En Grèce, il y a tellement de prostituées dans les rues des grandes villes, souvent des lycéennes ou des étudiantes, que les bordels ont été contraints de fermer leurs portes car ils n’avaient plus assez de clients pour pouvoir payer leur licence. Un heure avec une fille âgée d’à peine 17 ans coûte maintenant 4 euros. La fille a ensuite de quoi se payer un cheesecake pour 1 euro 20 et il lui reste un peu d’argent pour parer à ses frais de logement ou plus prosaïquement pour acheter un cahier et un stylo à bille. Toutes les filles des pays de l’est de l’Europe ont disparu car leurs tarifs étaient il y a à peine trois ans de 50 euros de l’heure car les Grecques n’avaient pas pour habitude de se prostituer.
Je ne raconte pas n’importe quoi. Cette information parue dans le très sérieux The Times a été reprise par Tyler Durden dans son blog Zerohedge ce 28 novembre.
Voilà où en est la Grèce ! Le pays vend ses bijoux de famille, des îles, les compagnies d’électricité et de distribution d’eau, les ports mais ça ne suffit pas pour que le peuple puisse se nourrir et les lycéennes vendent leur vertu pour simplement survivre. La Grèce a emprunté aux banques allemandes pour acheter des sous-marins made in Germany et pendant ce temps-là les filles continuent à se prostituer car elles n’ont pas le choix. Si elles ne vendaient pas leur corps au premier venu elles crèveraient de faim. Voilà ce que l’Europe a fait de la Grèce : seule l’industrie du sexe est devenue compétitive dans ce pays.
L’enquête a été réalisée par le Professeur de sociologie Gregory Lazos de l’Université Panteion d’Athènes pendant ces trois dernières années sur 18500 prostituées des principales villes du pays. Triste tableau …
Source et illustration : The Times repris par Zerohedge.com