Il y a exactement un an aujourd’hui, le Docteur en soins intensifs Pierre Kory témoignait devant une commission du Sénat américain. Après avoir passé de longues heures, mois après mois, à lutter pour sauver des personnes désespérément malades, cet homme s’est avancé avec un message d’espoir.
« Nous avons une solution à cette crise », a-t-il déclaré. « Un traitement précoce est la clé. » Les médecins doivent prescrire des médicaments tôt, avant que les personnes ne tombent suffisamment malades pour nécessiter une hospitalisation. « Tout autre décès sera un décès inutile », a-t-il déclaré. « Je ne peux pas continuer à soigner les patients quand je sais qu’ils auraient pu être sauvés avec un traitement plus précoce. »
Le médicament ayant le pouvoir de tout changer, a insisté Kory, est un médicament générique, lauréat du prix Nobel de 2015, connu pour traiter les parasites. Ces derniers mois, il avait également démontré des propriétés antivirales et anti-inflammatoires impressionnantes contre le COVID. « L’ivermectine doit être mise en œuvre et mise en oeuvre maintenant », a déclaré Kory.
À ce moment-là, 290 000 Américains avaient officiellement péri de COVID. Les familles avaient été traumatisées. Des cœurs avaient été brisés.
Morts par SARS-CoV-2 aux USA : 2020 : 353000, 2021 : 459000 en dépit de la campagne de « vaccination » massive mise en place.
Étonnamment, de manière obscène, les pouvoirs en place ont répondu au témoignage passionné de Kory en détournant leur visage. Les sénateurs du Parti démocrate qui siègent à ce comité sénatorial ont quitté la salle plutôt que de passer 10 minutes à écouter ce médecin de soins intensifs.
Les médias ont également prétendu que son témoignage n’avait jamais eu lieu. Son message d’espoir, à l’approche de Noël, au cours d’une année qui avait marqué des millions de personnes, a reçu un black-out quasi total de l’actualité.
Au lieu de cela, les politiciens et les sociétés de médias (qui encaissent tous régulièrement des chèques de Big Pharma) ont continué à faire confiance aux bureaucrates médicaux qui avaient déjà mal géré les choses. Ils ont continué à écouter Anthony Fauci, qui n’a jamais traité un seul patient COVID, plutôt que des médecins de soins intensifs tels que Kory.
Aujourd’hui, un an plus tard, le nombre de morts aux États-Unis du COVID s’élève à 812 000.
Ces chiffres sont terribles. Ils le sont malgré une campagne de vaccination d’une année maintenant. La conclusion est on ne peut plus évidente. Les vaccins contre le COVID ont échoué. Ils ne font pas la seule chose dont nous avons besoin : empêcher la maladie de se propager.
Nous devons changer de cap. Veuillez regarder cette vidéo. Merci d’en parler aux autres. Lorsque les journalistes refusent de faire leur travail, le public doit lui-même passer le mot.
Par pitié, ne passons pas encore une année de perdue en continuant à poursuivre des politiques qui ne fonctionnent pas.
Le régime ridicule du « sans traitement précoce » continue de dominer les autres systèmes de soins de santé. Malgré leurs généreux salaires financés par les contribuables, les responsables de la santé publique de nombreux pays semblent plus intéressés à jouer le rôle de chef de file (américain) qu’à penser par eux-mêmes. Des gens meurent en conséquence.
Ici au Canada, 15 598 décès ont été attribués au COVID en 2020. Le bilan de cette année, avec trois semaines encore au calendrier, est de 14 229.
En Australie, 909 décès ont été attribués au COVID en 2020. Le bilan de cette année est jusqu’à présent de 1 156.
Au Royaume-Uni, 73 512 décès ont été attribués au COVID en 2020. Le bilan de cette année est jusqu’à présent de 72 314.
Le succès ne ressemble pas à ça.
Source et pour voir l’intervention du Docteur Kory allez sur le site de Donna Laframboise :https://nofrakkingconsensus.com/2021/12/08/new-covid-strategy-desperately-needed/