SARS-CoV-2 : la vérité commence à émerger, enfin !

Le NIH et le NIAID* et y compris la DARPA**, l’organisme de l’armée américaine en charge des recherches sur les armes biologiques ont financé les recherches sur les gains de fonction à partir du SARS-CoV-1, aussi appelé SRAS, et ceci dès le début des années 2010. L’objectif de ces travaux particulièrement risqués et donc confiés au laboratoire P4 de Wuhan en Chine et financés par les contribuables américains, avaient pour objectif de trouver un moyen pour modifier les informations génétiques du virus « natif » isolé de chauve-souris afin de le rendre hautement infectieux pour les hommes. L’animal de laboratoire utilisé pour ces travaux était la souris humanisée, c’est-à-dire présentant les récepteurs adéquats à la surface des cellules épithéliales pulmonaires, afin de sélectionner par des modifications génétiques successives le virus capable de se fixer avec une haute efficacité sur la protéine membranaire ACE2. La communauté scientifique américaine, considérant ces recherches comme dangereuses finança le laboratoire P4 de Wuhan pour terminer ces travaux.

L’un des premiers acquis des travaux effectués à Wuhan fut la démonstration au cours de l’année 2018 de la très forte affinité du virus modifié pour cette protéine membranaire ACE2 impliquée dans le mécanisme de régulation de la coagulation sanguine. Dans le même temps la séquence de nucléotide du matériel génétique du virus fut communiquée à quelques laboratoires pharmaceutiques nord-américains afin qu’ils mettent au point un thérapie génique basée sur un ORF*** bien spécifique du coronavirus, celui qui code pour la protéine de la spicule de ce dernier, protéine se fixant sur le récepteur ACE2. Toutes ces informations plutôt dérangeantes pour le Docteur Fauci et ses acolytes ont été révélées dans le cadre du Freedom Information Act dont en particulier le document DARPA-PREEMPT HR00111S0017 où il est précisé que l’armée américaine refusa d’effectuer de tels travaux sur le sol américain.

Cependant la DARPA consentit à financer le laboratoire de Wuhan afin de mettre la dernière main à l’élaboration du SARS-CoV-2, un virus chimérique hautement infectieux pour l’homme dont la « sortie » devait être programmée quand les laboratoires pharmaceutiques nord-américains seraient prêts pour la production massive de vaccins à ARN messager codant pour l’une des sous-unités de la protéine « spike ». Comment ce virus chimérique, résultat d’une collaboration sino-américaine, a-t-il été « libéré » dans la nature ? Il y a plusieurs réponses. Un erreur de contrôle des mesures de sécurité au sein du laboratoire P4 de Wuhan paraît invraisemblable : tous les personnels travaillant dans ce laboratoires savaient que ce virus était potentiellement très dangereux. Comme divers biologistes américains venaient périodiquement travailler dans ce laboratoire l’hypothèse la plus vraisemblable serait que l’un d’entre eux ait volontairement soustrait de ce laboratoire un tube scellé contenant la forme finale du virus qui avait par ailleurs montré sur les souris humanisées son pouvoir infectieux et de le faire sortir du laboratoire P4. Lorsque l’on a pénétré dans le bâtiment-réacteur d’une centrale nucléaire muni d’une combinaison spéciale et de bottes aux pieds, quand on ressort de cet endroit on subit un examen radiologique consistant à détecter si on émet des rayons gamma, c’est-à-dire si on a été contaminé. Dans un laboratoire du type de celui de Wuhan il n’existe aucune technologie de détection d’un échantillon biologique quand on quitte la zone contrôlée en passant dans un sas en dépression où on se défait de sa combinaison en sur-pression afin que la moindre particule solide soit aspirée vers un purificateur à ultra-violets intenses.

Donc quelqu’un est sorti de ce laboratoire avec la souche chimère du coronavirus hautement infectieuse. On ne saura jamais qui a commis ce crime mais je pencherais pour un visiteur américain car les laboratoires pharmaceutiques nord-américains étaient presque prêts à affronter une épidémie. Une petite contamination dans la ville même de Wuhan et le tour était joué, les Américains se lavaient de leur méfait pour ensuite accuser les Chinois. Ce qui est le plus suspect dans cette histoire qui frise le sordide réside dans le fait que les Américains ont délibérément confié les travaux de gain de fonction à ce laboratoire P4 de Wuhan en le finançant généreusement dans ce but, ce que le NIH a finalement reconnu. Une manœuvre politique vraiment vicieuse pour accuser ensuite la Chine ? Un projet délibéré pour enrichir les laboratoires pharmaceutiques nord-américains qui étaient prêts à affronter l’épidémie avec leur pseudo-vaccin ? Une tentative pour Gilead d’écouler son Remdesivir ? L’Union européenne a dépensé en pure perte un milliard d’euros pour ce produit qui s’est révélé inefficace, toxique pour les reins et mutagène pour le virus.

Ce qui a le plus contrarié les Américains dans leur plan machiavélique (d’une éventuelle extermination du peuple chinois) est tout simplement que les Chinois savaient que l’hydroxychloroquine était utile pour combattre efficacement la maladie dès l’apparition des premiers symptômes de type grippal associée ou non à un antibiotique de type macrolide. De plus le virus présent à Wuhan fut immédiatement cultivé à grande échelle sur des cellules Vero afin de préparer un vaccin de type traditionnel. Le souci est que les Américains, du haut de leur superbe impérialiste, considèrent les Chinois comme un peuple de seconde zone comme ils considèrent les nègres de leur pays à peine différents d’un animal. J’ai bien écrit « nègres » à dessein car n’importe où aux USA les blancs parlent de « Blacks » ou de « Nigers ». Le système politique américain est, il est vrai, adossé à un système racial depuis sa naissance et les Chinois ne sont que des « Chinooks » pour les Américains WASP.

Les travaux de gain de fonction ont abouti à un virus qui provoque une maladie de la coagulation sanguine diagnostiquée par des thromboses, qui fait apparaître des anticorps « croisant » avec la syncytine-1, c’est-à-dire reconnaissent cette protéine essentielle pour l’implantation du placenta dans l’utérus ainsi que pour l’équilibre de la membrane basale du derme et le bon fonctionnement des gonades. Voilà un fait qui réjouit déjà Bill Gates, lui qui veut que la population mondiale diminue. Devant ces évidences scientifiques il sera intéressant de suivre l’évolution des naissances dans tous les pays qui ont été massivement affectés par le SARS-CoV-2 dans les prochaines années, d’autant que les gouvernements préconisent des injections de rappel. Cette pandémie coronavirale est donc bien un complot organisé par les USA dont ils font porter aux Chinois la responsabilité. Dans le genre machiavélique on ne pouvait pas imaginer mieux.

Source et illustration : ZeroHedge

*NIAID = National Institute of Allergy and Infectious Diseases

**DARPA = Defence Advance Research Projects Agency

***ORF = Open Reading Frame, c’est-à-dire un gène lisible codant pour une protéine et WASP = White Anglo-Saxon Protestant. Note. L’effet de l’Ivermectine sur le coronavirus a été découvert au cours du printemps 2020. Sa prescription, comme celle de l’HCQ, a été interdite à la demande des laboratoires pharmaceutiques, ou de Bill Gates, qui sait.

La Convention ENMOD et les techniques modernes de la biologie

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La résolution 31/72 de l’Assemblée Générale des Nations-Unies du 10 décembre 1976 définissait les termes de l’interdiction de tout agent chimique ou biologique susceptible de modifier l’environnement, ENMOD pour ENvironmental MODification. La préoccupation à l’époque était de bannir les techniques de modification chimique du climat à des fins militaires. Depuis lors la biologie moderne a permis de mettre en oeuvre une technique appelée « gene drive » qui est une directe application de l’utilisation du CRISPR-cas9. Les curieux peuvent se reporter à l’article de Wikipedia à ce sujet ( https://en.wikipedia.org/wiki/Gene_drive ). La puissance de la technique « gene drive » appelée en français forçage génétique permet en théorie d’altérer irréversiblement le patrimoine génétique de n’importe quel être vivant, qu’il s’agisse de bactéries, de levures, de plantes, d’insectes, de poissons ou de mammifères, y compris l’homme.

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En effet, après plusieurs générations – au moins trois – le gène sauvage situé sur le deuxième allèle du génome a disparu et l’espèce est définitivement modifiée génétiquement. L’une des premières applications envisagées a été d’introduire le gène d’une toxine dans l’ADN du moustique vecteur de la malaria, toxine détruisant le plasmodium présent dans les glandes salivaires du moustique à l’état de gamètes ou de sporozoïtes.

Ce projet a soulevé quelques farouches oppositions de la part des protecteurs de l’environnement. Les comités d’éthique de divers pays ont exigé que la technologie CRISPR-cas9 soit rigoureusement encadrée par des lois ad hoc adoptées par tous les pays du monde puisqu’elle entre dans le cadre de la Convention ENMOD, c’est-à-dire une modification non plus chimique mais biologique de l’environnement. Pour les espèces vivantes telles que l’homme et bien d’autres vertébrés la technique « Gene Drive » ne présente pas de danger immédiat puisque les temps de génération sont longs en comparaison de ceux d’une bactérie, environ 30 minutes, ou d’une plante, environ une année, mais ce genre de préoccupation bioéthique n’a pas l’air de préoccuper les militaires comme la DARPA (Defense Advance Research Projects Agency) de l’armée américaine qui s’intéresse de très (trop) près à cette technique en consacrant des dizaines de millions de dollars dans ce créneau de recherche. Le but avoué des travaux financés par la DARPA est d’éradiquer les moustiques porteurs de parasites ou de virus de la planète en effectuant d’abord des essais sur des îles isolées infestées de moustiques et de malaria ou de dengue afin d’éviter la propagation indésirable des moustiques génétiquement modifiés. Le but non avoué de ces travaux à visées militaires est de créer des insectes capables de synthétiser des toxines létales pour l’homme ou pour les grandes cultures vivrières, les gènes de l’apocalypse …

Depuis l’équation d’Einstein E=mc2 les militaires n’ont jamais cessé d’utiliser la science pour développer de nouvelles armes. À l’heure où l’on parle de gouvernance mondiale il serait opportun que les Nations-Unies, au moins elles, se penchent sur ce problème préoccupant de l’utilisation des techniques de modification génomique pour mettre en place une autorité mondiale de contrôle coercitif de l’usage de ces techniques à des fins militaires.

Source : shtfplan.com et https://youtu.be/b_QvudICDaw