La destruction du mâle américain, par Paul Craig Roberts

L’épine dorsale et la principale ressource de chaque pays est la population hétérosexuelle masculine. Sans eux, il n’y a pas de pays, pas de naissance pour remplacer les morts. Les hommes ont le tempérament et la force de se battre et de diriger. Ils protègent les femmes et les enfants, les biens et les frontières. Ils dirigent des familles, des collectivités, des entreprises et des gouvernements. Cela a toujours été leur rôle tout au long de l’histoire. Lorsque les hommes deviennent efficaces, la société s’effondre. En Amérique, cette ressource indispensable commence à être détruite.

Cette destruction commence avec les garçons, ce qui signifie qu’ils ne faut pas qu’il deviennent des hommes. Je me souviens quand les garçons étaient formés pour devenir des hommes. Ils ont subi plus de discipline et ont reçu plus d’indépendance que les filles, qui ont été formées pour nourrir et la maternité. Les rôles des filles et des garçons étaient aussi distincts que ceux des sexes. Il n’y avait pas de fille qui voulait être un garçon ou un garçon qui voulait être une fille. Le « transgenrisme » est une invention d’une société malade et mourante.

Tout ce qui concerne le fait de devenir un homme a été interdit. Les bagarres scolaires, sont aujourd’hui excuse pour appeler la police et arrêter les enfants, alors que ces bagarres faisaient partie de l’enfance. Le sport, c’est là que les garçons ont acquis de la confiance en apprenant à attraper une mouche, à attraper un petit animal, à donner un coup, à frapper un coup ou à se poursuivre dans le jardin. Les garçons ont été encouragés à ces exercises physiques. Ils avaient leur propre espace, des équipes qu’ils constituaient sur des terrains de sport, Little League, Boy Scouts. Ils avaient des emplois de garçons après l’école : distribuer des journaux, des sacs de courses depuis l’épicerie, tondre la pelouses, laver la voiture. Les filles ont acquis des compétences culinaires, des compétences en couture, des compétences artistiques et un comportement chaste, ce qui n’a pas empêché les femmes de se retirer de la vie professionnelle une fois devenues adultes. Ou alors il s’agissait d’auteurs, d’infirmières, de comptables, d’aides juristes, d’enseignantes, de scientifiques, d’universitaires.

La destruction de l’homme a commencé avec le féminisme. Les féministes ont été les premières défenseurs du « transgenrisme ». Elles ont insisté sur le fait qu’il n’y a aucune différence dans le rôle des hommes et des femmes. C’est l’insistance des féministes à dire que le rôle des hommes n’était pas meilleur que celui des femmes et que les femmes assumaient des rôles masculins ainsi que la promiscuité sexuelle des hommes, combinée à leurs attaques contre les hommes en tant que misogynes, qui a détruit le rôle des hommes dans la société. Tout à coup, ce n’était pas acceptable pour les garçons d’avoir leurs places. Les scouts devaient avoir des filles. Les équipes des petites ligues devaient avoir des filles. Pensez-y un instant. Les parents ont senti qu’ils devaient soutenir les sportives. Des éloges effusifs suivraient une fille qui réaliserait une prouesse physique, attraperait un petit animal, donnerait des coups. Mais comme ce sont des choses que les garçons étaient censés faire avec succès, ils n’ont pas reçu d’éloges, et tout est parti de là. À mesure que la « diversité » et le « multiculturalisme » progressaient en Amérique, il était moins sécuritaire pour les filles d’être aussi indépendantes dans leur foyer familial que les garçons. L’égalité sur laquelle les féministes ont insisté signifiait que l’indépendance des garçons devait être réduite. Aujourd’hui les parents américains qui permettent à leurs enfants masculins l’indépendance que ma génération a connu sont mis au pas et souvent punis pour mise en danger d’enfants.

Le désir féministe de transformer les femmes en hommes signifiait une diminution des rôles de leadership des hommes dans la société, alors que les femmes entraient en politique et que les entreprises subissaient des pressions pour créer un « équilibre entre les sexes » dans les rôles de direction ainsi que dans le milieu universitaire. Tout comme les Blancs sont mis de côté par l’accusation qu’ils se sentent supérieurs aux Noirs, les hommes sont mis de côté par l’affirmation qu’ils dominent les femmes. 

Il y a des années, Christina Hoff Sommers a parlé de la destruction du rôle des hommes dans la famille et la société, mais son avertissement n’a eu aucune conséquence. Aucune leçon n’a été apprise. Aujourd’hui, les problèmes comportementaux des garçons, la baisse de la performance scolaire, la dépression et les suicides découlant de la perte de leur rôle sont faussement expliqués par le fait que les filles ont une meilleure maîtrise de soi, que le développement des garçons est plus lent et attribué à des causes hormonales ou neurologiques présumées. Personne ne remarque que ces causes sont nouvelles, tout comme les conditions. Ni la cause ni les conditions n’étaient présentes lorsque les garçons avaient des rôles de leadership. 

Les faits sont flagrants. Les jeunes hommes blancs hétérosexuels normaux grandissent dans une société qui ne fait plus référence au mérite. Ils sont témoins de la préférence pour les femmes, de la préférence pour les Noirs, de la préférence pour les pervers sexuels. Qu’est-ce que les hommes blancs normaux en concluent ? Le vol de leur rôle de leader et le blâme pour vouloir dominer les autres.

Récemment, j’ai entendu des hommes de la génération passée comparer les femmes de leur époque à celles d’aujourd’hui. L’adoption par les jeunes jeunes femmes du string de la strip-teaseuse comme tenue de plage, l’utilisation féminine de mots de quatre lettres (ex. « fuck », « bull shit ») et ainsi de suite. Ils ont tous convenu que le soutien émotionnel qu’une femme a procuré à un époux est chose du passé. Ils se demandaient ce que cela signifiait pour les mariages des jeunes générations. Les mariages deviennent-ils exempts d’engagement ? Le mariage est-il devenu un contrat sexuel et économique temporaire qui, une fois qu’on en trouve un meilleur, devient nul ?

À mon époque, on interdisait aux garçons d’intimider les filles. Aujourd’hui, les hommes sont intimidés par les femmes. Le rôle des hommes aujourd’hui est de se mettre à l’écart des femmes et des minorités raciales privilégiées par des lois. Ce n’est pas une image d’une société qui réussit.

Remarques de votre serviteur. Hier j’ai longuement bavardé avec une jeune et charmante pharmacienne devenue il y a peu mère de famille. Elle assume son rôle de pharmacienne directrice d’une officine. Lorsque j’étais enfant la pharmacie du village était tenue par une femme, je ne me suis pas senti décalé dans le temps. Nous n’avons pas abordé ce problème de société qu’est le mouvement « féministe » car nous avions d’autres sujets de conversation beaucoup plus intéressants. Cette jeune femme est le type même de femme féminine, sobrement vêtue avec une touche d’élégance non ostentatoire, ce qui à mes yeux est aussi une marque de féminité car il y a tellement de femmes qui nient leur féminité en s’habillant comme des hommes, un jean et un T-shirt, deux mots provenant des Etats-Unis, le berceau de la culture « woke » et du féminisme, deux mouvements étant confondus puisqu’il s’agit dans les deux cas d’une négation de la culture passée et d’une négation de la différence des sexes. Cette différence est pourtant inscrite dans le patrimoine génétique. Je pense que si l’Assemblée générale des Nations-Unies avait encore un rôle elle devrait voter une résolution contraignante sur le plan mondial pour interdire les traitements hormonaux ainsi que les interventions chirurgicales dans le but de « changer de sexe » et condamner à de lourdes peines les médecins qui se livrent à de tels agissements car cette manipulation des individus est un crime et la directe conséquence de la culture dépravée moderne en provenance des Etats-Unis. Et puisque je me suis hasardé à mentionner les manipulations hormonales et chirurgicales pratiquées sur les candidates et candidats au changement de sexe phénotypique voici un fait divers révélateur (source BioEdge).

Une jeune américaine intente un procès aux médecins qui ont accepté de procéder une mastectomie (ablation des glandes mammaires) alors qu’elle était âgée de 13 ans.

Les enfants américains dont les vies ont été ruinées par les médicaments et la chirurgie sexo-spécifiques ont recours à la justice.

Le dernier cas à faire surface dans les médias est une Californienne de 18 ans, Layla Jane, qui poursuit les médecins de Kaiser Permanente, un énorme groupe médical américain. Ils lui ont donné des inhibiteurs de la puberté et de la testostérone quand elle avait 12 ans et ont pratiqué une double mastectomie radicale quand elle n’avait que 13 ans.

« Je ne pense pas qu’on aurait dû me permettre de changer de sexe avant que je puisse légalement consentir à avoir des relations sexuelles », a déclaré Layla sur Fox News. « Je ne pense pas être mieux placé pour vivre cette expérience, et je pense que la transition n’a fait qu’ajouter du carburant au feu qui était mes conditions préexistantes ».

Layla était une jeune fille de 11 ans gravement perturbée lorsqu’elle s’est auto-diagnostiqué une dysphorie de genre. Sa mère l’a emmenée chez des médecins qui lui ont recommandé la testostérone et une mastectomie après seulement deux consultations personnelles de 30 et 75 minutes.

La poursuite allègue que les médecins ont présenté aux parents de Layla le faux dilemme suivant : « préféreraient-ils avoir un fils vivant ou une fille morte? »

« Ce sont des décisions avec lesquelles je devrai vivre pour le reste de ma vie », a déclaré Layla dans un communiqué. « Je suis prête à me joindre au groupe croissant de « détransitionneurs » pour qu’aucun autre enfant n’ait à subir les tourments que j’ai subis aux mains de médecins en qui j’aurais dû avoir confiance ».

Son avocat, Harmeet Dhillon, du Center for American Liberty, à San Francisco, déclare que « ce soi-disant « traitement » de Layla par ses fournisseurs représente une expérience médicale méprisable et ratée qui a gravement violé les normes de soins ».

Mme Dhillon représente également Chloé Cole, une autre jeune femme qui a eu une double mastectomie à 15 ans parce qu’elle pensait qu’elle était vraiment de sexe masculin. Elle dit avoir reçu des milliers d’appels de « détransitionneurs » de tout le pays.

« Les fournisseurs de soins de santé de Layla ont grossièrement et imprudemment violé la norme de soins dans ce cas et dans d’autres », déclare Mme Dhillon. « Nous nous réjouissons à l’idée de les tenir responsables de ce qu’ils ont fait, et ensemble, nous cherchons à dissuader cette chaîne de montage, ce traitement insensible et destructeur des enfants avec ces pratiques éveillées, non scientifiques et barbares ».

Toujours de votre serviteur, la question que tout un chacun doit se poser devant de telles situations dramatiques est la suivante : ces médecins peu scrupuleux respectent-ils le Code de Nuremberg. L’assentiment d’un enfant de 13 ans est-il recevable ? Je citerai comme attitude exemplaire le cas du médecin que j’ai sollicité pour procéder à mon endroit à une vasectomie, je n’avais plus 13 ans mais 45 ans et j’étais parfaitement apte à peser le pour et le contre. Selon la loi et son devoir déontologique ce médecin a exigé de ma part un délai de réflexion de 8 jours après avoir exposé ses arguments et entendu les miens. Devant ma détermination il a procédé à cette acte chirurgical bénin dans une clinique, le tout remboursé par la couverture sociale française. J’ignore quelle est la position de cette même couverture sociale en ce qui concerne les traitement hormonaux et les interventions chirurgicales en ce qui concerne, en France, les candidats, filles ou garçons, au changement apparent de sexe. La loi devrait décider, si tel est le cas, le remboursement de tels actes car c’est toute la société qui devient alors complice de cette barbarie …

Pandémie de SARS-CoV-2 : la conclusion, et après ?

Je cite de mémoire cette pensée de Michel Maffesoli : « Je te fais peur, je te protège, mais tu te soumets ». Il est probable que cette citation soit inspirée de Machiavel mais je n’ai pas réussi à prouver cette allégation. Ce que l’on sait est que Lénine s’est inspiré du concept défini par la citation de Maffesoli. Pour Lénine il suffit de faire peur aux individus pour les dominer. À l’exception des Suédois, tous les peuples européens en ont subi les conséquences lors de l’épidémie de coronavirus. L’État a alimenté la peur, il a ensuite protégé ses administrés, quelles que fut la justification des décisions prises pour cette protection et finalement comme on put le constater les peuples se sont soumis sans discuter, persuadés que l’État les avait protégés à bon escient. Enfin Goebbels a appliqué à grande échelle ce concept machiavélique en assurant aux Allemands que les ethnies germaniques représentaient les « vrais hommes » à l’exclusion de toutes les autres ethnies, en particulier les juifs, les tziganes ou encore les slaves et qu’ils étaient par nature dangereux pour les aryens pure souche. Il est inutile de rappeler ici ce que furent les conséquences de cette propagande de Goebbels.

Les conséquences de la manipulation de la peur sont multiples et variées. Par exemple l’application du principe de précaution, un autre concept adossé à la peur, remonte à l’idéologie de Goebbels : il faut se méfier des Juifs, par exemple … Cette idéologie antisémite développée par Hitler fut le fondement de la politique du parti nazi allemand. Il faut tout de même rappeler un fait que les historiens ont tous occulté. Hitler souffrait des symptômes d’une syphilis au stade tertiaire. Il est vrai, à sa décharge, que durant la première moitié du vingtième siècle, alors que les antibiotiques n’existaient pas, cette maladie était beaucoup plus répandue qu’on ne le croit encore aujourd’hui. Il n’existait aucun traitement pour endiguer la progression de ce mal dont l’évolution détruisait le psychisme et les facultés cognitives des personnes en souffrant. Hitler était tout simplement atteint de démence.

Le principe de précaution a conduit et conduit toujours à des manifestations de peur surprenantes. Pour ne citer que quelques exemples caricaturaux, la peur du changement du climat, la peur des plantes génétiquement modifiées, la peur de la dégradation de l’environnement, la peur de l’énergie nucléaire, bref, toutes sortes de phobies entretenues à dessein par le pouvoir politique qui n’oublie aucune occasion pour dire à son peuple qu’il est là pour le protéger. C’est tellement facile de se comporter ainsi. Curieusement la technologie récente de pseudo-vaccins à ARN messager afin de combattre le SARS-CoV-2 qui n’a jamais fait ses preuves depuis plus de 20 ans n’a fait l’objet d’aucune opposition de la part des comités d’éthique ni de peur et pour cause : les gouvernements occidentaux ont alimenté la peur du coronavirus et selon l’adage cité plus haut et qui fait l’objet de ce billet : « Vous avez peur du coronavirus, l’Etat vous protège avec ce « vaccin ! » ». Cette machination machiavélique a autorisé ainsi les gouvernements à piétiner l’ensemble des dix articles du Code de Nuremberg, il fallait faire très fort : « l’Etat vous protège, mais vous devez vous soumettre ». Et dans le cas de la thérapie génique basée sur des ARNs messagers synthétiques « Vous devez vous soumettre puisque l’Etat vous protège ». Les 10 articles du Code de Nuremberg sont consultables ici : https://fr.wikipedia.org/wiki/Code_de_Nuremberg

Il est très intéressant de passer en revue ces articles et de les replacer dans le contexte de l’épidémie de coronavirus et la mise en place des campagnes de « vaccination ». Le premier article présente le consentement éclairé du sujet soumis à des expérimentations. L’a-t-on demandé aux personnes désirant être « vaccinées » ? Non, et cette opération a été imposée par le pouvoir politique. L’article 2 stipule qu’une telle approche expérimentale ne doit être choisie que s’il n’existe pas d’autres alternatives thérapeutiques, or l’efficacité de l’HCQ avait été démontrée près de 20 ans plus tôt avec le SRAS puis le MERS et cette observation avait fait l’objet d’une publication dans un journal d’audience internationale, L’effet très largement protecteur de l’Ivermectine aurait, selon le Code de Nuremberg, mettre fin à cette campagne de « vaccination » internationale puisque l’efficacité de cette thérapie génique a vite été mise en doute avec l’apparition de nouveaux virus mutants. L’article 3 précise que les expérimentations sur les animaux dont les résultats sont négatifs doivent mettre fin aux essais, or autant les hamsters que les petits primates de laboratoires sont morts après injection de l’ARN messager synthétique supposé être la panacée pour combattre le coronavirus, selon des divulgations des rapports de Pfizer et Moderna. L’article 4 du Code de Nuremberg précise que l’expérimentation ne doit conduire à aucune souffrance, y compris la mort, or cette thérapie, que l’on sache, est toujours considérée comme expérimentale et ce jusqu’à la fin de l’année 2023. En regard du comptage morbide des divers effets secondaires et des décès d’adultes en parfaite santé, enfants morts-nés et fausses-couches, cet article a été tout simplement violé.L’article 5 est éloquent : si l’expérimentation englobe également les médecins impliqués dans les essais, ceux-ci étant responsables, ils courent le même risque que les sujets soumis à cette expérimentations. Combien de médecins et de pharmaciens de Pfizer ou Moderna ont eux-mêmes participé à ces essais, il serait intéressant de disposer d’informations à ce sujet. L’article 6 précise le rapport bénéfice/risque sans le nommer. Les documents qu’a obtenu le Professeur Chossudovsky et figurant dans le lien en fin de billet du 5 mars 2023 sur ce blog sont également éloquents : ce rapport bénéfice/risque est tout simplement catastrophique et jamais cette thérapie génique n’aurait du être ni commercialisée ni par conséquent utilisée à grande échelle. L’article 7 revient sur les effets secondaires. Quant à l’application de l’article 8 de ce Code à l’évidence les évaluateurs des principaux laboratoires acteurs de la « Vaccination » étaient incompétents ou, sur ordre, ont dissimulé leurs observations. L’article 9 est à peine documenté dans le rapport de Pfizer : pour des raisons inconnues ou dissimulées, un nombre significatif de participants à l’expérimentation n’ont pas répondu aux questionnaire qui leur était demandé dans le cadre du contrat les liant aux laboratoires ou ont abandonné les essais pour des raisons non précisées dissimulant peut-être des effets secondaires délétères. Enfin l’article 10 précise la responsabilité des personnels compétents ayant suivi l’essai. On ne peut qu’exprimer un doute sérieux à ce sujet.

Le caractère d’urgence de cette vaccination a servi d’alibi aux décideurs politiques et ils sont responsables devant la loi pour avoir provoqué des morts et des invalidités, les laboratoires pharmaceutiques ayant pris le soin de se décharger de toute responsabilité pénale en raison de ce caractère d’urgence. Ne jouons pas sur les mots : toute cette histoire sent à en être suffoqué la corruption généralisée du monde politique sans oublier les traficotages éhontés des laboratoires pharmaceutiques. Il s’agit d’un crime contre l’humanité toute entière et non pas des évènements localisés comme ceux qu’on avance au sujet du conflit ukrainien ou des enfant yéménites qui meurent de faim. Et l’organisation de ce crime trouve ses racines dans la soif de profit des grandes firmes pharmaceutiques et le grand dessein du monde politique de financiariser la santé. Je ne citerai qu’un exemple révoltant de cette « financiarisation » du corps humain et de la santé. Il s’agit du projet d’utilisation de l’utérus de jeunes femmes en état de mort cérébrale pour servir de mères porteuses contre monnaie sonnante et trébuchantes, cela va de soi. Quoi qu’il en soit cette pandémie de SARS-CoV-2 a laissé des traces et devra être conclue par un grand procès à l’encontre des laboratoires pharmaceutiques et d’un nombre incalculable de décideurs politiques … Enfin j’aitrouvé une piste pour tenter de citer les propos de Michel Maffesoli. Il mentionne cet adage au cours d’une causerie organisée par Radio Courtoisie ( https://www.youtube.com/watch?v=sC6bHPZDo6Q ). Illustration : SARS-CoV-2 avec les spiculeshttps://www.biorxiv.org/content/10.1101/2020.03.02.972927v1.full.pdf

Scandale républicain à trois semaines de l’élection présidentielle !

Il s’agit d’un véritable scandale mais les grands médias n’en parleront pas. L’avocate au barreau de Paris Virginie de Araujo-Recchia a été arrêtée à son domicile ce mardi 22 mars 2022 et transférée dans les locaux de la DGSI à Levallois. Que lui reproche-t-on ? Spécialiste du droit constitutionnel Maître Araujo-Recchia a déposé une plainte contre les parlementaires faisant partie de la Commission mixte paritaire Sénat-Parlement ayant voté la loi du 5 août mettant en place le pass vaccinal pour non respect de la Constitution. Elle a également déposé une plainte au CSA contre les journalistes Emmanuel Lechypre et Martin Blachier pour affirmations mensongères sur les plateaux des grands médias au sujet de la « vaccination » devenue obligatoire pour plusieurs catégories professionnelles.

Maître Araujo-Recchia est également membre d’un collectif européen d’avocats mis en place par l’avocat allemand Reiner Fuellmich pour tenter d’élucider le scandale de la « vaccination » par ARN messager contrevenant aux dispositions du Code de Nuremberg. L’arrestation de Maître Araujo-Recchia a suscité une grande émotion dans de nombreux pays européens et au delà puisque des associations québecoises et même australiennes ont manifesté leur surprise et leur consternation.

La « vaccination » de masse avec un produit expérimental entre dans le cadre d’une conspiration criminelle car le simple fait que les gouvernements occidentaux aient garanti l’impunité judiciaire aux laboratoires pharmaceutiques produisant ces supposés vaccins constitue une grave anomalie juridique et éthique­. Au fur et à mesure que les informations permettent de reconstituer cette conspiration internationale il apparaît que l’objet de cette « vaccination » criminelle a pour but de réduire la population mondiale. À court terme les effets secondaires (mais sont-ils vraiment secondaires?) de cette thérapie génique a déjà conduit au décès de 14000 personnes seulement eu Europe. Or comme le signalement de la relation entre la « vaccination » et ces décès ne dépasse pas 1 %, les médecins étant réduits au silence sous la menace, le nombre de « morts par vaccin » serait plus proche de 1,4 million … et beaucoup de pays, dont la France, ont déjà planifié des injections de rappel. Sur le long terme il pourrait s’agir d’une chute vertigineuse de la fécondité. Pour plus d’indications afin de comprendre l’action de Maître Araujo-Recchia :https://www.francesoir.fr/opinions-entretiens/virginie-araujo-recchia-plainte-parlementaires

Note. Pourquoi ce fait divers révèle un énorme scandale ? Tout simplement parce qu’il montre que la France n’est plus une démocratie. Arrêter un journaliste ou dans le cas de ce que relate ce billet un avocat relève des pratiques communes dans l’Allemagne nazie ou la Russie soviétique. Sabs oublier les censures sur ordre du gouvernement. Je trouve comique qu’on mette en avant les algorithmes de Facebook ou de Google qui décrèteraient eux seuls ces censures. Ces censures sont demandées par le gouvernement car il a beaucoup trop de choses à dissimuler avec la mise en place de la « vaccination » et aussi la gestion de la crise sanitaire. En d’autres termes pour le gouvernement français Maître Araujo-Recchia se mêle de ce qui ne la regarde pas. Si Maître Araujo-Recchia ne réapparait pas rapidement alors le régime politique français entrera dans le domaine de l’arbitraire totalitaire, et Macron, réélu, se fera un plaisir de continuer son œuvre totalitaire.

On ne dit rien aux Canadiens quand ils se font vacciner

Article de John Cunnington, Docteur en médecine, ancien professeur à l’Université McMaster paru sur le site de Donna Laframboise

Au sommet de la hiérarchie médicale se trouve le neurochirurgien. Les neurochirurgiens sont entourés d’une mystique d’omniscience et d’omnipotence. Imaginez donc ma surprise, en tant qu’humble étudiant en médecine, de découvrir que le neurochirurgien principal de notre établissement, Robert Hughes, était poursuivi pour faute professionnelle. En fait, Robert Hughes, à son grand dam, a écrit l’histoire médicale et juridique du Canada sur la question du consentement éclairé.

En 1970, Hughes a effectué une endo-artériectomie carotidienne (nettoyage de l’artère carotide jusqu’au cerveau) sur un homme de 44 ans, John Reibl, qui a ensuite subi un accident vasculaire cérébral qui l’a laissé paralysé d’un côté et incapable de continuer à travailler. Reibl a poursuivi Hughes, affirmant qu’il n’avait pas été informé qu’il pourrait subir un accident vasculaire cérébral à la suite de cette chirurgie élective, et que s’il l’avait su, il aurait retardé l’opération jusqu’à ce qu’il devienne éligible pour une pension de Ford Motor Company moins de deux ans plus tard. Voici le témoignage de Reibl devant la Cour :

Q. Vous a-t-il parlé de ce qui se passerait si vous ne subissiez pas l’opération? R. Oui, il a dit : « C’est à vous de décider si vous voulez l’avoir ou non. Vous pouvez vivre quelques années. Vous pouvez vivre environ 7 ou 10 ans ou plus. Un de ces jours, vous allez tomber sur le nez, et c’est tout. Si vous voulez le faire maintenant vous n’aurez aucun problème plus tard.

Q. Le Dr Hughes a-t-il dit autre chose sur les risques de l’opération ?

R. Il n’a rien dit.

L’affaire Reibl contre Hughes est allée jusqu’à la Cour suprême du Canada et, en 1980, la Cour a énoncé la norme actuelle du consentement éclairé, en particulier que le médecin (ou un autre fournisseur de soins de santé) « doit donner au patient suffisamment d’informations pour qu’un examen objectif, par une personne raisonnable à la place du patient puisse être en mesure de faire un choix éclairé concernant un acte médical ». Le tribunal a défini l’omission de divulguer les risques qui en découlent comme une négligence.

Ainsi, au Canada, pour recevoir un traitement ou une intervention, le patient doit non seulement l’accepter verbalement et signer un formulaire de consentement, mais doit donner un consentement éclairé après s’être fait expliquer les risques. Quarante et un ans après la décision de la Cour suprême, nos gouvernements fédéral et provinciaux se sont engagés dans un programme d’administration à toute la population canadienne de plus de 12 ans, d’un traitement de thérapie génique complètement nouveau, expérimental, non approuvé par la FDA. Cette thérapie, selon les bases de données sur les réactions indésirables aux vaccins des gouvernements américain et européen, est raisonnablement suspectée d’avoir tué des milliers de personnes et causé des blessures graves chez des dizaines de milliers d’autres personnes. Pendant ce temps, les conséquences à long terme de la thérapie sont tout simplement inconnues.

Les Canadiens qui subissent ce traitement obtiennent-ils cette information ? Leur dit-on ce qu’ils doivent savoir pour donner un consentement éclairé ? Un de mes amis a récemment reçu l’injection. Je lui ai demandé s’il était informé de la possibilité d’effets secondaires. Il a dit qu’aucun ne lui a été mentionné !Pour autant que je sache, les Canadiens ne sont pas informés qu’il y a des risques. Lorsqu’ils se présentent au site d’injection, il semble qu’on leur demande de signer un formulaire et de tendre le bras. Ceux qui administrent le traitement ne discutent pas avec eux des avantages et des inconvénients, des risques et des bénéfices de l’injection avant l’administration du « vaccin ». La plupart des Canadiens qui se font vacciner n’ont aucune idée qu’il existe un risque de troubles de la coagulation sanguine, comme une embolie pulmonaire et un accident vasculaire cérébral, de processus immunitaires mettant la vie en danger comme la thrombocytopénie induite par le vaccin, ou que les jeunes qui se font vacciner courent un risque de complication potentiellement mortelle de la myocardite (ils ne sont pas non plus informés que le risque de Covid lui-même est presque négligeable pour les jeunes et en bonne santé). Un tel manque d’information est une violation de la décision de la Cour suprême sur le consentement. Si vous êtes blessé par le vaccin et n’avez pas donné votre consentement éclairé, vous avez des motifs de poursuivre vos autorités sanitaires pour négligence et dommages-intérêts.

Remarque : Il n’incombe pas aux patients de faire leurs propres recherches. Il incombe au fournisseur de soins de santé d’informer les patients des risques afin qu’une personne objective et raisonnable dans la position du patient soit en mesure de faire un choix éclairé. Est-ce que quelqu’un croit vraiment qu’un enfant de 12 à 15 ans est capable de comprendre suffisamment les problèmes complexes liés à la thérapie génique expérimentale pour donner un consentement éclairé ? Attirer des enfants avec de la crème glacée à Toronto ou des adultes avec une loterie dans l’Etat d’Alberta constitue-t-il un consentement éclairé?

Si l’affaire Reibl contre Hughes établit la norme pour les traitements approuvés, quelle devrait alors être la norme pour les traitements non approuvés, pour l’expérimentation sur les humains avec des technologies nouvelles et non testées ? À la suite d’expériences menées par des médecins nazis sur des prisonniers des camps de concentration et les procès de Nuremberg qui ont suivi, cette Cour a formulé dix principes d’éthique de la recherche pour guider l’expérimentation médicale sur les humains. Le premier principe est que « le consentement volontaire du sujet humain est absolument essentiel ». Bien que le Code de Nuremberg, créé il y a plus de 70 ans, n’ait pas utilisé le mot « informé », il a utilisé le mot « consentement » et il n’est guère exagéré de conclure que le consentement dont ils parlaient était un « consentement éclairé ». La plupart des Canadiens qui reçoivent ces nouvelles injections de thérapie génique n’ont aucune idée que ces « vaccins » ne sont pas une thérapie approuvée, comme un vaccin contre la grippe, et ils ne savent pas qu’ils sont en fait inscrits à des essais cliniques qui sont toujours en cours.

Nos gouvernements fédéral et provinciaux, premiers ministres, administrateurs de la santé publique et personnel négligent d’administrer les vaccins Covid à des dizaines de millions de Canadiens sans les informer clairement qu’il s’agit d’une thérapie expérimentale, qui pourrait entraîner des événements indésirables graves, y compris des changements de vie, blessures ou la mort, et que les effets secondaires à long terme, par exemple les maladies auto-immunes potentielles, sont encore inconnus. Lorsque les gouvernements utilisent tous les moyens en leur pouvoir, y compris le contrôle des médias et la censure généralisée des voix dissidentes, pour inciter les gens à se faire soigner sans les informer de manière adéquate des risques, ils violent la confiance fondamentale entre le peuple et leur gouvernement.

Lien : https://scc-csc.lexum.com/scc-csc/scc-csc/en/item/2563/index.do

Le Code de Nuremberg version 2021

Devant l’urgence sanitaire décrétée par l’OMS il était matériellement impossible pour les laboratoires pharmaceutiques occidentaux de développer en un très court laps de temps un vaccin classique comme celui de la rougeole. Le vaccin de la rougeole est un virus entier obtenu à l’aide de cultures de cellules ou inoculation d’oeufs de poule comme c’était encore le cas il y a quelques années pour le virus influenza pour développer le vaccin contre la grippe saisonnière. L’inactivation du virus peut être réalisée par diverses techniques, formaldéhyde, rayons gamma, … faisant partie du savoir-faire des laboratoires pharmaceutiques. Mais l’urgence déclarée par l’OMS a conduit ces laboratoires à utiliser une technique nouvelle seulement appliquée auparavant pour traiter certains cancers réfractaires à toutes les thérapeutiques connues. Dans le principe il s’agit d’injecter quelques microgrammes d’un ARN qui va être pris en charge par la machinerie cellulaire pour produire une protéine étrangère contre laquelle l’organisme réagira avec son système immunitaire. La production de cet ARN est obtenue à l’aide de machines automatiques combinant divers outils enzymatiques et strictement chimiques. Il s’agit d’une grosse molécule et comme pour toute synthèse chimique ou mixte, c’est-à-dire chimique et enzymatique, il est ensuite nécessaire de procéder à des étapes de purification très délicates. Chaque laboratoire pharmaceutique dispose de ses propres approches technologiques et certains d’entre eux ont acquis ces connaissances au cours des années passées. La molécule d’ARN codant pour la protéine spike-1 du coronavirus comporte plusieurs milliers de nucléotides, un promoteur et des amorces choisies pour être reconnues par la cellule humaine et cette fragilité nécessite une technique de protection atteinte avec un mélange de lipides pour la plupart synthétiques et communément utilisés par les industriels de la cosmétique. Cette technique de protection s’appelle nano-encapsulation.

En théorie tout est satisfaisant sauf que ces produits mis sur le marché à la hâte, partant du principe mensonger qu’il n’existait aucune autre alternative pour contenir le coronavirus, n’ont fait l’objet d’aucunes études approfondies sur le long terme à la différence des vaccins traditionnels dont la mise sur le marché était précédée d’études s’étalant sur plusieurs années. Le troisième élément du Code de Nuremberg – « les expérimentations sur l’homme doivent être précédées d’expériences sur l’animal » – n’a pas été respecté, et pour cause, il n’existe en l’état actuel de la science pas de modèle animal. Nulle part dans les demandes d’autorisation temporaire accélérées figurent des expérimentations sur l’animal. Or certains carnassiers comme le chat, le furet et le vison constituent des réservoirs de ce virus mais à la décharge des laboratoires pharmaceutiques cette information a été tardivement identifiée.

Les décideurs politiques sommés par l’OMS, organisme éminemment corrompu par le lobby pharmaceutique et l’incontournable Bill Gates, de procéder à la « vaccination » massive des populations ont bafoué le premier élément du Code de Nuremberg qui stipule que : « le consentement volontaire de l’être humain devant subir l’expérimentation est essentiel ». Or manifestement les vieillards ont été autoritairement vaccinés et maintenant, sous prétexte d’instituer un « passeport sanitaire » toute la population devra être vaccinée, toujours en raison du postulat mensonger qu’il n’existe pas de thérapeutique pour contrer ce virus. Les très récents retours d’expérience américains relatifs à la « vaccination » de masse ayant provoqué des morts et des infirmités permanentes sont en contradiction avec le cinquième élément et le dixième élément du Code de Nuremberg qui stipulent que « aucune expérimentation ne doit être conduite si elle peut être la cause de morts ou d’infirmités » et que « le scientifique en charge doit être préparé à mettre un terme à l’expérimentation si blessure, infirmité ou mort sont observées ». À l’évidence les laboratoires pharmaceutiques s’en moquent surtout si on se souvient des déclarations du CEO de Moderna relatées dans le billet précédent. Ces derniers se retranchent sur le sixième élément du Code de Nuremberg qui précise que « les risques ne doivent jamais excéder les bénéfices ». Ce serait le cas si des études sur le long terme avaient été réalisées mais l’article précédant sur ce blog démontrait que cette injection d’ARN n’était pas sans risques. Désolé pour les laboratoires pharmaceutiques mais on répète sans arrêt que le principe de précaution que certains pays ont inscrit dans leur Constitution doit être appliqué scrupuleusement. Si ce principe avait été respecté la France, par exemple, n’aurait jamais accepté de soumettre sa population à cette thérapie génique appelée à tort vaccin.

Pour terminer ces réflexions j’ajouterai que si dans 15 ans ce coronavirus est toujours en circulation et selon les résultats des estimations exposées dans le précédent billet le « vaccin » qui n’en est pas un aura tué 310000 personnes seulement aux Etats-Unis, parce qu’il est bien acquis qu’il n’existe pas de traitement préventif ou curatif et que la vaccination sera obligatoire et routinière puisque ce virus, comme tous les virus à ARN, présente la mauvaise idée de muter très fréquemment. Belle perspective financière pour les laboratoires pharmaceutiques …

A Concise Summary of the 10 Elements of the Nuremberg Code

  1. Voluntary consent of the human to be experimented upon is essential.
  2. The results of any experiment must be for the greater good of society.
  3. Human experiments should be based on previous animal experimentation.
  4. Experiments should be conducted by avoiding physical/mental suffering and injury.
  5. No experiments should be conducted if it is believed to cause death/disability.
  6. The risks should never exceed the benefits.
  7. Adequate facilities should be used to protect subjects.
  8. Experiments should be conducted only by qualified scientists.
  9. Subjects should be able to end their participation at any time.
  10. The scientist in charge must be prepared to terminate the experiment when injury, disability, or death is likely to occur.

https://www.erasme.ulb.ac.be/fr/enseignement-recherche/comite-d-ethique/consensus-ethiques/le-code-de-nuremberg-1947

Retour sur le SARS-CoV-2, encore et encore …

Lorsque je suis allé demander de l’ivermectine à la pharmacie où je vais faire mes emplettes depuis plus de dix et qu’un refus catégorique m’a été opposé je me suis posé de multiples questions. Ma démarche était motivé par une éventuelle infection par de la gale, une maladie parasitaire de la peau parfaitement bien traitée avec ce macrolide initialement décrit comme antiparasitaire, les acariens étant justement des parasites sensibles à ce produit. Or mes problèmes épidermiques récurrents n’étaient pas provoqués par la gale puisque le traitement auquel je me soumis, par curiosité scientifique, n’eut aucun effet. J’en ai donc déduit que je souffrais toujours de troubles provoqués par le coronavirus dont j’ai été victime il y a maintenant une année. Bref, mes « bobos de vieux » n’intéressent personne mais ce qui m’a interpellé est cette interdiction stricte de vente de l’ivermectine en Espagne.

Pour quelle raison un médicament connu depuis 40 ans, distribué dans le monde entier pour traiter des maladies parasitaires, n’ayant jamais présenté d’effets secondaires si la posologie est respectée, est-il interdit à la vente en Espagne ? Depuis quand ce médicament est-il interdit ? Outre le fait que cette interdiction prive les médecins de leur droit fondamental de prescription d’un médicament dont ils estiment en leur âme et conscience être susceptible d’améliorer les conditions cliniques de leur patient conformément au Code de Nuremberg (1947), elle est donc contraire aux lois fondamentales que doit respecter toute démocratie, si tant est que l’on parle bien de démocratie.

Le gouvernement français s’est distingué au cours du printemps 2020 en interdisant la vente d’hydroxychloroquine, du jour au lendemain devenue toxique, alors que des milliers de Français utilisent quotidiennement ce produit pour traiter la polyarthrite rhumatoïde ou le lupus, deux maladies auto-immunes. Les gouvernements français et espagnol ne respectent donc pas le Code de Nuremberg ni la liberté de prescription des médecins. Pour l’ivermectine j’ajouterai que ce produit est interdit en France pour traiter l’infection parasitaire provoquée par les poux (Pediculus humanus) dont souffrent chaque année 15 % des enfants des écoles. L’administration française lui préfère des pyrethroïdes genre malathion ou permethrine, toxiques, alors que l’ivermectine ne présente aucun effet toxique si la posologie est respectée.

L’explication qui me vient à l’esprit pour expliquer ces interdictions tant en France qu’en Espagne, au moins deux pays européens parmi d’autres, est le véritable diktat imposé par le lobby pharmaceutique occidental pour ouvrir la voie à la vaccination massive afin de maîtriser les épidémies de SARS-CoV-2 puisque ces deux produits, ivermectine et hydroxychloroquine, présentent des propriétés antivirale maintenant non contestées, toujours niées par les politiciens qui nous gouvernent. Si mes lecteurs disposent d’une autre explication je suis impatient d’en prendre connaissance.

L’Espagne et la France ne sont donc plus des démocraties. Ces pays ne respectent plus les libertés individuelles. Ces pays ne respectent plus le Code de Nuremberg. Comme beaucoup d’autres pays occidentaux ils ont politisé la science et la médecine. Cette attitude est lourde de conséquences car elle ouvre toute grande la porte à une multitude de dérives contraires aux principes de base sur lesquels sont fondées les démocraties. Ceci signifie que beaucoup de pays occidentaux sont sur le point de basculer dans des systèmes politiques de type totalitaire avec toutes les privations de liberté individuelle sur lesquels ces régimes reposent. Bienvenue en Corée du Nord …

Lire aussi : https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/entre-une-policiere-espagnole-et-lafp-qui-desinforme-le-plus et voir la vidéo (en français) qui résume admirablement tout le problème auquel les peuples européens sont confrontés aujourd’hui. Il n’y a pas une virgule à changer dans l’exposé de Sonia Vescovacci !