Les sept dernières années ont été les plus chaudes depuis l’invention du thermomètre !

Voilà l’affirmation péremptoire parue sur le site Atlantico en introduction d’un débat-propagande réunissant les trois éminents climatologues que sont Corinne Lepage, Isabelle Thomas et Michel de Rougement, ben voyons ! Il est donc dit été répété dans cet article que c’est à cause du CO2, donc de l’activité humaine, que le climat se dérègle. Par conséquent on va bientôt tous griller comme des toasts. Ce sera l’enfer ici-bas et c’est devenu inévitable. Le but d’un tel pamphlet est de faire peur au lecteur, de faire peur au peuple afin de mieux l’asservir afin d’imposer une gouvernance mondiale totalitaire à la chinoise. Le coronavirus a montré que des démocraties comme l’Autriche avaient aisément basculé dans un régime dictatorial rappelant les heures les plus sombres de l’histoire du dernier siècle. Inévitablement nous serons tous surveillés un jour prochain pour nos émissions de carbone puisque le réchauffement du climat est provoqué par l’augmentation du CO2 de l’atmosphère.

Dans ces conditions il est presque impossible de garder son sang-froid, sans jeu de mot, car la vraie science est écartée du débat sur le climat. Dans la réalité bien après l’invention du thermomètre les températures les plus élevées observées durant ces 150 dernières années se situent entre 1920 et 1950 avec un maximum vers 1940. Cette évolution des températures suit un cycle d’environ 60 ans correspondant, pour l’Europe au moins, aux oscillations de l’Atlantique Nord (AMO, Atlantic Multidecadal Oscillations). On se trouve aujourd’hui dans la phase descendante de cette oscillation et les températures observées, souvent localement, ne pourront que diminuer. À cette inversion de l’AMO s’ajoute un cycle solaire dont l’activité magnétique est prévue plus faible encore que le précédent cycle solaire. Les affirmations de ces « éminents climatologues » ressemblent un peu aux derniers cris d’une bête blessée. Comme pour la pandémie de coronavirus, l’imposture du réchauffement du climat et de l’effet du CO2 sur ce dernier va éclater et ces trois pseudo-scientifiques cités plus haut seront neutralisés.

Il faut que les peuples se réveillent, c’est urgent, car c’est leur liberté qui est dans la balance, il faut qu’ils mettent leur peur de côté et recommencent à réfléchir sainement en ne se soumettant plus (comme des veaux) à la propagande de ces faux scientifiques, c’est une question de survie et de leurs libertés.

Source : https://atlantico.fr/article/decryptage/le-dereglement-climatique-est-la-l-action-coordonnee-a-l-echelle-de-la-planete-non–vaut-il-mieux-gretathunbergiser-ou-se-preparer-a-faire-face-actions-reformes-prise-de-conscience-michel-de-rougemont-corinne-lepage-isabelle-thomas? … ce lien a été abrégé, il peut être retrouvé sur votre moteur de recherche favori.

et aussi Doi : 10.1142/S0217979214500957

Doi : 10.1016/B978-0-12-804588-6.00009-4

Doi : 10.1177/0959683613516818

Le financement des « ONGs » européennes et leurs répercussions économiques

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En Europe il existe des ONGs tolérées et financées par les gouvernements, c’est du moins la version officielle qui est admise par l’homme de la rue. Dans un récent billet sur ce blog j’ai mentionné ce financement largement abusif des ONGs qui sévissent en France, financement par les impôts des contribuables, et qu’il serait urgent de mettre de l’ordre dans ce système obsolète qui date de 1901. Curieusement aucun de mes lecteurs n’a laissé de commentaire à ce sujet alors qu’il me paraît d’une extrême importance pour la sécurité nationale comme vous allez le découvrir avec deux exemples. Certes le panel que représentent les lecteurs de mon blog n’est pas représentatif de l’opinion générale. Pour autant quand j’aborde le problème posé par les ONGs je dois reconnaître que ces organismes bénéficient de la sympathie de l’opinion. Or cette attitude de confiance aveugle est complètement trompeuse. Pour éclairer la gouverne de mes chers lecteurs je vais reprendre sans trop les déformer deux propos d’Alain Juillet qui a été longtemps conseiller pour l’Intelligence économique auprès de la DGSE. D’ailleurs pourquoi les déformerais-je puisque Monsieur Juillet est infiniment mieux informé que votre serviteur. Voici donc les deux exemples que j’ai choisi étant donné que je connais dans le détail ces deux domaines.

En ce qui concerne les OGMs (organismes génétiquement modifiés), les disciples de José Bové détruisaient allègrement avec l’appui de Greenpeace (ONG qui n’a de vert [green] que le nom) les plantes transgéniques en essais plein-champ. Ces véritables commandos de terroristes réduisant à néant des années de travaux de recherche académique étaient financés sans le savoir et très indirectement par tout un montage financier opaque, nous étions au début des années 1990 pour vous remémorer ces évènements, alors que la France était le leader européen de la transgenèse végétale avec l’INRA, le CNRS, Limagrain et Rhône-Poulenc et je vous laisse deviner qui les finançait : … Monsanto !

Cette gigantesque multinationale américaine voulait tuer dans l’oeuf toute velléité française d’interférer dans ses visées de domination mondiale du marché des plantes génétiquement modifiées.

Il faut avoir travaillé dans l’intelligence économique comme Alain Juillet (intelligence ici est une traduction inappropriée du mot anglo-saxon éponyme qui signifie information et par extension espionnage, cf. l’Intelligence Service anglais) pour affirmer de tels propos. Heureux écolos anti-OGMs qui ont été manipulés par Monsanto sans jamais le savoir : ils n’ont même pas compris que de l’autre côté de l’Atlantique on les prenait pour des débiles mentaux puisqu’eux-mêmes clouaient au pilori cette firme multinationale … et Monsanto et Pioneer Seeds se frottaient les mains avec naturellement l’encouragement de la Maison-Blanche car il fallait à tout prix protéger l’industrie américaine. José Bové devrait être poursuivi en justice pour avoir détruit le patrimoine intellectuel français au profit des Etats-Unis en étant un acteur « écologiste » aux ordres de Monsanto. Malheureusement il clamerait son innocence car il est trop c*n pour avoir pu imaginer un seul instant qu’il était manipulé par une multinationale américaine.

Venons-en maintenant à la technologie française du nucléaire civil, un autre domaine que je connais bien pour avoir travaillé comme consultant auprès d’EDF justement dans le domaine du nucléaire. Il s’agit d’un autre gros morceau qui a mobilisé une multitude d’ONGs dont encore une fois Greenpeace. Pour la petite histoire le premier réacteur à eau pressurisée produisant de l’électricité construit en France est le réacteur de Chooz A sous licence Westinghouse concédée à la Compagnie Franco-américaine de Constructions Atomiques plus connue ensuite sous le nom de Framatome. Il s’agissait d’un réacteur d’une puissance de 300 MW qui fut définitivement arrêtée en 1991 après 24 ans de fonctionnement et de bons et loyaux services rendus. Cette installation a été arrêtée car elle n’était plus rentable en raison de son implantation souterraine qui compliquait considérablement les interventions de maintenance. Puis avec l’appui du gouvernement français via le CEA et les excellents services de recherche et développement d’EDF la France améliora considérablement le procédé originel Westinghouse au point que le pays commença à exporter son savoir-faire en Corée (du sud) puis en République sud-africaine. Le site de Chooz comprend aujourd’hui deux réacteurs d’une puissance électrique de 1560 MW électriques chacun, les immédiats précurseurs de l’EPR avec ceux du site de Civaux dans la Vienne.

Après l’accident de la centrale nucléaire américaine de Three Mile Island (illustration) le 28 mars 1979 provoqué par une erreur humaine l’industrie électro-nucléaire américaine a été mise au point mort et le savoir-faire a progressivement disparu. Comme aujourd’hui le seul pays européen, hors Russie, encore capable de construire des centrales nucléaires est la France alors les Etats-Unis ont tout fait pour fragiliser le savoir-faire industriel français dans le domaine du nucléaire civil afin de relancer l’industrie américaine dans ce domaine, ce qui reste encore hypothétique. Même le gouvernement français a cédé au scandaleux chantage exercé par les USA pour céder le département énergie d’Alstom à General Electric agrémenté de faits (non avérés) de corruption pour discréditer l’image d’Alstom entrant dans le cadre de l’extraterritorialité de la loi américaine (cf. l’affaire Pierruci).

La cession d’Alstom, pilier incontournable de l’industrie électro-nucléaire française, a été approuvée par un certain Emmanuel Macron en personne alors qu’il se trouvait au Ministère des finances français méprisant ainsi toutes les conséquences stratégiques d’une telle opération strictement financière à ses yeux. Afin que l’opinion publique française soit anesthésiée lors de cette transaction les USA n’ont jamais cessé d’épauler diverses ONGs pour discréditer l’énergie nucléaire française, en particulier Greenpeace qui bien qu’interdite de séjour aux USA (ainsi qu’en Russie et en Chine pour d’autres raisons) continue d’être financée par le lobby américain ultra-puissant des énergies fossiles.

On peut légitimement se poser la question d’une éventuelle action souterraine des lobbys américains, via des ONGs européennes et pas seulement françaises, pour la fermeture totalement stupide et sans aucune espèce de motivation économique du surrégénérateur de Creys-Malville. Quant à la fermeture tout aussi stupide de l’usine de Fessenheim elle est le résultat également de la pression d’ONGs allemandes et suisses avec à leur tête Corinne Lepage probablement manipulée, sans jamais en avoir eu conscience elle-même – au niveau de la clairvoyance elle pourrait être classé au même niveau que José Bové – par les lobbys américains qui veulent vendre leur pétrole, leur gaz et leur charbon aux Européens. Au risque de me répéter la prochaine centrale nucléaire qui verra le jour sur le sol français aura été entièrement fabriquée par la Chine à qui la France a cédé tout son savoir-faire y compris celui des turbines en sous-estimant l’immense aptitude des Chinois à admirablement tout très bien copier. Dès lors ces actions à la cow-boy des Américains ne font que favoriser les Chinois et les Russes, belle réussite ! Et la présidence de la République française s’en lave les mains. J’en ai la nausée …

Ségolène sous-marin de Greenpeace ? Mais c’est bien sûr !

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En septembre 1992, l’affaire du pyralène * (note en fin de billet) excita plus que de mesure l’ancienne ministre de l’Environnement Ségolène Royal qui avait déjà sévi sous l’ère Mitterrandienne en collectionnant des trèfles à quatre feuilles reprit mot pour mot le discours de propagande de Greenpeace jusqu’à émouvoir les journalistes de Libération, incroyable mais vrai ! C’est assez significatif que même ce journal pourtant pas du tout taxé d’anti-écologisme, ce serait plutôt le contraire et plus encore aujourd’hui, ait remarqué que : « Ségolène Royal laboure politiquement à la remorque de Greenpeace ». Admettons que Ségolène n’ait fait que reprendre naïvement les propos de cette organisation à son propre compte et à des fins purement politiciennes mais n’est-il pas tout aussi troublant que Brice Lalonde, également ministricule de l’environnement dans le gouvernement Rocard ait sympathisé avec les hauts dirigeants de Greenpeace ? On peut aussi rappeler les sympathies pour des terroristes contraires aux principes éthiques fondamentaux de la profession d’avocat de Corinne Lepage qui contribua à la création du mouvement Génération-Ecologie en affichant franchement son opposition à l’ « électrofascisme d’EDF » et sa haine viscérale du nucléaire dans la droite ligne des idéologues hippies de Vancouver, fondateurs de Greenpeace (voir le lien de ce blog).

Greenpeace est une organisation violente qui n’hésite pas à faire appel à de véritables commandos d’individus qu’on peut qualifier de terroristes pour illustrer son idéologie par des actions d’éclat avec le soutien unanime des médias (convoqués pour l’évènement à couvrir) tous corrompus de l’intérieur par la présence de membres de Greenpeace dans les comités de rédaction tant dans la presse papier que télévisuelle. La présence d’activistes de Greenpeace dont la mission est l’espionnage ne peut être niée y compris dans les hautes sphères politiques dirigeantes en particulier au sein même de l’Elysée (voir l’affaire du dossier de Greenpeace intitulé « Palais de l’Elysée », lien p. 64). Il n’y a donc plus aucun doute le COP21 ne relève même plus de la compétence des « climatologues auto-proclamés de l’IPCC » ni de Ségolène, ni du comité spécial d’experts qui vient d’être nommé pour évaluer le montant de la taxe carbone, ni d’aucun politicien ou chef d’Etat quel qu’il soit mais de Greenpeace agissant mano a mano avec le WWF pour la plus grande satisfaction de ceux qui contrôlent la finance mondiale.

Alors quel est le but ultime recherché par Ségolène avec ce COP21 ? Tout simplement le pouvoir.

Épaulée par Greenpeace, le WWF, France-Nature-Environnement et des centaines de groupuscules, et forte d’un éventuel succès de son raout mondain, avec petits fours de chez Hédiard et champagne cuvée brut millésimé à 100 euros la bouteille, contre la perturbation climatique d’origine humaine (dixit Obama), elle pourrait avoir tous les éléments en main pour asseoir son autorité sur le pays et éclipser de la scène politique son ex-concubin et père présumé de ses enfants qui a osé lui prendre le pouvoir alors qu’elle était candidate à la présidence contre Sarkozy.

Il ne faut pas non plus croire que Sarkozy avait les mains blanches, lui qui a stupidement organisé le ridiculissime « Grenelle de l’Environnement » et nommé des personnalités peu recommandables à son ministère de l’environnement. Ses agissements politiciens inconsidérés ont ouvert la voie aux crypto-trotskystes verts avec l’arrivée des socialistes au pouvoir résultant de tractations électoralistes nauséabondes comme il (Sarkozy) l’avait si bien fait avec ce « Grenelle » et ses actions perfides en direction de la sauvegarde de la planète dont il n’a jamais cru le moindre mot même en se rasant le matin devant sa glace de salle de bain.

Finalement on vit dans un monde politique de mensonges organisés pour la plus grande satisfaction de l’organisation totalitaire qu’est la collusion entre le WWF et Greenpeace au service de la finance qui tôt ou tard prendra le contrôle de l’ensemble des politiciens dans la plupart des pays de l’OCDE. On peut fortement douter que les USA, la Grande-Bretagne, le Canada, l’Australie, la Nouvelle-Zélande ou encore la Chine et le Japon et encore moins la Russie et l’Inde ou l’Afrique du Sud ratifient un jour leurs « bonnes » intentions de sauver l’humanité de la fournaise qui seront présentées à Paris ce mois de décembre. C’est en cela que Ségolène perdra toute crédibilité, elle qui s’est compromise avec Greenpeace et a donc perdu de facto toute crédibilité …

Pour étayer ces propos il est intéressant de revenir en arrière dans l’histoire du mouvement écologiste. Page 91 de l’opus cité en référence il est fait mention d’une dénommée Dixie Lee Ray, Docteur en biologie marine de l’Université de Stanford, premier gouverneur femme (femelle selon Wikipedia) de l’Etat de Washington, appointée Chairman de l’AEC (US Atomic Energy Commission) par Richard Nixon, rien que ça ! Cette dame haute en couleur ne mâchait pas ses mots en déclarant ceci : « Si vous ne luttez pas contre les réglementations écologistes sans fondement, vous vous retrouverez rapidement dans un état fasciste ».

Dixie Ray était en faveur de l’énergie nucléaire car pour elle il s’agissait de la seule source d’énergie (hors hydroélectrique) qui préserve indubitablement l’environnement. On est loin, très loin, des thèses soutenues par les écologistes politiques d’aujourd’hui qui, depuis la création du mouvement Greenpeace à Vancouver, n’ont jamais cessé de combattre cette source d’énergie renouvelable par elle-même et par définition – l’uranium 238 fertile génère inévitablement du plutonium 239 fissile par capture d’un neutron – un fait que veulent ignorer les écologistes dont en particulier Greenpeace dont l’existence même est justifiée dès son origine par ses actions contre les essais nucléaires envisagés par le Département de la Défense américain dans un îlot perdu de l’Alaska (voir le lien) et qui n’envisagea jamais un instant de se départir de cette ligne idéologique pourtant en totale contradiction avec ses visées de sauvegarde de la planète.

Quand Ségolène décide de fermer Fessenheim (il s’agit du souhait électoraliste de son ex-concubin pour satisfaire, Oh ironie ! … Corinne Lepage), fermeture qui constitue un non-sens économique totalement affligeant et coûteux pour le contribuable, elle se situe en droite ligne de l’idéologie de Greenpeace, ce qui est parfaitement révélateur de son positionnement dans cette affaire, comme d’ailleurs celui de son ex-concubin qui suit stupidement le mouvement.

Souvenons-nous des déclarations de Goebbels : plus le mensonge est gros(sier) plus il est tenu pour vrai …

Note : L’ « affaire » des pyralènes, à l’époque c’était Monsanto le principal producteur de cet excellent fluide caloporteur chimiquement neutre pour les transformateurs électriques, suscita une sorte d’hystérie dans le milieu écologiste à la suite de l’explosion accidentelle d’un transformateur électrique. Tous les arguments furent réunis à la hâte après l’accident de Bophal qui n’avait rien à voir avec la production de pyralène mais les mouvements écologistes se cristallisèrent sur les dioxines. Dans le cas de l’Aldicarb fabriqué par Union Carbide à Bophal et les pyralènes, il y a un gouffre sur le plan des structures chimiques et de leur devenir dans l’environnement. Les mouvements écologistes s’emparèrent de cette affaire pour obtenir l’interdiction des pyralènes car ils étaient supposés, sans aucune espèce d’évidence scientifique, de dégager des dioxines. Pour rappel, l’accident de Bophal survint à la suite de l’introduction d’infimes quantités d’eau dans des canalisations supposées véhiculer de l’isocyanate de méthyle, un synthon de l’Aldicarbe, nématicide toujours utilisé de nos jours car on n’a toujours pas trouvé mieux, alors propriété de Union Carbide. L’Aldicarb fut racheté par Rhône-Poulenc et est maintenant propriété de Bayer depuis le démantèlement regrettable en tous points de Rhône-Poulenc favorisé par le gouvernement socialiste de Jospin sous l’impulsion des mêmes acteurs qui sévissent aujourd’hui dans les couloirs de ces mêmes ministères … Quant au pyralène ce produit était géré de manière extrêmement précautionneuse par les électriciens afin d’aviter tout risque de pollution dans le milieu environnant. Il serait intéressant de réécrire l’histoire vue des coulisses du pouvoir ! Pour l’anecdote Jean-René Fourtoux, grand ami de Michel Rocard ou encore d’Alain Minc et membre du groupe de Bilderberg, fut le principal acteur de la liquidation de Rhône-Poulenc, première étape du démantèlement systématique du tissu industriel français.

Source : http://ddata.over-blog.com/xxxyyy/0/31/89/29/Etude-sur-la-nature-des-mouvements-ecologistes/Etude-sur-la-nature-des-mouvements-ecologistes.pdf

https://jacqueshenry.wordpress.com/2014/06/24/greenpeace-un-ramassis-de-marginaux-devenu-la-plus-puissante-ong-du-monde/

La technologie du nucléaire civil français est en retard d’une guerre !

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C’est officiel maintenant AREVA a perdu la main. Il faudrait plutôt dire le CEA, actionnaire majoritaire d’AREVA, cet agglomérat de fonctionnaires imbus de leur supériorité, mangeant au ratellier du Ministère de la Défense pour assurer l’entretien des bombes atomiques et à celui d’EDF, de facto contrôlé par ce même organisme également étatique puisque les réacteurs nucléaires produisent du plutonium, lorgné de très près par les militaires. Bref, le CEA, principal actionnaire (c’est-à-dire l’Etat) d’AREVA, est en retard d’une guerre. Et c’en est malheureusement terminé pour la France en ce qui concerne les nouvelles orientations incontournables de l’énergie nucléaire civile figées en France dans le gigantisme coûteux de l’EPR qui n’a toujours pas fait ses preuves de faisabilité économique.

Au mois de juillet dernier je relatais dans ce blog les décisions de Bill Gates d’investir dans les réacteurs nucléaires de nouvelle génération par le biais de la société TerraPower entièrement financée par l’ancien propriétaire de Microsoft. Il s’agit de la technologie des réacteurs dits à vague voyageuse (travelling wave reactor, TWR). Ma traduction n’est pas fidèle en français à la réalité mais le terme anglo-saxon est explicite : il s’agit de réacteurs à neutrons rapides utilisant de l’uranium naturel non enrichi avec un cœur émettant des neutrons rapides qui transforment cet uranium en plutonium progressivement. Les assemblages de combustible sont alors déplacés de la périphérie vers le cœur au fur et à mesure que l’enrichissement en plutonium permet de maintenir le flux de neutrons. C’est la raison pour laquelle on parle de « voyage » des assemblages vers le cœur du réacteur. Les modélisations informatiques ont validé cette technologie qui a échappé à la sagacité des ingénieurs du CEA préoccupés uniquement par l’enrichissement de l’uranium en isotope 235 sans s’être jamais penchés un seul instant sur l’intérêt de cette technologie pourtant décrite sur le papier aux alentours des années 1950.

Il s’agit d’un « breeder » en termes techniques, genre Super-Phénix, qui transforme in situ l’uranium directement extrait des mines en combustible sans rechargement pendant des dizaines d’années, pour faire simple. Or le CEA, c’est-à-dire avec AREVA, n’ont aucun intérêt à développer cette technologie qui est pourtant la plus économique en termes d’investissement initial et également en terme de consommation en combustible. La vocation d’AREVA est d’enrichir à 4 % d’isotope 235 l’uranium (usine Georges Besse II) puis d’extraire un peu de plutonium du combustible usagé (retraitement) pour réaliser quelques économies sur le processus d’enrichissement étant entendu que les tranches 900 MWe type Fessenheim sont capables de gérer le combustible enrichi en plutonium appellé MOX. C’est le business d’AREVA et le CEA n’a jamais voulu entendre parler d’autres approches technologiques. Normal ! Au départ la vocation du CEA était l’armement et les réacteurs graphite-gaz étaient une source inépuisable de plutonium pour les bombes et la mentalité de cette administration n’a pas réussi à s’adapter aux exigences énergétiques modernes … Il faut rappeller que ce sont EDF et Framatome qui à l’époque achetèrent la licence Westinghouse pour les réacteurs à eau pressurisée (PWR) et non pas le CEA qui avait la main-mise seulement sur le combustible.

Bill Gates a adapté les agissements des militaires tant américains, russes que français et finance le développement du TWR et les Chinois qui manifestent une soif d’énergie sans limite, viennent de signer (CNNC) un mémorandum avec TerraPower pour la construction d’un prototype d’une puissance de 600 MWe susceptible d’être opérationnel aux alentours de 2018 avec la collaboration de Babcock & Wilcox pour le design de ce réacteur refroidi avec du sodium liquide.

Bel exemple illustrant la totale incurie des politiciens français qui ont arrêté le réacteur Super-Phénix dont le principe de base était justement celui du TWR, une migration des assemblages de combustible de la périphérie du réacteur vers le centre de ce dernier et réciproquement. Ironie de l’histoire, je connaissais bien l’usine de Creys-Malville ainsi que son principe de fonctionnement et j’ai personnellement fait visiter le site de NERSA il y a un peu plus de 25 ans à une délégation d’ingénieurs de B&W qui étaient franchement impressionnés par l’avancée technologique de la France …

Juste retour de la situation, dans le domaine de la technologie nucléaire et de son évolution la France est définitivement dépassée alors qu’elle était à l’époque leader mondial incontesté. Mais le breeder utilisant de l’uranium naturel n’entrait pas dans le plan de développement du CEA à l’époque et ce projet grandiose fut proprement saboté par le gouvernement socialiste de Jospin appuyé par les écologistes avec la contribution déplorable d’une certaine Corinne Lepage dont l’action néfaste fut éclipsée par une autre écologiste du nom de Voynet qui pour l’histoire portera le chapeau avec le sombre Jospin de cette déplorable décision de l’arrêt de l’usine de Creys-Malville. Le CEA est stupidement passé à côté de cette même histoire car cet organisme est un ramassis de fonctionnaires n’ayant plus aucune connexion avec la réalité économique et la technologie de l’éléctricité d’origine nucléaire est depuis lors frappée d’un anathème idéologique. Pour la France, c’est terminé, la partie est perdue, merci aux politiciens gangrennés de l’intérieur par les écologistes qui n’ont jamais rien compris à l’énergie nucléaire … Triste constatation.

Source : bulletin de l’IAEA et Reuters, illustration : usine de Creys-Malville.

https://jacqueshenry.wordpress.com/2015/07/12/bill-gates-mise-sur-le-nucleaire-de-quatrieme-generation-et-il-a-bien-raison/

Commentaire sur un article paru dans l’Expansion : débat Luc Oursel – Corinne Lepage.

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Corinne Lepage n’a pas peur de se ridiculiser quand elle parle du nucléaire, elle n’a d’ailleurs pas le sens du ridicule quand cela la concerne directement, ni indirectement d’ailleurs. Pour tout dire, elle est aussi ignorante que Dominique Voynet en son temps à propos de ce qui touche au nucléaire … Dans un article-débat paru dans l’Expansion en ligne le 2 août de cette année (voir le lien s’il est toujours disponible) on assiste à un échange de propos entre Luc Oursel, CEO d’Areva et Corinne Lepage, écologiste reconnue dans les milieux bobos parisiens avec son cercle de réflexion Cap21, forte de sa position d’ancienne députée européenne et d’ancienne ministre écolo de Juppé, c’est tout dire. Elle gagne sa vie en poursuivant en tant qu’avocate écologiste les groupes pétroliers polluants avec en prime ses confortables retraites de ministre et de députée pour ses menues dépenses. Mais elle est aussi viscéralement opposée à l’énergie nucléaire pour des raisons inexpliquées, une sorte de lubie qui l’a conduite à être aussi la représentante juridique des groupuscules gauchistes opposés à la centrale de Fessenheim. Il faut bien justifier son gagne-pain d’avocaillon même si celui-ci consiste à combattre des causes antinomiques. Bref, ce tableau de la donzelle en question est suffisant pour la situer dans le débat l’opposant à Luc Oursel, ingénieur du Corps des Mines, inutile d’en dire plus à son sujet, il sait de quoi il parle …

Je cite quelques extraits de l’intervention de Corinne Lepage :

« Là où la filière nucléaire française a un avenir, c’est dans la gestion d’aval du cycle, c’est-à-dire dans la gestion des déchets et du démantèlement des centrales ». J’ai cligné des yeux pour être certain que ce passage n’était pas une illusion d’optique ! Faire croire que la filière nucléaire française est condamnée au démantèlement de ses installations dont la plus vieille a reçu l’autorisation de fonctionnement pour une durée supplémentaire (renouvelable) de dix ans par l’ASN, je veux parler du CPN de Fessenheim, on croit vraiment rêver et se demander si sérieusement cette personne sait de quoi elle parle.

Un autre exemple de la totale incurie de la Miss Lepage :

« On ne peut pas dissocier le débat sur la transition énergétique de la question de l’avenir du nucléaire. Il nous faut répondre urgemment à deux questions. Va-t-on au-delà de quarante ans de vie pour nos centrales actuelles ? Va-t-on renouveler le parc nucléaire avec une série d’EPR ? Sur ces deux questions essentielles, les gouvernements successifs n’ont rien décidé. On tâtonne, on reste dans le vague… Et là, c’est criminel ».

Ben voyons ! Aux USA, l’organisme pendant de l’ASN française émet des avis favorables, quand il y a lieu, pour prolonger de trente ans l’exploitation des centrales nucléaires, autorisations assorties d’inspections décennales comme d’ailleurs en France correspondant au laps de temps de 4 à 5 rechargements en combustible selon la configuration des réacteurs. Quand à déclarer avec aplomb qu’on doit considérer le nucléaire dans le cadre défini (à la suite du Grenelle de l’Environnement) de la « transition énergétique » on peut vraiment se demander si Corinne Lepage a vraiment pesé la signification de ses propos. La soi-disante « transition énergétique » dont se gargarise actuellement le gouvernement sous l’impulsion des écologistes est un concept fumeux, inutile et coûteux. Les écologistes ont établi un amalgame entre émissions de carbone, supposées être néfastes pour le climat, production d’électricité, énergie nucléaire et combustibles fossiles. Or si leur rhétorique est éventuellement valable dans des pays comme l’Allemagne ou les USA, en ce qui concerne stricto sensu la production d’électricité, où la part du nucléaire dans cette production d’électricité est inférieure à 20 %, elle n’est absolument pas applicable à la France. Quand Corinne Lepage déclare que le chauffage domestique « tout électrique » est une aberration, que préconise-t-elle comme alternative ? Le charbon, le gaz ? On voit bien que les écologistes alimentent un débat qui n’a pas lieu d’être en France, le pays dont la production électrique est la plus propre du monde avec le Canada, plus précisément le Québec, et dans une moindre mesure la Suisse ou la Nouvelle-Zélande.

Corinne Lepage cite des chiffres faux, fait des rapprochements erronés et insinue des contre-vérités dans son exposé. Comme tous les écologistes elle élude soigneusement la consommation énergétique du secteur des transports et de l’industrie. En un mot on dirait qu’elle plaide dans un procès truqué en défendant un faux coupable, situation à laquelle elle est probablement habituée professionnellement … Affligeant !

Source et illustration : L’Express

http://lexpansion.lexpress.fr/actualite-economique/luc-oursel-corinne-lepage-le-nucleaire-a-t-il-encore-un-avenir_1555104.html

L’écologie idéologique revisitée (Séralini)

Décidément, Corinne Lepage, qui n’y connait rien du tout, a encore perdu une occasion de se faire discrète en s’affichant avec l’escroc Séralini lors d’une conférence de presse à Bruxelles (crédit photo AFP via Le Point) parce que ce triste sire qui ridiculise la science française ne veut pas admettre la légèreté sinon la désinvolture avec laquelle il a conduit ses travaux ultra-secrets sur l’effet du maïs RoundUp Ready de Monsanto quand il est donné à des rats ad libitum pendant deux ans. Comme ce monsieur ne l’ignorait pas, ou alors il ignore tout de l’expérimentation animale, les rats utilisés ont un patrimoine génétique abâtardi qui les rend susceptibles au développement de tumeurs multiples. Les Sprague-Dawley sont en effet une lignée établie par inbreeding il y a de nombreuses années et ils présentent l’avantage d’être tous génétiquement identiques. Ils ne sont donc jamais, pour cette raison, utilisés dans des études de long terme. Apparemment Séralini a tout simplement ignoré ce fait que tout scientifique ayant travaillé un jour ou l’autre au cours de sa carrière avec des rats comme animaux de laboratoire ne peut pas ignorer. Ce simple fait me fait donc dire, comme je l’ai écrit dans le billet laissé hier sur mon blog, que Séralini a sciemment fraudé en choisissant des Sprague-Dawley qui sont notoirement déconseillés pour élaborer des études de carcinogénicité. Pourquoi ne pas avoir utilisé des Wistar ou encore des Long-Evans.

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J’avais laissé le 30 juin dernier sur mon blog un billet qui relatait la sortie en fanfare du film de Séralini au Japon. Ce billet a suscité quelques commentaires et je me permet d’en reproduire deux pour bien situer l’imposture, ces commentaires sont visibles sur mon blog et l’auteur du commentaire ne m’en voudra pas. Je cite donc :

Premier commentaire :

 

En réponse à votre article,
 1) sur le plan scientifique et le problème des rats de labo (et pas seulement les rats SD), vous pouvez consulter le manuel (un peu la « Bible » de l’anapath qui bosse sur les rats) « Pathobiology of Aging Rats » (2 vol) de Capen et Mohr ou si vous n’avez pas le manuel, vous pouvez consulter sur PubMed les nombreux articles de Kevin KEENAN qui est le grand spécialiste des problèmes des rats de labo. L’étude en 24 mois faite par Séralini est une fraude en ce sens que, depuis les années 90, on sait qu’au bout de 6 mois, les rats Fischer, Sprague-Dawley, etc développent SPONTANEMENT des tumeurs hypophysaires sécrétrices d’hormones qui, à leur tour, entraînent des tumeurs mammaires chez les femelles ; donc les grosses tumeurs que vous voyez dans le film sont des tumeurs secondaires ABSOLUMENT PAS DUES à la consommation de PGM.

Idem pour les problèmes rénaux (pathologies rénales chroniques) qui apparaissent SPONTANEMENT aussi chez ces rats vers 6 mois ! Cf Keenan ! Keenan, pour réussir à utiliser les rats, recommande une restriction calorique, diminuer les apports alimentaires pour prolonger la survie des rats et retarder l’apparition des tumeurs et des problèmes rénaux. Séralini a fourgué à ses rats de la bouffe tant et plus (il a dissimulé à la connaissance de ses lecteurs l’existence du manuel d’anapath et des articles de Keenan) pour obtenir des tumeurs et dire ensuite que c’était dû aux OGM !
 Je vous poste ici deux liens pour amateurs de « ratounets » qui vous renverront aussi à d’autres articles : http://www.ratbehavior.org/rats.html et http://ratguide.com/health/neoplasia/pituitary_tumor.php
Tous les gens qui ont des rats chez eux comme animaux de compagnie connaissent ces problèmes et les seules personnes qui pouvaient se faire avoir par Séralini, ce sont ceux qui n’ont jamais vu un poil de rat et jamais mis les pieds dans un labo !

2) En ce qui concerne les problèmes de déontologie, Séralini a mené l’expérimentation de façon illégale, sans obtenir l’aval d’un comité d’éthique. Et pour cause ! Les scientifiques du comité, connaissant les problèmes liés aux rats, n’auraient probablement jamais donné leur accord, sachant que l’étude n’allait rien donner dans les conditions proposées par Séralini (taille des lots trop petite, etc,…). Il l’a donc menée « en secret » car si on s’en était rendu compte, on était en droit de lui demander d’arrêter l’expérimentation en cours vu qu’il n’avait pas les autorisations nécessaires ! Et chose étrange, ce monsieur n’est toujours pas sanctionné ! Comme quoi on peut être médiocre et fraudeur, du moment qu’on a le soutien des politicards, on peut faire tout ce qu’on veut !

  1. Et enfin, l’attitude impardonnable des journalistes qui ont dissimulé des faits concernant Séralini !
D’une part les plaintes de ses collègues et de ses étudiants de Caen contre son absentéisme à longueur d’année et sa fainéantise(il ne vient jamais bosser dans son labo !), ses manipulations malpropres pour obtenir le silence de ses contradicteurs (menaces, contrats d’allégeance,…), l’ignorance crasse dans laquelle il laisse ses étudiants (ils ne reçoivent aucune formation pratique, ils font n’importe quoi !) et vous allez être heureux d’apprendre qu’en fait, les doctorants qui ont signé l’article à scandale ne savent pas lire une coupe histologique et ont signé un article qu’ils sont incapables d’évaluer, pour une expérimentation à laquelle ils n’ont absolument pas participé ! C’est beau, la science au service des idéologies !
Il y avait un témoin dans le Criigen à ce moment-là, les journalistes se sont arrangés pour discréditer le témoin ; imaginez que cette personne décide de parler et de raconter ce qui se passe dans ce foutoir qu’est le Criigen… On rigolerait bien.
(…)

     

Deuxième commentaire :

 

Les articles qu’on vous a communiqués sur les rats nous viennent de ce témoin, la personne a été présente au Criigen quelques mois avant le show médiatisé de septembre 2012. Les saints du Criigen n’avaient absolument aucun résultat avec les rats et les doctorants ne comprenaient rien aux données qu’on leur refilait (C’est normal, tout avait été orchestré pour !). L’étudiant a refusé de renvoyer son dossier en raison des malhonnêtetés commises par le Criigen et des malversations auxquelles on voulait l’obliger à participer. Il s’est rendu compte que Séralini fraudait sur d’autres articles (comme vous le savez) quelques jours après son arrivée au Criigen. Quant au problème des rats, notre témoin a possédé des rats comme animaux de compagnie et connaît l’histologie. Séralini lui avait dissimulé entièrement le protocole (tout lui avait été caché : durée, espèce de rat, alimentation, nombre d’animaux) et Séralini lui avait caché que l’expérimentation ne bénéficiait pas de l’aval d’un comité d’éthique. Ce qui a beaucoup choqué le témoin, c’est de voir que les doctorants n’avaient aucune compétence en physiopathologie des rats et ne savaient même pas où chercher les informations ! Ils n’ont jamais manipulé les animaux, ils ne savent rien sur leurs constantes biologiques. Ils n’ont jamais été formés pour faire de la toxicologie ni pour travailler sur des protocoles d’évaluation de toxicité. Ils ne connaissent même pas les méthodes de protéomique qu’on utilise maintenant en toxicologie. Au Criigen, les étudiants n’ont aucun MCF ou ingénieur pour les superviser, ils passent leur temps assis derrière l’ordinateur, ils ne manipulent presque jamais à la paillasse, tout est confié à des sous-traitants. Séralini avait même menti à l’étudiant sur ses financements, prétendant qu’il était financé sur des fonds publics, alors que le Criigen est financé presque entièrement par des entreprises et des industries privées sans oublier les sectes (Greenpeace, Auchan, Carrefour, Léa Nature, secte IVI (=Sevene Pharma) et très probablement le mouvement Hamer (Acecomed), la fondation Denis Guichard qui n’est autre qu’une couverture pour la secte IVI et qui leur permet ainsi de piéger des adeptes sans révéler leur identité, puisqu’IVI a été déclarée comme secte et fermement rejetée par l’Eglise catholique) !
En septembre 2012, le témoin n’était plus au Criigen, mais il connaissait la vérité et les médias se sont arrangés pour que son témoignage sur les saloperies que Séralini fait dans son laboratoire ne parvienne jamais à la connaissance du public.
Vous imaginez alors ce qu’a pu ressentir cette personne en voyant non seulement qu’elle avait failli accepter de l’argent crapuleux issu des sectes, mais encore qu’on avait essayé de l’obliger à participer à de l’expérimentation animale illégale sans même l’en informer !
Les médias ont été inexcusables parce que la personne a essayé d’entrer en contact avec eux pour leur expliquer ce qui s’était passé et qu’ils ont occulté délibérément le témoignage parce qu’il n’était pas favorable à Séralini. A l’heure actuelle, notre témoin est la seule personne totalement dépourvue de liens avec les industries à être entrée à l’intérieur du Criigen ! On comprend pourquoi Séralini fait tout pour la faire taire ! Quand il a commencé à sentir que l’université de Caen allait s’en mêler, Séralini a appelé ses copains politiciens pour qu’ils créent une loi spéciale pour le protéger afin que la victime ne puisse pas accéder à la justice. L’autre obstacle aussi, ce sont les médias qui sont quasiment tous vendus à Séralini (le politiquement correct oblige).
Aujourd’hui, ce qu’aurait souhaité la personne, c’est la réouverture du dossier pour tentative de corruption (incitation à la fraude et à des actes illégaux et immoraux en échange d’un contrat et d’un financement) sur la personne d’un étudiant au sein d’une université publique.
L’affaire Séralini, c’est une affaire pénale, de violence faite sur une personne démunie et de dissimulation de preuves… A quand la justice ?

PS : Notre boîte mail s’est fait pirater en juillet. Comme elle ne sert de boîte de réception que pour l’affaire Séralini et quelques autres fraudes mineures (on a d’autres noms quand on travaille sur d’autres affaires), on pense que ce sont les copains de Séralini, le Criigen, Nicolino et cie qui ont fait le coup (qui d’autre ?) afin de connaître notre véritable identité. Nicolino (il n’a même pas de diplôme !) a désespérément cherché à savoir qui nous étions. Ils ont oublié qu’on a l’habitude de se coltiner les escrocs des sectes et qu’aucun message n’est jamais échangé sur nos boîtes mail qui nous servent uniquement à réceptionner des messages, jamais à en envoyer. Pour communiquer entre nous, on utilise la bonne vieille méthode du papier-crayon et du téléphone ! Il est donc inutile que les mafieux du Criigen essaient encore de nous pirater.

Rien à ajouter …

 

Lettre ouverte à Corinne Lepage

Nucléaire: Corinne Lepage doute de la fermeture de Fessenheim en 2016

PARIS – La député européenne Corinne Lepage s’est dit assez sceptique sur la possibilité juridique, technique et financière de fermer la centrale nucléaire alsacienne de Fessenheim d’ici fin 2016, comme s’y est de nouveau engagé François Hollande vendredi à la conférence environnementale.

Le président l’a réaffirmé, je m’en réjouis mais je ne suis pas sure qu’il puisse le faire, a déclaré sur France Inter samedi Mme Lepage, qui est aussi l’avocate de collectivités françaises, suisses et allemandes qui avaient demandé la fermeture de Fessenheim pour des raisons de sécurité. L’Association trinationale de protection nucléaire a été déboutée par la justice administrative ce printemps. (…)

(©AFP / 21 septembre 2013 12h05)

Flagrant mélange des genres, chère Madame Lepage, abstenez-vous de faire de la politique et d’exercer vos activités d’avocate ouvertement positionnée contre l’énergie nucléaire. Vous savez d’ailleurs fort bien que l’on ne pourra pas se passer de cette source d’énergie ni dans un proche avenir ni dans le futur. Ne vous voilez donc pas la face et cessez de faire de la démagogie de caniveau comme le faucheur d’OGM devenu votre remplaçant dans le gouvernement actuel. Si vous possédez des arguments non équivoques permettant de prouver que l’énergie nucléaire doit être abandonnée, présentez-les une fois pour toute au lieu de faire de la politique de mauvaise qualité au micro de France Inter ou en allant fumer des joints avec les activistes ubuesques de Négawatt !!!