Les vaccins à ARN messager ne protègent pas, ils tuent !

Au début du mois de janvier 2022 le Directeur Général de la compagnie d’assurance OneAmerica basée à Indianapolis, Scott Davison, révéla que les actuaires de la compagnie avaient noté le plus fort taux de mortalité dans l’histoire de sa société, une augmentation de plus de 40 % par rapport à l’année 2019. Davison révéla aussi que la majorité des décès n’étaient pas liés au SARS-CoV-2. Les analystes (appelés actuaires) ont découvert que cette augmentation des décès était supérieure à celle observée en 2020 et qu’elle apparaissait à la fin du printemps 2021. De plus elle concernait les tranches d’âge des personnes actives et donc clientes de la compagnie, c’est-à-dire contribuant aux revenus de la compagnie par leurs cotisations. Les principaux points relevés par les actuaires étaient que la mortalité s’est aggravée en 2021 par rapport à 2020 malgré la vaccination, cette mortalité coïncidait parfaitement avec la campagne de vaccination et enfin que l’augmentation des décès concernant les tranches d’âge plus jeunes apparut au troisième trimestre de 2021 alors que les morts par coronavirus étaient très faibles sur cette période. La compagnie d’assurance Unum signala le même type de phénomène en ce qui concernait les primes perçues et les prestations payées aux assurées : 17,4 % d’augmentation des prestations en 2021 par rapport à 2020 en dépit des vaccinations.

En outre une compagnie de pompes funèbres, Carriage Services, a constaté une augmentation de 28 % de son activité en septembre 2021 par rapport au mois de septembre 2020, les enterrements et les crémations suivant la même tendance. Ces décès concernaient la tranche d’âge inférieure à 65 ans. De plus pour les tranches d’âge comprises entre 20 et 50 ans le taux de décès classés « coronavirus » était en forte augmentation au cours du quatrième trimestre de 2021 alors que la vaccination était devenue obligatoire pour cette tranche d’âge depuis plus d’une année. Les actuaires du Hardford Insurance Group ont de leur côté noté un pic de mortalité chez les plus jeunes actifs de plus de 32 % au troisième trimestre de 2021 par rapport au même trimestre de 2019 et de 20 % par rapport au même trimestre de 2020.

Toutes ce observations des analystes de ces compagnies d’assurance qui englobent les dépenses de santé, les pensions de retraite et les frais d’obsèque les ont conduit à deux questions essentielles : quelles sont les causes principales de l’augmentation des décès en 2020 et 2021 et quelle est la proportion dans ces décès des vaccinés et des non vaccinés.

La seule explication plausible formulée par les actuaires est que le supposé vaccin ne protège pas contre la maladie, d’une part, et qu’il tue plus que la maladie elle-même. Quant aux séquelles de cette vaccination sur le long terme elles risquent de réserver de douloureuses surprises à ces mêmes compagnies d’assurance. Ce qui est plaisant dans ce constat fait par des actuaires de compagnies d’assurance est qu’il n’y a aucun médecin ou spécialiste des questions sanitaires dans cette analyse ni d’organismes étatiques ni de journalistes corrompus par le pouvoir. Ce constat révèle également l’énorme sous-estimation des organismes de veille sanitaire tels que le VAERS. J’en ai déjà dit un mot sur ce blog. On arrive avec des facteurs multiplicatifs compris entre 41 et 47 à des figures qui pourraient corroborer les constatations des actuaires des compagnies d’assurance. Combien de temps encore les laboratoires pharmaceutiques réussiront-ils à contrôler la presse et les gouvernements pour dissimuler cet immense scandale ? Toute la question est là.

Sources : ZeroHedge et https://stevekirsch.substack.com/p/unprecedented-deaths-in-indiana-for?r=o7iqo

Restez connecté j’apporterai de nouvelles précisions à ce sujet ce prochain lundi.

Retour sur la table ronde mentionnée dans un précédent billet

J’ai noté quelques données citées par plusieurs intervenants en ce qui concerne la thérapie génique mise en place massivement dans le monde entier pour protéger théoriquement les populations contre une infection par le coronavirus. De nombreuses interventions au cours de cette table ronde ont insisté sur le fait que ce traitement ne prévenait pas contre une infection et qu’il ne présentait aucun bénéfice en ce qui concerne la gravité de l’évolution de la maladie. Ce qu’ont déclaré les intervenants est incontestable puisqu’il s’agissait de praticiens hospitaliers. Ils étaient au contact des malades et ils savaient quel était précisément leur statut vaccinal. Dans les services de soins intensifs de l’hôpital où exerçait l’un des intervenants il fut rapporté que 77 % des patients étaient complètement vaccinés et qu’ils étaient tous testés positifs pour le coronavirus. Dans l’Etat du Wisconsin plus de 90 % de la population est « vaccinée ». Il est impossible d’expliquer pourquoi les 23 % de malades restants puissent être exclusivement des non « vaccinés ». Statistiquement c’est improbable.

Cette simple observation prouve indubitablement que la « vaccination » est totalement inefficace et qu’elle ne réduit pas la gravité de la maladie contrairement à ce qui est avancé communément. Il s’agit d’un pur argument de marketing sans fondement qui n’est plus tenable si on considère les effets indésirables et la létalité de cette thérapie génique. Le tableau ci-dessous est édifiant et mérite quelques commentaires. Pour les non-anglophones flu = grippe et Tylenol = paracetamol.

Les effets indésirables des 5 traitements mentionnés et répertoriés sans interférence gouvernementale depuis 1996 dans le monde entier sont présentés dans ce tableau (capture d’écran au cours de la table ronde dont le lien figure dans un précédent billet) et en regard le nombre d’effets indésirables et de décès répertoriés en 13 mois pour le « covid vaccine ». Compte tenu du fait que sur recommandation des autorités de santé les médecins ne transmettent leurs observations que dans au mieux 2 % des occurrences il est plausible de multiplier les données en rouge dans ce tableau par un facteur 40 à 50. Choisissons donc un facteur multiplicatif de 41 comme cela a été mentionné au cours d’une étude réalisée il y a quelques semaines dont j’ai fait mention sur ce blog. On arrive alors à des chiffres tout à fait alarmants : plus de 43 millions d’effets indésirables pour le monde entier et plus de 827000 morts en 13 mois, c’est-à-dire depuis le début de la campagne de thérapie génique massive. Les tenants de la « vaccination » généralisée rétorqueront qu’en regard du nombre de doses injectées ce n’est rien, c’est négligeable, c’est le prix à payer pour la protection des populations, ben voyons ! En 25 ans les vaccins contre la grippe saisonnière n’ont tué que 77 personnes par an en moyenne mais pour un rapport bénéfice/risque très favorable encore que contesté par certains spécialistes car le virus de la grippe mute très facilement. À l’examen de ces données la thérapie génique par ARN messager aurait du être interdite très rapidement, dès le début de l’année 2021 … et on continue à rendre obligatoires des injections de « rappel ». Il s’agit d’actes criminels qui devront un jour ou l’autre être punis.