Les statistiques officielles indiquent que la pandémie SARS-CoV-2 a provoqué la mort de 6 597 328 personnes dûment répertoriées comme étant mortes des conséquences de l’infection par le virus. Pourtant l’Association Internationale pour la protection contre les Rayonnements Ionisants (AIPRI) a indiqué que les Nations-Unies avaient noté une surmortalité de 23,4 millions de personnes durant la période de trois années 2020-2022 couvrant la pandémie de coronavirus. Cette estimation tient compte de l’augmentation du nombre total de décès en raison de l’augmentation de la population mondiale comme l’indique la figure ci-dessous.
En tenant compte de cette augmentation extrapolée sur la période 2020-2022 il apparaît que la surmortalité observée est donc de 23 603 454 en tenant compte de l’augmentation « naturelle » du nombre de morts chaque année. Comme le nombre officiel de morts par coronavirus est de 6 697 328 quelles sont les causes permettant d’expliquer l’excédent de décès enregistré par les instances onusiennes de 16 906 126 ? Selon L’ONU durant les années 2021 et 2022, « années vaccinales », l’excédent de mortalité inexplicable a atteint 14 298 932.
Rapprocher la politique « vaccinale » massive décidée par les pouvoirs politiques de cet excédent de décès relèverait-il du complot ? Il faut constater que l’extrême complexité qu’ont rencontré les médecins traitants pour faire remonter vers les instances officielles les effets adverses et les décès « par vaccin », complexité mise en place à dessein pour très largement sous-estimer ces effets indésirables y compris les décès a eu pour conséquence bien identifiée que moins de 1 % des « morts par vaccin » ont été comptabilisés, alors on peut se poser quelques questions. De plus il y eut une quasi impossibilité de réaliser des autopsies pour déterminer les causes d’un décès pour des raisons législatives dans de nombreux pays à la suite de « morts après vaccin ». S’il y a eu complot celui-ci a été organisé par les pouvoirs politiques à la demande des laboratoires pharmaceutiques fournisseurs de ces « vaccins ». Le nombre de morts « par vaccin » est donc plus du double de celui « par virus ». Pour être honnête il faudrait enfin ajouter à ce nombre de morts ceux provoqués par les anticorps facilitant une nouvelle infection par le virus ou une deuxième infection car il s’agit également d’une conséquence de la « vaccination ». En somme il faudrait envisager non pas quelques 14 millions de morts mais plus probablement une quarantaine de millions voire beaucoup plus, l’équivalent de la population d’un pays comme l’Argentine ! Note. L’ADE (antibody dependent enhancement) a été observé par le passé avec des vaccins expérimentaux contre la dengue et observée très tôt pour le coronavirus ( doi : 10.1016/j.ijid.2020.09.015 ) dès l’année 2010 et pourtant la campagne massive de « vaccination » n’a pas été arrêtée comme cela aurait du être décidé par l’OMS. Il y a donc bien eu un complot criminel. Une autre fausse pandémie avec un autre virus manipulé en laboratoire et un « vaccin » déjà au point pour tuer et non pas protéger apparaîtra-t-elle pour tuer cette fois un gros milliard d’être humains afin de satisfaire à l’agenda des malthusiens qui veulent gouverner le monde ? Source : https://aipri.blogspot.com/2023/03/lonu-annonce-une-surmortalite-de-236.html
Xavier Azalbert (France-Soir) vient de frapper un grand coup en invitant à une longue conversation le Docteur Joseph Tritto, Président de la World Alliance for Biomedicine & Technology ( http://www.thewabt.com/WWO_organization.aspx ). Cet honorable médecin, dont j’ignorais l’existence avant cette entrevue magistrale, a méticuleusement décortiqué la genèse du SARS-CoV-2. Il a clarifié le rôle de Moderna dont le CEO est un transfuge de la société Biomérieux dans ce projet et la lourde responsabilité d’Antony Fauci qui, pour laver les Etats-Unis de tout soupçon, a financé les recherches dans le laboratoire P4 de Wuhan spécialisé dans l’étude des coronavirus de chauve-souris. Cette manœuvre avait en réalité pour but de masquer les longs travaux au sein des laboratoires de l’armée américaine sur les virus du SARS-1 et du MERS dès le début des années 2000. L’intervention de l’OMS, par conséquent en sous-main de Bill Gates, dans cette grossière manœuvre devait laver la conscience des militaires américains et rejeter l’erreur sur le laboratoire P4 de Wuhan. Antony Fauci est donc pour Joseph Tritto au cœur de cette sombre histoire.
Tritto insiste sur le fait que l’insert de 19 nucléotides breveté par Moderna pour induire un gain de fonction datait bien de 2016. Les Chinois ont également créé un virus génétiquement modifié en introduisant un insert différent d’origine bactérienne qui est indétectable par les généticiens. Comme je l’ai écrit à plusieurs reprises sur ce blog Moderna n’a pas pris la précaution de vérifier que les codons de l’arginine insérés dans l’ARN du virus n’étaient jamais rencontrés chez les coronavirus, ce qui signait la supercherie. Le Docteur Alexandra Henrion-Caude l’avait très vite signalé d’ailleurs.
Bref cet entretien révèle le montage invraisemblable qui a conduit au désastre de la pandémie. Mais il y a bien pire et le Docteur Tritto en dit un mot dans son entrevue en anglais, pour stabiliser l’ARN messager utilisé pour la thérapie génique appelée abusivement vaccin. L’armée américaine, dans sa grande mansuétude, a également financé dès 2016 la mise au point d’une technique de protection faisant appel à la technique de l’ARN messager supposé obliger l’organisme à produire l’antigène de surface du coronavirus, la sous-unité 1 de la protéine de la spicule d’attachement du virus à la membrane cellulaire. La préoccupation de l’armée américaine était de protéger ses personnels contre une nouvelle arme bactériologique, en l’occurence un virus artificiellement modifié qui puisse servir d’arme de destruction massive. On connait la suite car cette protéine s’est révélée toxique en induisant une multitude d’effets secondaires dont on ignore encore les effets à long terme sur cinq, dix ans voire plus.
Dans son exposé en anglais Tritto mentionne également la toxicité des nano-particules de lipides synthétiques protégeant l’ARN messager injecté à des milliards de personnes. Si les investigations sur les ovaires n’ont pas encore été clairement détaillées en revanche un effet sur les testicules et la prostate a été bien documenté. Ces nano-particules provoquent des troubles graves de la spermatogenèse et ont également tendance à s’accumuler dans la prostate et encore une fois personne ne peut prévoir quelles seront les conséquences de ce phénomène à cinq ou dix ans. Selon Tritto il s’agit bien d’un gigantesque complot organisé dès 2016 par l’armée américaine …
Joseph Tritto a exposé l’histoire de l’hydroxychloroquine. Au cours des années 2000 les biologistes chinois avaient décrit l’effet inhibiteur de l’hydroxychloroquine sur l’accrochage du virus sur la membrane des cellules épithéliales et ces résultats avaient été publiés dans une revue scientifique mais écrits en chinois avec seulement un court résumé en anglais comme par exemple en France les Comptes Rendus de l’Académie Française publient des articles en français avec un petit résumé en anglais. L’impact de cet article fut presque nul mais des curieux comme le Professeur Raoult en France s’intéressèrent à ces travaux. À l’IHU de Marseille le mode d’action de l’HCQ fut précisé. Cette molécule inhibe bien la fixation du virus sur les cellules épithéliales mais provoque également un alcalinisation du milieu intracellulaire et par conséquent une inhibition de la réplication du virus. Comme l’a précisé Joseph Tritto la confirmation de l’effet bénéfique de l’HCQ a été confirmé dans tous les pays d’Afrique dont l’usage est prophylactique pour la prévention de la malaria.
Joseph Tritto est revenu sur la technique à ARN messager. Cette technique a été mise au point par le Docteur Robert Malone. Ce dernier a toujours insisté sur le fait que cette approche devait être considérée comme expérimentale et en dernier recours pour tenter de soigner des formes de cancers réfractaires à tous les traitement chimiques connus. L’interdiction de l’HCQ puis de l’ivermectine fait naturellement partie du complot ourdi par l’armée américaine. Aveuglés par les perspectives prometteuses de la technique à ARN messager dans le fait qu’il serait possible sur le papier de mettre au point rapidement une sorte de thérapie de protection contre tout agent pathogène nouvellement manipulé en laboratoire afin de protéger les personnels militaires, les laboratoires pharmaceutiques étaient prêts à inonder très rapidement le monde entier avec des pseudo-vaccins pour le plus grand bénéfice de ces mêmes laboratoires pharmaceutiques. C’est la raison pour laquelle l’interdiction de l’HCQ fut imposée à tous les pays qui suivent les directives des organismes tels que le CDC et le NIH aux USA, directives reprises par l’OMS.
Enfin l’« affaire » des tests de diagnostic utilisant la technique dite PCR, car il s’agit bien d’une gigantesque affaire au sens financier du terme, a également été abordée par Tritto. Ce sont des milliards de dollars qui ont été engloutis dans ces tests. J’ai utilisé cette technique au cours de mes travaux de recherche et je la connais bien. Comme je l’ai déjà mentionné sur ce blog la technique PCR n’est opérationnelle qu’en présence d’ADN double brin. Quand il s’agit d’amplifier la présence d’ARN il faut d’abord convertir cet ARN en ADN avec un enzyme appelé transcriptase réverse (RT en anglais, ne pas confondre avec Russia Today). Les cycles d’amplification permettent d’isoler un gène pour en étudier ensuite la séquence de nucléotides. Il s’agit d’une technique initialement utilisée en recherche dans le domaine de la biologie moléculaire. Je me souviens n’avoir utilisé que 16 cycles d’amplification pour isoler le gène codant pour une protéine présentant une activité enzymatique. Au delà de 16-20 cycles d’amplification à l’aide d’une amorce synthétique, un petit morceau d’ADN, dérivée dans ce type d’investigation de la séquence d’un fragment de la protéine en question après séquençage des amino-acides de celle-ci, on commence à voir apparaître n’importe quoi. C’est la raison pour laquelle le test dit PCR ne peut pas être utilisé comme outil de diagnostic en raison de l’apparition inévitable de faux positifs. Des firmes spécialisées dans la production de réactifs pour les laboratoires de recherche, en particulier allemands et américains, ont sauté sur l’occasion pour réaliser d’immenses profits en proposant ce test pour le dépistage des cas « positifs » PCR-coronavirus autorisant les gouvernements occidentaux à mettre en place des mesures coercitives mais surtout à favoriser la bonne santé financière de ces fabricants de réactifs de laboratoire. On connait la suite : les nombres de cas augmentent donc il faut procéder à des rappels de « vaccins » et la mécanique de la machination s’auto-entretient, indépendamment du fait que cette « vacination » fait apparaître des anticorps facilitants qui fragilisent les sujets sains à une nouvelle infection. Les tests PCR font partie de ce complot coronaviral !
Il faut écouter avec une grande attention les propos de Giuseppe Tritto. Selon mes informations son ouvrage dans lequel il détaille ses travaux d’enquête tous factuellement vérifiés est malheureusement en italien car la somme d’informations qu’il a divulgué au cours de ses deux exposés est tout simplement extraordinaire … Liens :
Remarques liminaires de votre serviteur. Le titre de ce billet est alternatif à celui de l’article ci-dessous de F. William Engdahl initialement paru sur le site New Eastern Outlook (lien en fin de billet) et traduit par le Saker francophone pour Réseau International. Je reproduis l’intégralité de cet article en français. Il est opportun de rappeler ici les récents incendies qui ont ravagé les élevages intensifs d’animaux dans de nombreux pays européens ainsi qu’en Amérique du Nord. Ces évènements ont été classés parmi les faits divers mais ils avaient un but précis : fragiliser les circuits de production de protéines animales (volaille, porc, bovins, poisson d’élevage) dans les pays occidentaux, afin que les consommateurs se familiarisent avec des linéaires de supermarché vides, la première manifestation du véritable complot ourdi par leurs auteurs dénoncés dans l’article ci-dessous. Non satisfaits par l’augmentation décevante de la mortalité et la réduction tout aussi décevante des naissances qui devait être une conséquence directe et souhaitée des injections massives d’ARN messager pratiquées dans ces mêmes pays occidentaux (commercialisés dans l’urgence dans le cadre d’une autorisation temporaire de mise sur le marché), les auteurs de ce complot s’attaquent maintenant à la disponibilité en nourriture qui va inexorablement diminuer et se raréfier au cours des prochaines années. Il apparaît urgent que les pays comme la Chine, l’Inde, la Russie ou encore le Brésil prennent les mesures adéquates pour contrer ce complot occidental. J’ajouterai enfin que ce complot est adossé au mythe, au dogme, de l’effet néfaste du CO2 sur le climat.
Les critères ESG auxquels sont soumis les grands organismes financiers sont la face cachée de ce projet de famine organisée qui va enfin permettre une diminution satisfaisante de la population. Pourtant le CO2 est la source de toute vie halieutique, animale et végétale sur Terre. Ces organisations bien décidées à décimer la population mondiale sont donc bien des organisations complotistes au sens littéral du terme.
Guerre contre l’agriculture mondiale : L’Agenda 2030 « durable » non-durable des Nations unies
par F. William Engdahl
Au cours des dernières semaines, un assaut coordonné contre notre agriculture – la capacité de produire la nourriture nécessaire à l’existence humaine – a commencé. La récente réunion gouvernementale du G20 à Bali, la réunion de la COP27 de l’Agenda 2030 des Nations unies en Égypte, le Forum économique mondial de Davos et Bill Gates sont tous complices. En général, ils utilisent un cadre linguistique dystopique pour donner l’illusion qu’ils font le bien, alors qu’ils font en réalité avancer un programme qui conduira à la famine et à la mort de centaines de millions, voire de milliards de personnes si on le laisse se poursuivre. Il est dirigé par une coalition d’argent.
Du G20 à la COP27 au WEF
Le 13 novembre, le G20 – représentants des 20 nations les plus influentes, dont les États-Unis, le Royaume-Uni, l’Union européenne (bien qu’il ne s’agisse pas d’une nation), l’Allemagne, l’Italie, la France, le Japon, la Corée du Sud et plusieurs pays en développement, dont la Chine, l’Inde, l’Indonésie et le Brésil – a adopté une déclaration finale.
Le premier point majeur est un « appel à une transformation accélérée vers des systèmes agricoles et alimentaires et des chaînes d’approvisionnement durables et résilients». En outre, « travailler ensemble pour produire et distribuer des aliments de manière durable, veiller à ce que les systèmes alimentaires contribuent mieux à l’adaptation au changement climatique et à son atténuation, et arrêter et inverser la perte de biodiversité, diversifier les sources d’alimentation… » Ils ont également appelé à un «commerce agricole inclusif, prévisible et non discriminatoire, fondé sur les règles de l’OMC ». De même, « Nous sommes déterminés à soutenir l’adoption de pratiques et de technologies innovantes, notamment l’innovation numérique dans l’agriculture et les systèmes alimentaires, afin d’améliorer la productivité et la durabilité en harmonie avec la nature… » Vient ensuite la déclaration révélatrice : «Nous réitérons notre engagement à atteindre l’objectif mondial de zéro émission nette de gaz à effet de serre/neutralité carbone vers le milieu du siècle» ( https://www.consilium.europa.eu/media/60201/2022-11-16-g20-declaration-data.pdf. ).
« Agriculture durable » avec « zéro émission nette de gaz à effet de serre » est un double langage orwellien. Pour un étranger à la linguistique de l’ONU, ces mots sonnent trop bien. Ce qui est en fait promu, c’est la destruction la plus radicale de l’agriculture et de l’élevage au niveau mondial sous le nom d’« agriculture durable ». Quelques jours seulement après la conférence du G20 à Bali s’est tenue en Égypte la réunion annuelle du Sommet climatique de l’Agenda vert des Nations unies COP27. Là, les participants de la plupart des pays des Nations unies, ainsi que des ONG telles que Greenpeace et des centaines d’autres ONG vertes, ont rédigé un deuxième appel. La COP27 a lancé quelque chose qu’ils appellent de manière révélatrice FAST – la nouvelle initiative de l’ONU sur l’alimentation et l’agriculture pour une transformation durable (FAST). Fast, comme dans « s’abstenir de manger… ». Selon Forbes, l’initiative FAST favorisera une « transition vers des régimes alimentaires sains, durables et résistants au climat, et contribuera à réduire les coûts liés à la santé et au changement climatique d’un montant pouvant atteindre 1,3 billion de dollars, tout en soutenant la sécurité alimentaire face au changement climatique ». Nous parlons de gros chiffres. La transition vers des « régimes alimentaires sains, durables et résistants au climat » permettrait de réduire le coût du changement climatique de 1,3 billion de dollars (https://www.theburningplatform.com/2022/11/13/lab-grown-meat-nuclear-yeast-vats-cop27-reignites-the-war-on-food/ ). Que se passe-t-il réellement derrière tous ces mots ?
De grosses sommes d’argent
Selon l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO), qui s’est adressée à Reuters lors de la COP27, la FAO lancera d’ici un an un plan directeur « de référence » pour la réduction des gaz à effet de serre issus de l’agriculture. L’impulsion de cette guerre contre l’agriculture vient, sans surprise, des grandes fortunes, de l’Initiative FAIRR, une coalition de gestionnaires d’investissements internationaux basée au Royaume-Uni qui se concentre sur «les risques et opportunités ESG matériels causés par la production animale intensive ». Parmi leurs membres figurent les acteurs les plus influents de la finance mondiale, notamment BlackRock, JP Morgan Asset Management, l’allemand Allianz AG, Swiss Re, la banque HSBC, Fidelity Investments, Edmond de Rothschild Asset Management, Credit Suisse, Rockefeller Asset Management, la banque UBS et de nombreuses autres banques et fonds de pension, avec un total d’actifs sous gestion de 25000 milliards de dollars (https://www.fairr.org/about-fairr/network-members/page/14/ ). Ils ouvrent maintenant la guerre à l’agriculture comme ils l’ont fait pour l’énergie. Le directeur adjoint de la FAO chargé des politiques relatives au changement climatique, Zitouni Ould-Dada, a déclaré lors de la COP27 : « Jamais auparavant l’alimentation et l’agriculture n’avaient fait l’objet d’autant d’attention. Cette COP est définitivement la bonne» ( https://www.reuters.com/business/cop/cop27-un-food-agency-plan-farming-emissions-launch-by-next-year-after-investor-2022-11-10/ ).
La FAIRR affirme, sans preuve, que « la production alimentaire représente environ un tiers des émissions mondiales de gaz à effet de serre et constitue la principale menace pour 86% des espèces en voie d’extinction dans le monde, tandis que l’élevage de bétail est responsable des trois quarts de la disparition de la forêt amazonienne ». La FAO prévoit de proposer une réduction drastique de la production mondiale de bétail, en particulier des bovins, qui, selon FAIRR, sont responsables de « près d’un tiers des émissions mondiales de méthane liées à l’activité humaine, libérées sous forme de rots de bovins, de fumier et de cultures fourragères ». Pour eux, la meilleure façon de mettre fin aux rots et au fumier de vache est d’éliminer le bétail.
Une agriculture durable non viable
Le fait que la FAO des Nations unies soit sur le point de publier une feuille de route visant à réduire de manière drastique les soi-disant gaz à effet de serre émis par l’agriculture mondiale, sous le prétexte fallacieux d’une « agriculture durable », sous l’impulsion des plus grands gestionnaires de fortune du monde, dont BlackRock, JP Morgan, AXA et d’autres, en dit long sur le véritable programme. Ces institutions financières sont parmi les plus corrompues de la planète. Elles ne mettent jamais un centime là où elles ne sont pas assurées de faire d’énormes bénéfices. La guerre contre l’agriculture est leur prochaine cible.
Le terme « durable » a été créé par le Malthusian Club of Rome de David Rockefeller. Dans leur rapport de 1974, « L’humanité au tournant », le Club de Rome a fait valoir :
« Les nations ne peuvent pas être interdépendantes sans que chacune d’entre elles renonce à une partie de sa propre indépendance, ou du moins reconnaisse des limites à celle-ci. Le moment est venu d’élaborer un plan directeur pour une croissance organique durable et un développement mondial fondé sur une répartition mondiale de toutes les ressources finies et un nouveau système économique mondial (https://web.archive.org/web/20080316192242/http:/www.wiseupjournal.com/?p=154 )».
Telle était la formulation initiale de l’Agenda 21 des Nations unies, de l’Agenda 2030 et de la grande réinitialisation de Davos en 2020. En 2015, les nations membres de l’ONU ont adopté ce que l’on appelle les Objectifs de développement durable ou ODD : 17 objectifs pour transformer notre monde.
L’objectif 2 est « Éliminer la faim, assurer la sécurité alimentaire et une meilleure nutrition et promouvoir une agriculture durable ».
Mais si nous lisons en détail les propositions de la COP27, du G20 et du WEF de Davos de Klaus Schwab, nous découvrons ce que signifient ces belles paroles. Aujourd’hui, nous sommes inondés d’affirmations, non vérifiées, par de nombreux modèles de groupes de réflexion financés par des gouvernements ou par le secteur privé, selon lesquelles nos systèmes agricoles sont une cause majeure du réchauffement climatique. Pas seulement le CO2, mais aussi le méthane et l’azote. Pourtant, tout l’argument des gaz à effet de serre, selon lequel notre planète est au bord d’un désastre irréversible si nous ne changeons pas radicalement nos émissions d’ici 2030, est une absurdité invérifiable provenant de modèles informatiques opaques. Sur la base de ces modèles, le GIEC des Nations unies insiste sur le fait que si nous n’empêchons pas une augmentation de la température mondiale de 1,5 °C par rapport au niveau de 1850, la fin du monde est imminente d’ici 2050.
La guerre ne fait que commencer
Les Nations unies et le WEF de Davos se sont associés en 2019 pour faire progresser conjointement l’Agenda 2030 des Nations unies en matière de développement durable. Sur le site web du WEF, il est ouvertement admis que cela signifie se débarrasser des sources de protéines carnées, introduire la promotion de la fausse viande non éprouvée, préconiser des protéines alternatives telles que les fourmis salées ou les grillons ou vers moulus pour remplacer le poulet ou le bœuf ou l’agneau. Lors de la COP27, la discussion a porté sur «les régimes alimentaires qui peuvent rester dans les limites de la planète, notamment en réduisant la consommation de viande, en développant des alternatives et en encourageant le passage à davantage de plantes, de cultures et de céréales indigènes (réduisant ainsi la dépendance actuelle vis-à-vis du blé, du maïs, du riz et des pommes de terre (https://cop27.eg/assets/files/days/COP27%20FOOD%20SECURITY-DOC-01-EGY-10-22-EN.pdf ) ».
Le WEF encourage le passage d’un régime alimentaire à base de protéines de viande à un régime végétalien, en faisant valoir qu’il serait plus «durable » (https://www.weforum.org/agenda/2022/10/vegan-plant-based-diets-sustainable-food/ ). Il promeut également des alternatives de viande de laboratoire ou à base de plantes, comme les Impossible Burgers financés par Bill Gates, dont les propres tests de la FDA indiquent qu’ils sont probablement cancérigènes car ils sont produits avec du soja OGM et d’autres produits saturés de glyphosate. La PDG d’Air Protein, une autre entreprise de fausse viande, Lisa Lyons, est une conseillère spéciale du WEF. Le WEF promeut également les protéines d’insectes comme alternatives à la viande. Notez également qu’Al Gore est un administrateur du WEF (https://www.weforum.org/podcasts/house-on-fire/episodes/have-we-reached-the-end-of-meat ).
La guerre contre l’élevage d’animaux pour la viande devient de plus en plus sérieuse. Le gouvernement des Pays-Bas, dont le Premier ministre Mark Rutte, anciennement d’Unilever, est un contributeur à l’agenda du WEF, a créé un ministre spécial pour l’environnement et l’azote, Christianne van der Wal. En s’appuyant sur des lignes directrices de protection de la nature Natura 2000 de l’UE, jamais invoquées et dépassées, conçues prétendument pour « protéger la mousse et le trèfle » et basées sur des données d’essai frauduleuses, le gouvernement vient d’annoncer qu’il va fermer de force 2500 exploitations bovines à travers la Hollande. Leur objectif est de forcer 30% des exploitations bovines à fermer ou à être expropriées.
En Allemagne, l’Association allemande de l’industrie de la viande (VDF) affirme que dans les quatre à six prochains mois, l’Allemagne sera confrontée à une pénurie de viande et que les prix monteront en flèche. Hubert Kelliger, membre du conseil d’administration de la VDF, a déclaré : « Dans quatre, cinq ou six mois, nous aurons des manques sur les étagères ». Le porc devrait connaître les pires pénuries. Les problèmes d’approvisionnement en viande sont dus à l’insistance de Berlin à réduire de 50% le nombre de têtes de bétail afin de réduire les émissions liées au réchauffement climatique ( https://hotair.com/jazz-shaw/2022/11/21/germany-cutting-back-meat-production-to-fight-global-warming-n512518 ). Au Canada, le gouvernement Trudeau, autre produit du WEF de Davos, selon le Financial Post du 27 juillet, prévoit de réduire les émissions des engrais de 30% d’ici à 2030 dans le cadre d’un plan visant à atteindre le zéro émission dans les trois prochaines décennies. Mais les producteurs disent que pour y parvenir, ils devront peut-être réduire considérablement leur production de céréales.
Lorsque le président autocratique du Sri Lanka a interdit toute importation d’engrais azotés en avril 2021 dans un effort brutal pour revenir à un passé d’agriculture « durable », les récoltes se sont effondrées en sept mois et la famine, la ruine des agriculteurs et les manifestations de masse l’ont contraint à fuir le pays. Il a ordonné que l’ensemble du pays passe immédiatement à l’agriculture biologique, mais n’a fourni aucune formation de ce type aux agriculteurs.
Si l’on ajoute à cela la décision politique catastrophique de l’UE d’interdire le gaz naturel russe utilisé pour fabriquer des engrais azotés, ce qui entraîne la fermeture d’usines d’engrais dans toute l’UE, et qui provoquera une réduction mondiale des rendements agricoles, ainsi que la fausse vague de grippe aviaire qui ordonne à tort aux agriculteurs d’Amérique du Nord et de l’UE de tuer des dizaines de millions de poulets et de dindes, pour ne citer que quelques cas supplémentaires, il apparaît clairement que notre monde est confronté à une crise alimentaire sans précédent. Tout ça pour le changement climatique ?
Lorsque le docteur en médecine Vladimir Zelenko, médecin généraliste, commença à constater au printemps 2020 que le SARS-CoV-2 tuait beaucoup plus de personnes que la grippe saisonnière, contrairement à la grande majorité de ses collègues médecins, il se pencha sur la bibliographie récente au sujet de ce nouveau virus. Et il découvrit des travaux très récents disponibles en « preprint » avant leur date de publication officielle. Ces travaux étaient relatifs au traitement précoce de l’infection par le coronavirus avec une bi-thérapie hydroxychloroquine-azithromycine confirmée par l’équipe de Professeur Didier Raoult en France :https://doi.org/10.1016/j.ijantimicag.2020.105949 . Le Docteur Zelenko appliqua le protocole en utilisant la posologie alors universellement connue pour traiter la malaria et l’azithromycine étant un antibiotique très largement prescrit. Les premiers cinquante patients que Zelenko traita furent tous guéris très rapidement et il publia à son tour ses travaux :https://doi.org/10.1016/j.ijantimicag.2020.106214 . Un peu naïvement Zelenko eut l’audace de prévenir le Président américain Donald Trump par courrier. Comme par un effet du hasard sa missive atterrit sur le bureau du Président qui s’empressa de déclarer publiquement que l’HCQ était un « don des dieux ».
À partir de cette courte prestation de Donald Trump le complot anti-HCQ se structura et s’accéléra pour plusieurs raisons. Tout ce que déclarait Donald Trump était un tissu de mensonges, selon les Démocrates, par conséquent cette histoire d’HCQ était une « fake-news ». Alors que les Laboratoires Gilead venaient de mettre au point une molécule active in vitro sur la réplication du virus, le Remdesivir, inspiré de travaux de recherche sur le virus de la fièvre Ebola, et que d’autres laboratoires et non des moindres envisageait sérieusement de mettre au point ce qui sera plus tard abusivement appelé un vaccin, en réalité la formulation d’un ARN messager provenant de la séquence du SARS-CoV-2 publiée par les Chinois au début de l’année 2020, modifié pour ne pas être trop rapidement dégradé dans l’organisme et formulé dans des nano particules de lipides de synthèse il était urgent de réagir contre cette funeste nouvelle de l’efficacité de l’HCQ. Les Démocrates, puissamment soutenus financièrement par les grands laboratoires pharmaceutiques prirent le train en marche et forcèrent les instances sanitaires, CDC, FDA et NIH, la plupart d’entre eux percevant de confortables émoluments de ces laboratoires y compris Gilead, pour construire aussi rapidement que possible une véritable obstruction dirigées contre l’HCQ. Il en ressortit que si l’HCQ ne présente aucun effet secondaire connu lorsqu’elle est utilisé en traitement contre la malaria, elle est par contre toxique, hautement toxique, si elle est utilisée avec des posologies similaires pour traiter l’infection au stade précoce par le coronavirus. Comprenne qui pourra mais ce véritable coup monté n’avait plus rien à voir avec la science médicale. Les médecins de ville, les premiers à voir les malades, furent rigoureusement interdits de prescription de l’HCQ, les pharmacies n’eurent plus l’autorisation de satisfaire une ordonnance comportant de l’HCQ. Seuls les patients souffrant de maladies auto-immunes comme la polyarthrite rhumatoïde ou le lupus pouvaient encore en obtenir mais difficilement.
Anthony Fauci, lui-même compromis dans cette cabale, abonda dans le sens de l’interdiction de l’HCQ puis de l’Ivermectine. Cette affaire prit rapidement une ampleur internationale. De nombreux médecins traitants et soignant leurs malades en leur âme et conscience furent interdits d’exercer la médecine comme par exemple le Docteur Meryl Nass dans l’Etat du Maine. En France l’immense infectiologue qu’est le Professeur Didier Raoult fit l’objet de menaces de mort, de calomnies invraisemblables, mais il resta droit dans ses bottes et ne succomba nullement à cette agressivité constante organisée et téléguidée par l’immense lobby pharmaceutique, un véritable état dans l’Etat qui dicte sa loi aux décideurs politiques quitte à les corrompre s’ils s’avèrent difficiles à convaincre.
Combien de morts auraient pu être évités si l’HCQ avait été généralisée en traitement préventif et prophylactique dès le printemps 2020 ? Les assassins devront payer un jour car il s’agit probablement de plusieurs millions de morts non pas gratuits mais pour le plus grand profit des laboratoires pharmaceutiques qui ne reculent devant rien et se révèlent être une véritable mafia criminelle. Il y a en effet les effets secondaires de ces « vaccins » toujours passés sous silence par les grands médias eux aussi corrompus. Avoir osé de la part des décideurs politiques d’injecter des centaines de millions de personnes avec un produit qui n’avait pas ses preuves, résultat de recherches et de mises de cette technique qui n’a jamais montré de résultats satisfaisants depuis 20 ans est tout aussi criminel … Ce bref billet est inspiré d’un article de Meryl Nass dont je conseille la lecture à mes lecteurs :http://anthraxvaccine.blogspot.com/2022/07/our-obituary-for-dr-zev-zelenko.html et pour tous ceux qui sont « vraiment » convaincus que la thérapie génique est souvent mortelle, ce long exposé du Docteur Joseph Mercola qui a subi la vindicte de la presse « presstitute » :https://www.lewrockwell.com/2022/07/joseph-mercola/pathologist-speaks-out-about-covid-jab-effects/
Comme je l’ai écrit à de nombreuses reprises les évidences s’accumulent pour maintenant affirmer que l’épidémie de SARS-CoV-2 était un coup monté de toute pièce pour divertir l’opinion publique, la terroriser et ainsi préparer le contrôle totalitaire de tous les peuples occidentaux à la mode chinoise. Les intérêts sous-jacents sont immenses car lorsque nous seront tous réduits à l’état de bétail avec un émetteur miniature sous la peau (et non pas comme les bovins avec des étiquettes jaunes fixées aux oreilles) pour être espionnés et suivis en permanence alors il sera trop tard et toutes nos libertés seront effacées. Un crédit « carbone » fera partie de la vie, la plus significative avancée dans le contrôle des peuples. « Vous ne posséderez rien et vous serez heureux » (Klaus Schwab) et les élites veilleront sur vous. Le droit de propriété sera aboli et tout s’enchainera très vite. Le coronavirus a été clairement reconstruit en laboratoire pour obtenir un gain de fonction en introduisant un site de clivage dit « site furine » dont les deux arginines sont codées par des triplets de bases jamais rencontrés dans les coronavirus connus dont les ARNs ont été séquencés. Cette séquence de nucléotides avait fait l’objet d’un brevet déposé par la firme Moderna. Je n’invente rien, cette étude a été publiée.
Les deux molécules ultra connues et utilisées dans le monde entier capables de traiter l’infection par ce virus modifié artificiellement ont été interdites … C’est suffisant pour affirmer qu’il y a eu un complot. Mais il y a plus grave encore. Les injections d’ARNm appelées abusivement vaccins provoquent des morts, des invalidités permanentes, des troubles variés très bien répertoriés. Pour tout autre vaccin de tels constats auraient immédiatement entrainé l’interdiction de son utilisation. Pourquoi une telle décision n’a pas été prise ? Parce ces mixtures d’ARN auront potentiellement des effets, dans dix ans peut-être, sur la fertilité, le but ultime recherché par l’élite. Le coronavirus a bon dos, il y a bien complot.
Le cas du réchauffement ou perturbation du climat est emblématique. Il s’agit bien d’un autre complot à l’échelle planétaire sauf pour tous les peuples qui vivent dans les régions tropicales, ceux-là même qui utilisent quotidiennement les deux molécules dont il est fait mention plus haut. Les variations du climat ne dépendent en rien des activités humaines comme le montre la figure ci-dessous.
Aucune activité humaine ne peut expliquer l’optimum climatique médiéval, certainement pas les hydrocarbures fossiles puisqu’ils n’étaient pas connus à l’exception du charbon lorsque les dépôts étaient facilement accessibles. L’histoire du CO2 est un coup monté et l’effet de serre qui lui est attribué repose sur des arguments fallacieux utilisés par les adeptes de la décroissance : trop de monde, trop de consommation, trop de déchets, trop de CO2 … C’est très facile de faire des amalgames dont le but ultime, comme dans le cas de l’épidémie coronavirale, permettra à l’élite mondiale apatride de dominer le petit peuple, réduit au silence, surveillé, traqué s’il ose contester la nouvelle loi, emprisonné et éliminé en cas de récidive. Les scientifiques osant critiquer la théorie du réchauffement du climat vont bientôt être jetés en prison. S’il n’y a pas un complot alors je n’ai rien compris. Et enfin si les choses ne se déroulent comme le désirent Klaus Schwab et ses affidés alors un nouveau virus apparaîtra comme le virus Hendra, par exemple, qui tue 95 % des personnes infectées tandis qu’elles ont tout le loisir de contaminer leur entourage avant que les premiers symptômes apparaissent, c’est nettement plus efficace que ce SARS-CoV-2 qui semble s’être évanoui et les populations seront complètement terrorisées. Une petite manipulation génétique des protéines d’attachement de ce virus aux cellules humaines et le tour sera joué. Les élites auront sous la main des anticorps monoclonaux pour se protéger, c’est déjà au point, comme elles se sont protégées avec de l’HCQ ou de l’Ivermectine, mais ça elles ne l’avoueront jamais. Comme l’a si bien écrit H16 dans son dernier billet, lorsqu’il faudra choisir cet hiver prochain entre se chauffer et se nourrir avec des aliments de plus en plus rares dans les supermarchés alors la situation sociale dans toute l’Europe explosera : virus ou pas, « vaccins », masques, et autres fantaisies des politiciens à l’imagination fertile … ne pas manger à sa faim effacera toute cette mascarade scandaleuse.
Que je sois traité de complotiste m’importe peu, par conséquent je continuerai à dénoncer les agissements des décideurs politiques qui ne s’appuient plus sur la science médicale pour protéger leurs concitoyens mais sur les directives issues de l’OMS, de l’Agence européenne du médicament et du CDC américain, ces organismes étant notoirement corrompus par les laboratoires pharmaceutiques occidentaux. En Europe la corruption a atteint un niveau grotesque en la personne d’Ursula von der Leyen, non contente d’avoir plongé dans des malversations intéressant de loin la justice allemande lors de son mandat de ministre de la défense de son pays. La caste dirigeante européenne ainsi que celle de tous les membres de l’Union s’est enrichie en percevant des bakchichs confortables en provenance du consortium américano-allemand pour qui un million de dollars est une broutille en regard du chiffre d’affaire de près de 100 milliards réalisé en obligeant tous les pays occidentaux à soumettre leur population à une injection d’un produit mortel.
Le complot a commencé avec la décision de l’OMS de déclarer une pandémie au sujet du SARS-CoV-2. C’était le premier signe du complot puisqu’il existait au moins un médicament administré des dizaines de milliards de fois dans le monde, je veux parler de l’hydroxychloroquine. Il n’y a pas de pandémie quand il existe un médicament efficace pour combattre l’agent infectieux. Les signes de complot se sont précisés ensuite avec l’interdiction de l’azithromycine au moins en France par le Ministre de la santé. Combien de centaines de milliers de dollars a-t-il perçu pour cette interdiction ? On ne le saura jamais et pour cause, comme dans beaucoup de pays occidentaux ces décisions sont classées confidentielles et par conséquent inaccessibles aux curieux. Enfin l’interdiction de l’ivermectine fut un nouvel argument pour considérer que cette histoire de covid était dès le début un complot organisé par les laboratoires pharmaceutiques pour vendre massivement leur poison.
Puisque ces politiciens ne se dédiront jamais à moins qu’ils soient présentés à la justice et qu’un jury populaire statue sur leur culpabilité l’Union européenne disposant encore de quelques milliards de doses de ce poison a décidé de prolonger l’obligation dite « vaccinale » puisque ce sont des dizaines de milliards d’euros qui risquent de disparaître. Alors la décision a été prise d’injecter cette saloperie dès la naissance. On est bien en face d’un complot ! Les essais cliniques du consortium américano-allemand ont enfin été rendues accessibles et les personnes courageuses qui se plongent dans la lecture de ce dossier de plusieurs dizaines de milliers de pages ne sont pas déçues. Ce consortium fameux puisqu’il pourrait être poursuivi pour fraude, car il y a bien eu fraude si on considère les documents remis à la justice américaine concernant les études de phase 2 de sa thérapie génique, se retrouverait alors déclaré coupable de dizaines de milliers de morts et d’infirmes des suites de cette thérapie expérimentale. S’il n’y a pas eu un complot depuis le début de cette histoire alors je dois perdre la tête. Je ne connais pas la firme BioNtech mais ce que tout le monde sait est que Pfizer est un habitué des fraudes, des mensonges, des omissions dans ses dossiers présentés aux autorités américaines.
Car avec le recul il faut se rendre à l’évidence : cette thérapie génique ne protège pas contre une infection, les « vaccinés » peuvent contracter la maladie et la transmettre, les personnes souffrant de formes graves après avoir été en contact avec le virus ne sont pas protégés, mais plus grave encore ce sont les effets secondaires de cette thérapie. Un autre argument en faveur d’un complot vraiment bien organisé est cette interdiction invraisemblable de procéder à des autopsies sur les personnes décédées à la suite de l’administration de cette thérapie génique. Il s’agit d’une négation de la mission du corps médical et c’est simple à comprendre. Les médecins sont censés guérir leurs patients et ne pas leur nuire. Si l’un de ces patients meurt à la suite de l’injection de ce poison le médecin a le droit de comprendre quelle est la cause de la mort de son patient, c’est une question d’éthique pour n’importe quel médecin. Je persiste donc à considérer cette histoire de SARS-CoV-2 comme un coup monté, en d’autres termes un complot organisé par des puissances supra-nationales qui nous échappent.
Les menaces que subissent les médecins qui osent faire remonter leurs diagnostics d’effets secondaires du cette « vaccination » que ce soit en Europe ou en Amérique du Nord. Les statistiques de l’organisme VAERS aux USA sont sous-estimées d’un facteur 20 à 50, c’est énorme. En Espagne j’ai été menacé par deux médecins quand je leur ai déclaré que je n’étais pas mort à cause du virus parce que je m’étais traité avec de la Nivaquine quelle était l’origine de leur réaction ? Encore une preuve d’un complot.
L’injection de ce poison mortel va être décidée par les autorités nord-américaines et européennes pour les nouveaux-nés et si vous voulez vous faire une opinion à ce sujet lisez cet article du Docteur Diane Perlman : https://coronawise.substack.com/p/before-its-too-late-before-you-jab et ceci est d’autant plus inquiétant que le consortium Pfizer-BioNtech a trafiqué tous ses résultats relatifs aux essais clinique incluant des enfants. Complot : oui, honnêteté intellectuelle et scientifique : non ! Tous les décideurs politiques sont complices de cette situation car ils ont institué ce pass vaccinal, une forme déguisée d’obligation … Et aussi ce reportage : https://www.youtube.com/watch?v=sGj71yqNAH4&ab_channel=NTDFran%C3%A7ais
Selon l’article de David J. Sorensen et du Docteur Vladimir Zelenko paru sur le site globalresearch.ca le nombre de morts dans tous les pays occidentaux qui ont de facto imposé la « vaccination » par ARN messager censée protéger d’un coronavirus, qui en est à son sixième variant et est devenu bénin, atteint un chiffre astronomique : plus de 5 millions dans ces pays occidentaux ou apparentés. L’estimation de ce chiffre est une extrapolation des faits répertoriés aux Etats-Unis, corroborés par les statistiques britanniques. L’incertitude est cependant très large. Il se peut qu’il s’agisse plutôt de 8 millions de morts pour ces seuls pays.
Il s’agit donc bien d’un génocide rampant qui ne dit pas son nom. Mais la situation va encore s’aggraver puisque des campagnes d’injections préventives sont d’ors et déjà organisées dès l’âge de 5 ans, ce qui est tout simplement criminel. Paradoxalement les moins malades sont ceux qui n’ont pas été « vaccinés » malgré le fait que les autorités prétendent le contraire. À ces morts il faut ajouter en toute honnêteté toutes les fausses-couches dont ont souffert les femmes enceintes ayant subi l’injection de ce produit mortel pour leur fœtus. On se trouve donc bien en face d’un génocide qui concerne surtout les pays développés ayant opté pour cette thérapie génique toujours considérée comme expérimentale ! Le retour d’expérience est clair : il s’agit bien d’un complot pour réduire la population puisque les injections de rappel sont prévues ad libitum. Du jamais vu dans l’histoire de la vaccination puisque si un nouveau vaccin provoque des morts ou trop d’effets indésirables au cours d’études de phase III il est immédiatement abandonné.
L’objectif de Bill Gates et du Forum économique mondial ne sera atteint que lorsqu’il y aura plusieurs centaines de millions de morts dans les pays occidentaux alors que le taux de natalité dans ces derniers pays ne permet plus un renouvellement des générations. Depuis le début de cette pandémie on assiste donc à un complot ourdi par ces organismes supranationaux qui veulent imposer leur vision malthusienne avec la complicité des laboratoires pharmaceutiques qui ne se plaindront pas des profits astronomiques qu’ils réalisent. Le virus lui-même a été manipulé pour introduire le site de clivage appelé furine (j’en ai dit un mot dans un précédent billet) et ce n’est pas fortuit. La séquence d’une dizaine de nucléotides introduite sciemment avait été brevetée par la société Moderna. Le complot date donc de plusieurs années avant le début de la pandémie en mars 2020. L’ARN messager supposé protéger les volontaires pour cette thérapie génique appelée abusivement vaccin code pour une partie de la protéine de la spicule du virus dite spike-1. Or l’expression de cette protéine chez un individu ayant reçu sa dose de cet ARN messager ne peut pas être contrôlée. Il n’y a pas de stoechiométrie comme dans le cas d’un vaccin à virus désactivé dont on connait le nombre de particules virales injectées qui est fini.
Cette protéine spike-1 est toxique, il n’y a plus aucun doute aujourd’hui compte tenu du désastre observé. Les gouvernements sont complices tout comme le CDC et la FDA aux Etats-Unis ou l’Agence européenne du médicament et pire encore l’OMS contrôlée par Bill Gates. Les infirmières sont complices puisqu’elles sont rémunérées au nombre d’injections qu’elles effectuent. Les médecins sont complices puisqu’ils n’ont plus toute la liberté de déclarer les effets secondaires et qu’ils nient, sur ordre, toute relation de cause à effet entre les injections d’ARN messager et par exemples les myocardites ou les arrêts cardiaques consécutifs à ces cardiopathies. Pire encore cette protéine spike-1 affaiblit les réponses immunitaires et le nombre de récidives de cancers a augmenté de 300 % quelques semaines après le début des campagnes de « vaccination ». Cet affaiblissement du système immunitaire s’est traduit par une forte augmentation du nombre de malades (et de décès) lorsque ces « vaccinés » se sont trouvé en contact avec le dernier mutant en date appelé omicron alors qu’il ne provoque qu’un rhume accompagné d’une fièvre passagère chez les non « vaccinés ».
Toutes ces observations réunies ne conduisent qu’à une seule conclusion : il s’agit d’un complot organisé en haut lieu pour réduire la population, mieux l’asservir et mieux la surveiller : sans vaccin on est un paria sous surveillance, avec « vaccin » et des fléchettes à répétition on est un bon citoyen mais l’espérance de vie est sérieusement diminuée.
Le 27 janvier 2021 j’avais laissé sur ce blog un billet concernant les apparitions incessantes de mutants du SARS-CoV-2 et le 27 mars un billet dénonçant la fake-news qu’était cette pandémie coronavirale. Au cours de mes lectures variées je suis tombé sur l’interview de Pierre Jovanovic relative au livre écrit par le journaliste Philippe Aimar intitulé « Enquête sur un virus », interview réalisée par le quotidien France-Soir. Le lien pour cette vidéo se trouve en fin de billet. Le mégalomane Bill Gates, il faut appeler un chat un chat, a organisé le coup monté de cette pseudo-pandémie supposée, de main de maître, avec la complicité de l’OMS, du Forum Économique Mondial et du lobby pharmaceutique occidental quitte a tuer des personnes gênantes, détruire des usines et provoquer des centaines de milliers de morts en interdisant les quelques médicaments capables de maîtriser le coronavirus ou pire encore des médicaments pouvant être utilisés massivement en prophylaxie afin de rapidement mettre un terme à cette épidémie. Quand il s’agit de dizaines voire de centaines de milliards de dollars tous les coups sont permis. Les confinements, les masques obligatoires, les couvre-feu sont de la poudre aux yeux pour terroriser les peuples. Le pire dans cette histoire on ne peut plus glauque est la complicité des dirigeants politiques européens qui ont délibérément laissé mourir des dizaines de milliers de citoyens qu’ils sont pourtant censés protéger. Ces peuples européens (essentiellement) ont été tellement intoxiqués par la propagande organisée par le lobby pharmaceutique via les médias, les décideurs politiques et l’OMS qu’ils sont devenus incapables de réagir à ce complot, car il s’agit bien d’un complot global parfaitement bien organisé depuis plusieurs années. Enfin (!) des journalistes commencent à remuer l’eau moribonde du marigot des affairistes transnationaux qui veulent in fine dominer le monde tout en protégeant le système bancaire qu’ils ont eux-mêmes fragilisé. Le coronavirus est un superbe alibi qui arrange tous ces criminels … Regardez Jovanovic : votre tête reviendra à la bonne place entre vos épaules !
Extrait d’une dépêche d’agence (ats/27.10.2013 18h32) :
Greenpeace: le Suisse Marco Weber en appelle au Conseil fédéral
(…)
« Je souhaiterais que le Conseil fédéral (suisse) dise franchement et publiquement aux Russes ce qu’il pense », écrit le Zurichois de 28 ans en réponse aux journaux dominicaux « Le Matin Dimanche » et la « SonntagsZeitung ». Il remercie malgré tout le gouvernement pour son soutien. Il reçoit régulièrement des visites du consulat suisse de Saint-Pétersbourg.
Comme lors d’une précédente lettre, il explique les conditions difficiles dans lesquelles il est retenu, avec des températures très froides et des promenades quotidiennes « dévalorisantes ». « La pièce est sale et humide », ajoute-t-il.
« Persuadé d’avoir bien agi »
Il se dit « persuadé d’avoir bien agi ». « Cela m’aide aussi à supporter l’injustice de ma détention », ajoute-t-il dans ces réponses envoyées avant l’allègement des charges retenues contre les 28 militants arrêtés.
Les chefs d’inculpation sont passés de « piraterie » à « hooliganisme ». Selon la loi russe, les personnes impliquées risquaient jusqu’à quinze ans de prison pour piraterie, alors que le hooliganisme est punissable de sept ans de prison au maximum. »
Ben voyons ! En violant les lois internationales, les militants de cette organisation prouvent bien qu’ils sont effectivement des terroristes à la solde, mais sans le savoir, de la CIA. Les gesticulations du gouvernement néerlandais n’y feront rien. Pou rappel, le bateau de Greenpeace bat pavillon des Pays-Bas. Honte à ce pays qui a accueilli ces hooligans après avoir essuyé des démêles avec la justice américaine (pour masquer le fait qu’ils sont télécommandés par la Maison Blanche) et qui de ce fait se rend coupable de l’appauvrissement programmé de l’Europe par le truchement de dispositions rétrogrades et malthusiennes que tous les Etats Européens imposent désormais à leurs ressortissants. Il va en coûter plus de 112 livres aux Anglais par an pour financer des projets imposés par les écologistes télécommandés par Greenpeace pour développer des énergies dites vertes (Guardian de ce jour) et combien aux Français, aux Italiens, aux Espagnols et aux Allemands ? La philosophie de Greenpeace c’est le retour à l’âge de pierre, aux silex taillés et aux vêtements faits de peaux de bêtes sauvages. Ce sont des rêveurs « persuadés de bien agir » pour le bien des générations futures. Qu’ils annoncent clairement leur projet qui est d’appauvrir l’Europe en faisant en sorte, par leur action imposée aux gouvernements, que l’énergie devienne tellement prohibitive que la ruine de l’économie européenne deviendra une réalité. Espérons que la Russie ne se laissera pas intimider par ces terroristes d’un genre nouveau.
Ce que je trouve surprenant c’est que personne ne réagisse au scénario que j’expose dans mon blog, à savoir le complot climatique. Je ne suis pas journaliste mais il y a tout de même un point de vue à creuser devant une hypothèse aussi audacieuse …
La Russie inculpe de piraterie les militants de Greenpeace
MOSCOU – La justice russe a prononcé mercredi de premières inculpations pour piraterie à l’encontre des trente militants de Greenpeace arrêtés la semaine dernière après une action contre une plateforme pétrolière dans l’Arctique. L’association écologiste a annoncé vers la mi-journée que cinq militants – un vidéaste britannique, Kieron Bryan, une Brésilienne, Ana Paula Alminhana Maciel, le Suédo-Américain d’origine russe Dmitri Litvinov, la Finlandaise Sini Saarela et le Russe Roman Dolgov – avaient été inculpés de piraterie en bande organisée. Ce chef d’inculpation est passible en Russie de peines de 10 à 15 ans de prison. (…)
Selon Alexandre Morozov, rédacteur en chef du site Rousski Journal, la sévérité des accusations est liée au fait que le Kremlin est persuadé qu’un « complot mondial » se joue derrière les actions de Greenpeace. Les autorités russes pensent qu’il ne s’agit pas de société civiles, mais des manigances de la CIA, que c’est une « commande », a-t-il déclaré à l’AFP.
Serait-ce une première confirmation des propos que j’ai tenu dans un précédent billet (29 septembre) intitulé « Le complot du climat ». A n’en pas douter les Russes ne s’avanceraient pas dans de tels arguments sans avoir auparavant réuni quelques preuves convaincantes … A suivre