Brûler du bois pour réduire l’empreinte carbone est un pur non-sens

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Dans le paquet du programme de transition énergétique écologique, renouvelable et solidaire mis en place par le gouvernement français devant tenir compte des exigences de l’accord de Paris relatif au sauvetage du climat le volet chauffage domestique a été abordé et la solution trouvée pour émettre zéro carbone consiste à chauffer les maisons individuelles avec du bois plutôt que d’utiliser du gaz qui enrichit les méchants Russes ou Qataris ou du gasoil qui enrichit les méchants émirs pourvoyeurs de fonds vers les mosquées fondamentalistes européennes. Dans l’esprit étriqué des écologistes l’empreinte carbone du bois est égale à zéro et pourquoi pas utiliser aussi du bois pour produire de l’électricité comme par exemple dans la centrale électrique de Gardanne dans le sud de la France. Tout paraît à première vue sensationnel et comme de plus la France compte dans ses doux paysages de nombreuses forêts mal exploitées autant puiser dans ces dernières pour réduire l’empreinte carbone.

Seulement il y a un gros problème : les écologistes, le laryngophoniste en charge de cette transition en tête, ont mal fait leurs calculs ou plutôt n’en ont pas fait du tout et se sont lançé tête baissée et les yeux bandés dans ce projet y compris d’ailleurs la Commission Européenne et en son temps le Sieur Obama aux USA.

Utiliser du bois pour se chauffer ou produire de l’électricité est tout simplement un non-sens en termes d’empreinte carbone. C’est ce qu’a démontré une équipe de scientifiques américains dirigée par le Docteur John D. Sterman du MIT. Utiliser du bois ou d’autres « bio-combustibles » en lieu et place du charbon ou du gasoil est loin d’être neutre en termes de carbone. En tenant compte de tout le processus de valorisation du bois, depuis l’abattage, la transformation en briquettes ou en granulés, le transport, le stockage et la distribution, ce bois finalement utilisé comme combustible rejette plus de CO2 que le charbon pour la production d’électricité ou le gasoil pour le chauffage domestique. De plus les rendements tant pour la production d’électricité que pour le chauffage sont inférieurs à ceux obtenus avec le charbon.

Un autre point qui a été cavalièrement passé sous silence par les écologistes est l’introduction d’une « dette de carbone », conséquence directe de l’abattage des arbres. En effet pour qu’une forêt retrouve sa pleine efficacité de fixation de CO2 atmosphérique il faut attendre entre 30 et 100 ans, trente ans pour un feuillu ou un résineux à croissance rapide et jusqu’à 100 ans pour un chêne ! Et quand cette dette aura été « payée » par la croissance des arbres du CO2 supplémentaire se sera accumulé dans l’atmosphère. Il en est de même pour toutes les autres biomasses végétales considérées et pas seulement le bois. En conclusion il est plus judicieux de ne pas toucher aux forêts si on veut sauver le climat et d’abandonner toute idée d’utilisation d’une quelconque biomasse pour produire de l’énergie thermique ou électrique !

Il est ici opportun de rappeler que ces mêmes écologistes français ont mis à mal et détruit des plantations expérimentales de peupliers rendus stériles par modification génétique dans des laboratoires de l’INRA au nom du sauvetage des écosystèmes naturels. Des années de travaux ont été réduits à néant malgré le fait que ces arbres destinés à produire du papier poussaient environ 30 % plus vite que des peupliers fleurissant chaque année. On ne peut que constater en rappelant ces faits que les écologistes n’en sont pas à une approximation près et qu’ils se contredisent souvent dans leur idéologie surranée sinon totalement stupide : détruire des écosystèmes et la biodiversité pour se chauffer, n’est-ce pas encore une aberration de leur part ?

Source : https://doi.org/10.1088/1748-9326/aaa512 , illustration vue de la forêt de Brocéliande trouvée sur internet.

Billet de très mauvaise humeur politique

Je livre à mes lecteurs cette dépêche d’agence surréaliste décrivant les élucubrations inquiétantes de la Miss Royal. Il est vrai que c’est plus rassurant de parler de bois que de la dette de la France qui va augmenter de 85 milliards d’euros cette année (dernières estimations de l’INSEE corroborées par la Cour des Comptes) pour atteindre début 2015 deux mille milliards d’euros, soit un petit peu plus que le PIB à quelques cuillères à café près. Quand on sait également qu’on nous bourre le mou avec cette stagnation de l’économie puisque le PIB n’augmente pratiquement pas alors que le gouvernement prend bien soin de ne pas tenir compte de l’inflation qui fait qu’en réalité la France est en récession depuis près de deux ans, la raison évidente pour laquelle le chômage augmente malgré les mesurettes décidées par le gouvernement qui ne changeront rien à la situation, alors autant parler de bois de chauffage, c’est rassurant, c’est du vrai « Made in France » comme dirait Montebourg.

Il y a tout de même un aspect totalement éludé par la Miss Royal : la France exporte à prix bradés du bois en Chine et ce bois revient dans l’Hexagone sous forme de meubles et pendant ce temps là les entreprises françaises du secteur ferment les unes après les autres. Pire, c’est l’ONF qui se charge de piller consciencieusement ce patrimoine ! E.ON ne veut pas entendre parler de bois pour la centrale électrique de Gardanne, il est trop cher … etc.

Du grand n’importe quoi !

Royal veut faire une énergie d’avenir du bois de chauffage de son enfance

Paris – La ministre de l’Energie Ségolène Royal a exprimé mardi son souhait de développer la production d’énergie à partir du bois, indiquant qu’elle avait toujours personnellement privilégié ce moyen de chauffage.

Fait méconnu, le bois énergie (l’utilisation du bois comme comestible) est la première source d’énergie renouvelable utilisée en France, représentant 80% de la chaleur renouvelable, a indiqué la ministre qui s’exprimait à l’ouverture d’un colloque sur la biomasse organisé par le syndicat des énergies renouvelables (SER) et France Biomasse énergie.

L’ancienne présidente de la région Poitou-Charentes a fait valoir qu’elle avait été la première présidente de région à équiper les lycées de chauffages à bois, malgré les oppositions à ce projet, y compris au sein de sa propre majorité.

Toute mon enfance, dans les Vosges, j’ai été chauffée au bois, a également confié Mme Royal, ajoutant qu’elle avait continué à se chauffer de cette manière dans sa région et invitant les industriels présents dans la salle à améliorer la technologie des poêles à granulés à bois.

Elle a rappelé que les nouveaux prêts de la Caisse des dépôts (jusqu’à 5 millions d’euros sur 20 à 40 ans, sans apport initial) devraient permettre d’accélérer le déploiement de chaufferies collectives biomasse, tandis que l’objectif d’équiper 9 millions de foyers (contre 7,4 actuellement) de chauffage à bois devrait être atteint grâce à la simplification du crédit d’impôts développement durable.

La ministre a cependant souligné que si la ressource forestière est abondante en France – elle couvre près d’un tiers du territoire – elle est fortement sollicitée: il convient donc de l’utiliser au mieux et de ne pas la gaspiller. Pas de risque, a répondu la directrice générale déléguée de l’Ademe, Virigine Schwartz, rappelant que la coupe du bois en France est très inférieure à l’accroissement naturel de la forêt.

Toutes essences confondues, la forêt française produit 85 millions de mètres cube de bois par an, mais seule la moitié est effectivement récoltée. Or ce taux de prélèvement pourrait être porté sans dommage à 75% afin de permettre à la France de respecter les objectifs qu’elle s’est fixés, a ajouté Mme Schwartz. La loi de transition énergétique, dévoilée à la mi-juin, prévoit que la part des énergies renouvelables dans la consommation atteigne 23% en 2020 et 32% en 2030.

Autre sujet: si le bilan carbone de la filière est positif (émissions de CO2 dues à la combustion largement compensées par la fonction de puits carbone de la forêt) selon l’Ademe, la pollution aux particules fines générée par le chauffage au bois en foyer ouvert nécessite que les fabricants améliorent les performances des appareils, a souligné la ministre.

Enfin, Mme Royal recommande de sensibiliser les propriétaires d’hectares de forêt, qui ne perçoivent pas toujours la valeur économique de leur bien. La France compte 3,5 millions de propriétaires de forêts, dont 70% détiennent moins d’un hectare. C’est le cas de la ministre qui, dans sa déclaration de patrimoine publiée jeudi dernier, mentionne avoir acquis en 1989 une parcelle bois de 16 ares 80 ca centiares pour 300 euros, évaluée à 500 euros à la date de la déclaration. L’industrie du bois pèse environ 50 milliards d’euros de chiffre d’affaires en France, et emploie au total environ 450.000 personnes. La seule filière bois énergie pourrait concerner 85.000 emplois en France en 2015, selon la ministre.

(©AFP / 01 juillet 2014 18h04)

AREVA et l’écologie : mort de rire …

Revue de presse vespérale instructive.

 

Areva La Hague espère passer du fioul au bois en 2017

BEAUMONT-HAGUE (France) – L’usine de retraitement de déchets nucléaires Areva de Beaumont-Hague (Manche) espère passer en 2017 d’une production d’énergie au fioul, à une production d’énergie avec des chaudières au bois, a-t-on appris mardi auprès de la société.
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Le projet prévoit l’installation de trois chaudières à bois de 21,5 MW, alimentées par 150.000 tonnes de bois par an. Cela lui permettrait, estime l’usine, d’économiser 30% de sa facture énergétique (qui est de 10 millions d’euros par an environ) et de ne plus produire 55.000 tonnes de CO2 par an comme l’usine le fait actuellement avec ses chaudières au fioul. Les 20 camions prévus par jour pour alimenter l’usine en bois produiraient 5.000 tonnes de CO2 par an, selon Areva. ( … )

Lors de cette CLI (Commission Locale d’Information), réunissant élus locaux et dirigeants d’Areva, la conseillère régionale EELV Clara Osadtchy s’est inquiétée de la pollution de l’air qu’entraînerait un passage du fioul au bois de ce site. La combustion du bois ne produit pas de CO2, contrairement au fioul, mais elle émet des particules fines cancérigènes à l’origine de pics de pollution. Or, selon Mme Osadtchy, l’usine est déjà le deuxième plus gros émetteur de particules fines de la région.

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(©AFP / 19 novembre 2013 18h56)

On reste ému aux larmes devant le grand pas écolo-compatible que vient de franchir AREVA, l’une des bêtes noires des écologistes, surtout quand on sait en outre qu’AREVA jette déjà des centaines de millions d’euros dans le vent en participant financièrement à la mise en place de moulins à vent dans la région du Cotentin. Quand on lit cette dépêche d’agence on croit avoir des visions ou détecter des erreurs typographiques inconscientes. Cent cinquante mille tonnes de bois par an, mais dans quelles forêts va-t-on les trouver ?

Si on lit bien, les camions transportant le bois produiraient à eux seuls 5000 tonnes de CO2 par an, à moins que j’aie mal lu ou compris le contenu de la dépêche. Plus loin, on peut lire « La combustion du bois ne produit pas de CO2 ». Il faut réfléchir pour comprendre que puisque le bois piège au préalable du CO2, quand on le brûle il ne produit pas de ce vilain gaz reconnu par la communauté scientifique comme présentant des propriétés d’effet « dit » de serre. Ce n’est donc que du bonheur ! Certes, le bilan « carbone » serait nul en brûlant du bois dans une chaudière industrielle, mais la conseillère EELV oublie d’inclure dans son raisonnement à l’emporte pièce que les végétaux produisent également du CO2 la nuit et que par exemple couper la totalité de la forêt amazonienne ne changerait pas significativement son bilan global « gaz à effet de serre » car si cette forêt devenue inexistante ne fixe plus de carbone, elle n’en produit plus la nuit et surtout elle ne produit plus de méthane provenant de la fermentation des détritus végétaux. Mais ça, les écolos ne veulent pas en parler, parce ce n’est pas politiquement correct. La conseillère, satisfaite du destin écolo-compatible de la destruction promise à des centaines d’hectares de forêt, s’émeut tout de même des risques de pollution par les particules fines cancérigènes qui polluent très fortement l’air de l’Hexagone …

Pour désinformer même l’AFP met son grain de sel, pardon, de poussière.

Un quelconque débat sur le climat est indésirable (en Allemagne mais bientôt aussi en France) !

C’est en gros ce qu’a décrété le Gouvernement Allemand par la voix de son Ministère de l’Environnement (Umweltbundesamt, UBA) dans une sorte de pamphlet intitulé (je traduis de l’anglais) « Ca se réchauffe effectivement … Qu’est-ce qui se cache derrière le débat sur le changement climatique ? ». En gros, dans cette brochure, on prévient l’honnête citoyen que la catastrophe climatique se profile à l’horizon et qu’il ne faut pas prêter l’oreille aux climato-sceptiques, rien que ça ! Dans cette brochure de 123 pages le gouvernement allemand montre clairement du doigt ceux qui répandent de fausses informations et des contre-vérités sur le changement climatique qui est maintenant devenu une vérité qui doit être admise par tous ! Bienvenue au débat ouvert et tolérant en République Fédérale d’Allemagne. Et pourtant ce sont les mêmes personnes qui ont récemment admis qu’ils étaient bien obligés d’admettre que le réchauffement « marquait une pause » depuis quelques années et qu’ils s’en étonnaient ! A la lecture de ce pamphlet qui sent la bonne odeur d’herbe verte fraichement tondue, tous ceux qui ne sont pas d’accord doivent être marginalisés et considérés presque comme des criminels. Et devinez qui cosigne ce torchon idéologique (on se croirait revenu aux sombres années 30) Germanwatch, Greenpeace, klimaretter.de, le Postdam Institute for Climate Impact Research et des scientifiques notoirement orientés idéologiquement, du genre Séralini contre les OGM, Stefan Rahmstorf ou Naomi Oreskes. D’après l’ UBA les sceptiques sont à la solde d’ExxonMobil ou du Heartland Institute (financé entre autres par ExxonMobil, CQFD).

Ce n’est pas le rôle du gouvernement allemand de dire au public qui sont les bons et qui sont les mauvais.

Et pendant ce temps là six centrales électriques à charbon sont en cours de construction en Allemagne, certaines proches de leur raccordement au réseau, et 5 autres centrales sont planifiées pour les prochaines années pour brûler, entre autres, de la lignite hautement polluante avec naturellement la bénédiction de l’UBA. Ils vont peut-être aussi brûler du bois comme E.On et RWE savent bien le faire (voir mon billet sur la centrale de Gardanne) alors qu’il est admis que la déforestation intervient dans l’augmentation du taux de CO2 dans l’atmosphère à hauteur de près de 80 % en diminuant la biomasse photosynthétique terrestre (sans tenir compte dans cette étude du phytoplancton) et qui correspond à 38 gigatonnes de CO2 par an non séquestrés par la végétation. Il faut néanmoins prendre ces données avec précaution puisque ce sont des extrapolations faites sur la période 1850-2000. Je suis un ancien scientifique, je suis donc objectif et critique. Mais toute cette pollution atmosphérique et carbonée que génère l’Allemagne n’a pas l’air d’émouvoir outre mesure l’UBA ni Greenpeace ni les écologistes allemands qui ont exigé et obtenu la fermeture de toutes les centrale nucléaires.

Il n’en reste pas moins que l’attitude du ministère de l’environnement allemand est idéologiquement orientée et inadmissible pour une démocratie.

Merci Greenpeace, organisation opaque, terroriste et anti-scientifique !

 

Sources : http://deforestation.geologist-1011.net, notrickszone.com dont cet article : http://notrickszone.com/2013/05/17/atmospheric-co2-concentrations-at-400-ppm-are-still-dangerously-low-for-life-on-earth/ et le lien de Contrepoints : http://www.contrepoints.org/2013/05/17/124585-climat-lalarmisme-bat-en-retraite

 

 

Il y a du bois en France, brûlons-le !!!

J’ai cru avoir une hallucination visuelle en lisant la dépêche d’agence reproduite partiellement ci-dessous. Est-ce que les écologistes ont perdu la tête, voilà la question que je me suis tout de suite posé. Reconvertir une ancienne centrale au charbon en centrale à bois sous le prétexte hautement fallacieux que le « bilan carbone » de la région PACA sera ainsi amélioré avec un investissement non négligeable pour en plus faire travailler une société sud-coréenne, c’est vraiment du foutage de gueule total, Montebourg a certainement apprécié, lui le ministre de l’affaissement déconstructif. Et de nombreuses questions se posent. D’abord a-t-on incorporé dans le calcul fumeux, c’est le cas de le dire, des six cent mille tonnes de CO2 « économisés » le bilan carbone de l’abattage, de la manutention et du transport du bois, j’en doute beaucoup. D’où va venir le bois, de l’arrière pays marseillais, il n’y a presque plus d’arbres, ils ont tous brûlé dans des incendies pour la plupart criminels. On va peut-être importer le bois sous forme de granulés en provenance des USA où RWE, une entreprise allemande, possède la plus grosse unité du monde de production de granulés de bois ou bien détruire les forêts françaises. Quel est le bureaucrate criminel qui a autorisé ce projet, un écologiste qui se dit respectueux de l’environnement mais ne l’est à l’évidence pas du tout ou un écologiste idéologique du genre Batho ou Bové. Et si ce doit être la plus grande usine d’électricité de France brûlant du bois, il doit y en avoir d’autres. Pendant ce temps-là on enfouit les déchets ménagers de la ville de Marseille et des environs. Le maire (PCF) de Gardanne a certainement joué des coudes et du larynx pour que l’outil industriel, patrimoine des Français, ne soit pas démantelé et imaginé ce montage ahurissant pour préserver quelques emplois. On peut se demander ici pourquoi il n’a pas exigé d’E.On de faire appel à une société nord-coréenne. Pour en revenir au bois et à son utilisation pour la production d’énergie, chaque fois qu’on coupe un arbre, il faut en planter trente afin de ne pas se retrouver dans un désert trente ans plus tard. Ce n’est pas moi qui ai fait ce calcul mais des crânes d’oeufs dans leur douillet bureau de fonctionnaire, il faut donc les croire sur parole. Ce projet maintenant sur les rails selon la dépêche d’agence sent la grosse magouille politicienne entre communistes et écologistes. La France est bien une république bananière …

E.On France va bien réaliser la grande centrale à bois de Gardanne

PARIS – E.On France, la filiale français du groupe énergétique allemand, compte bien faire construire la plus grande centrale à bois de France à Gardanne (Bouches-du-Rhône) pour laquelle il a retenu le sud-coréen Doosan et le français RBL-REI, a-t-il annoncé jeudi. (…) Ce projet d’une reconversion d’une tranche de centrale à charbon en centrale à bois de 150 mégawatts, lancé par E.On il y a deux ans, représente un investissement de plus de 230 millions d’euros, indique le groupe dans un communiqué. (…) E.On, qui a donné récemment son feu vert à sa filiale française selon une porte-parole, avait eu l’autorisation préfectorale fin 2012. Selon l’entreprise, le projet conduira à améliorer le bilan CO2 régional de 600.000 tonnes par an.

map/arz/jag

E.ON


(©AFP / 16 mai 2013 12h08)