Le mathusianisme global va-t-il devenir une réalité quotidienne ?

« Peter Koenig, analyste géopolitique et ancien économiste principal à la Banque mondiale et à l’OMS, a couvert les récents scandales de l’UE. Son verdict : « Il est grand temps d’abolir l’UE. » Selon Koenig, l’un des principaux objectifs de la « Grande Réinitialisation » et de l’Agenda 2030 est « une réduction massive de la population ». Après un peu plus de deux ans de soi-disant « vaccinations » – dont la plupart étaient obligatoires – il y a déjà « des centaines de milliers, voire des millions de décès et de blessures à vie, ainsi qu’une augmentation rapide des fausses couches et de l’infertilité chez les femmes et les hommes ». Et ce n’est que le début, prédit Koenig. La plupart des crimes auront lieu au cours des cinq à dix prochaines années, alors que personne ne pourra croire que les « vaccins contre le coronavirus » sont responsables de la mort de nombreuses personnes. Michael Yeadon, ancien vice-président et scientifique en chef de Pfizer, a mis en garde contre cette éventualité. »

Peter Koenig, analyste de la géopolitique, ancien économiste auprès de la Banque mondiale et de l’OMS, a analysé les récents scandale qui ont secoué l’Union européenne. Son verdict est sans appel : c’est un agenda de longue durée pour détruire l’Union européenne. Selon lui, l’un des buts principaux buts du « Grand Reset » et de l’ « Agenda 2030 » est une réduction massive de la population européenne. Après deux années se soi-disant « vaccinations », la plupart d’entre elles compulsives, trois à quatre rappels puisque l’épidémie n’était pas maîtrisée, il y a plusieurs centaines de milliers de morts sinon des millions et des séquelles qui vont perdurer durant toute la vie ainsi que des avortements spontanés dont le nombre augmente sans cesse ainsi que des problèmes d’infertilité tant chez les femmes que chez les hommes. Koenig prévient que c’est juste le commencement. La grande majorité de ces décès aura lieu dans les 5 à 10 prochaines années lorsque plus personne ne pourra établir une corrélation avec la « vaccination contre le SARS-CoV-2. Michael Yeadon, ancien vice président de Pfizer et ancien directeur de la recherche dans cette société.

Quelques semaines après le début de la « plandémie », acronyme signifiant que tout était déjà organisé pour tuer, et longtemps avant que l’on découvre la disponibilité en « vaccins » Bill Gates, l’un des principaux pourvoyeurs de fonds pour l’OMS déclara qu’il fallait que le monde entier subisse une « vaccination » avec un produit qui n’en était qu’au stade expérimental ( https://youtu.be/oQ664m_1wI8 ). La conjugaison de ces divers évènements conforte l’hypothèse d’un véritable complot à l’échelle internationale.

Tous les pays européens ont suivi les directives de l’OMS et certains gouvernements ont fait preuve de zèle comme par exemple l’utilisation du Rivotril chez les vieillards devenus inutiles et représentant une charge financière pour la société. Hitler avait mentionné cette démarche reprise par Jacques Attali dans le cadre de son projet d’ « économie positive » incluant cette nécessité de réduire le nombre de seniors inutiles pour la société.

Cette sorte de mafia internationale qui ne cache même plus son penchant pour l’eugénisme, depuis les familles royales britannique, belge et néerlandaise, le Club de Bilderberg et le World Economic Forum avec son école d’endoctrinement des Young Leaders dévoués à Klaus Schwab, le nouveau gourou politique mondialiste, cette mafia, donc, veut devenir le club très fermé des maîtres du monde. La diminution de la population entre dans le cadre du sauvetage du climat, un autre « hoax » repris par les médias du monde entier. Que mes lecteurs me permettent de douter de la réussite de ce projet à moins qu’un autre virus manipulé en laboratoire pour obtenir des gains de fonction, ce qui fait partie de l’agenda des malthusiens, les peuples se révolteront. Comme le disait Emmanuel Todd, je suis comme lui trop vieux pour courir dans la rues et faire la révolution dans le but de capturer tous les politiciens vicieux qui haïssent leurs peuples.

Et si le changement climatique était la cause de la chute de Rome?

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Pour l’historien Kyle Harper, c’est au refroidissement global et à la première pandémie de peste bubonique que l’on doit l’effondrement de la puissance romaine (Article paru sur le quotidien suisse romand Le Temps)

Pourquoi Rome est-elle tombée? La question a longtemps hanté les nuits des historiens. Comment le plus grand empire du monde préindustriel a-t-il pu trébucher, s’enliser et mourir, lui qui a son apogée faisait le tour de la Méditerranée, brassait des multitudes de peuples sous le sceau rassembleur de la citoyenneté, frappait une monnaie unique, développait des axes commerciaux et maintenait la paix sur trois continents? Bien sûr, les fameuses «invasions barbares» ont longtemps servi de clé de compréhension. En corollaire, la non moins fameuse «décadence». Les vigoureux peuples du Nord venaient remplacer naturellement des élites romaines avachies et corrompues.

Invincible en apparence

Dans Comment l’Empire romain s’est effondré, Kyle Harper remet tout à plat en introduisant deux acteurs jusqu’ici négligés: le changement climatique conjugué à l’arrivée des premières grandes pandémies. Professeur d’histoire à l’Université d’Oklahoma, Harper reconstitue l’histoire d’un empire invincible en apparence, miné puis anéanti par des facteurs écologiques insurmontables. Passionnante démonstration de ce que la vie et la mort d’une civilisation ne tiennent pas uniquement aux intrigues de palais ou aux affrontements militaires, mais tout autant, si ce n’est plus, à des facteurs non humains: «Les sociétés dépendent de leur fondement écologique», écrit Harper en référence à une géniale intuition de Malthus.

La première pandémie

A la réflexion, c’est non pas la chute mais la longévité de Rome qui impressionne. Le climat, là aussi, a joué le rôle d’allié dans les grandes heures de la république et de l’empire d’Auguste. Toute la Méditerranée est alors baignée d’un soleil généreux qui favorise l’accroissement démographique, donc la levée d’impôts et l’expansion de l’empire. Même le Sahara est vert ! Mais vers 150 après J.-C., une instabilité climatique s’installe, conduisant à une ère nettement plus froide appelée petit âge glaciaire de l’Antiquité tardive. Eruptions volcaniques cachant le soleil et ruinant les récoltes, famines, épidémies microbiennes : l’empire vacille, des villes sont anéanties, mais il résiste tant bien que mal… jusqu’à la première grande pandémie de l’histoire.

Les pestes dites antonines (165) ou de Cyprien (251) n’étaient que des répétitions générales. La peste de Justinien, qui démarre en 541 et qui connaît d’innombrables recrudescences, est le premier cas de peste bubonique de grande ampleur. Les estimations de mortalité sont immenses, entre le tiers et la moitié des sujets de Justinien. Chose fascinante, écrit Harper dans son livre savant mais accessible au grand public, c’est que, dans un monde qui n’a pas la moindre notion d’hygiène, le spectaculaire réseau de routes et l’existence de grandes métropoles densément peuplées ont sans doute largement favorisé la propagation des pandémies. L’empire a ainsi contribué à sa propre perte du fait même de son génie constructeur.

Fièvre eschatologique

Par ailleurs, Harper constate que les Huns – dont personne ne nie qu’ils sont le déclencheur d’un effet domino de peuples en marche qui va bouleverser les structures de l’empire – ont connu un bouleversement profond qui a changé le centre de gravité de leur empire nomade du côté de l’ouest. Là aussi peut-être, un effet des maladies dont on sait qu’elles ont voyagé loin. Autre élément soulevé par l’historien : les conséquences de ces dévastations dans l’Antiquité tardive sur les mentalités. Dans les lambeaux de l’empire devenu chrétien, on vit le sentiment de la fin du monde prochaine. La venue de l’islam, avance Harper, qui va bientôt conquérir la majeure partie de l’empire d’Orient, n’est pas étrangère à cette fièvre eschatologique.

Entre la Rome qui fêtait avec confiance ses mille ans d’existence en 248, avec la certitude d’être pour toujours le centre du monde, et la Rome dépeuplée et saisie d’angoisse trois siècles plus tard, avec ses églises remplies de survivants implorant la Vierge de les épargner, avec des campagnes vides et totalement méconnaissables, c’est un monde qui trépasse. Et même si l’humanité ne s’est pas éteinte, avec de nouvelles dynamiques débouchant sur de nouvelles entités politiques et sociales, on ne peut s’empêcher de lire en filigrane, dans l’étonnant destin de l’Empire romain, un avertissement adressé à notre civilisation globale du XXIe siècle, qui met la planète entière en surchauffe.

Commentaire.

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La « chute » de cet article contredit les remarques initiales. En effet, l’optimum climatique romain (lien sur ce blog) connut des températures moyennes d’environ 2 degrés supérieures à celles observées aujourd’hui. Il n’est pas nécessaire de réfléchir très longtemps pour comprendre que ce sont ces températures moyennes élevées qui favorisèrent une plus importante évaporation des mers et des océans provoquant des pluies plus abondantes et par conséquent des récoltes également plus abondantes. La prospérité que connut l’Empire romain est à rapprocher avec celle que connut 1000 ans plus tard l’Europe avec la construction des cathédrales.

https://jacqueshenry.wordpress.com/2019/12/06/etre-climato-realiste-est-une-vraie-mission-episode-4-temperature-et-co2-zoom-sur-les-derniers-milliers-dannees/


Petit compte-rendu d’une conversation à bâtons rompus avec un ingénieur informaticien.

Ce billet est un peu particulier car il est intimiste dans la mesure où je livre à mes lecteurs un peu de ma personnalité sans aucune gène.

En 48 heures à mon retour du Japon un ami de lycée de mon fils puiné, lui-même informaticien, qui était venu le nez en l’air pour chercher ici à Tenerife des opportunités de travail, a passé deux soirées avec moi avant de retourner en France. Plongés l’un comme l’autre dans des discussions variées, je n’ai pas mémorisé tous les sujets abordés. Comme j’ai coutume de le pratiquer avec mon blog, j’aborde toutes sortes de sujets, en particulier avec un homme qui atteint la quarantaine mais reste d’une curiosité redoutable, une qualité considérable. Si mon blog est pluridisciplinaire c’est tout simplement parce que c’est une conséquence de ma curiosité et, donc, nos conversations ont débordé de diversité.

Le premier point abordé fut le climat, le réchauffement climatique maintenant dénommé le « changement climatique » (on ne sait jamais …) et l’effet de serre du CO2 devenu un dogme, comme le dogme de l’immaculée conception pour les catholiques. On parle tellement du changement climatique dans les médias qu’on se trouve dans un véritable état nauséeux ! J’ai osé lui raconter cette histoire que j’aime raconter aux Espagnols à propos du dogme de la virginité de Marie, eux pour qui la Vierge est une véritable idole qu’on promène dans les rues comme étaient vénérés Vénus et Jupiter dans le panthéon romain. J’ai choqué plus d’un Espagnol en lui expliquant que, selon mon analyse, Marie a trompé son naïf d’époux, pauvre charpentier (ou berger, je ne sais plus) insignifiant, en forniquant avec le Saint-Esprit, c’est ce l’on nous raconte mais elle aurait pu être infidèle avec n’importe quel autre homme, pour mettre au monde un enfant adultérin. Il fallait que Joseph soit le cocu de l’histoire. J’ai failli être lynché par des Espagnols profondément choqués par mes propos.

Cette obsession du climat est l’enfant adultérin de l’écologisme militant et de la fausse science répandue par les instances onusiennes en charge de sauver la planète, Gaïa, la nouvelle divinité des temps modernes, et il faut y croire sinon … sinon on est taxé de fascisme. C’est tout simplement renversant ! Quand j’ai prononcé le mot fascisme j’ai apporté quelques explications. En effet l’écologisme est une émanation de l’ultra-gauche, idéologie reprise par les puissances financières afin de réaliser in fine de gigantesques profits en culpabilisant – c’est le rôle de cette ultra-gauche – l’ensemble des populations, surtout des pays les plus avancés (car c’est là où se trouve la richesse) pour mieux les rançonner.

Et puis comme j’avais effleuré la religion en des termes non pas sarcastiques mais humoristiques j’ai exposé mon point de vue sur le parallélisme saisissant entre cette entreprise de sauvetage de Gaïa, la nouvelle déesse, et le système scandaleux des indulgences mis au point par la papauté pour s’enrichir sur le dos des gueux. Mon interlocuteur était « scotché » comme on dit maintenant et j’étais assez fier de ma démonstration.

Tout naturellement nous en sommes venus à parler de sexe et je lui ai dit que pour moi parler de sexualité, de la manière pour un homme de procurer le maximum de jouissance à sa partenaire, pour un hétérosexuel que je suis, c’était comme de disserter de la meilleure recette de gratin de pomme de terre. Faut-il une ou plusieurs pointes d’ail dans le gratin, des oignons ou pas, du fromage ou pas de fromage, un gratin lyonnais ou un gratin dauphinois ? C’est comme dire si on met son doigt, ou une autre pièce de son anatomie, ici, là, un peu plus haut, ou un plus bas, pour que votre petite amie en redemande et qu’elle soit comblée de plaisir. J’ai fait une digression sur l’ail, c’était tout à fait à propos puisque l’ail contient de l’allicine. Mon interlocuteur était peu perdu alors je lui ai expliqué que l’ail était reconnu par la pharmacopée populaire comme favorisant la virilité de l’homme, normal puisqu’il contient de l’allicine qui est un puissant vaso-dilatateur ayant, de loin, les mêmes effets que le sildenafil, plus connu sous le nom de Viagra.

Comparer l’art de faire l’amour avec l’art de préparer un gratin de pomme de terre n’est pas anodin. En effet, il n’y a que deux activités importantes dans la vie de tous les jours, en particulier pour les Français : le sexe et la bouffe ! Et pour se nourrir il faut de l’argent, donc travailler, c’est ce qui gouverne tout individu et par extension le monde entier : le sexe et l’argent. J’ai été taxé de pessimisme mais j’assume pleinement ma position.

Pour le climat, je lui ai fait remarquer que le CO2 n’était pas toxique puisque lorsque nous respirons, nous exhalons de l’air carrément vicié puisqu’il contient plus de 2000 ppm de CO2. Et toujours à propos du climat, je lui ai fait remarquer que l’IPCC avait inventé le mouvement perpétuel avec son effet de serre rétro-forcé qui présente l’incroyable propriété de s’auto-alimenter, sans entrer dans trop de détails de thermodynamique. Tous les sujets « climatiques » brûlants ont été abordés en particulier l’énergie. Comme mes lecteurs le savent je suis un fervent partisan de l’énergie nucléaire mais que je ne crois pas à la faisabilité de la fusion. Mon interlocuteur était surpris que je considère que le projet ITER c’est de l’argent jeté non pas par les fenêtres mais directement à l’égout. Et si on veut « sauver le climat », c’est ce que nous ressassent les médias inlassablement, au point de finir par être soi-même lassé, la seule solution est de développer l’énergie électrique basée sur la fission nucléaire, que ce soit à partir d’uranium ou à partir de thorium. Et il y en a assez dans la croute terrestre pour satisfaire la soif d’énergie du monde entier pendant plusieurs millénaires sans mentionner les ressources infinies en uranium de l’eau de mer que l’on sait « capter » maintenant …

Dans le cours de nos conversations longues et arrosées cet ami de mon dernier fils me demanda de me définir. Vaste question ! Je me servis un whisky, je m’en souviens très bien, parce qu’il est très difficile de se définir soi-même globalement, c’est-à-dire en ne tentant pas de dissimuler les travers de sa personnalité. Il s’agit d’un exercice difficile. Ou bien j’entrais dans les détails ou alors je sortais un salve de qualificatifs éculés que tout le monde connait. J’optais pour cette deuxième solution. C’est ainsi que je me définis : je suis libertaire ou pour être plus précis libre penseur, anti-militariste, anti-clérical, apolitique ou plutôt politiquement incorrect, (ex)scientifique attéré par l’usage politisé que l’on fait aujourd’hui de la science. Ça fait beaucoup ! Par contre j’ai quelques qualités, la curiosité, le sens de l’humour, l’amour de la vie et de l’esthétique qu’il s’agisse de la musique, des romans, des films, de la nature, et bien entendu du corps d’une belle femme ou du visage d’un jeune enfant tout fier d’avoir fait ses premiers pas …

Et puis cet ami de mon fils m’a posé l’ultime question que j’attendais : pourquoi tenir un blog ? Depuis que j’ai cessé toute activité professionnelle j’ai toujours aimé écrire mais je n’ai jamais fait l’effort d’aller solliciter un éditeur pour rendre publics des essais intimistes. À quoi bon éventuellement gagner quelques euros en autorisant un éditeur à s’approprier la plus grande part des bénéfices incertains pouvant émerger d’une telle entreprise. Tenir un blog c’est informer gracieusement de potentiels lecteurs aussi honnêtement que possible en abordant des sujets parfois soumis à une véritable censure par les grands médias. Et cette gratuité est fondamentale car elle préserve ma liberté d’expression. Et je suis assez fier, parfois, de secouer les neurones de mes lecteurs.

Excellente nouvelle année 2020 à tous mes lecteurs …

Réchauffement du climat : la « fake-science » a remplacé la science factuelle !

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Puisque le CO2 semble préoccuper certains commentateurs de mon blog, je ne m’avouerai pas vaincu en relatant les travaux de scientifiques spécialistes dans le domaine du climat et de la géophysique et en relatant également quelques réflexions qui ne sont que rarement personnelles. Je ne suis en effet pas du tout un spécialiste du climat terrestre, une science du passé qui nécessite la mise en oeuvre des moyens considérables pour apporter quelques éclaircissements tant elle est complexe.

Pendant des siècles la science a progressé de découvertes en découvertes, de questions en réponses et d’observations, de déductions suivies de remises en cause. C’est ainsi que la science s’est différenciée du dogmatisme et l’a laissé loin derrière elle. Un des exemples les plus illustratifs fut l’affirmation de Galileo Galilei qui, après avoir découvert la rotation des 4 satellites de Jupiter seulement visibles à son époque avec la lunette qu’il avait construit, en déduisit que la Terre se comportait autour du Soleil comme ces 4 satellites autour de Jupiter. La Terre, pour Galilée n’était qu’un vulgaire satellite du Soleil, constatation qui ne plut pas vraiment au pape … Le dogme du géocentrisme tomba et la science triompha. À la fin du XIXe siècle le dogme de la génération spontanée tomba avec la mise au point du microscope. Le début du XXe siècle vit la découverte de la radioactivité et de la fission des atomes lourds et alors le dogme de la transmutation qui occupa les esprits des alchimistes pendant des siècles disparut. Inutile de mentionner les progrès récents de la biologie et de la médecine favorisés par la conjonction de progrès techniques avec la puissance d’analyse de puissants ordinateurs révélant des domaines inconnus il y a encore 20 ans de certaines régulations cellulaires ou encore la découverte de l’épigénétique.

Dans ces cheminements de la science les certitudes acquises sont parfois remises en cause et d’autres incertitudes apparaissent inévitablement. Mais il est rare que la communauté scientifique adopte dans une feinte unanimité une attitude pour le moins floue dans un domaine aussi proche de notre quotidien qu’est le climat. Tous les smart-phones ont des applications qui nous informent en temps réel des conditions météorologiques et qui donnent avec un pourcentage de chances étrangement précis combien de gouttes de pluie tomberont par mètre-carré dans trois ou six heures. Aller de la météo sur son smart-phone au climat, il n’y a qu’un pas vite franchi. Alors dans le monde moderne de l’information dans lequel nous vivons aujourd’hui il n’y a rien de plus facile que de diffuser des fausses nouvelles et de la science falsifiée et les lobbys ne sont pas passé à côté de cette immense opportunité de diffusion en temps réel de fausses nouvelles et par conséquent de falsification de la réalité.

Dès lors, en manipulant avec subtilité les réseaux sociaux, en inondant les blogs – il y en a des millions dans le monde – de commentaires tendancieux, ces lobbys, oeuvrant dans leur propre intérêt, ont effacé la frontière entre la vraie science et la « fake science ». On en est là à propos du climat : la « fake science » a remplacé la science factuelle.

Comme je l’ai mentionné dans un précédent billet la fausse science du réchauffement d’origine humaine du climat s’est transformée en un nouveau dogme et qui parle de dogme doit aussi mentionner l’émergence adossée à ce dogme d’un fanatisme quasi religieux et parfois violent. Souvenez-vous de Galilée, il a sauvé sa peau en se rétractant et il n’y a rien de pire pour un scientifique que de nier la validité de ses découvertes. J’ai relaté dans l’un de mes billets relatif à quelques mémoires de chercheur au sujet d’un pesticide ce type de circonstance. On m’a signifié que je devais me taire, en d’autres termes nier les évidences expérimentales vérifiées des dizaines de fois que j’avais accumulé.

En matière de climat, je le répète encore une fois : la science du climat est une science du passé, on peut se hasarder à faire des projections vers le futur si on se base sur un modèle validé au moins sur les 100 ou 200 années passées mais ces projections restent par définition hasardeuses. Par contre quand des faits scientifiques avérés sont sciemment ignorés pour réaliser des projections alors il ne s’agit même plus de science mais de propagande et au sujet du CO2, ce gaz qui se trouve au coeur de la problématique climatique actuelle, il y a eu de manière flagrante l’émergence d’une « fake science ». Ci-dessous je livre donc à mes lecteurs la traduction fidèle du paragraphe 3.2 de la publication du Professeur François Gervais, géophysicien, parue dans l’International Journal of Modern Physics en 2014 dont voici le doi : 11.1142/S0214500957 intitulé « Tiny warming of residual anthropogenic CO2 « . Je rappelle que le Professeur Gervais participa dans le passé à plusieurs comités scientifiques constitués par l’IPCC pour « faciliter » la rédaction des documents finaux destinés aux décideurs politiques pour conforter leurs choix de décisions énergétiques. Décontenancé comme beaucoup d’autres scientifiques le Professeur Gervais a finalement claqué la porte de cet organisme ultra-politisé et noyauté par des activistes écolo-gauchistes qui n’ont eu de cesse d’ignorer les évidences scientifiques incontestables relatives au rôle totalement négligeable du CO2 dans l’évolution du climat.

« Estimation isotopique du CO2 anthropogénique résiduel dans l’atmosphère

Pour estimer la contribution anthropogénique on peut considérer la dépendance de la quantité de 13CO2 dans l’atmosphère. Le carbone en provenance des combustibles fossiles présente un delta 13C/12C de -2,1 %. A contrario le CO2 d’origine naturelle montre un delta 13C/12C de – 0,7 %. Le rapport 13CO2/12CO2 a évolué entre 1990 et 2012 de – 0,78 % à – 0,82 %. Ceci indique qu’environ 5 % du CO2 atmosphérique est d’origine anthropogénique soit 20 ppm et le reste des émissions a été piégé dans les océans et la végétation terrestre (carbon sinks). Il faut noter que 20 ppm correspond à 5,7 années d’émission d’origine anthropogénique à raison de 3,5 ppm par an. Et ces chiffres sont aussi en accord avec le temps de séjour du CO2 dans l’atmosphère d’environ 5 ans. La fraction résiduelle de l’accroissement annuel du CO2 atmosphérique d’origine anthropogénique, soit environ 0,4 ppm, correspond donc à seulement 11 % des émissions totales d’origine humaine. Ces 0,4 ppm résiduelles, sont en réalité très proches des 0,43 ppm d’accroissement mesurées quelques mois après l’année 1991 considérée comme froide. Ces valeurs se vérifient mutuellement. Le reste de l’accroissement du CO2 est considéré comme un « dégazage » (release dans le texte) des océans et des terres en raison, (i) des températures plus clémentes qui ont régné au cours de la seconde moitié du XXe siècle (depuis le début des années 1940) selon les reconstructions de l’activité solaire et (ii) du sommet du cycle océanique de 60 ans atteint ces dix dernières années. Ces deux contributions sont liées à l’activité solaire ce qui ne laisse qu’une contribution marginale à l’effet de serre du CO2 anthropogénique additionnel sur l’évolution du climat.« 

En conclusion le dogme du réchauffement provoqué par les émissions de CO2 d’origine humaine est non seulement contraire aux évidences scientifiques mais il constitue de la fake science notamment dispersée dans les cerveaux dans le monde entier avec des réseaux sociaux comme « Fakebook ». Toute cette histoire de réchauffement du climat d’origine humaine n’est qu’une gigantesque imposture de taille planétaire qu’il nous faudra combattre si nous aussi voulons sauver notre pouvoir d’achat, le confort de nos vies et plus prosaïquement tout simplement notre peau …

Il y a 50 ans naissait le Club de Rome

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Aurelio Peccei, un industriel italien philanthrope qui avait travaillé dans la firme automobile Fiat puis la société Olivetti, créa en avril 1968 avec Alexander King, un chimiste écossais, le Club de Rome, mettant en avant pour la première fois le concept de « développement durable ». Le Club de Rome existe toujours et est basé à Winterthur en Suisse, le pays de tous les possibles. La problématique de cette assemblée dont le secrétaire général actuel est Graeme Maxton, connu pour son livre « La fin du Progrès », est de prôner le malthusianisme afin de sauvegarder l’humanité. On peut résumer l’idéologie de ce club ainsi. En réalité si les thèses d’un déclin imparable de la qualité des conditions de vie sur la Terre en raison de l’accroissement de la population fait partie de la préoccupation centrale du Club de Rome, le but final est tout autre.

Il est difficilement concevable d’imaginer un instant que les individus sur la planète entière restreindront sans contrainte extérieure leur instinct de procréation. Il s’agit donc pour cette organisation de mettre en place progressivement un gouvernement mondial dont les objectifs seront d’abolir les gouvernements nationaux et d’imposer des règles strictes de bonne conduite afin de restreindre la population. Pour atteindre un tel objectif il faut naturellement que les populations soient réceptives à des injonctions venant d’ « en haut ». L’Eglise chrétienne a remporté un franc succès en persuadant les adeptes qu’il y avait un paradis promis à ceux qui étaient vertueux et un enfer pour les autres. C’est exactement ce type d’attitude qu’adopta tout de suite le Club de Rome.

Dès 1973, avec les ordinateurs de l’époque, des chercheurs du MIT travaillant pour le Club de Rome modélisèrent un sombre avenir pour l’humanité si celle-ci ne réussissait pas à restreindre le nombre des naissances. La vidéo datant de cette année-là et diffusée à la télévision indique que dès 2020 l’humanité sera confrontée à des graves problèmes de survie, de pollution, de ressources alimentaires et qu’en 2040 la situation se sera tellement dégradée que la population mondiale chutera catastrophiquement. Voici le lien pour les anglophones : https://youtu.be/cCxPOqwCr1I. On peut croire ou non à ce type de prévision sur le long terme appelée par son auteur Jay Forrester le programme « World One » mais son but était surtout de terroriser les foules.

Pour imposer « sa loi » à l’humanité toute entière il faut d’abord la préparer psychologiquement et le seul moyen, comme l’a fait l’église chrétienne en son temps, il faut lui faire peur. Comme le disait Christine Lagarde l’humanité dérègle le climat – ce qui reste encore à prouver – et « on va tous griller comme des toasts », c’est ce qu’elle a affirmé : l’image de l’enfer ! Alexander King, alors directeur du Club de Rome, évalua les résultats de ce programme de simulation et en conclut que les grandes corporations devaient imposer un nouvel ordre mondial afin d’achever le but d’ « un développement durable » qui ne dégrade pas les conditions de vie sur la planète Terre. Lors de sa prochaine réunion le Club de Rome formulera les 17 points qui doivent être implémentés rapidement. C’est essentiellement une directive de mise en place d’une gouvernance mondiale sous l’égide des Nations-Unies, du Fond Monétaire international et de la Banque Mondiale. Pour retrouver les détails de ce projet il suffit d’aller sur le site des Nations-Unies et de chercher Sustainable Development Goals.

Monter en épingle le réchauffement climatique d’origine humaine – alors que l’activité humaine joue un rôle négligeable par rapport à l’activité solaire – est du pain béni pour ces globalistes qui veulent imposer leurs lois et leur lubies au monde entier. Le Club de Rome est sponsorisé par les globalistes les plus acharnés au monde. Juste pour situer l’importance qu’ils donnent à cette organisation, citons les membres passés et présent de cette assemblée qui veut s’octroyer des pouvoirs terrifiants pour les démocraties : Al Gore, Mikhail Gorbachev, Bill Clinton, Jimmy Carter, Bill Gates, Ted Turner, George Soros, Tony Blair, Deepak Chopra, Henry Kissinger, Barbara Marx Hubbard, Marianne Williamson, Le Roi Juan Carlos I et la plupart des anciens secrétaires généraux des Nations-Unies ainsi que divers officiels de haut rang. Les bras séculiers déjà présents pour mettre en oeuvre ce projet sont Facebook, Google ou encore Amazon, Microsoft et la majeure partie des médias appartenant à des entités financières transnationales.

Nous entrons donc bien dans une ère nouvelle orwellienne, la dictature mondiale dont le principal acteur sera les USA, inutile de s’en étonner. Pour donner un petit exemple de l’attitude particulièrement significative des Nations-Unies j’ai écrit un billet il y a quelques jours sur la bilharziose. Je conseille à mes lecteurs d’aller sur la page schistosomiasis de Wikipedia en anglais et ils découvriront avec stupeur ceci :

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Ce passage a disparu de la version française ! Il est très facile de comprendre quelle est la politique de l’OMS, organisme onusien, faut-le rappeler, tout simplement de laisser les enfants africains mourir, c’est mieux pour la planète : la bilharziose tue seulement 200000 personnes chaque année, ce n’est pas assez … N’importe quel individu normalement constitué trouve que ce genre de décision émanant d’un organisme international est inique. Mais si on prend la peine de fouiller dans les directives du Club de Rome, force est de retrouver tous les chevaux de bataille des ONGs concernant la lutte contre l’usage des pesticides. C’est un levier pour réduire la population humaine car ne plus faire appel à des molécules chimiques hautement spécifiques dans l’agriculture extensive entrainera inévitablement des famines généralisées, ce que désire finalement le Club de Rome. Un autre point intéressant dont les médias n’ont pas le droit de faire un quelconque commentaire, l’orchestration par le Club de Rome des campagnes anti-vaccins dans le but d’affaiblir les défenses immunitaires des êtres humains afin d’assister à une augmentation de la mortalité généralisée. Ce type d’actions souterraines est largement repris par les médias. Pas étonnant, ces médias appartiennent pour la plupart à des groupes financiers impliqués dans le grand projet du Club de Rome et je le rappelle ici au risque de me répéter.

La supposée raréfaction des ressources en hydrocarbures est aussi une préoccupation de cette insidieuse organisation totalitaire néo-troskyste dont le label trompeur est le néo-libéralisme est un mensonge. Il existe des réserves en charbon et en pétrole partout dans le monde mais leur exploitation est préjudiciable pour la santé du climat. En effet le Club de Rome a largement encouragé la propagande consistant à déclarer que le gaz carbonique était mauvais pour le climat, normal me direz-vous car il s’agit du seul argument dont dispose cette assemblée de complôtistes qui veulent établir une hégémonie dictatoriale sur l’ensemble de l’humanité. J’ai plus de 70 ans et je ne suis pas encore dénué de sens critique mais je suis convaincu que mes petits-enfants vivront des années très sombres. Ils seront les esclaves des grandes compagnies apatrides guidées par les USA, peut-être le seul créneau qui reste aujourd’hui à ce pays pour survivre à moins de catalyser un nouveau conflit mondial meurtrier, ce que désire finalement le Club de Rome pour réduire la population mondiale. Belle perspective …

Inspiré d’un article de Michael Snyder paru sur le site endoftheamericandream.com le 3 septembre 2018 via le site ZeroHedge

Le réchauffement climatique d’origine humaine : c’est « has-been »

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Selon le Docteur Steven Hayward, chercheur résident à l’Institute of Governmental Studies de l’Université de Californie à Berkeley l’histoire du réchauffement climatique d’origine est terminée. Hayward ne dit pas qu’il n’y aura pas dans le futur de changement du climat dans un sens ou dans un autre, il ne dit pas non plus que l’influence humaine est négligeable, il indique dans un article paru dans le Wall Street Journal que cette affaire du climat n’est plus une priorité et qu’elle a été déviée de ses intentions premières en ne profitant qu’à quelques scientifiques plus activistes que réels spécialistes et aux chasseurs des rentes que procurent les énergies renouvelables.

Pour preuve de plus en plus de gouvernements nationaux s’éloignent de la marche forcée vers la décarbonisation qui est un leurre coûteux et inatteignable. Il suffit pour comprendre ce retournement de tendance de se reporter aux recommandations de l’accord de Paris qui amalgamaient tout et n’importe quoi. Outre le fait que cet accord n’était par essence nullement contraignant l’action pour le climat devait également concerner l’égalité des genres, l’émancipation des femmes et l’équité intergénérationnelle ainsi que le fumeux concept de « justice climatique » (sic), bien malin qui comprendra ce que signifie ce concept.

Pour Hayward l’ « alarme climatique » c’est comme celle d’une voiture qu’on a tout de suite envie de débrancher et comme tout autre processus politique mis artificiellement en place son déroulement suit 5 phases.

La première étape implique des groupes d’experts et d’activistes qui se sont donné pour mission d’alerter le public au sujet d’un problème préoccupant qui les concerne, surtout eux et non pas ce public auquel ils s’adressent.

L’information est alors reprise très largement par les médias – c’est l’étape « dopamine » – pour alimenter l’émotion et présenter ce problème comme devant être résolu à n’importe quel prix. Les gesticulations onusiennes ont abouti au Protocole de Kyoto qui est totalement surréaliste dans ses objectifs de réduction massive de l’utilisation de combustibles carbonés fossiles.

La suite, c’est comme l’alarme de l’automobile : une lassitude croissante du public. Ce dernier va se préoccuper progressivement d’autres problèmes environnementaux, parfois à juste titre, comme la pollution des rivières et de l’air. Toutes les études du Pew Research Center l’indiquent, les Américains sont beaucoup plus préoccupés par ces aspects que par le changement climatique en dépit du battage médiatique incessant.

Enfin le public s’aperçoit, mais bien trop tard, qu’il a été trompé par le monde politique influencé par les activistes et qu’il doit payer la note. Il ne faut pas prendre les populations pour un ramassis d’idiots, chaque individu finit par comprendre que l’argent public a été détourné pour enrichir une minorité et entretenir financièrement des organisations activistes sans scrupules. La philanthropie climatique a été par exemple entièrement déviée de son but initial. Aux USA plus d’un demi-milliard de dollars d’argent public n’a jamais servi, entre 2011 et 2015, pour financer une quelconque recherche sérieuse sur le climat, tout cet argent a été détourné pour organiser une propagande incessante anti-nucléaire et anti-charbon.

Comme toute cause née et vivant de la politique elle meurt aussi en raison de la politisation outrancière de ses défenseurs qui se sont éloigné progressivement des réalités scientifiques, économiques et sociales par le simple fait qu’ils se sont emprisonné dans leur idéologie utopique.

Inspiré d’un article paru dans le Wall Street Journal et repris sur le site ZeroHedge

Explication du culte apocalyptique du réchauffement global

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Traduction la plus fidèle possible d’un article paru sur le site healthwyze.com sous la plume de « The Angry White Man ».

« Les cultes apocalyptiques existent depuis la nuit des temps, et la panique du réchauffement global fait figure de culte apocalyptique le plus répandu aujourd’hui. Nos anciens ont porté des bures et des silex en signe de repentance, ont enduit leur face avec de la cendre purificatrice ou ont pris une retraite purgatoire dans le désert pour échapper à la furie d’un cataclysme qui n’est jamais arrivé. Les grands médias aiment montrer les prêcheurs religieux qui sillonnent les routes et les villes avec des douzaines d’admirateurs en particulier en Californie ou encore David Koresh au Texas dans son église emplie de fidèles. Pourtant le plus grand culte apocalyptique, tellement répandu qu’il n’apparaît même plus comme un culte mais une normalité contemporaine, c’est cette folie du monde qui va brûler si nous tous ne nous repentons pas et ne changeons pas notre style de vie, le culte du réchauffement global.

Ce culte s’est amplifié et est devenu vraiment convaincant pour plusieurs raisons. La première tient au fait que nous sommes sans cesse encouragés par les médias pour nous émanciper des religions établies, pour devenir agnostiques ou athéistes. Nous devons devenir spirituels avec une autre approche. La majorité des Américains ont fait ce chemin sous l’influence de la culture populaire ou de l’éducation qu’ils ont reçu. Par voie de conséquence beaucoup d’entre nous recherchons un autre « appel » inconsciemment car ce désir est inscrit dans nos gènes, un appel amplifié d’autant plus que nous ne fréquentons plus les lieux de culte. Ce vide existentiel est vite comblé par n’importe quoi, depuis le yoga, les salles de fitness, les régimes alimentaires « tendance », les compétitions d’athlétisme (les jeux olympiques aussi), le show-biz ou plus inquiétant encore plus de gouvernement … À la place de Saint Ignace il y a maintenant Brad et Angelina. À la place de Jésus il y a Obama. Ce désir d’appartenir à quelque chose de plus grand que nous et que nous pouvons facilement identifier avec notre entourage sans avoir un seul instant fait l’effort d’en connaître la signification, est un comportement en contradiction avec la nature humaine fondamentale. C’est pourquoi de nombreux sondages d’opinion révèlent que nous ne sommes pas réellement religieux mais que nous ressentons un vide qui ne demande qu’à être comblé.

Au centre de ces instincts humains archétypiques qui ont ouvert la porte à l’incroyable et toujours plus raffinée religion est la croyance primitive, dérivée de l’autorité parentale, qu’il existe un être supérieur à qui nous devrons rendre compte de nos actes. Le christianisme, qui selon moi est la forme la plus élaborée des religions, a trouvé une solution à cette peur viscérale avec le concept d’apocalypse en offrant un salut de l’âme par la foi. Et cette foi assure durant la vie terrestre l’ordre, la rationalité et la sérénité. C’est la grâce contre l’acceptation du pardon et une humble reconnaissance du statut éternel de nos âmes.

Tout le monde ne voit pas ainsi les choses. Beaucoup de chrétiens révèrent les révélations de l’apôtre Jean (Les Révélations ou l’Apocalypse) par dessus tout et pour eux n’importe quelle voiture qui passe dans la rue en klaxonnant ce sont les trompettes du jugement dernier. Ils sont dressés sur la pointe des pieds prêts à endurer la fin du monde et à appeler Jesus pour les secourir alors que leurs ennemis ne feront que respirer du soufre et brûler.

Je ne suis pas vraiment ce type de chrétien. Pourtant bien des personnes s’inspirent de ce genre de discours : la croyance conventionnelle chrétienne a été remplacée par la peur apocalyptique du réchauffement climatique. La vieille peur de l’enfer et de la damnation a été remplacée aujourd’hui par un Jesus du bien-être qui ne veut qu’une chose, que nous soyons des entrepreneurs prospères comme ceux qui vendent des stades de football. Et c’est ainsi qu’ils n’ont plus d’autre choix pour expurger leur peur du jugement dernier que de vénérer Al Gore et la chaine météo (Weather Channel). À la place des prédicateurs qui nous enseignaient la peur du jugement dernier il y a maintenant les médias omniprésents qui nous abreuvent d’images de typhons dévastateurs, de tornades, de tremblements de terre, tout ça parce que nous roulons avec des 4×4 gros consommateurs de carburant. Pour ces médias, quelque part nous avons énervé la « Mère Nature » … et elle se vengera.

Si on s’en tient aux faits, il n’y a aucun doute, le réchauffement climatique ne se produit pas, il n’y a pas de réchauffement planétaire important d’origine humaine, il n’y en a pas eu dans le passé pour la même raison et il ne faut pas s’y attendre dans le futur. Ce ne sont que des foutaises. Alors pour quelle raison 97 % des rapports scientifiques soutiennent le réchauffement du climat d’origine humaine ? Parce que ces rapports sont commandés et payés par les gouvernements et c’est là que se trouve l’argent !« 

John Coleman, fondateur de The Weather Channel (https://weather.com) disait :

« Ce que je propose est que chaque fois qu’une personne paniquée par le culte du changement climatique vous avertira que, si vous ne réutilisez pas votre sac pour faire vos courses, le monde va fondre comme un glaçon dans une poêle à frire brûlante, prenez cette personne calmement par la main et dites lui tout aussi calmement : « c’est un monde sans fin, amen ». L’ordre sera rétabli et nous pourrons vivre dans la paix et la joie.« 

Source et illustration : The Health Wyze Report ( healthwyze.org )

Le changement climatique est sexiste !

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Bien que disserter plus avant au sujet du changement du climat me paraisse superflu je n’ai pas pu résister à écrire ce bref billet au sujet de la prise de position d’Hillary Clinton sur ce changement climatique interrogée lors d’une conférence à l’Université de Georgetown (Washington,DC) :

« Je voudrais dire que particulièrement pour les femmes, vous avez tout à fait raison, ce sont elles qui porteront le fardeau du changement climatique car elles devront se préoccuper de la nourriture, de l’acheminement du bois pour faire la cuisine, de chercher un autre endroit pour vivre quand toute l’herbe aura disparu en raison du réchauffement climatique et qu’il faut bien que le cheptel puisse continuer à se nourrir et que les légumes ne pousseront plus dans le jardin. Ces femmes souffrent déjà de la canicule en Afrique du Nord, au Moyen-Orient et en Inde » (sic).

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Source et illustration : Zerohedge

Vendanges 2017 catastrophiques en Europe

 

En raison du « réchauffement climatique d’origine humaine » (c’est de l’humour …) de nombreux vignobles européens et en particulier français ont souffert de gelées tardives en ce millésime 2017 qui accuse une diminution de la production européenne de 8,2 % pour atteindre seulement 246 millions d’hectolitres de vin ou encore 3 milliards de bouteilles de vin. C’est l’Office International du Vin basé à Paris qui l’affirme et le chiffre d’affaire global du vin européen atteindra seulement 75 milliards d’euros ! L’Italie, pays qui a le plus souffert de gels tardifs passe donc en cette année 2017 leader mondial de la production de vin malgré une diminution de la récolte de 23 %. En Espagne la production a chuté de 15 % et en France de 19 %. Mais le réchauffement climatique d’origine humaine n’est pas aussi global qu’on pourrait le penser puisqu’il n’a pas affecté l’Argentine, le Chili ou encore l’Afrique du Sud, pays qui ont tous bénéficié de récoltes en progression. L’Australie est maintenant cinquième producteur mondial de vin, belle embellie pour ces vins goûteux et de qualité, alors que la production de vin argentin a progressé de 25 %. Les vignerons européens ont aussi souffert de la sécheresse au moment de la croissance des grappes de raisin – toujours à cause du réchauffement climatique – peut-être vont-ils réclamer un peu de subsides auprès des gouvernements au nom de ce réchauffement climatique, allez savoir …

Source : Bloomberg

Crise climatique : pas de réchauffement en vue !

Crise climatique : pas de réchauffement en vue !

Il y a quelques jours je citais l’anecdote des aloès en fleur au mois de septembre (voir le lien) et personne n’était obligé de croire les vieux dictons relatifs au temps qu’il fera selon les observations de la nature. Lorsque j’étais enfant et que le temps était inhabituellement chaud – ou froid – la populace disait : « c’est à cause de la bombe ! ». Aujourd’hui cette même populace, soigneusement endoctrinée par les politiciens et tous les parasites qui n’ont qu’un projet, s’en mettre plein les poches avec cette histoire de changement climatique, dit béatement « c’est à cause du carbone ». Le reporter des airs, devenu ministre d’Etat français de l’économie du serpent qui se mord la queue, en rajoute et c’est tout juste si on ne commence pas à endoctriner les enfants dès l’école maternelle à propos du changement du climat qui se fait attendre depuis près de 20 ans. Bref, les typhons, cyclones et autres ouragans font la une des journaux et des informations télévisées et c’est encore le carbone qui est incriminé.

Et pourtant cette année 2017-2018 est très particulière car l’Océan Pacifique n’est ni en mode Nino ni en mode Nina, phénomène qui a si on peut dire déréglé le climat de l’Atlantique Nord et les météorologistes connaissent maintenant très bien ce processus pourtant incroyablement complexe d’ouragans dans la région de la Caraïbe quand l’Océan Pacifique est « au repos ». Pour en revenir aux aloès en fleur le site de prévisions meteociel (voir le lien) semble confirmer le dicton des « vieux » Canariens : l’hiver 2017-2018 va être très rude en Europe et y compris dans l’archipel des Canaries !

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Quelques précisions pour comprendre la signification de ces illustrations : il s’agit des anomalies de températures à 1500 mètres d’altitude (850 hPa) par rapport à une moyenne calculée sur les 50 dernières années. Cet hiver particulièrement rude à venir pourrait très bien provoquer le black-out redouté en raison de la profonde désorganisation des réseaux électriques européens provoquée par les énergies dites renouvelables (pour diminuer les émissions de carbone), en particulier en Allemagne. À vos lampes à pétrole, vos bottes fourrées de peau d’ours blanc (avant qu’ils ne disparaissent) et vos gants de soie sous des moufles épaisses en peau de lapin des neiges …

Lien sur ce blog : https://jacqueshenry.wordpress.com/2017/09/08/conges-electroniques-et-changement-climatique/

Illustrations : simulations datant du 16 septembre 2017 et réactualisées régulièrement toutes les 6 heures.

Source : http://www.meteociel.fr/modeles/cfsme_cartes.php