Ours polaires : Les écolo-gauchistes commencent bien l’année !

Comme cadeau de nouvelle année les écologistes dont le but ultime est de détruire la civilisation moderne en considérant que la sauvegarde du climat est une priorité absolue ont vraiment dépassé les bornes admissibles dans le domaine de la propagande « réchauffiste » à propos des ours polaires, une véritable obsession pour ces pitres qui se prennent pour des scientifiques au dessus de tout soupçon. Le premier janvier 2022 The Telegraph titre : « Les ours polaires forcés de migrer d’Amérique vers la Russie en raison du changement climatique » (lien en fin de billet). Il est précisé dans cet article qu’en raison des températures inhabituellement élevées sévissant dans l’île de Kodiak les ours polaires ont été contraints de nager jusqu’aux côtes de la Sibérie orientale pour trouver de la nourriture. Il y a plusieurs affirmations mensongères dans ce récit. L’île de Kodiak se trouve au sud de l’Alaska et est rarement prise par les glaces en raison de courants chauds provenant de l’Océan Pacifique est. Il n’y a pas d’ours polaires dans et autour de cette île. Enfin cette île ne se trouve pas dans la Mer de Beaufort.

On trouve des ours polaires dans la Mer de Beaufort du côté canadien, dans la Mer de Beaufort américaine et dans la Mer de Chukchi qui englobe le détroit de Behring et je passe sur les populations d’ours polaires le long de la côte sibérienne. Affirmer que des ours importunés par des températures élevées ont fui l’île de Kodiak, à la nage qui plus est, sur des centaines de kilomètres est une vue de l’esprit. Dans la Mer de Beaufort ainsi que la Mer de Chukchi les ours polaires viennent rarement à terre car ils n’y trouveraient pas leur nourriture constituée de phoques et de morses. Nouvelle erreur des activistes climato-gauchistes. Enfin, en raison des récents épisodes relativement plus chauds ayant favorisé la libération de toute glace des côtes sibériennes durant plusieurs mois de l’année, les ours polaires, animaux migrateurs, ont progressivement préféré les littéraux sibériens à l’ouest de la Mer de Chukchi et c’est ainsi que la population de ces ours est en forte augmentation dans cette région.

L’article du Telegraph est donc un tissu de mensonges conformes à la propagande climatique. Les ours polaires vont très bien, merci, et il n’y a pas lieu de s’inquiéter surtout au sujet de ceux de l’île Kodiak qui n’existent que dans le cerveau dérangé de ces activistes à la petite semaine dont se rendent complices les grands médias occidentaux. La « science » climatique est devenue un prétexte pour les unes médiatiques de caniveau …

https://www.telegraph.co.uk/world-news/2022/01/01/polar-bears-forced-migrate-america-russia-climate-change/

Désinformation : histoires de « règle de trois »

Les gros mensonges repris en boucle par les médias deviennent insupportables. Un seul exemple illustre cette tendance à la désinformation de journalistes peu scrupuleux. La province de Hubei en Chine compte à peu près autant d’habitants que la France et il y a donc statistiquement autant de décès qu’en France, soit 600000 morts par an de toutes sortes de causes, naturelles et médicales. La ville de Wuhan concentre avec son agglomération plus de 19 millions d’habitants. En deux mois de confinement autoritaire lors de la grippe du Covid-19 il a donc fallu « gérer » pas seulement les morts provoqués par cette grippe mais également les décès « habituels », c’est-à-dire environ 40000 morts dans la seule agglomération de Wuhan. Devant l’incapacité des familles à venir se recueillir auprès de leurs proches et de gérer elles-mêmes leurs morts, les autorités ont décidé de crémations massives prenant soin de transférer les cendres dans des urnes avec une étiquette précisant l’identité du mort correspondant afin que les familles viennent après le confinement récupérer ces urnes. J’ai mentionné environ car les statistiques démographiques datent de 2015.

Des photos prises opportunément de pleines palettes d’urnes funéraires pour alimenter la désinformation au sujet de la Chine et de sa gestion de la crise grippale du coronavirus ont fait le tour du monde sans que jamais aucun journaliste n’ai manifesté le moindre soupçon de bon sens arithmétique comme je viens de l’exposé ci-dessus, il suffisait de faire une simple règle de 3. Ces photos ont été disséminées par la CIA dans le monde occidental et les médias les ont unanimement reprises en boucle.

Quand on constate qu’un ministre de l’économie ne sait même pas combien il y a de m2 dans un hectare il ne faut donc pas s’étonner que des journalistes ne soient pas capables de faire une règle de 3, c’est largement au dessus de leurs capacités intellectuelles. Et quand le président Macron prolonge le confinement en France jusqu’au 11 mai de cette année il ne faut pas s’étonner non plus qu’il ignore la règle de 3, lui qui est censé être un économiste de haut vol mis au pouvoir par des électeurs qui ignorent aussi la règle de trois. Il n’a pas compris qu’arithmétiquement parlant les deux mois de confinement représentent 16,666 points de PIB perdus, perte du PIB qui atteindra probablement le quart voire le tiers du PIB global de la France sur l’année 2020. Bon confinement à tous !

Énergie éolienne : la vérité qui dérange !

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En ces temps d’intoxication idéologique (écologiste) mondiale au sujet de l’urgence de la « décarbonation » de toute notre civilisation pour sauver in extremis le climat, il est opportun de rappeler quelques points délibérément ignorés par les exploitants et passés sous silence par les constructeurs à propos de l’énergie éolienne. L’information provient d’une étude réalisée à la suite d’une commande du gouvernement de l’Etat du Vermont aux USA. Voici un résumé de ce rapport disponible auprès du site http://www.aweo.org .

Les grandes éoliennes nécessitent une grande quantité d’énergie électrique pour fonctionner. Les autres centrales électriques utilisent généralement leur propre électricité et la différence entre la quantité générée et la quantité livrée au réseau est facilement déterminée. Les centrales éoliennes utilisent toutefois l’électricité du réseau, ce qui n’est pas pris en compte dans les chiffres de production. À l’usine éolienne de Searsburg dans le Vermont, par exemple, cette « dépendance » au réseau électrique n’est pas prise en compte ni mesurée : elle est complètement inconnue. Les fabricants de grandes éoliennes comme Vestas, GE ou NEG-Micon ne précisent pas la consommation de l’électricité provenant du réseau, elle n’est pas non plus mentionnée dans les spécifications des équipements ni explicitement indiquée aux exploitants. Ci-après figure la liste exhaustive de la consommation électrique des grandes éoliennes.

1. Mécanisme de maintien du parallélisme de l’axe de l’éolienne avec la direction du vent sachant que l’ensemble carter de la turbine et les trois pales pèsent 92 tonnes pour une éolienne GE de 1,5 MW.

2. Mécanisme de contrôle du pas des pales pour que le rotor tourne à un rythme régulier.

3. Alimentation électrique des systèmes d’éclairage (signalisation pour les avions), contrôleurs, capteurs, collectes de données.

4. Chauffage des pales par temps favorable à la formation de givre en hiver : peut consommer de 10 à 20 % de la puissance nominale de la turbine.

5. Conditionnement à une température constante et déshumidification de la nacelle. Selon le fabricant danois Vestas cet équipement doit être opérationnel pendant les périodes de forte humidité, de basses températures et de vent faible.

6. Réchauffeur de l’huile de lubrification des coussinets de l’axe, pompe à huile, système de filtrage de l’huile de la boite de vitesse.

7. Frein hydraulique pour bloquer les pales par vent fort, alimentation des thyristors pour graduer la connexion et la déconnexion entre le générateur et le réseau, 1 à 2 % de l’énergie qui passe est perdue.

8. Pour les grandes éoliennes les générateurs à induction utilisés pour alimenter les bobines autour du rotor à cage asynchrone qui entoure l’arbre du générateur consomment une « grande » quantité d’énergie, quantité qui n’est jamais spécifié par les fabricants. Ce système est obligatoire pour maintenir la vitesse du rotor constante et quand le vent commence à souffler pour démarrer le rotor. (Compte tenu de leur poids les grandes éoliennes ne peuvent pas commencer à tourner de manière autonome quand le vent forcît).

9. Quand le vent n’a pas encore atteint la vitesse « nominale » (il serait plus approprié de dire optimale) le stator peut utiliser une puissance égale à 10 % de la puissance nominale de la turbine pour aider le rotor à tourner en fonctionnant dans le sens moteur.

10. Compte tenu de l’énorme poids de l’ensemble pales-rotor (les 3 pales pèsent environ 40 tonnes à elles seules) la rotation par vent faible est parfois maintenue pour donner l’illusion que le parc éolien produit de l’électricité ( ! ) en particulier lors des visites du site ou pour procéder à des mesures de bruit.

11. Par vent faible ou nul la plupart des éoliennes de grande taille doivent être maintenues en mouvement de rotation pour éviter le gauchissement de l’axe supportant l’ensemble pales-rotor.

La question qui se pose au terme de cette énumération à la Prévert est que l’on peut se demander à juste titre si la plupart du temps les éoliennes ne consomment pas déjà l’équivalent de plus de 50 % de l’électricité qu’elles génèrent effectivement quand elles sont en fonctionnement. De plus, sachant qu’un parc éolien produit bon an mal an à peine 25 % de la puissance nominale installée on peut donc se demander, également à juste titre, si les éoliennes ne fonctionnent pas tout simplement virtuellement en consommant (gratuitement !) deux fois plus d’énergie qu’elles n’en produisent. C’est une situation paraissant improbable mais les industriels de l’éolien n’ont jamais publié de données à ce sujet pouvant prouver le contraire car la puissance entrante n’est jamais enregistrée. En conclusion l’énergie éolienne « c’est du vent » !

Crise climatique : réchauffement délirant ? Non, refroidissement brutal ! (#7 et fin de cette série)

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En 2007 l’IPCC a reconnu qu’il était illusoire d’assigner des grandeurs physiques aux modèles d’évolution du climat pour tester leur validité. Plus simplement énoncé cela revient à dire qu’il est impossible d’avoir une quelconque idée des températures futures et qu’il est donc tout aussi impossible de calculer la sensibilité du climat au CO2. Malgré cela l’IPCC a encouragé et financé indirectement via les institutions gouvernementales de nombreux universitaires pour persévérer dans la mise au point de modèles décrivant l’évolution future du climat et rassembler, parfois au mépris des principes fondamentaux de l’honnêteté scientifique de base, toutes sortes d’arguments confortant l’hypothèse du réchauffement d’origine anthropique, depuis la disparition supposée des ours blancs et des banquises polaires jusqu’à l’acidification des océans provoquant la mort des coraux. Il en reste la conclusion à l’emporte-pièce qu’il faut se résigner malgré tout à contrôler les émissions de CO2 comme cela fut présenté à la COP21. Cette dissonance dans les connaissances est tellement extrême qu’elle en est irrationnelle car il n’y a encore aujourd’hui aucune évidence que le CO2 joue un quelconque rôle dans l’évolution globale des températures (voir le précédent billet de ce blog).

Un deuxième point tout à fait troublant est l’ignorance systématique par les scientifiques appointés par l’IPCC de ce qui est appelé par les paléoclimatologues l’optimum climatique médiéval ainsi que les variations climatiques périodiques d’une durée d’environ 60 années. Les modélisateurs, à la limite, se sont contentés d’effectuer des calculs basés sur des systèmes d’équations différentielles qui de toutes les façons n’ont aucune validité tant le nombre de paramètres est élevé. On se trouve donc devant un cas d’ « arme mathématique de destruction massive » comme l’a écrit C. O’Neil dans son ouvrage « Weapon of math destruction » (Crown Publishers, 2016) car il est impossible dans de telles conditions d’attribuer une quelconque signification à ces modélisations. Et puisqu’il était difficile voire impossible d’intégrer dans leurs simulations ces variations climatiques périodiques de 1000 et 60 années parfaitement bien identifiées par diverses approches expérimentales, que ce soit avec les carottages des calottes glaciaires, la dendrochronologie ou encore l’étude isotopique (carbone-13) des concrétions calcaires des grottes ou des dépôts de squelettes de plancton, les modélisateurs les ont tout simplement et soigneusement ignorées.

L’illustration ci-dessous rapproche la variation de la température de l’atmosphère telle que déduite des études des carottages glaciaires en regard de la teneur en CO2 atmosphérique depuis 10000 ans.

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Il est facile de remarquer des épisodes de réchauffement tous les 1000 ans et ceci depuis la fin de la grande glaciation qui prit fin il y a environ 14000 ans (Dryas récent). Il est également intéressant de remarquer que depuis 4000 ans la planète s’est refroidie de manière continue avec cependant 4 épisodes « chauds » parfaitement bien identifiés par toutes sortes de proxys comme ceux mentionnés ci-dessus, les optima minoen, romain, médiéval et moderne. Ces optima se sont succédé à 1000 ans d’intervalle avec une régularité surprenante. De plus chacun de ces cycles de 1000 ans comporte une phase de 650 ans durant laquelle la température se refroidit suivie d’une phase de 364 ans durant laquelle cette température moyenne globale augmente. La Terre se trouve aujourd’hui à l’aube – en réalité depuis le printemps de l’année 2003 – d’un nouveau cycle de 1000 ans qui va donc voir les températures baisser de manière significative et continue durant 650 années.

Il faut néanmoins remarquer que la tendance au refroidissement depuis 2003 a été perturbée par deux phénomènes El Niňo intenses, en 2011 et 2016, mais cette tendance vers un refroidissement devrait s’accentuer dès 2019. À cette périodicité de 1000 ans des variations du climat se superposent des cycles de 60 ans dont j’ai mentionné l’existence dans un précédent billet et dont voici à nouveau l’illustration (voir la source dans le lien en fin de billet) :

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Reste enfin la décroissance de l’activité solaire depuis le début du XXe siècle, nonobstant la période récente de puissante activité solaire (« Golden Spike ») reconstruite à partir de la présence de béryllium-10 (voir note) dans les carottages glaciaires. Si on la rapproche des prévisions alarmantes des astrophysiciens relatives à la sorte de torpeur magnétique du Soleil qui va avoir lieu lors du prochain cycle solaire, il y a tout lieu de s’alarmer.

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Tous ces éléments combinés et jamais pris en compte par l’IPCC dans un quelconque de ses rapports font qu’il est impossible d’imaginer un commencement d’effet direct et quantifiable du CO2 sur le climat. Ce qui a été observé est un arrêt brutal de l’augmentation des températures des basses couches de l’atmosphère depuis 1998 et comme il existe un temps de latence d’une douzaine d’années entre la baisse de l’activité magnétique solaire et l’augmentation du rayonnement cosmique il est donc hautement probable que dans les toutes prochaines années nous assistions à une chute d’autant plus rapide des températures que tous ces phénomènes périodiques se conjuguent en ce moment même : cycle de 1000 ans, cycle de 60 ans et effondrement de l’activité solaire.

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Fini le « Golden Spike » solaire des années 2000, finis les printemps fleuris, les moissons abondantes et les vins corsés … Nous sommes déjà entrés dans un « petit » âge glaciaire qui durera au moins jusqu’en 2070. Mais les tenants du réchauffement climatique feront toujours la sourde oreille car ils n’accepteront jamais de reconnaître leurs erreurs, trop de centaines de milliards de dollars sont en jeu, trop de gouvernements, trop d’ONGs, de laboratoire universitaires et d’entreprises gourmandes de subventions étatiques se sont engouffrées les yeux fermés dans cette supercherie tellement vaste et devenue en quelque sorte un dogme qu’elle paraît incontournable bien que scientifiquement caricaturale. On compte plus de mille institutions publiques et semi-publiques de par le monde impliquées par exemple dans les énergies alternatives supposées « sauver » le climat … Où vont donc nos impôts ?

Pour conclure cette série de billets relatifs au climat il est opportun de citer Francis Bacon (1561-1626) citant les fraudes intellectuelles :

« Les idoles du théâtre sont celles qui sont liées au sophisme et aux faux enseignements. Ces idoles sont façonnées dans les domaines de la théologie, de la philosophie et de la science, et parce qu’elles sont défendues par des groupes de savants elles sont acceptées sans contestation par les masses. Lorsque de fausses philosophies ont été construites et ont atteint une large sphère de domination dans le monde intellectuel, elles ne sont plus remises en question. De faux édifices sont construits sur de fausses fondations et au final ces systèmes stériles et sans mérite montrent toute leur grandeur sur la scène mondiale « .

Notes. Plus l’activité magnétique solaire est élevée moins on retrouve de béryllium-10 dans les carottes glaciaires ou les concrétions calcaires. Le béryllium-10 se forme dans l’atmosphère par bombardement cosmique des noyaux d’azote. Plus le Soleil est magnétiquement actif plus les rayons cosmiques sont déviés et moins de béryllium-10 est produit par spallation. La modélisation d’Akasofu ne tient pas compte du cycle millénaire.

Source : adapté d’un article de Norman J Page, géologue de son état, paru dans la revue Energy & Environment, doi: 10.1177/0958305X16686488 et intitulé « The coming cooling : Usefully accurate climate forecasting for policymakers » aimablement communiqué par l’auteur qui est vivement remercié ici.

https://jacqueshenry.wordpress.com/2017/03/28/crise-climatique-paroxysme-du-delire-4/

Illustration : Chasseurs dans la neige, Pieter Bruegel l’Ancien (1564)

Crise climatique. CO2 : les mensonges délirants de l’IPCC (6)

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Dans son cinquième « Assessment Report AR5 (2013) l’IPCC a écrit (Chap.12-FAQ 12.3, p. 1107), je cite : « La température globale ne peut pas réagir rapidement aux changements de la concentration des gaz à effet de serre … L’élimination des émissions de CO2 conduirait à une température presque constante pendant de nombreux siècles (effet des émissions passées) … En raison de la grande inertie du climat et du cycle du carbone, la température globale à long terme est largement contrôlée par les émissions totales de CO2 accumulées au fil du temps, quel que soit le moment où elles ont été émises« . En soi cette affirmation est en conformité avec les observations déduites du changement de climat, c’est-à-dire du réchauffement au cours de la seconde moitié du XXe siècle, qui peut être rapproché directement de l’augmentation du CO2 durant cette période : en gros 100 ppm et 0,8 °C. L’IPCC ajoute que, je cite : « Ceci s’explique par le processus extrêmement long d’élimination du CO2 atmosphérique d’origine anthropogénique, ce qui signifie que le concept d’une durée de vie caractéristique et unique n’est pas applicable au CO2 » (AR5-Chap.6-Box-6.1).

Toute la supercherie de l’IPCC à propos du réchauffement climatique d’origine humaine repose essentiellement sur ces deux citations. En d’autres termes plus simples à comprendre pour un non-spécialiste que j’étais mais plus trop maintenant après avoir lu dans leurs moindres détails un nombre important d’articles scientifiques parus dans des revues à comités de lectures irréprochables : puisque la durée de vie du CO2 dans l’atmosphère est très longue – l’IPCC cite 1 voire plusieurs siècles sinon un millénaire – il faut tout faire pour réduire et pourquoi pas cesser toute émission de CO2 aussi rapidement que possible au risque d’être tous grillés comme des toasts (Christine Lagarde, Davos). C’est là le fondement même des accords sur le climat de Paris qui s’inspirent par ailleurs du fumeux principe de précaution.

Or cette estimation de la durée de vie du CO2 est totalement fantaisiste et encore une fois l’IPCC feint d’ignorer toutes informations ou résultats scientifiques qui contredisent cette allégation montée de toute pièce ne s’appuyant sur aucunes des données scientifiques vérifiables et vérifiées de nombreuses fois par diverses techniques. Plusieurs données irréfutables ont été utilisés pour déterminer la durée de vie du CO2 dans l’atmosphère : la teneur en isotope 13 du carbone dans les combustibles fossiles et la disparition rapide de l’isotope 14 du carbone après 1980 (interdiction des essais nucléaires atmosphériques) provenant de ces essais entre les années 1950 et 1980 (illustration ci-dessous,Wikipedia) ainsi que les carottages dans les glaces du Groenland et de l’Antarctique qui ont toujours indiqué que l’augmentation du CO2 atmosphérique ne précédait jamais un réchauffement du climat et non pas l’inverse comme le prétend l’IPCC.

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Il apparait sans contestation possible que la durée de vie du CO2 dans l’atmosphère est précisément de 4,1 années soit 49 mois ! De plus l’augmentation de 0,8 °C de la température moyenne à la surface des océans et du sol (notion très discutable) depuis les années 1850 et accentuée au cours de la seconde moitié du XXe siècle lors du « Golden Spike » solaire appelé aussi optimum solaire moderne a provoqué un dégazage des océans conduisant à une augmentation du CO2 atmosphérique de 100 ppm alors que l’activité humaine (utilisation de combustibles fossiles) n’a contribué qu’à hauteur de 17 ppm sur une augmentation totale d’environ 120 ppm ! L’activité humaine représente donc aujourd’hui environ 4 % de la totalité du CO2 atmosphérique à n’importe quel instant de l’année et tout CO2 émis aujourd’hui par l’activité humaine aura disparu dans 49 mois

Il est donc évident que nous nous sommes tous fait rouler dans la farine par l’IPCC, y compris et surtout les décideurs politiques, avec des mensonges tous aussi grossiers les uns que les autres. Il reste cependant un point à éclaircir : pourquoi un organisme onusien s’est-il arrogé le droit de tromper l’ensemble des pays du monde ? Par qui a-t-il été mandaté pour organiser une duperie d’une telle ampleur ?

Source et illustration : Article aimablement communiqué par le Dr Hermann Harde, Helmut-Schmidt-University Hamburg, paru dans le périodique Global Planetary Change, qui est vivement remercié ici.

doi : 10.1016/j.gloplacha.2017.02.009. Le prochain et dernier article de cette série concernant le climat sera relatif aux cycles climatiques et il montrera qu’on s’achemine vers des temps de froidure exceptionnelle.

Théo, oh Théo … délinquant et trafiquant de drogue

Théo, oh Théo … délinquant et trafiquant de drogue

L’affaire Théo montée en épingle par les médias dominées par les puissances de l’argent qui veulent diriger la France avec à sa tête une marionnette ….

Reçu ce soir dans ma boite mail d’un médecin connaisseur de ce genre de situation :

Théo cachait dans son rectum un genre de tube à essai en verre, contenant de la drogue, !

Ce qui est bizarre, dans l’affaire Théo, c’est que le dossier médical dans son entier est scellé, et que l’équipe qui a eu des informations médicales concernant l’intervention chirurgicale est tenue au secret absolu, avec de sérieuses menaces si fuites à la presse.

L’opération, suture de 10 cm de rectum, ce qui signifie coupure par objet tranchant et non contondant comme une matraque, n’est pas en faveur de l’intromission d’un objet mais bien d’une blessure par objet contenu …dans le rectum. Que contenait le rectum de Théo ? Probablement un contenant (tube de verre contenant coke, cachets d’ecstasie, etc..) qui s’est brisé pendant la lutte avec la police. Aucune des vidéos des caméras de vidéosurveillance (auxquelles le public n’a pas eu accès) ne montre un policier enfonçant une matraque dans le fondement de Théo (en fait les médias et le gouvernement l’appelle affectueusement Théo mais on peut parler de racaille car c’est lui qui est venu se battre avec les policiers). Donc on est fondé de penser que le dénommé Théo cachait dans son rectum un genre de tube à essai en verre, contenant de la drogue, et qu’il a été blessé durant la lutte avec la police. Et souvenez vous du début de l’affaire, il a bien été dit sur toutes les chaines qu’il avait refusé l’examen médical que lui proposaient les policiers. Conclusion, nous aimerions que le compte rendu opératoire de cette racaille soit divulgué (étant médecin je sais que la loi le protège), alors nous ne saurons jamais la vérité sauf que Hollande offrait à Léornarda de venir le rejoindre à L’Élysée et qu’il souhaite que Théo le livre en produit de qualité.

Crise climatique : propagande sanitaire truquée

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Le réchauffement global du climat provoqué (hypothétiquement) par le CO2 d’origine fossile (gaz, essence, charbon) émis en raison de l’activité humaine a eu comme conséquence de répandre une psychose mondiale organisée par des activistes manipulés par les grands groupes financiers au sujet de ses effets sur la faune terrestre et maritime, y compris pour les êtres humains et leur santé. Tout a été dit ou presque, depuis les coraux jusqu’aux ours polaires en passant par les moustiques, les vers de terre et les chauve-souris : le réchauffement va provoquer des disparitions massives d’espèces animales et l’homme n’est pas à l’abri de ces calamités annoncées quotidiennement par les médias au service de la « grande cause climatique ».

Des scientifiques japonais de la faculté de médecine de l’Université de Fukuoka ont voulu en avoir le coeur net et en toute honnêteté en ce qui concerne l’incidence de la température sur les crises cardiaques. Ils ont collecté les données fournies par le Ministère Japonais des Affaires Intérieures qui chapeaute les pompiers et les cellules de crise (surtout en cas de tremblement de terre) sur la période 2005-2014. Ces données ont recensé 650000 cas de crises cardiaques dans la rue ou à la maison réparties dans les 47 préfectures du pays. Les Docteurs Daizuke Onozuka et Akihito Hagihara de l’Université de Fukuoka ont rapproché ces données avec celles de l’Agence Météorologique Japonaise en ce qui concerne la température relevée au sol durant cette même période, été comme hiver.

L’étude a montré après une analyse statistique minutieuse qu’effectivement la température avait un effet sur l’incidence des crises cardiaques … mais pas comme aurait pu l’imaginer n’importe quel laboratoire à la solde du lobby du changement climatique, et il y en a des milliers qui profitent de confortables crédits de recherche pour confirmer les effets délétères multiples et variés du réchauffement climatique « d’origine humaine ».

En se limitant aux seuls accidents cardiaques hors de l’hôpital effectivement pris en charge par les pompiers ces universitaires ont montré sans ambiguïté que c’étaient les températures froides qui favorisaient les accidents cardiaques ! Les vieux dans la tranche d’age 75-110 ans étaient les plus vulnérables dans quelle préfecture que ce soit. Il est également ressorti de cette étude que les températures modérément froides étaient les plus dangereuses. Il est possible d’interpréter ce résultat en imaginant que quand il fait très froid on se protège mieux avec des vêtements appropriés. Au contraire de ce que prétendent les climato-alarmistes lorsque les températures sont modérément chaudes ou très élevées, leur incidence sur les accidents cardiaques est totalement négligeable. Encore une affirmation gratuite des climato-alarmistes réfutée sur des bases solides et incontestables.

Source et illustration : Scientific Reports, doi : 10.1038/srep39538

Fermeture de Fessenheim : idéologie mensongère maintenant prouvée …

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Six ans après le grand tremblement de terre suivi par un terrifiant tsunami qui ravagea la côte est de l’île japonaise de Honshu des scientifiques japonais ont eu l’honnêteté de remettre les pendules à l’heure, preuves indéniables à l’appui, et c’est une grande surprise qui ne plaira pas à tout le monde, en particulier aux détracteurs de l’énergie nucléaire qui sévissent en Europe et en particulier en Allemagne, pays où les tout-puissants écologistes ont finalement obtenu la fermeture d’une centrale électrique jouxtant leur frontière – je parle du CPN de Fessenheim – qui se trouvait malencontreusement trop près de leur pays ! Un fait que n’a cessé de rappeler Corinne Lepage, une opportuniste notoire qui a usé de toutes les ressources possibles pour se faire valoir sur la scène politico-écologiste européenne. Bref, la centrale nucléaire de Fessenheim qui pourrait encore fonctionner sans aucun incident durant encore au moins 30 ans va finalement s’éteindre et avec elle ce qu’ont payé les contribuables français pour son édification ira à la poubelle. Ils apprécieront …

J’étais un honnête contribuable lors du développement de l’énergie nucléaire française et j’ai participé modestement et à ma mesure à la mise en place de l’indépendance énergétique de mon pays. Il serait de mon droit de demander des comptes à l’Etat Français à la vue de cet immense gâchis programmé par le Président Hollande sous la pression des écologistes allemands relayés par la mère de ses enfants, Mademoiselle Ségolène Royal, la putain de la République. C’est déjà arrivé dans l’histoire de France que des femelles s’occupent de ce qui ne les regardent pas mais Ségolène a dépassé les limites du supportable !

Bref, revenons donc à l’accident nucléaire de Fukushima-Daiichi qui fut provoqué par un gigantesque tsunami, un évènement qui a provoqué un levier de bouclier anti-nucléaire en Allemagne et par voie de conséquence en France avec l’introduction dans le programme de François Hollande de la fermeture de la « plus vieille » centrale nucléaire française, un doux euphémisme car cette usine bénéficie paradoxalement des améliorations les plus modernes en matière de pilotage et de sécurité …

Les Japonais, à la suite de l’accident provoqué par le tsunami du 11 mars 2011 à 14h45 heure locale, ont pris des mesures drastiques de précaution de la population complètement surréalistes ayant pour conséquence la déportation forcée de près de 100000 personnes en raison des mesures de radioactivité au sol relevées par des hélicoptères de l’armée américaine. C’est vrai ! Ce sont les Américains qui depuis 1945 ont disséminé des bases militaires sur tout le territoire du Japon et se sont d’abord et surtout soucié de leurs ressortissants. Les Japonais n’avaient qu’une importance secondaire à leurs yeux. J’insiste sur ce fait car il s’agit véritablement d’un coup monté comme la lecture de ce billet le montrera. Les autorités japonaises n’avaient aucun moyen au mois de mars 2011 de mesurer la radioactivité effectivement présente autour de la centrale électronucléaire de Fukushima-Daiichi et ils ont fait entièrement confiance aux relevés effectués par l’armée américaine.

Il se trouve que les autorités de la ville de Daté, située à 60 kilomètres au nord-ouest de la centrale nucléaire, ont mis en place quelques jours après le tsunami un réseau de surveillance systématique des radiations provoquées par les retombées de césium-137. Les scientifiques de l’Université de la ville de Fukushima travaillant conjointement avec celle de Tokyo se sont aperçu avec surprise que les données aériennes des radiations effectuées par les Américains et prises à la lettre par le gouvernement japonais et reprises par les médias du monde entier ne correspondaient absolument pas avec celle relevées au sol à l’aide des dosimètres distribués aux enfants et aux femmes enceintes dès les premiers jours suivant l’accident.

Ces données n’ont pas pu être exploitées immédiatement car il s’agit de détecteurs de rayons gamma qu’il faut renouveler chaque mois et ensuite dépouiller les résultats sur un échantillon significatif afin qu’elles soient réputées fiables. Près de 60000 personnes furent contraintes de porter 24/24 h un dosimètre et l’envoyer chaque mois au centre sanitaire de la ville en notant scrupuleusement combien de temps durant la journée ils avaient évolué à l’extérieur de leur logement. Il apparut à la suite du dépouillement et de l’analyse minutieuse des résultats que la radioactivité au sol avait été très largement surestimé – d’un facteur 5, ce qui est considérable – par les premiers relevés de l’armée américaine qui conduisit le gouvernement japonais à prendre des mesures d’évacuation totalement injustifiées provoquant un désastre sociétal considérable. Un facteur 5 est une erreur telle qu’elle ne peut être considérée que comme une manipulation préméditée !

Cette affaire constitue un véritable scandale non pas seulement pour les populations locales de la préfecture de Fukushima mais pour les retombées internationales subséquentes, en particulier pour l’industrie nucléaire allemande (dont j’ai dit un mot dans un précédent billet) mais aussi en ce qui concerne les velléités de fermeture de la centrale nucléaire de Fessenheim dont les motifs ne sont finalement fondés que sur cette erreur grossière d’appréciation de la radioactivité au sol dans les environs de l’installation électrique de Fukushima-Daiichi quelques semaines seulement après le tsunami. Cette information fut reprise par François Hollande dans son programme électoral et on en connait la déplorable conséquence.

J’ose espérer que les prochains gouvernements tant français qu’allemands tiendront compte de ces donnée scientifiques sans aucune orientation idéologique de simples faits limpides incontestables (on peut douter des bonnes intentions des gouvernements à venir) comme mes lecteurs pourront le constater à la lecture de l’article cité en fin de billet.

Source : doi : 10.1088/1361-6498/37/1/1

Mort suspecte d’un grand journaliste allemand. L’affaire promptement enterrée …

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Je n’ai pas vu d’infos au sujet de la mort suspecte du Docteur Udo Ulfkotte à l’âge de 56 ans le 14 janvier 2017 ni dans les head-lines du Figaro ou du Point (je ne lis plus les articles de cette presse vendue à la CIA) ni dans les lignes du quotidien en ligne Les Echos et ni, qui plus est et c’est regrettable, dans les lignes de Contrepoints qui aurait pourtant été félicité de rappeler qui est ce journaliste et surtout pourquoi il est mort. D’ailleurs le Guardian et la Tribune de Genève comme les deux principaux quotidiens nationaux espagnols n’ont pas dit un mot de la disparition de ce grand journaliste.

Et pour cause … Ulfkotte était éditeur du grand journal allemand Frankfurter Allgemeine Zeitung quand il osa publier un livre intitulé « Bought Journalists », Gekaufte Journalisten et en français Journalistes Vendus, qui lui coûta son travail et très probablement sa vie. Il fut proprement mis à la porte du journal et reçut des menaces de mort pour avoir dénoncé l’emprise de la CIA sur l’ensemble du milieu journalistique européen. La presse européenne, selon Ulfkotte, est un service de propagande de la CIA elle-même au service des grandes firmes américaines. Il leur faut une guerre contre la Russie et pendant des années les journalistes ont été contraints de mentir et de cacher la vérité à leurs lecteurs.

Voici ce qu’il déclarait lors d’une récente interview à Russia Today : « J’ai été journaliste pendant 25 ans et on m’a contraint à mentir, à trahir et ne pas dire la vérité au public. Je bénéficiais du soutien de la CIA, et pourquoi ? Parce que je suis pro-américain. Les médias américains et allemands essaient de pousser l’Europe à la guerre contre la Russie. Ce fut pour moi un point de non-retour, et je me suis levé pour dire haut et fort que j’ai eu tort pendant toutes ces années de manipuler les peuples et d’alimenter cette propagande anti-russe« .

Il ajoute plus loin que « la plupart des journalistes occidentaux travaillent avec le soutien des services secrets. C’est spécialement le cas des médias anglais mais aussi des médias israéliens, français, australiens, néo-zélandais ou taïwanais, bref, de beaucoup de pays« . Ulfkotte a admis dans son livre avoir disséminé sous la contrainte la fausse nouvelle que le Président de la Libye Muammar Khadaffi construisait une usine de production de gaz de combat en 2011, sur ordre de la CIA, ajoutant enfin « j’ai très peur d’une nouvelle guerre en Europe et je ne veux pas d’une telle situation parce qu’une guerre n’apparait pas spontanément, elle est décidée par des gens qui y trouvent un intérêt, supportés par les politiciens et malheureusement les journalistes. Nous avons trahi nos lecteurs ! Nous vivons dans une république bananière (l’Allemagne) et non dans un pays démocratique avec une presse libre« .

Udo Ulfkotte est mort en silence … pour avoir trahi la cause du Deep State américain en dénonçant les risques de guerre imminente entre l’Europe et la Russie. Il faut admettre que les bruits de bottes depuis la Norvège et l’Estonie jusqu’à la Bulgarie sont pour le moins inquiétants.

Source et illustration : yournewswire.com

Crise climatique : la propagande bat son plein !

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L’Organisation Météorologique Mondiale, un organisme onusien basé à Genève ne peut pas décemment contredire les prévisions climatiques apocalyptiques de l’IPCC puisque dans le cas contraire il y aurait comme un désordre au sein des Nations-Unies dans la mesure où l’IPCC est une émanation de l’OMM. L’OMM a donc déclaré le mois de juin dernier le mois le plus chaud depuis le début de l’année 2016 et le quatorzième mois le plus chaud de la série consécutive à l’évènement météorologique El Nino de 2015. Comme l’OMM tient ses informations directement des satellites météorologiques de la NASA, cette dernière agence lui a fourni l’information fatidique : durant les six premiers mois de 2016 les températures ont été de 1,3 degrés C supérieures aux températures moyennes de l’ère préindustrielle (sic) selon l’Agence Reuters (21 juillet 2016, depuis Genève où se trouve l’OMM). Il faudrait demander à des Berlinois, des Parisiens ou des Londoniens ce qu’ils en pensent …

Depuis 70 ans jamais les températures moyennes n’ont pu atteindre celles observées dans les années 1930 :

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Ceci est conforme aux observations réalisées à Lincoln en Virginie depuis l’année 1900 :

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La même agence du « machin » onusien avait prédit que les passages du nord-ouest et du nord-est seraient libres de glace cet été. Pas de chance pour les centaines de bateaux en tous genre des activistes écolo-climatologistes de pacotille, ils sont tous bloqués par les glaces depuis le début du mois de juin !

Comme c’est maintenant le rôle de l’OMM d’alimenter la propagande climatique, il était également prévu qu’en cette année 2016, la plus chaude depuis que James Watt a inventé la machine à vapeur, il y aurait une multitude d’évènements météorologiques extrêmes. Pas de chance, pour le moment le seul événement notoire a été le typhon annoncé comme super-typhon qui est passé au dessus de l’île de Taiwan rétrogradé la veille de son « atterrissage » en catégorie 2. Pour l’instant de par le monde (ce lundi 25 juillet) il y a un seul ouragan vraiment actif (15 N – 125 W) répondant au doux nom de Georgette qui est classé en catégorie 2 et va s’évaporer dans quelques jours dans la région d’Hawaii (illustration en début de billet, source http://tropic.ssec.wisc.edu ). Pour les évènement météorologiques exceptionnels, l’OMM devra revoir sa copie.

D’ailleurs, pour les cyclones, typhons et autres ouragans, il suffit de voir l’illustration ci-dessous qui cumule l’énergie de tous ces évènements depuis 1970. Force est de constater que ces évènements perdent de leur énergie depuis que le Soleil est entré dans une phase durable d’inactivité. N’est-ce pas là la plus évidente démonstration de l’effet direct de la chute récente de l’activité solaire, El Nino ou pas ?

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L’OMM n’en a cure, il faut alimenter la propagande climatique semant la peur dans le peuple qui doit par conséquent occulter les terrifiantes nouvelles géopolitiques et économiques qui affluent de tous les coins de la planète. La peur climatique doit faire oublier aux contribuables de tous les pays (qui seront lourdement mis à contribution pour la cause du réchauffement) les risques de guerre mondiale, la crise économique à venir, le virus Zika, la malaria, les réfugiés, les famines … alors qu’il y a près d’un milliard de chiens de compagnie richement nourris dans le monde, les attentats divers et variés et pourquoi pas les accidents de la circulation et de la route … Autant dire, pour conclure, que l’agence Reuters n’est plus, comme l’AFP, qu’un organisme de propagande vendu au « Deep State » pour qui la crise climatique est une opportunité unique d’asservir l’ensemble des populations.

Sources : Reuters et Sir Christopher Monckton of Brenchley