organisation « charitable » impliquée dans le domaine biomédical avec en particulier ses investissements dans un certain nombres d’entreprises pharmaceutiques. Ça rappelle un peu la Fondation Bill&Melinda Gates qui sous couvert d’activités humanitaires est en réalité une entreprise financière profitable.

Pourquoi l’OMS dérive vers le totalitarisme le plus exécrable, riche de la gestion du coronavirus ? Parce que le projet de mise en place d’une structure qui prendra des mesures autoritaires que les gouvernements du monde entier devront appliquer entre dans le cadre d’une modification de la structure de l’OMS qui passerait d’une organisation consultative internationale à un organe directeur dont les décisions seraient juridiquement contraignantes. Un autre article de ce projet reprend une décision de Ronald Reagan prises en 1986 accordant aux fabricants de vaccin une immunité juridique pour les blessures et les décès causés par leurs produits ! Il n’est pas difficile d’imaginer alors pourquoi les laboratoires Moderna et Pfizer bénéficient d’une totale protection juridique au sujet des dégâts provoqués par leurs « vaccins » et poourquoi cette clause a été mentionnée dans les contrats de fourniture de ces produits à des pays ou des groupes de pays comme l’Union européenne.

On s’achemine donc vers une financiarisation de la santé au niveau mondiale sous l’impulsion d’un organisme international profondément corrompu qui détiendra une autorité absolue sur les gouvernements nationaux. Visiblement les démocraties occidentales, elles-mêmes corrompues, n’ont pas l’air de vouloir réagir à la mise en place de ce projet de mise en place d’un nouvel ordre mondial si cher au néo-nazi Klaus Schwab. Tout est expliqué en détail dans l’excellent article de Jean-Dominique Michel dont je conseille la lecture soigneuse à mes fidèles lecteurs.https://anthropo-logiques.org/oms-et-nouvel-ordre-mondial/

Le scandale des « vaccins » Pfizer/BioNtech au grand jour

Le Professeur Michel Chossudovsky résume la situation ainsi :

« Des profits se chiffrant en milliards de dollars étaient la force motrice de ce programme diabolique, « Tuer est une bonne affaire ». Ce dont nous sommes témoins est un crime contre l’humanité d’une ampleur sans précédent, affectant la vie de toute la population de notre planète ».

Je conseille vivement à mes lecteurs de visionner cette présentation de Chossudovsky en français auprès d’un site québecois et éventuellement de se munir d’un VPN à cette fin :https://rumble.com/v2b2pc2-michel-chossudovsky-vaccin-pfizer-profits-vs-mortalit.html (Chossudovsky est censuré par youtube). Il a eu la communication du dernier rapport financier de Pfizer qui indique que cette société a réalisé 100 milliards de profit pour l’année fiscale 2022, l’exercice fiscal se clôturant le 31 mars. Il a également eu entre les mains le rapport de Pfizer sur la morbidité et la mortalité du « vaccin » à ARN messager émanant également de Pfizer. Un rapport arrêté le 28 février 2021, c’est-à-dire 13 semaines après le début de la campagne mondiale de « vaccination ». Voici ce qui figure dans ce rapport :

Selon Chossudovsky à la vue de ces données toute injection de cet ARN messager aurait du être immédiatement arrêtée en vertu du Code de Nuremberg ( https://en.wikipedia.org/wiki/Nuremberg_Code ). L’injection d’ARN messager constitue en effet une violation de l’ensemble des dix points de ce Code, en particulier l’utilisation d’êtres humains pour l’administration d’un produit expérimental sans leur consentement et sous la contrainte, et qu’aucune étude sérieuse n’ait été réalisée au préalable. Toujours selon Chossudovsky l’ensemble des décideurs politiques a été corrompu par Pfizer pour accepter cette violation du Code de Nuremberg. La société Pfizer a réitéré son attitude de publicité mensongère pour laquelle elle a été déjà condamnée à une lourde amende de plus de 8 milliards de dollars car en ce qui concerne cette thérapie génique à base d’ARN messager il s’agit bien d’une publicité mensongère soutenue par les décideurs politiques.

L’interdiction des traitement précoces à l’aide d’HCQ puis d’Ivermectine a été exigée par Pfizer et Moderna auprès des décideurs politiques corrompus dans le seul but de consolider leurs perspectives de profit.

Des scientifiques comme Malone, Ioannidis et bien d’autres combattent sur le plan scientifique mais Chossudovsky n’était qu’un professeur d’économie et il se bat contre l’aspect économique de ce scandale. Parce qu’il est d’origine russe il est traité par le mépris par la presse de grand chemin occidentale, en particulier américaine. C’est dans l’air du temps. D’amples « class-actions » s’organisent aux Etats-Unis et au Canada pour poursuivre Pfizer, Moderna et d’autres fabricants d’ARN messager, les Européens doivent le faire, c’est urgent. Des députés européens courageux comme Virginie Joron tentent de dévoiler la corruption au plus haut niveau de la Commission européenne mais ce n’est pas suffisant. Il faut des actions de grande ampleur émanant des citoyens eux-mêmes qui ont été bernés depuis le début et ont servi d’animaux de laboratoire pour Pfizer et Moderna. Les gouvernement dissimulent soigneusement les statistiques relatives aux nombreux effets secondaires de cette « vaccination ». « Il y a un loup » et il faut le pourchasser. Selon diverses estimations le nombre de morts provoquées par cette illégale injection d’ARN messager atteindrait 2 millions dans les pays dits occidentaux, Amérique du Nord, Europe occidentale, Japon, Corée, Australie et Nouvelle-Zélande. Ces injections non seulement ne protègent ni d’une nouvelle infection par le coronavirus, ni de la transmission par des personnes infectées à d’autres personne mais font apparaître des anticorps facilitant une nouvelle infection, phénomène appelé ADE, acronyme de « antibody-dependent enhancement » décrit dès le début des campagnes de « Vaccination », une situation qui a encouragé les décideurs politiques à procéder à de multiples « rappels » qui arrondissent les profits de Pfizer. Il s’agit d’une situation machiavélique de laquelle le public ne peut plus échapper en raison des décisions du pouvoir politique corrompu.

J’ai l’occasion ici de rappeler le désastre de Sanofi aux Philippines avec un vaccin expérimental contre la dengue qui provoqua la mort de plus de 4000 enfants, ce vaccin expérimental entrainant l’apparition d’ADE conduisant à une néo-infection de dengue mortelle. Ce scandale a disparu des banques de données, c’est l’attitude coutumière des laboratoires pharmaceutiques. Un autre cas d’ADE peut être mentionné (je n’ai pas effectué de recherches approfondies). Il s’agit du vaccin tétravalent contre le papillomavirus, la cause première des cancers du col de l’utérus. Ce vaccin est administré aux jeunes filles en Suède depuis 2006. Or on assiste à une forte recrudescence de ce type de cancer. Est-ce une coïncidence ou un effet du hasard. Toujours est-il que les parents qui font vacciner leurs filles devraient réfléchir (source :https://www.lelibrepenseur.org/explosion-de-cas-de-cancers-du-col-de-luterus-chez-la-femme-suedoise-a-partir-de-lintroduction-du-gardasil-en-2006/ ). Si les peuples continuent à accepter d’être traités comme des animaux alors la civilisation occidentale est vraiment décadente …

Lien : https://www.mondialisation.ca/le-vaccin-pfizer-un-bilan-de-deux-rapports-largent-contre-la-mortalite/5675419 (en français et à lire absolument).

Le gros pavé dans le panier des crabes coronaviraux …

Xavier Azalbert (France-Soir) vient de frapper un grand coup en invitant à une longue conversation le Docteur Joseph Tritto, Président de la World Alliance for Biomedicine & Technology ( http://www.thewabt.com/WWO_organization.aspx ). Cet honorable médecin, dont j’ignorais l’existence avant cette entrevue magistrale, a méticuleusement décortiqué la genèse du SARS-CoV-2. Il a clarifié le rôle de Moderna dont le CEO est un transfuge de la société Biomérieux dans ce projet et la lourde responsabilité d’Antony Fauci qui, pour laver les Etats-Unis de tout soupçon, a financé les recherches dans le laboratoire P4 de Wuhan spécialisé dans l’étude des coronavirus de chauve-souris. Cette manœuvre avait en réalité pour but de masquer les longs travaux au sein des laboratoires de l’armée américaine sur les virus du SARS-1 et du MERS dès le début des années 2000. L’intervention de l’OMS, par conséquent en sous-main de Bill Gates, dans cette grossière manœuvre devait laver la conscience des militaires américains et rejeter l’erreur sur le laboratoire P4 de Wuhan. Antony Fauci est donc pour Joseph Tritto au cœur de cette sombre histoire.

Tritto insiste sur le fait que l’insert de 19 nucléotides breveté par Moderna pour induire un gain de fonction datait bien de 2016. Les Chinois ont également créé un virus génétiquement modifié en introduisant un insert différent d’origine bactérienne qui est indétectable par les généticiens. Comme je l’ai écrit à plusieurs reprises sur ce blog Moderna n’a pas pris la précaution de vérifier que les codons de l’arginine insérés dans l’ARN du virus n’étaient jamais rencontrés chez les coronavirus, ce qui signait la supercherie. Le Docteur Alexandra Henrion-Caude l’avait très vite signalé d’ailleurs.

Bref cet entretien révèle le montage invraisemblable qui a conduit au désastre de la pandémie. Mais il y a bien pire et le Docteur Tritto en dit un mot dans son entrevue en anglais, pour stabiliser l’ARN messager utilisé pour la thérapie génique appelée abusivement vaccin. L’armée américaine, dans sa grande mansuétude, a également financé dès 2016 la mise au point d’une technique de protection faisant appel à la technique de l’ARN messager supposé obliger l’organisme à produire l’antigène de surface du coronavirus, la sous-unité 1 de la protéine de la spicule d’attachement du virus à la membrane cellulaire. La préoccupation de l’armée américaine était de protéger ses personnels contre une nouvelle arme bactériologique, en l’occurence un virus artificiellement modifié qui puisse servir d’arme de destruction massive. On connait la suite car cette protéine s’est révélée toxique en induisant une multitude d’effets secondaires dont on ignore encore les effets à long terme sur cinq, dix ans voire plus. 

Dans son exposé en anglais Tritto mentionne également la toxicité des nano-particules de lipides synthétiques protégeant l’ARN messager injecté à des milliards de personnes. Si les investigations sur les ovaires n’ont pas encore été clairement détaillées en revanche un effet sur les testicules et la prostate a été bien documenté. Ces nano-particules provoquent des troubles graves de la spermatogenèse et ont également tendance à s’accumuler dans la prostate et encore une fois personne ne peut prévoir quelles seront les conséquences de ce phénomène à cinq ou dix ans. Selon Tritto il s’agit bien d’un gigantesque complot organisé dès 2016 par l’armée américaine …

Joseph Tritto a exposé l’histoire de l’hydroxychloroquine. Au cours des années 2000 les biologistes chinois avaient décrit l’effet inhibiteur de l’hydroxychloroquine sur l’accrochage du virus sur la membrane des cellules épithéliales et ces résultats avaient été publiés dans une revue scientifique mais écrits en chinois avec seulement un court résumé en anglais comme par exemple en France les Comptes Rendus de l’Académie Française publient des articles en français avec un petit résumé en anglais. L’impact de cet article fut presque nul mais des curieux comme le Professeur Raoult en France s’intéressèrent à ces travaux. À l’IHU de Marseille le mode d’action de l’HCQ fut précisé. Cette molécule inhibe bien la fixation du virus sur les cellules épithéliales mais provoque également un alcalinisation du milieu intracellulaire et par conséquent une inhibition de la réplication du virus. Comme l’a précisé Joseph Tritto la confirmation de l’effet bénéfique de l’HCQ a été confirmé dans tous les pays d’Afrique dont l’usage est prophylactique pour la prévention de la malaria.

Joseph Tritto est revenu sur la technique à ARN messager. Cette technique a été mise au point par le Docteur Robert Malone. Ce dernier a toujours insisté sur le fait que cette approche devait être considérée comme expérimentale et en dernier recours pour tenter de soigner des formes de cancers réfractaires à tous les traitement chimiques connus. L’interdiction de l’HCQ puis de l’ivermectine fait naturellement partie du complot ourdi par l’armée américaine. Aveuglés par les perspectives prometteuses de la technique à ARN messager dans le fait qu’il serait possible sur le papier de mettre au point rapidement une sorte de thérapie de protection contre tout agent pathogène nouvellement manipulé en laboratoire afin de protéger les personnels militaires, les laboratoires pharmaceutiques étaient prêts à inonder très rapidement le monde entier avec des pseudo-vaccins pour le plus grand bénéfice de ces mêmes laboratoires pharmaceutiques. C’est la raison pour laquelle l’interdiction de l’HCQ fut imposée à tous les pays qui suivent les directives des organismes tels que le CDC et le NIH aux USA, directives reprises par l’OMS.

Enfin l’« affaire » des tests de diagnostic utilisant la technique dite PCR, car il s’agit bien d’une gigantesque affaire au sens financier du terme, a également été abordée par Tritto. Ce sont des milliards de dollars qui ont été engloutis dans ces tests. J’ai utilisé cette technique au cours de mes travaux de recherche et je la connais bien. Comme je l’ai déjà mentionné sur ce blog la technique PCR n’est opérationnelle qu’en présence d’ADN double brin. Quand il s’agit d’amplifier la présence d’ARN il faut d’abord convertir cet ARN en ADN avec un enzyme appelé transcriptase réverse (RT en anglais, ne pas confondre avec Russia Today). Les cycles d’amplification permettent d’isoler un gène pour en étudier ensuite la séquence de nucléotides. Il s’agit d’une technique initialement utilisée en recherche dans le domaine de la biologie moléculaire. Je me souviens n’avoir utilisé que 16 cycles d’amplification pour isoler le gène codant pour une protéine présentant une activité enzymatique. Au delà de 16-20 cycles d’amplification à l’aide d’une amorce synthétique, un petit morceau d’ADN, dérivée dans ce type d’investigation de la séquence d’un fragment de la protéine en question après séquençage des amino-acides de celle-ci, on commence à voir apparaître n’importe quoi. C’est la raison pour laquelle le test dit PCR ne peut pas être utilisé comme outil de diagnostic en raison de l’apparition inévitable de faux positifs. Des firmes spécialisées dans la production de réactifs pour les laboratoires de recherche, en particulier allemands et américains, ont sauté sur l’occasion pour réaliser d’immenses profits en proposant ce test pour le dépistage des cas « positifs » PCR-coronavirus autorisant les gouvernements occidentaux à mettre en place des mesures coercitives mais surtout à favoriser la bonne santé financière de ces fabricants de réactifs de laboratoire. On connait la suite : les nombres de cas augmentent donc il faut procéder à des rappels de « vaccins » et la mécanique de la machination s’auto-entretient, indépendamment du fait que cette « vacination » fait apparaître des anticorps facilitants qui fragilisent les sujets sains à une nouvelle infection. Les tests PCR font partie de ce complot coronaviral !

Il faut écouter avec une grande attention les propos de Giuseppe Tritto. Selon mes informations son ouvrage dans lequel il détaille ses travaux d’enquête tous factuellement vérifiés est malheureusement en italien car la somme d’informations qu’il a divulgué au cours de ses deux exposés est tout simplement extraordinaire … Liens :

https://www.youtube.com/watch?v=xRuvqiMrNJg (en anglais)

https://www.francesoir.fr/videos-l-entretien-essentiel/les-armes-biologiques-sont-developpees-malgre-les-traites

SARS-CoV-2 : le bout du tunnel ?

Il reste encore trop de zones d’ombre au sujet de la pandémie de coronavirus qui débuta il y a 3 ans quelque part à Wuhan en Chine juste au moment où se déroulaient les jeux olympiques militaires internationaux, trop de zones d’ombre pour s’en désintéresser. De nombreux athlètes regagnèrent leur pays atteints d’une maladie mystérieuse et inconnue qui ne fit l’objet d’aucune « une » dans la presse jusqu’à l’apparition de foyers infectieux en particulier en Savoie et en Italie centrale. Ce qu’on ignorait à l’époque, du moins ce que les médias ignoraient, était le fait que tout était déjà plié : le mécanisme international de corruption allait prendre en main la suite des évènements avec l’appui bienveillant de l’OMS et du NIH, entre autres organismes. Le moindre petit grain de sable dans les rouages de cette manipulation internationale issue des Etats-Unis devait être éliminée, je vais revenir sur ce point dans le suite de ce billet.

Ce qui m’a déterminé à revenir à nouveau sur cette pandémie est une transcription d’un exposé du sénateur australien Gerard Rennick qui en quelques minutes détruit point par point la machination de la « vaccination », conséquence de la pandémie de SARS-CoV-2 : https://crowdbunker.com/@leLibrePenseurOrg . Ne tentez pas de visualiser cette intervention du sénateur australien sans sous-titre, son accent du Queensland profond est inaudible y compris pour un anglophone comme votre serviteur. L’autre fait qui m’a également motivé est une retransmission d’une table ronde organisée par la Vaccine Safety Research Foundation paru ce 13 décembre 2022 sur Rumble dont voici le lien : https://rumble.com/v20gj44-bret-weinstein-robert-malone-md-and-steve-kirsch-save-the-world-in-3-steps-.html et celui permettant de sélectionner les interventions de chacun des participants à cette table ronde :https://rumble.com/c/VaccineSafetyResearchFoundation .

J’aborderai le premier fait révélateur de la machination sous-jacente qui accompagna cette pandémie jusqu’à ce jour. Il s’agit du traitement précoce de l’infection par le SARS-CoV-2 avec l’hydroxychloroquine préconisé très tôt par le Professeur Didier Raoult. Il appliqua ce type de traitement à la fin des années 1990 pour traiter la fièvre Q en associant la chloroquine à un macrolide ou d’autres antibiotiques comme la doxycycline, une tétracycline (https://onlinelibrary.wiley.com/doi/abs/10.1111/j.1529-8019.2009.01244.x ). L’utilisation de la chloroquine (600 mg par jour) pour traiter la fièvre Q et d’autres rickettsioses découlait de l’observation que cette molécule alcalinise les lyzosomes et favorise donc la mort du parasite intracellulaire obligatoire, un peu comme un virus qui peut être également considéré comme un parasite intracellulaire. Les premières observations cliniques du Professeur Raoult démontrèrent l’efficacité de l’hydroxychloroquine pour réduire en quelques jours la charge virale en SARS-CoV-2 chez des patients infectés par ce virus. Quelle ne fut pas la véritable chasse aux sorcières dont fut victime le Professeur Raoult car il était le « grain de sable » pouvant bloquer tout le complot qui prenait forme autour de la pandémie. En effet la séquence de l’ancêtre le plus proche du SARS-CoV-2, RaTG13, comparée à celle de ce dernier révélera par la suite que ce virus avait été modifié au niveau du gène codant pour la protéine spike par l’insertion d’une séquence de 19 nucléotides qui avait fait l’objet d’un brevet déposé par la société Moderna en 2019 ( https://jacqueshenry.wordpress.com/2022/03/15/breve-rebondissement-sur-lorigine-du-sars-cov-2/ et https://www.frontiersin.org/articles/10.3389/fviro.2022.834808/full ). Ce qui était troublant dans cet article était la présence de deux codons CGG codant pour l’arginine qui sont extrêmement rares dans toutes les séquences de coronavirus connues. Ce simple fait signe une manipulation dans un laboratoire. Donc les grandes firmes pharmaceutiques étaient déjà prêtes à produire un « vaccin » basé sur de l’ARN messager dérivé de celui du virus codant pour la sous-unité-1 de la protéine spike partant du principe trompeur que si l’organisme recevant cet ARN messager synthétisait cette protéine, alors elle servirait à induire une réponse immunitaire et protégerait ainsi contre une infection par le SARS-CoV-2.

Le grain de sable, la bête noire à pourchasser devenait de facto l’animal nuisible à pourchasser. Tout fut fait pour persécuter cet éminent scientifique parce qu’il contrecarrait les projets des grandes entreprises pharmaceutiques. Une telle série d’évènements laisse des traces indélébiles dans la mémoire et le simple exposé que je viens de brosser ci-dessus prouve indirectement la culpabilité de ces grandes entreprises pharmaceutiques. Dès le retour des athlètes de Wuhan le virus se répandit dans le monde entier et il devenait donc urgent de mettre les grands moyens en œuvre pour ouvrir le marché de cette thérapie génique. À ce jour près de 5 milliards de personnes ont reçu au moins deux doses de cet ARN messager dans le monde avec un succès proche de zéro, j’y reviendrai. Le deuxième grain de sable qui subit le même traitement médiatique et politique fut l’ivermectine qui apparut dans ce mécanisme diabolique fomenté par les laboratoires pharmaceutiques mais quelques mois plus tard.

Le docteur Robert Malone a bien résumé ce que je viens d’écrire (https://rwmalonemd.substack.com/p/irreparable-vaccine-induced-harm ) et il a ouvert le débat au sujet de l’imprévisible désinvolture des grands laboratoires pharmaceutiques occidentaux. Le cas de l’interdiction de l’ivermectine a fait l’objet de nombreux débats dont celui mené par le Docteur Pierre Kory par exemple ici : https://www.lewrockwell.com/2022/10/joseph-mercola/the-war-on-ivermectin/ .

Je reviens donc ici sur le problème de la stoechiométrie vaccinale qui a été éludée par ces firmes pharmaceutiques. Un vaccin contre un virus classique est constitué de ce virus obtenu après culture dans des œufs ou des cultures de cellule puis désactivé pour qu’il perde ses propriétés pathogènes. On injecte à un sujet une quantité connue de particules virales et le résultat prouvé après de longues études est une immunité acquise satisfaisante. Au cours de ces longues études tous les effets secondaires possibles et déjà répertoriés pour d’autres vaccins sont explorés en profondeur au cours d’essais cliniques longs et coûteux. L’énorme différence avec la thérapie génique utilisée dans l’espoir d’immuniser les sujets est que dans ce dernier cas cette stoechiométrie n’est pas contrôlable. L’organisme du receveur va synthétiser avec sa machinerie cellulaire un nombre de copies inconnu d’une protéine, la sous-unité-1 de la protéine spike codée par l’ARN messager synthétique injecté, qui s’est révélée par la suite toxique car c’est précisément elle qui confère au virus sa toxicité en particulier au niveau circulatoire sanguin. Confrontés à ce problème très grave sinon criminel ces mêmes laboratoires pharmaceutiques ont organisé auprès des gouvernements une sorte d’omerta en ce qui concerne ces effets secondaires. Sur les quelques 4 à 5 milliards de personnes dans le monde ayant reçu de gré ou de force et sans aucune information cet ARN messager le nombre d’effets secondaires toutes causes confondues n’a jamais été corrélé à ces injections, et pour cause il fallait en dissimuler l’ampleur. Les estimations font état de 45000 sujets ayant fait l’objet de rapports détaillés transmis aux organismes ad hoc nord-américains ou européens, 45000 tous effets confondus y compris les morts subites quand celles-ci étaient prises en compte. La mise en forme d’un dossier « effets secondaires » est tellement laborieuse que les médecins traitants négligent de faire remonter les informations dont ils disposent. Outre ces complications administratives les autopsies de patients ayant succombé subitement après ces injections ont été découragées voire interdites. C’est dire à quel point les laboratoires pharmaceutiques se sentent gênés ! Bref, moins de 1 % des dossiers sont remontés auprès des instances administratives dédiées. On peut donc raisonnablement considérer que ce nombre d’effets secondaires pourrait atteindre 5 millions de patients seulement dans les pays occidentaux. Et le nombre de morts consécutifs à une injection d’ARN messager est difficilement comptabilisable malgré le fait qu’on découvre peu à peu une surmortalité « inexplicable » dans de nombreux pays occidentaux, de la Nouvelle-Zélande au Québec en passant par Israël, pays qui ont rendu cette « vaccination » obligatoire alors que cette obligation est contraire au droit international.

En conclusion de cette longue prose il faut que des personnes courageuses, comme par exemple Madame Virginie Joron, députée européenne, qui tente vainement de soumettre la présidente de la Commission européenne à un interrogatoire devant l’Assemblée parlementaire européenne, que des élus de ces instances européennes et des élus de divers pays décident de faire toute la lumière sur ce scandale, sur ce crime organisé par les laboratoires pharmaceutiques avec la complicité des instances sanitaires internationales et nationales et encouragés par les médias et les décideurs politiques. Il y a comme une forte odeur de corruption, pensez-donc : au minimum dix à 15 ­ milliards de doses à 15 dollars en moyenne l’unité c’est un gigantesque profit pour ces entreprises sans foi ni loi, la plupart d’entre elles déjà condamnées par le passé pour comportement frauduleux ou mensonger.

Le scandale des vaccins à ARNm prend de l’ampleur

Selon une statistique regroupant l’ensemble des grandes compagnies d’assurance américaines prenant en charge entre autres frais ceux des obsèques l’augmentation du nombre de décès toutes causes confondues rapportées à 12 mois depuis le début de la campagne de vaccination contre le coronavirus a été de 40 % dans la seule tranche d’âge 18-50 ans. Compte tenu du nombre de décès par millier d’habitants des Etats-Unis de 8,38 par an (source CIA, mais il n’existe pas de statistiques concernant cette même tranche d’âge) cette augmentation correspondrait alors à 1,13 millions de décès supplémentaires au maximum. Il est donc difficile d’évaluer précisément ce nombre de décès supplémentaires. Il y a plus alarmant encore, ces mêmes compagnies d’assurance ont constaté une augmentation de 269 % d’infarctus du myocarde, un triplement du nombre de fausses-couches, un triplement des cas de paralysies faciales, 156 % d’augmentation du nombre de malformations congénitales, 467 % d’augmentation du nombre d’embolies pulmonaires, et enfin un triplement du nombre de cancers et de troubles neurologiques. Le nombre de cas d’infertilité féminine en augmentation de 471 % durant cette même période courant sur 12 mois doit être considéré avec précaution car le recul n’est pas suffisant pour atteindre une certitude suffisante.

Et pendant ce temps-là le gouvernement américain vient d’acheter 300 millions de doses de « vaccin » à Pfizer pour la très rondelette somme de 9 milliards de dollars dont une partie a été reformulée pour les enfants de moins de 5 ans. Je trouve qu’il y a comme une forte odeur de corruption car le chiffre d’affaire de Pfizer devrait atteindre en cette fin d’année 2022 quelques 130 milliards de dollars … Quelques dizaines de millions de dollars distribués ici ou là et l’affaire est bouclée. Que représente une vie humaine pour ce super-géant de l’industrie pharmaceutique ? Et, comme en Europe, les décideurs politiques ne veulent pas entendre parler de ces statistiques.

La situation prend une tournure inattendue avec le dépouillement minutieux des documents remis par la firme Pfizer à la FDA qui ont été rendus publiques sur décision de la justice. Au cours des essais dits internes de Pfizer il fut constaté plus de 42000 effets indésirables et plus de 1200 décès. Pourtant la FDA a approuvé cette thérapie génique alors qu’elle aurait été normalement interdite en raison de ces résultats qui devaient rester secrets pendant 75 ans. La FDA comme l’Agence européenne du médicament sont des organismes censés protéger la santé des citoyens. Il n’en est rien et comme je viens de l’écrire plus haut il y a comme une très forte odeur de corruption. Enfin injecter des enfants de moins de cinq ans avec ce poison est un crime qui devra un jour ou l’autre est puni !

Sources : https://www.kusi.com/there-was-an-unexpected-40-increase-in-all-cause-deaths-in-2021/ et aussi : https://nouveau-monde.ca/les-effets-secondaires-graves-des-injections-experimentales-eclatent-au-grand-jour-dans-le-monde-entier/ et encore :https://laplumeducitoyen.org/2022/07/04/effets-secondaires/ puis pour ceux qui sont accrocs aux entrevues télévisuelles : https://www.youtube.com/watch?v=sy4hBJOTolo

Je suis toujours complotiste … Le vaccin à ARN messager : un génocide planétaire

Selon l’article de David J. Sorensen et du Docteur Vladimir Zelenko paru sur le site globalresearch.ca le nombre de morts dans tous les pays occidentaux qui ont de facto imposé la « vaccination » par ARN messager censée protéger d’un coronavirus, qui en est à son sixième variant et est devenu bénin, atteint un chiffre astronomique : plus de 5 millions dans ces pays occidentaux ou apparentés. L’estimation de ce chiffre est une extrapolation des faits répertoriés aux Etats-Unis, corroborés par les statistiques britanniques. L’incertitude est cependant très large. Il se peut qu’il s’agisse plutôt de 8 millions de morts pour ces seuls pays.

Il s’agit donc bien d’un génocide rampant qui ne dit pas son nom. Mais la situation va encore s’aggraver puisque des campagnes d’injections préventives sont d’ors et déjà organisées dès l’âge de 5 ans, ce qui est tout simplement criminel. Paradoxalement les moins malades sont ceux qui n’ont pas été « vaccinés » malgré le fait que les autorités prétendent le contraire. À ces morts il faut ajouter en toute honnêteté toutes les fausses-couches dont ont souffert les femmes enceintes ayant subi l’injection de ce produit mortel pour leur fœtus. On se trouve donc bien en face d’un génocide qui concerne surtout les pays développés ayant opté pour cette thérapie génique toujours considérée comme expérimentale ! Le retour d’expérience est clair : il s’agit bien d’un complot pour réduire la population puisque les injections de rappel sont prévues ad libitum. Du jamais vu dans l’histoire de la vaccination puisque si un nouveau vaccin provoque des morts ou trop d’effets indésirables au cours d’études de phase III il est immédiatement abandonné.

L’objectif de Bill Gates et du Forum économique mondial ne sera atteint que lorsqu’il y aura plusieurs centaines de millions de morts dans les pays occidentaux alors que le taux de natalité dans ces derniers pays ne permet plus un renouvellement des générations. Depuis le début de cette pandémie on assiste donc à un complot ourdi par ces organismes supranationaux qui veulent imposer leur vision malthusienne avec la complicité des laboratoires pharmaceutiques qui ne se plaindront pas des profits astronomiques qu’ils réalisent. Le virus lui-même a été manipulé pour introduire le site de clivage appelé furine (j’en ai dit un mot dans un précédent billet) et ce n’est pas fortuit. La séquence d’une dizaine de nucléotides introduite sciemment avait été brevetée par la société Moderna. Le complot date donc de plusieurs années avant le début de la pandémie en mars 2020. L’ARN messager supposé protéger les volontaires pour cette thérapie génique appelée abusivement vaccin code pour une partie de la protéine de la spicule du virus dite spike-1. Or l’expression de cette protéine chez un individu ayant reçu sa dose de cet ARN messager ne peut pas être contrôlée. Il n’y a pas de stoechiométrie comme dans le cas d’un vaccin à virus désactivé dont on connait le nombre de particules virales injectées qui est fini.

Cette protéine spike-1 est toxique, il n’y a plus aucun doute aujourd’hui compte tenu du désastre observé. Les gouvernements sont complices tout comme le CDC et la FDA aux Etats-Unis ou l’Agence européenne du médicament et pire encore l’OMS contrôlée par Bill Gates. Les infirmières sont complices puisqu’elles sont rémunérées au nombre d’injections qu’elles effectuent. Les médecins sont complices puisqu’ils n’ont plus toute la liberté de déclarer les effets secondaires et qu’ils nient, sur ordre, toute relation de cause à effet entre les injections d’ARN messager et par exemples les myocardites ou les arrêts cardiaques consécutifs à ces cardiopathies. Pire encore cette protéine spike-1 affaiblit les réponses immunitaires et le nombre de récidives de cancers a augmenté de 300 % quelques semaines après le début des campagnes de « vaccination ». Cet affaiblissement du système immunitaire s’est traduit par une forte augmentation du nombre de malades (et de décès) lorsque ces « vaccinés » se sont trouvé en contact avec le dernier mutant en date appelé omicron alors qu’il ne provoque qu’un rhume accompagné d’une fièvre passagère chez les non « vaccinés ».

Toutes ces observations réunies ne conduisent qu’à une seule conclusion : il s’agit d’un complot organisé en haut lieu pour réduire la population, mieux l’asservir et mieux la surveiller : sans vaccin on est un paria sous surveillance, avec « vaccin » et des fléchettes à répétition on est un bon citoyen mais l’espérance de vie est sérieusement diminuée.

Source : https://www.globalresearch.ca/evidence-millions-deaths-serious-adverse-events-resulting-experimental-covid-19-injections/5763676

Le « vaccin » à ARN messager anti-SARS-CoV-2 : une arme chimique de destruction massive ?

Je suis un complotiste et fier de l’être et j’ai aussi des messages à faire passer dans ce cadre. Il y a bien longtemps que cette thérapie génique à ARN messager aurait été interdite si la prohibition de la publicité des effets secondaires n’avait pas été aussi bien organisée. Les médecins qui désirent communiquer les cas d’effets secondaires aux autorités sont menacés, ces mêmes autorités ne tiennent pas compte de ces remontées d’informations. Il y a des milliers de morts et des millions de personnes souffrant d’effets indésirables dont la variété fait songer à une arme chimique délibérément injectée à des centaines de millions de personnes, maintenant en France on en est à la quatrième injection ! Et comme le gouvernement français a commandé récemment cent millions de doses, le génocide différé est assuré.

Pourquoi j’ai écrit génocide, vous allez le découvrir. Cette thérapie génique fait apparaître des anticorps dirigés contre la protéine de la spicule du virus. Or ces anticorps reconnaissent la syncytine, protéine présente dans de nombreux épithéliums dont celui de l’endomètre mais également au niveau de la membrane basale du derme. Les effets secondaires de cette thérapie génique au niveau de la peau ont été largement décrits chez de nombreux sujets ayant été infectés par le virus authentique (voir le lien ci-dessous qui nécessite d’être mis à jour). Et en ce qui concerne les troubles menstruels et l’apparition de saignements chez des femmes déjà ménopausées, la table ronde organisée par le collectif « où est mon cycle » et la parlementaire européenne Virginie Joron est éloquente (lien). Les cas d’avortements spontanés après « vaccination » sont également innombrables alors qu’il a toujours été strictement déconseillé de vacciner les femmes enceintes, quel que soit le vaccin.

Les laboratoires pharmaceutiques savaient que les anticorps apparaissant après cette thérapie génique « croisaient » avec la syncytine, ils n’ont rien dit. Ce silence coupable me conduit à imaginer un complot à l’échelle mondiale. La néo-synthèse de la sous-unité 1 de la protéine virale spike après injection de l’ARN messager synthétique ne peut pas être contrôlée. Outre les propriétés des anticorps apparus cette protéine a une forte tendance à s’accumuler dans les gonades. Personne ne sait quels seront les effets sur le long terme de cette accumulation sur les adolescents (qui n’auraient jamais dû subir cette thérapie génique) lorsqu’ils seront en âge de créer une famille. Il y a donc bien un complot conduisant éventuellement à une chute brutale de la natalité dans tous les pays qui ont mis en place cette thérapie génique. Ce grand dessein malthusien dissimulé par les autorités politiques entre dans le cadre de la réduction du nombre d’êtres humains en phase avec l’idéologie du Club de Rome. On en est là … Regardez mesdames la vidéo du début à la fin, c’est glaçant. 

Et que je « vaccine », et que je « vaccine » …

Une nouvelle fois la preuve est faite que les Français sont gouvernés par des imbéciles conseillés paraît-il par d’éminents spécialistes des maladies infectieuses, des médecins au rabais corrompus par le lobby pharmaceutique, et le résultat est là : bientôt les « non-vaccinés » porteront une étoile jaune sur leur veste et s’ils se dissimulent ils seront dûment dénoncés par les bien-pensants, les esclaves du pouvoir. Le pays a remonté le temps et 80 années ont été parcourues dans le sens inverse de ce temps. Les effets de cette « vaccination » élargie et obligatoire ne vont pas tarder à apparaître mais il sera trop tard, malheureusement.

Deux médecins allemands, les Docteurs Bhakdi et Burkhardt, spécialisés en immunologie et en pathologie, ont examiné 15 personnes décédées à la suite de l’administration de l’ARN messager codant pour la protéine de la spicule du SARS-CoV-2 appelée Spike-1. L’âge de ces personnes s’étalait de 28 à 95 ans et toutes sont décédées entre 7 jours et six mois après l’administration du « vaccin ». Les autopsies ont invariablement montré une accumulation de lymphocytes T en réponse à des effets secondaires inflammatoires provoqués par la protéine Spike car ils ont été leurrés par cette protéine étrangère. Si le virus lui-même se localise en premier lieu au niveau de l’épithélium des voies respiratoires et induit alors la production d’immunoglobulines A (IgA) protectrices par les lymphocytes en contact avec le virus l’injection d’ARN messager va favoriser la production par les propres cellules du patient de quantités massives de protéine Spike qui est retrouvée, après autopsie, dans l’ensemble du corps et dans tous les organes vitaux. La présence de cette protéine était supposée induire celle d’immunoglobulines protectrices telles que les IgA mais ce n’est pas le cas, ce sont essentiellement des immunoglobulines G (IgG) circulant alors dans le sang.

Dès que ces IgG se trouvent en contact avec une molécule Spike, car toutes n’ont pas été neutralisées, et de très loin, alors un mécanisme d’inflammation se développe et ceci peut apparaître n’importe où dans le corps. L’une des situations fatales est une péricardite qui provoque la mort de sujets jeunes. Jamais aucune reconnaissance de la relation de cause à effet entre ces administrations d’ARN messager appelé à tort vaccin n’a été admise par les autorités sanitaires de l’ensemble des pays occidentaux. L’évidence continue à être niée car tous ces décideurs politiques sont soumis à la dictature du lobby pharmaceutique qui impose ses produits mortels en dépit des évidences apportées à la suite d’autopsies et d’études détaillées par approche immunologique et anatomo-pathologique. Les Docteurs Bhakdi et Burkhardt ont été interdits de publication. Les éditeurs des revues scientifiques médicales ont probablement subi la pression du lobby pharmaceutique dans le but de refuser la publication de ces travaux.

Ce sont en effet des résultats explosifs car ils prouvent deux faits. D’abord l’injection d’ARN messager ne peut pas protéger contre une infection par le virus puisque cette thérapie génique n’induit pas la production d’IgA, il n’y a donc pas de défense immunitaire en « première ligne », c’est-à-dire au niveau de l’épithélium des voies respiratoires. Le vaccin contre la coqueluche induit justement ce type de protection et c’est la raison pour laquelle il est hautement efficace. D’autre part cette thérapie génique provoque des mécanismes d’inflammation destructeurs et souvent mortels pour les deux raisons évoquées plus haut : la protéine Spike a été localisée chez certains sujets plus de 6 mois après l’injection d’ARN messager. Cette protéine étrangère perdure donc dans l’organisme, ce qui n’était pas prévu par les fabricants de ces pseudo-vaccins. En outre il a été impossible chez ces sujets autopsiés de retrouver des lymphocytes T dits « lymphocytes mémoire » dont le rôle est une protection immunologique durable à la suite du contact avec un agent pathogène ou à la suite de l’administration d’un vaccin au sens pasteurien du terme. Aucun de ces lymphocytes T n’était capable de produire des immunoglobulines dirigées contre la protéine Spike. Cette dernière observation est particulièrement importante car elle prouve aussi que cette thérapie génique n’est pas un vaccin : elle ne protège pas et n’immunise pas les patients. 

En conclusion tous les gouvernements occidentaux sont victimes d’une incroyable imposture scientifique et les conséquences sur les populations dans la durée sont pour l’instant totalement inconnues.

Sources : https://doctors4covidethics.org/on-covid-vaccines-why-they-cannot-work-and-irrefutable-evidence-of-their-causative-role-in-deaths-after-vaccination/ et https://www.bitchute.com/video/wfErug93V94M/ et aussi https://doctors4covidethics.org/dr-explains-basic-immunology/