Le « vaccin » anti-coronavirus est une loterie : 5 % de chances de mourir ou d’être gravement malade !

Le vieux Paul C. Roberts ( https://en.wikipedia.org/wiki/Paul_Craig_Roberts ) m’étonnera toujours à l’âge de 84 ans. Il doit statistiquement, comme votre serviteur, souffrir de problèmes de glande typiquement masculine qui ne sert que pour avoir des enfants, ce qui fut mon cas seulement trois fois. Bref, comme Seymour Hersh qui a le même âge ces deux phénomènes remuent la fange et je les en félicite profondément. Voici donc la première partie de deux papiers de Paul C. Roberts datée du 11 mais 2023 relatif à la « vaccination » anti-covid traduite par mes soins aussi fidèlement que possible par respect pour le vieux Paul. Bonne lecture ! Quelques commentaires en fin de papier et dans le cours du papier lui-même notes en caractères italiques et en parenthèses. 

« Il s’agit d’un meurtre de masse intentionnel, prémédité. Cela ne fait absolument aucun doute, car rien d’autre n’a de sens. Nous allons les coincer » (avocat Reiner Fuellmich).

Un chercheur a découvert que 5 % des lots de « vaccins » contre le SARS-CoV-2 sont responsables du grand nombre de décès et de blessures liées à la « vaccination » aux États-Unis. De plus, les analystes ont conclu que l’étiquetage séquentiel des lots selon les niveaux de toxicité constitue une preuve de violation intentionnelle de la réglementation fédérale exigeant l’uniformité des doses. Pour Pfizer, 4 % des lots de vaccins représentaient tous les décès attribuables au vaccin de Pfizer et 5 % des doses de Moderna représentaient tous les décès attribuables au vaccin de Moderna. La toxicité de certains lots explique pourquoi certaines personnes ont été tuées ou ont été blessées par le vaccin contre le SARS-CoV-2, tandis que d’autres, du moins jusqu’à maintenant, n’ont subi aucune réaction indésirable. 

Le chercheur a constaté que les lots hautement toxiques avaient une répartition entre les États, et on se demande si la distribution était principalement dans les États rouges (note : il s’agit d’Etats à majorité démocrate). Mais la conclusion la plus troublante du chercheur est que la différence très inhabituelle de toxicité et le schéma inhabituel de distribution indiquent un « crime important » qui « doit faire l’objet d’une enquête ».

Reiner Fuellmich, qui a enquêté avec des milliers d’avocats et de scientifiques réunis dans le Comité d’enquête allemand Corona sur la toxicité du vaccin, a recueilli d’énormes preuves que le vaccin est toxique. Le casse-tête est la raison pour laquelle certains ont été tués ou blessés et d’autres non. La réponse est l’incohérence des lots de vaccins. Des experts, comme l’ancien vice-président et directeur scientifique de Pfizer, le Dr Michael Yeadon, et l’ancien chef du Comité de la santé de l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe, le Dr Wolfgang Wodran, ont conclu que « des actes criminels sont commis » et que « un crime grave est aussi évident ». Vous pouvez lire le rapport ici : https://www.globalresearch.ca/small-percent-vaccine-batches-responsible-large-number-adverse-reactions-analysts-claim/5767604 . Je vous encourage à le faire. Je vais maintenant parler de ses répercussions.

Nous savons pertinemment que la « pandémie de coronavirus » a été orchestrée par la peur et qu’aucun aspect du protocole de traitement n’était efficace ou logique. Les masques ne protègent pas. Le confinement a fait plus de mal que de bien. Les droits de la personne ont été violés par des vaccinations forcées non volontaires avec une substance non testée et utilisées en vertu d’une autorisation d’urgence qui exigeait qu’il n’y ait aucun traitement ou remède connu. L’exigence d’utilisation d’urgence signifiait que les remèdes connus utilisés avec succès dans d’autres pays, comme le Brésil et l’Inde, devaient être refusés et interdits d’utilisation aux États-Unis et dans d’autres parties du monde occidental. Les autorités de santé publique des États-Unis et les « presstitutes » ont menti à travers leurs dents que l’ivermectine et la HCQ étaient des médicaments dangereux et non approuvés. L’ivermectine était considérée comme une médecine du cheval dangereuse pour les humains. En fait, les deux médicaments avaient été approuvés depuis longtemps pour usage humain et avaient de nombreuses décennies d’utilisation et des dossiers d’innocuité parfaits. L’ivermectine est couramment utilisée pour prévenir la cécité des rivières dans les régions d’Afrique où le parasite est répandu, et la HCQ est depuis longtemps utilisée pour prévenir le paludisme.

Il aurait été juste de dire que ni l’ivermectine ni le HCQ n’ont été approuvés par la FDA pour le traitement du coronavirus, mais que la maladie était nouvelle et qu’il n’y avait donc pas eu de demande pour les années d’essais qui font partie du processus d’approbation. Toutefois, dans la pratique médicale aux États-Unis, c’est aux médecins de juger lorsqu’ils cherchent des moyens d’aider leurs patients. Pourtant, les médecins qui ont sauvé des vies avec l’Ivermectin ou l’HCQ ont été punis. S’ils étaient des employés de la médecine d’entreprise, ils ont été congédiés. S’ils exerçaient de façon indépendante, des efforts ont été faits pour leur retirer leur licence médicale. De nombreuses pharmacies ont été empêchées de remplir les ordonnances d’ivermectine et de HCQ.

Ce que nous savons maintenant, c’est que pratiquement personne n’est mort du coronavirus, sauf les personnes atteintes de morbidité qui se sont vu refuser un traitement. N’oubliez pas le protocole relatif au SARS-CoV-2. Si tu tombais malade, tu devais rester à la maison, et si tu avais des problèmes respiratoires, tu devais aller à l’hôpital où ils t’ont tué avec des respirateurs. Apparemment, le protocole voyait les problèmes respiratoires comme une pneumonie, mais le vrai problème était que le virus artificiel empêchait les globules rouges de transporter de l’oxygène. Rappelez-vous également que les hôpitaux ont été incités à maximiser les décès liés au coronavirus, car ils ont reçu environ 39000 $ pour chaque décès lié à ce coronavirus. Par conséquent, presque tous les décès ont été signalés comme étant des décès liés au coronavirus, même des accidents de moto, ce qui a maximisé le taux de décès lié à ce virus et conduit les gens à la vaccination. N’oubliez pas que l’inventeur du test a dit que le test PCR utilisé pour diagnostiquer cette maladie était incapable de le faire. Le test PCR a produit jusqu’à 97 % de faux positifs, exagérant ainsi énormément la pandémie.

Rappelez-vous aussi que l’explication initiale de cette maladie était la viande de chauve-souris infectée vendue dans un marché chinois. Nous savons maintenant que le SARS-CoV-2 était un virus artificiel et que l’aspect « gain de fonction », qui le rendait contagieux et dangereux, a été financé par les NIH de l’Université de Caroline du Nord et que, lorsque des critiques ont été formulées en raison de préoccupations, il a violé la Convention sur la guerre biologique. le financement a été transféré à Wuhan, en Chine. Rappelez-vous aussi que la DARPA était impliquée dans la fabrication du virus. La nouvelle, c’est que le virus s’est échappé du laboratoire de Wuhan, mais que des personnes plus alertes croient que le virus a été libéré intentionnellement.

De nombreux scientifiques indépendants n’ayant aucun conflit d’intérêts avec les grandes sociétés pharmaceutiques considèrent le « vaccin » non seulement comme plus mortel que cette maladie elle-même, mais aussi comme une arme biologique. De toute évidence, le fait que 5% des doses représentent les effets indésirables implique un motif et une intention. Cela doit être étudié par des scientifiques et des organisations indépendants. Il est difficile et peu probable de s’attendre à ce que le Congrès, même si ses membres dépendent des fonds de la campagne Big Pharma, et les organismes de santé publique de réglementation, la FDA, les NIH, les CDC, les organismes qui sont des agents de marketing Big Pharma à porte tournante, enquêtent honnêtement sur la « pandémie de SARS-CoV-2 » et les lots toxiques du « vaccin ».

S’il n’y a pas d’enquête ni de rendu honnête de comptes, on peut s’attendre à de pires pandémies orchestrées dans un proche avenir (cf. mon commentaire en fin de billet). Il y a des indications que les États-Unis ont essayé de militariser le virus Ebola, et au cours des deux dernières années, j’ai signalé que des flacons de variole mortelle avaient été découverts deux fois présentés sur des comptoirs au lieu d’être sous clé. Les gens de ma génération ont été vaccinés contre la variole, et une campagne mondiale a éradiqué la maladie, mettant ainsi fin à la vaccination des populations. Pour une raison quelconque, les cultures du virus étaient gardées sous clé dans des laboratoires prétendument hautement sécurisés.

La variole est naturellement très contagieuse. Si elle devait s’échapper ou être libérée, le taux de mortalité serait beaucoup plus élevé qu’avec le coronavirus. Les protocoles d’urgence mettraient essentiellement fin à la liberté humaine, et la population humaine serait considérablement réduite. À cause du retour de flamme (conséquences sur l’armée assaillante si elle ne dispose pas d’antidote ou de vaccin efficace et spécifique), les armes biologiques sont essentiellement inutiles comme armes de guerre à moins qu’elles ne puissent être conçues pour attaquer uniquement l’ennemi. Vous vous souvenez peut-être qu’il y a quelque temps, il y avait plusieurs rapports, dont un de Russie, selon lesquels la CIA recueillait des informations génétiques russes. Les scientifiques russes spéculaient que Washington était engagé dans la recherche sur les armes biologiques ciblant les Russes. La recherche sur les armes biologiques est satanique et contraire à la Convention sur la guerre biologique. Que les États-Unis poursuivent cette recherche illégale est un danger pour tous les Américains et pour le monde entier. En outre, cette recherche montre une insouciance téméraire de la part du gouvernement américain et de ses scientifiques pour le droit et la vie. 

Les organismes gouvernementaux qui opèrent secrètement en dehors de la loi peuvent mentir éternellement au Congrès et peuvent invoquer « la sécurité nationale », une vache sacrée pour le Congrès, et échapper à la responsabilité. Nous observons actuellement le FBI et le ministère de la Justice continuer leur protection de Joe et Hunter Biden tout en poursuivant le président Trump avec de fausses accusations. La guerre nucléaire est une réelle possibilité. L’hostilité des néoconservateurs envers tous les pays capables de faire obstacle à l’unilatéralisme américain, ainsi que la tolérance sans fin du Kremlin aux provocations, conduisent à une guerre nucléaire.

Nous faisons face au même risque d’extermination que la militarisation des virus mortels par le gouvernement américain. Ce travail se poursuit sans obstruction et justifié avec toutes sortes de faux arguments. « Nos ennemis le font, alors nous devons aussi nous protéger ». Ou comme le prétendent Fauci, Gates et d’autres, nous devons fabriquer des virus mortels pour les étudier afin de pouvoir nous pré-vacciner. Ces arguments sont faux. De plus, les conséquences pour l’humanité et toute la vie de la guerre nucléaire et des armes biologiques sont si horribles qu’elles font de la poursuite de la paix le but ultime de tous les objectifs. Mais Washington poursuit l’hégémonie, ce qui est une garantie de guerre.

Le danger de notre situation ne peut être exagéré. Seule la responsabilité pour la pandémie orchestrée par le coronavirus peut rétablir la vie humaine comme étant plus importante que les profits des grandes sociétés pharmaceutiques et sauver la vie de la tyrannie.

Commentaires de votre serviteur. Comme cela a été signalé à plusieurs reprises sur ce blog l’Organisation Mondiale de la Santé aidé financièrement par la Fondation Bill Gates (je ne mentionne plus Melinda qui a divorcé de son époux après les révélations de pédophilie de Bill qui abusait de jeunes filles que Jeffrey Epstein mettait à la disposition des grands de ce monde pour ensuite les faire chanter avec des vidéo du genre porno pédophile confiées au Mossad. La collusion entre ce triste individu et l’OMS donne le ton de l’état de pourrissement des institutions internationales caviardées de l’intérieur par des personnages peu recommandables. La prochaine épidémie sera organisée à dessein par les Etats-Unis voire un autre pays, mais on ne situe pas clairement lequel pourrait tenter d’asseoir son hégémonie par ce biais totalement immoral foulant les lois fondamentales de l’éthique en en violation totale du Code de Nuremberg. J’ai exposé sur ce blog le fait qu’accuser la Chine d’avoir répandu le virus après son étude dans le laboratoire P4 de la ville Wuhan est selon mon point de vue un mensonge grossier organisé par les Américains. M’accuser d’anti-américanisme primaire me laisse indifférent. Les Américains sont un peuple sans foi ni loi et ils seraient bien avisés de s’occuper de leurs affaires intérieures car avec 4 Etats (Nevada, Nouveau-Mexique, Texas et Floride) qui envisagent une sécession le pouvoir fédéral risque de s’effondrer car une vraie guerre civile fera oublier les visées impérialistes de ce pays que je méprise de plus en plus et je n’ai aucune honte à l’écrire …

Source : https://www.paulcraigroberts.org/2023/05/11/the-covid-deception-the-dire-consequences-of-the-lack-of-accountability/

La liberté des médias ? Une illusion

La liste ci-dessous explique l’emprise des médias sur la censure sévissant au sujet des effets secondaires des vaccins. Cette liste non exhaustive illustre l’ampleur du pouvoir de la “soft power” américaine. Il ne s’agit que des médias financés par Bill Gates, le plus grand mégalomane de l’ombre. Je laisse à mes lecteurs le soin de découvrir l’emprise tentaculaire de Bill Gates sur le monde et les médias : https://katehon.com/en Note : NPR = National Public Radio USA

Et pour approfondir l’emprise de Bill Gates sur le monde des médias : https://katehon.com/en/article/documents-show-bill-gates-has-given-319-million-media-outlets-promote-his-global-agenda

La prochaine étape dans l’agenda du WEF

Article de Roger Koops paru sur le site Brownstone Institute le 20 février 2022. Profil de R. Koops en fin de billet.

Il est évident depuis le début de 2020 qu’il y a eu une sensibilisation organisée des adeptes du « culte du Covid » (lien en fin de billet) qui a imprégné le monde dans son ensemble. Il est possible que cela se soit formé à partir d’une erreur gigantesque, enracinée dans une ignorance soudaine de la biologie cellulaire et une longue expérience de la santé publique. Il est également possible qu’un virus respiratoire saisonnier ait été déployé par certaines personnes comme une opportunité de prendre le pouvoir à d’autres fins. Suivez les sentiers de l’argent et de l’influence et cette dernière conclusion est difficile à rejeter.

Les indices étaient là tôt. Même avant que l’OMS ne déclare une pandémie en mars 2020 (avec au moins plusieurs mois de retard sur les faits réels d’une pandémie) et avant tout confinement, il y avait eu des campagnes éclair dans les médias pour parler de la « nouvelle normalité » et parler de la « grande réinitialisation » (qui était rebaptisé « Build Back Better »). Des sociétés pharmaceutiques telles que Pfizer, Johnson & Johnson, Moderna et Astra-Zeneca faisaient activement pression sur les gouvernements pour qu’ils achètent leurs vaccins dès février 2020, soi-disant moins d’un mois après la mise à disposition de la séquence génétique (ou séquence partielle) par la Chine. En tant que personne qui a passé toute sa carrière professionnelle dans le développement de produits pharmaceutiques et de vaccins, j’ai trouvé le concept de passer de rien à un vaccin prêt à l’emploi en quelques mois tout simplement absurde.

Quelque chose ne collait pas.

Je connaissais les noms avec lesquels tout le monde s’est familiarisé. Bill Gates, Neil Ferguson, Jeremy Farrar, Anthony Fauci et d’autres avaient fait pression ou poursuivi les stratégies de verrouillage pendant de nombreuses années. Mais encore, la portée des actions semblait trop grande pour être même expliquée par ces seuls noms. Ainsi, les questions fondamentales que je me suis posées ont été pourquoi et qui ? Le « pourquoi » semble toujours revenir à des questions autres que la santé publique. Bien sûr, le « Qui » avait des acteurs évidents tels que l’OMS, la Chine, le CDC, le NIH/NIAID et divers gouvernements, mais il semblait y avoir plus que cela derrière. Ces acteurs ont été connectés à l’aspect « santé publique » mais cela ne semblait faire qu’effleurer la surface. Je ne suis pas un journaliste d’investigation et je ne revendiquerai jamais ce rôle, mais même moi, je peux faire quelques recherches simples sur Internet et commencer à voir des modèles évoluer. Les recherches que j’ai faites ont donné des « coïncidences » très intéressantes.

Si je vous donne les noms des personnes suivantes – Biden, Trudeau, Ardern, Merkel, Macron, Draghi, Morrison, Xi Jinping – que pensez-vous qu’elles ont en commun ? Oui, ils sont tous choyés et trébuchent sur eux-mêmes, mais ce n’est pas non plus le lien. On peut voir très rapidement que ces noms se rapportent certainement à des pays de confinement et à des individus qui ont ignoré leurs propres lois et/ou ont tenté d’une manière ou d’une autre de les usurper. Mais il y a plus que cela et je donnerai un indice en fournissant un lien avec chaque nom.

Joseph Biden, président, États-Unis

Boris Johnson, Premier ministre du Royaume-Uni

Jacinda Ardern, PM de la Nouvelle-Zélande

Angela Merkel, ancienne Premier ministre de l’Allemagne

Emmanuel Macron, président de la France

Justin Trudeau, premier ministre du Canada

Xi Jinping, dirigeant du PCC, Chine

Mario Draghi, Premier ministre italien

Scott Morrison, Premier ministre d’Australie

Ils sont tous associés au Forum économique mondial (WEF), une organisation privée « à but non lucratif » créée en 1971 et dirigée par Klaus « Vous ne posséderez rien et serez heureux » Schwab et sa famille. Il s’agit d’une organisation privée qui n’a aucun rapport officiel avec un organe de gouvernance mondiale, malgré l’implication de son nom. Elle aurait tout aussi bien pu s’appeler « l’Église des Schwabies ». Le WEF a été à l’origine du « Great Reset » et je suppose que c’était l’origine de « Build Back Better » (puisque la plupart des noms ci-dessus ont utilisé ce terme récemment).

Si vous pensez que l’adhésion au WEF se limite aux dirigeants de pays, voici quelques noms supplémentaires :

Gavin Newsom, gouverneur de Californie

Jay Inslee, gouverneur de l’État de Washington

Anthony Fauci, directeur du NIAID

Nancy Pelosi, présidente de la Chambre des représentants

Permettez-moi de présenter davantage le WEF en donnant une liste de noms pour le conseil d’administration.

Al Gore, ancien vice-président des États-Unis

Mark Carney, envoyé spécial des Nations Unies pour l’action climatique

T. Shanmugaratnam, Ministre d’Etat à Singapour

Christine Lagarde, présidente, Banque centrale européenne

Ngozi Okonja-Iweala, Directrice générale, OMC

Kristalian Georggieva, Directrice générale, FMI

Chrystia Freeland, sous-ministre du Canada

Laurence Fink, PDG, BlackRock

Vous pouvez voir là un échantillon représentatif de dirigeants politiques et économiques du bureau du WEF. Le chef de l’organisation, c’est-à-dire le chef du conseil d’administration, est toujours Klaus Schwab. Il s’est construit un nombre impressionnant d’adeptes.

Si vous voulez vraiment voir l’étendue de son influence, rendez-vous sur le site Web ( https://www.weforum.org/partners ) et choisissez la dénomination sociale de votre choix. L’étendue et l’influence du WEF sont énormes, même au-delà du réseau mondial des leaders. Par exemple, nous savons tous ce que Bill Gates a fait de sa richesse via la Fondation Bill et Melinda Gates (BMGF). Mais le Wellcome Trust est à la hauteur de la tâche. Qui est le directeur du Wellcome Trust ? Un nommé Jeremy Farrar, haut conseiller de SAGE (Scientific Advisory Group for Emergencies), dont la renommée a été les confinements – sans doute l’architecte des confinements mis en place au cours de l’année 2020 – est étroitement associé au WEF.

En ce qui concerne les conséquences qui peuvent se produire, permettez-moi de donner quelques exemples de la seule BMGF (Bill & Melinda Gates Foundation), et cela vient du temps que j’ai passé en 2020 à lire leur longue liste de financement. Il y a quelques années, la BMGF a décerné à l’Institute for Health Metric Evaluation (IHME) un prix de près de 280 millions de dollars sur dix ans. L’IHME (associé à l’Université de Washington à Seattle) était à l’avant-garde de la modélisation informatique qui conduisit aux confinements et aux interventions non pharmaceutiques en 2020. Les gens ont souvent vu leur nom imprimé ou sur MSNBC ou CNN (chaines de télévision américaines). En 2019, l’IHME a décerné au rédacteur en chef du Lancet (le Dr Richard Horton) un prix de 100 000 $ et l’a décrit comme un « rédacteur militant ». Le Lancet, autrefois considéré comme l’une des meilleures revues médicales, est à l’avant-garde de la censure des points de vue scientifiques opposés depuis 2020 et de la publication d’« articles » qui n’étaient pas aptes à être publiés. Je n’ai jamais pu comprendre ce que cela signifiait d’être un éditeur « activiste » dans une revue scientifique/médicale respectée parce que, je dois être stupide, j’ai toujours pensé que le premier travail d’un éditeur était d’être impartial. Je suppose que j’ai appris en 2020 à quel point j’avais tort. Bien sûr, le Lancet est également fortement financé par des sociétés pharmaceutiques telles que Pfizer (également membre du WEF).

Mais la portée du BMGF va bien au-delà de l’IHME et ces connexions sont tout à fait reconnaissables. Voici quelques exemples d’organisations et d’argent reçus au cours de la seule année 2020 ventilés par domaines.

Bill Gates a également investi massivement dans Moderna et ses investissements lui ont rapporté beaucoup de dollars. La BMGF a également donné près de 100 millions de dollars à la Clinton Health Access Initiative.

Il faut maintenant se poser des questions. Est-ce le début d’une société autoritaire contrôlée entrelacée via le WEF ? La panique du Covid a-t-elle été mise en scène pour préparer le terrain ? Attention, je ne suis pas un « Covid Denier » puisque le virus est bien réel. Mais, un virus respiratoire saisonnier normal a-t-il été utilisé comme excuse pour activer le Web ? Les prochaines questions, pour ceux d’entre nous qui prétendent au moins vivre dans des sociétés « démocratiques », doivent être :

Est-ce ce que vous attendiez et/ou souhaitiez des personnes que vous élisez ? Combien de personnes connaissaient les « affiliations » des personnes pour lesquelles ils avaient voté ? (Je ne connaissais certainement pas ces affiliations jusqu’à ce que j’aie fait les recherches, mais peut-être que je suis simplement déconnecté). Pouvons-nous anticiper leurs prochains actions? Il peut y avoir quelques indices.

Le prochain coup

Jeremy Farrar de The Wellcome Trust a récemment écrit un article pour le WEF avec le PDG de Novo Nordisk Foundation, Mads Krogsgaard Thomsen, (https://www.weforum.org/agenda/2022/02/antibiotic-resistance-amr-subscription-payment-model-superbugs/ ). Il s’agit du résumé d’un article plus vaste écrit et publié par le Boston Consulting Group ( https://www.bcg.com/publications/2022/model-for-tackling-antimicrobial-resistance ). Dans cet article, ils proposent que le moyen de « résoudre » le problème des bactéries résistantes aux antibiotiques passe par un service d’abonnement. Autrement dit, vous payez des frais et lorsque vous avez besoin d’un antibiotique, un antibiotique efficace sera vraisemblablement disponible pour vous. Je suppose qu’ils ont la même philosophie pour les vaccins et cela semble certainement être l’approche avec le coronavirus. Continuez à payer et à prendre des boosters. Compte tenu de cette philosophie, les obligations vaccinales ont du sens. Rendez la société « accro » à une intervention vaccinale, efficace ou non, puis continuez à la rendre obligatoire. Cela devient particulièrement efficace si vous pouvez aussi entretenir la peur. Cette approche est tellement de courte vue, d’un point de vue scientifique, qu’elle m’étonne. Mais, comme pour une grande partie de l’histoire récente, je pense que la science n’a pas grand-chose à voir avec cela. L’objectif n’est pas fondé scientifiquement mais fondé sur le contrôle des personnes.

Après la découverte de la pénicilline il y a près d’un siècle, des scientifiques ont averti que l’utilisation d’antibiotiques devait être considérée avec beaucoup de prudence dans la pratique, car les pressions évolutives conduiraient à des espèces de bactéries résistantes aux antibiotiques. À cette époque. Ces scientifiques étaient considérés comme des scientifiques voyous. Après tout, n’avons-nous pas soudainement eu un remède miracle pour de nombreux problèmes mortels ? Depuis le moment de la découverte, il a fallu plus d’une décennie avant que les méthodes de fermentation ne soient développées pour produire des quantités suffisantes d’antibiotiques pour être répandues à grande échelle. Ces méthodes ont permis l’utilisation de la pénicilline sur le champ de bataille vers la fin de la Seconde Guerre mondiale et ont sans aucun doute sauvé de nombreuses vies à ce moment-là et plus tard dans les guerres suivantes (Corée et Vietnam) en prévenant les infections graves résultant de blessures subies pendant la bataille.

Cependant, il n’a pas fallu longtemps avant que les autorités médicales ne distribuent des antibiotiques comme des bonbons. J’en ai moi-même fait l’expérience quand j’étais enfant dans les années 1960. Il semblait qu’à chaque fois que nous allions chez le médecin, quel que soit le problème, on me faisait une série (pas une seule) d’injections de pénicilline. Il n’y a jamais eu de tentatives pour déterminer si j’avais un virus, une bactérie ou même une allergie. La réponse était : avec la seringue. Je ne peux pas compter combien de fois j’ai été « piqué » quand j’étais enfant. Il n’a pas fallu longtemps pour que des espèces résistantes commencent à apparaître. Le résultat a été que de plus en plus d’argent a été injecté dans la R&D pour les antibiotiques. Lorsque j’étais à l’université dans les années 1980, un moyen sûr d’obtenir un financement du NIH était de lier la recherche à la recherche « d’antibiotiques ». Les antibiotiques sont devenus une très grosse affaire.

Nous avons maintenant plusieurs classes d’antibiotiques qui sont utilisés pour des cas spécifiques. Nous avons les Aminoglycosides (Streptomycine, Néomycine, etc.), les Bêta-Lactamines et Céphalosporines (quatre générations dont Céfadroxil-G1, Céfaclor-G2, Céfotaxime-G3, Céfépime-G4, Bêta-Lactamines Pénicillines (dont Ampicilline, Amoxicilline et Pénicilline), les autres Bêta-Lactamines (Méropénème), les Fluoroquinolones (Levofloxacine, Gémifloxicine, etc.), les Macrolides (Azithromycine, Clarithromycine, etc.), les Sulfamides (Sulfisoxazole, etc.), les Tétracyclines, et autres comme la Clindamycine et la Vancomycine (typiquement réservées aux bactéries multi-résistantes. Au total, les médecins ont plus de 50 choix différents d’antibiotiques.

L’hôpital est l’endroit le plus courant où l’on rencontre des bactéries résistantes aux antibiotiques. La plupart des personnes qui contractent une sorte d’infection dans la routine normale de la vie, comme une infection des sinus ou une infection cutanée, ne rencontreront probablement pas une espèce résistante aux antibiotiques. Sauf qu’il y a eu une autre source de problème et c’est l’approvisionnement alimentaire. Les antibiotiques sont devenus très populaires auprès des installations de production de viande à grande échelle de tous types, y compris le bœuf, la volaille, le porc et même le poisson. Il s’agit notamment des fermes réelles où les animaux sont élevés ainsi que dans la transformation de la viande. L’utilisation excessive d’antibiotiques dans ces industries a également produit des formes résistantes de bactéries.

Par exemple, dans les tentatives de limiter les bactéries E. coli, commun aux mammifères, des antibiotiques ont été utilisés, ce qui a entraîné certaines formes résistantes aux antibiotiques d’E. coli. Une infection par E. coli (résistant aux antibiotiques ou non) peut être évité par une cuisson et une manipulation appropriées des viandes. Cependant, parfois cela ne se produit pas et il y a E. coli (également à partir de légumes mal lavés qui peuvent utiliser de l’eau d’irrigation contaminée). Pour la plupart des personnes en bonne santé, l’expérience E. coli (résistant ou non) n’est qu’un inconfort passager qui comprend des crampes intestinales, de la diarrhée et d’autres troubles gastro-intestinaux. Selon la quantité de contamination, une personne peut souffrir pendant un jour ou deux ou pendant plusieurs jours. Mais, chez certaines personnes, cela peut être grave ou mortel (comme chez les personnes âgées en mauvaise santé et les jeunes enfants). Si cela se produit, la présence d’une forme résistante aux antibiotiques peut être un problème grave. La présence d’une forme non résistante peut être traitée plus facilement.

Il y a quelques années, j’ai eu une pneumonie, un cas relativement bénin. On m’a donné le choix entre un traitement hospitalier ou ambulatoire et c’était une évidence. Si je voulais m’assurer que ma pneumonie pouvait être traitée par le cours normal des antibiotiques (on m’a donné une quinolone), il était important de rester à la maison et loin de l’hôpital. Je savais que la pneumonie nosocomiale pouvait être une situation beaucoup plus grave. Alors, je suis resté à la maison et j’ai facilement récupéré. Cela ne voulait pas dire que j’étais assuré d’avoir une forme résistante plus grave à l’hôpital mais j’ai compris que le risque était beaucoup plus grand.

Produire plus d’antibiotiques et les donner sur abonnement aux utilisateurs n’est pas la solution. Cela ne fera que conduire à des formes plus résistantes et il y aura cette boucle continue d’utilisation d’antibiotiques. Mais, si l’objectif réel est la dépendance sociétale aux antibiotiques par peur, tout comme la dépendance aux vaccins universels Covid par peur, alors cela a du sens. Trouver quelques antibiotiques universels qui traitent les formes résistantes est important et il est également important de les utiliser avec parcimonie et uniquement en dernier recours. De plus, une meilleure gestion de l’utilisation des antibiotiques dans notre société contribuerait grandement à atténuer le problème.

Il n’y a rien de particulièrement controversé dans cette observation. Il a été accepté par presque tous les professionnels de la santé responsables il y a seulement deux ans. Mais nous vivons maintenant à différentes époques d’expérimentation extrême, comme le déploiement de confinements mondiaux pour un virus qui a eu un impact très ciblé, avec des résultats catastrophiques pour le monde. C’est le WEF du 21 mars 2020 qui nous a assuré que « les confinements peuvent arrêter la propagation du Covid-19 ». Aujourd’hui, cet article, jamais retiré et encore moins répudié, se présente comme probablement la suggestion et la prédiction la plus ridicule et la plus destructrice du 21e siècle ( https://www.weforum.org/agenda/2020/03/why-lockdowns-work-epidemics-coronavirus-covid19/ ). Et pourtant, le WEF en a rajouté, suggérant cette même année qu’au moins les confinements réduisaient les émissions de carbone (https://www.weforum.org/agenda/2020/09/emissions-fell-during-lockdown-keep-that-way/ ).

Nous pouvons facilement prédire que l’appel du WEF en faveur d’un plan d’abonnement universel et obligatoire pour les antibiotiques – poussé avec l’intention manifeste de renforcer la capitalisation financière des principaux fabricants de médicaments – connaîtra le même sort : de mauvais résultats pour la santé, encore plus de pouvoir pour les élites établies, et toujours moins de liberté pour le peuple.

Roger W. Koops est titulaire d’un doctorat. en chimie de l’Université de Californie, Riverside ainsi que des diplômes de maîtrise et de licence de l’Université Western Washington. Il a travaillé dans l’industrie pharmaceutique et biotechnologique pendant plus de 25 ans. Avant de prendre sa retraite en 2017, il a passé 12 ans en tant que consultant axé sur l’assurance/contrôle de la qualité et les questions liées à la conformité réglementaire. Il est auteur ou co-auteur de plusieurs articles dans les domaines de la technologie pharmaceutique et de la chimie.

Lien : https://brownstone.org/articles/the-covid-cults-attack-on-science-and-society/

Brève. Le mutant omicron

Dans l’alphabet grec il y a deux « o » le petit, omicron, et le grand : omega qui porte bien son nom. Selon toutes les source scientifiques disponible à l’heure actuelle ce nouveau mutant, le « super-variant » comme le pensent les analystes financiers, plonge les grands spécialistes de l’OMS, filiale de la fondation Bill Gates (oui, seulement « fondation Bill », car Melinda n’a pas apprécié que son époux se livre à des orgies sexuelles avec des pucelles grassement payées par Jeff Epstein), donc l’OMS cherche avec appréhension combien de morts ce mutant inattendu a provoqué. En Afrique du Sud : zéro, et dans tous les pays maintenant hôtes de ce mutant, même situation. C’est vraiment décevant ! Quelques petits mensonges de plus et tout rentrera dans l’ordre.

Dès qu’il y a un mort estampillé « coronavirus » les biologistes s’empressent de cultiver les prélèvements pour multiplier le virus et en faire la séquence de l’ARN génomique. Rien ! Il trouvent invariablement le variant dit « delta » car dire « indien » ce serait une connotation colonialiste, je n’en dirai pas plus. Bref, le mutant omicron n’a tué personne en Afrique du Sud, pire encore personne n’a été hospitalisé car ce mutant ne provoque qu’un rhume bénin. Quelle déception pour l’OMS et ses affidés, je veux dire les laboratoires pharmaceutiques occidentaux, car si cette forme mutante du coronavirus originaire de Wuhan, c’est la doxa, est hautement contagieuse mais vraiment pas dangereuse (puisqu’il n’existe toujours pas de preuve de cette dangerosité) alors on ne peut que souhaiter que ce nouveau mutant envahisse la planète entière, infecte tout le monde y compris les « vaccinés » et leur procure, enfin, une immunité et qu’enfin également l’épidémie disparaisse d’elle-même.

Il paraît qu’il existe des amorces adaptées pour la détection du mutant omicron par RT-PCR mais comme cette technique est utilisée en dépit du bon sens les pouvoirs politiques exigeront des tests systématiques pour mieux stigmatiser les peuples afin de les priver encore plus profondément de leurs libertés. On assiste donc, impuissants, au retour du fascisme et du totalitarisme dans des pays européens qui ne voulaient plus en entendre parler. L’histoire dit que lorsque l’armée allemande envahit l’Autriche en 1938 elle fut accueillie par des applaudissements. L’Autriche a retrouvé ses vieux démons et l’exemple de ce pays fait des émules en Europe. Il est vrai que priver les peuples de liberté doit être jouissif pour des chefs d’Etat qui ne sont que des pantins désarticulés manipulés par des puissances financières qui ont trouvé en eux le moyen de mettre en application leurs desseins totalitaires. Paul Craig Roberts l’a très bien montré dans son article que j’ai mis en ligne hier sur ce blog : l’Europe s’achemine vers une dictature à la chinoise et si les peuples continuent à nier l’évidence il sera rapidement trop tard. Il sera trop tard quand les policiers tireront à balles réelles sur des manifestants désarmés, il sera trop tard quand ces politiciens criminels et corrompus d’Europe auront ouvert des camps de concentration dans lesquels on laissera mourir ceux qui refusent de se plier à la thérapie génique obligatoire. Il ne suffit plus de manifester avec des petits drapeaux dans la rue, l’heure est devenue trop grave et il n’y a plus d’autre alternative que la violence et la révolution. Triste avenir … À mes lecteurs de déterminer qui est la personnalité figurant dans ce billet.

SARS-CoV-2 : Le grand projet malthusien de Bill Gates se concrétise

Les services de soins intensifs de beaucoup d’hôpitaux américains se trouvent maintenant complètement submergés par des enfants ayant été récemment « vaccinés » et des nouveaux-nés souffrant de graves problèmes cardiaques et dont les mères furent « vaccinées » au cours de leur grossesse. La plupart de ces enfants meurent. Ce n’est pas une fausse nouvelle mais la réalité. Parallèlement le nombre de femmes ayant été complètement « vaccinées », se retrouvant ensuite enceintes, et ayant souffert de fausses-couches est en très forte augmentation également aux Etats-Unis. Les médecins de ville ne se dissimulent plus pour prévenir leurs patientes de ne pas se plier à la « vaccination » obligatoire si elles désirent avoir un enfant. Obliger des enfants de moins de 15 ans à subir la thérapie génique supposée protéger contre le coronavirus est un non-sens, selon le Docteur Steve Kirsh, qui a constaté que soumettre 28 millions d’enfants à ce traitement conduisait à sauver au mieux 14 vies d’adultes. Les enfants sont très rarement malade à cause du coronavirus mais ils peuvent transmettre ce virus à des adultes souffrant d’autres maladies. C’est la seule et très mince justification de ce véritable génocide ( https://www.naturalnews.com/2021-11-01-save-14-childrens-lives-covid-28-million-vaccinated.html ).

Les autorités sanitaires américaines nient toujours une quelconque relation entre les graves problèmes cardiaques dont souffrent les adolescents nouvellement « vaccinés » et le contenu de cette thérapie. Selon ces autorités il s’agit d’un concours de circonstances inexpliqué. On se trouve donc aujourd’hui devant une situation qui ne pourra que s’aggraver compte tenu du fait que les doses dites de rappel deviennent obligatoires dans de nombreux pays occidentaux y compris aux Etats-Unis. Cette situation véritablement génocidaire va donc conduire à encore plus de fausses-couches, encore plus de nouveaux-nés mourant d’insuffisance cardiaque, encore plus d’adolescents mourant soudainement de crise cardiaque. Le but caché de ces « vaccins » est donc bien de réduire la natalité et par conséquent les populations. Bill Gates a donc gagné et il va être encouragé par tous les défenseurs du climat qui considèrent qu’il y a trop d’êtres humains sur la planète. Tous les dirigeants politiques occidentaux se plient à ces obligations « vaccinales ». Ont-ils reçu des ordres ou sont-ils complices du malthusianisme de Bill Gates et du World Economic Forum ? À moins qu’ils ne soient grassement rémunérés par les laboratoires pharmaceutiques pour rendre universelle cette thérapie génique avec des « rappels » périodiques afin de bien s’assurer que les souhaits de Bill Gates seront atteints. On vit maintenant dans un monde hostile …

Et je vais en rajouter pour ceux qui auraient oublié les faits. Cette pseudo-vaccination ne protège pas contre une infection par le coronavirus, elle n’empêche pas les « vaccinés » d’être porteurs du virus et de contaminer leur entourage, ce qui est le cas maintenant dans les hôpitaux où des foyers d’infection ont fait leur apparition en raison de la contamination induite par des soignants « vaccinés » qui ne sont plus soumis à l’obligation de vérifier par un auto-test leur état de santé virale, cette « vaccination » n’empêche pas les formes graves comme les laboratoires pharmaceutiques prétendent pourtant le contraire puisqu’il y a autant de « vaccinés » que de non-vaccinés dans les services de soin intensif hospitaliers. Aux dernières nouvelles divers pays européens vont installer un confinement pour les personnes non « vaccinées » … Bref, il s’agit globalement d’un coup monté pour réduire à terme la population comme le souhaite depuis des années Bill Gates, faut-il le répéter ? Pour conclure le coronavirus et le climat sont les deux leviers pour asservir les peuples et il serait grand temps que ces peuples se rebellent non plus en défilant dans les rues mais en faisant le siège des lieux de décision politique.

Sources : https://stevekirsch.substack.com/p/how-are-they-going-to-explain-all et : https://www.mediafire.com/folder/t92cs972ihpb7/Covid

Pfizer et l’éthique scientifique : de quoi avoir peur … mais c’est trop tard !

Pfizer a trouvé 2268 enfants pour réaliser une étude en double aveugle sur l’effet de leur mixture d’ARN messager. L’histoire ne donne aucun détail sur le recrutement de ces enfants ni dans quel pays l’étude a été réalisée. Le premier résultat encourageant est le suivant : « efficace à 90 % ». Il faut noter que ni dans le groupe « essai » ni dans le groupe « témoin » il a pu être observé un effet secondaire sévère et aucune infection par le coronavirus. La seule évidence de cette efficacité est l’apparition d’anticorps circulants dirigés contre la protéine spike codée par l’ARN messager constituant cette thérapie. Le groupe « essai » comprenait 1518 enfants âgés de 5 à 11 ans et le groupe témoin 750 enfants dans la même tranche d’âge. Ce nombre limité a été délibérément choisi pour éviter statistiquement tout effet secondaire. De plus le suivi des enfants a été interrompu 17 jours après le deuxième injection pour les mêmes raisons.

Autre évidence du non respect de l’éthique scientifique : toutes les possibilités ont donc été effacées à propos de ces effets secondaires potentiels puisque le suivi des enfants volontaires (?) a été interrompu à dessein trop tôt. Mais il y a pire encore. Non seulement les enfants n’ont pas été testés préalablement pour savoir s’ils avaient été en contact avec le virus et, ce qui est très courant à cet âge, avaient développé les symptômes d’une simple grippe mais parmi les volontaires (?) il est apparu que ceux de ces enfants exprimant des anticorps anti-SARS-CoV-2 au début de l’étude ont été exclus sans que Pfizer n’en rende compte. Ceci, encore une fois, est contraire à l’éthique. Il apparaît donc que Pfizer a ciblé ces enfants pour obliger leur système immunitaire à ne reconnaître que la protéine spike. Cette limitation du processus de « vaccination » a abouti à une amplification de cette réponse immunitaire chez des centaines de millions d’adultes au contact du virus après « vaccination ». Cf. Israël, l’Islande ou encore Gibraltar.

L’un des fait le plus troublant concernant cette étude est le fait que Pfizer a déclaré avoir perdu le contact avec 4,9 % des enfants enrôlés dans l’essai, soit 111 enfants. Qu’est-il arrivé à ces 111 enfants ? Pas de réponse de Pfizer. L’autre fait qui devrait condamner Pfizer relève de la fraude. Les enfants du groupe témoin ont, à la fin de l’essai, tous reçu les deux doses de « vaccin » et ce stratagème empêche toute comparaison ultérieure. Il est intéressant d’ajouter ici que Moderna, Johnson&Johnson et Astra-Zeneca ont procédé de la même façon lors de leurs essais cliniques en 2020 avec naturellement l’approbation de la FDA et du CDC. L’approbation pour la « vaccination » des enfants de 5 à 11 ans est maintenant entérinée par la FDA. Cependant le seul critère retenu par ces organismes est le risque de myocardite survenant après l’administration intra-musculaire de l’ARN messager. Ce risque peut apparaître à n’importe quel moment après la première ou les deux injections. Or Pfizer n’a pas mis en place de suivi suffisamment long pour détecter d’éventuelles myocardites, les 111 enfants exclus de l’étude ? Un calcul simple issu de l’estimation par la FDA du nombre de myocardites de 106 par million d’enfants de cette tranche d’âge après « vaccination » conduirait pour seulement les Etats-Unis à tout de même 3000 myocardites en excès dans cette tranche d’âge.

Il semble que les règles éthiques ont été ignorées car tout autre vaccin conduisant à un tel désastre sanitaire concernant surtout des jeunes enfants qui représentent 0 % de tous les morts depuis le début de l’épidémie coronavirale à quelques très rares exceptions d’enfants gravement atteints par d’autres maladies, tout autre vaccin, disais-je, serait immédiatement interdit. Ce seul fait conduit à réfléchir à la vraie finalité de cette décision de vacciner les enfants, décision qui sera suivie par les pays européens à n’en pas douter. Pour qui et dans quel but ces états dans les états que sont ces groupes industriels richissimes travaillent-ils ? Il est clair que les interdictions de l’hydroxychloroquine et de l’ivermectine ont été télécommandées par ces firmes tentaculaires qui se moquent de l’éthique et du bien-être de l’humanité et y compris de la vie des individus puisque selon le Docteur Anthony Hinton, ancien consultant du National Health System, pour des enfants exposés à un risque favorisant l’apparition de myocardite, ce qu’il n’est pas possible de nier pour ce « vaccin », le taux de mortalité sera de 20 % au bout de 2 ans et de 50 % après la cinquième année.

En réalité si le but immédiat de laboratoires comme Pfizer n’est pas de tuer des enfants de moins de dix ans l’objectif est tout autre. Lors de l’injection de l’ARN messager l’organisme synthétise des quantités massives de protéine spike, synthèse totalement dérégulée probablement à dessein. Cette protéine envahit la plupart des tissus mais préférentiellement les gonades. Aucune étude n’a été publiée au sujet du devenir de cette protéine au cours du temps comme par exemple l’effet de cette protéine sur les gonades elles-mêmes ou encore sur le cerveau ou le foie, plus prosaïquement. Non, rien ! Par contre, faut-il le répéter, les anticorps dirigés contre cette protéine et apparaissant après l’injection de cet ARN messager reconnaissent la syncytine. Ceci explique la forte augmentation du nombre de fausses-couches chez les femmes s’étant retrouvées enceintes après la « vaccination » puisque cette protéine est essentielle pour le maintien de l’implantation du placenta au niveau de l’endomètre de l’utérus. Quant au rêve de Bill Gates il pourrait se concrétiser mais il faudra attendre que les enfants qui vont bientôt subir cette thérapie génique soient en âge de procréer. L’approbation par la FDA de la « vaccination » des enfants de 5 à 11 ans est donc un crime contre l’humanité orchestré par les laboratoires pharmaceutiques avec la complicité de Bill Gates qui contrôle l’OMS.

À propos de Bill Gates, l’article publié par le mensuel The Sovereign Independent en juin 2011 a fait l’objet d’une récente controverse, dix ans plus tard, c’est très curieux sinon suspect, et cet article était prémonitoire pour diverses raisons. D’abord le fait que les recherches sur le gain de fonction du SARS-CoV-2 qui ne datent pas d’hier se soient focalisées sur les interactions entre la protéine spike et divers organes en utilisant des souris dites « humanisées » ne soit pas anodin. D’autre part, si on exclut l’appât du gain tout à fait justifié des laboratoires pharmaceutiques, il reste quelques points également très suspects au sujet de ces pseudo-vaccins. Les études sur les effets secondaires ont été bâclées voire inexistantes, le fait que la syncytine soit reconnue par les anticorps dirigés contre la protéine spike était connu des biologistes des firmes pharmaceutiques, il suffit de faire un western blot pour s’en rendre compte, et enfin pour être certain que cette « vaccination » atteindra ses objectifs, non pas de protéger les populations contre une infection par le coronavirus, mais de tout simplement stériliser des générations entières en vue de diminuer la population mondiale est donc un fait réel. Encore une fois les biologistes des firmes pharmaceutiques l’ont certainement observé avec ces souris humanisées, il faut être idiot pour le nier.

Et qui nie cela ? Les « fact-checkers » de Reuters qui ont réexaminé l’article paru en 2011 dans The Sovereign Independent ! Cette « vaccination » est un coup monté par l’OMS dont Bill Gates est un contributeur financier important, par la FDA et le CDC, nécessairement informées des détails des expérimentations faites au sein des laboratoires pharmaceutiques, et un coup monté des instances internationales apatrides comme le WEF en premier lieu. Dans dix ans je ne serai certainement plus de ce monde mais on assistera à une baisse brutale de la fécondité au niveau mondial, la « Zero Carbon Solution », et c’est la raison pour laquelle Gates encourage et finance avec son immense fortune une « vaccination » généralisée et autoritaire dans les pays africains, sud-américains ainsi qu’en Asie. Hitler, Staline et Mao étaient des enfants de choeur en regard des visées malthusiennes de Bill Gates.

Pour conclure ce billet il est hautement improbable que les laboratoires pharmaceutiques aient été capables de mettre au point naïvement ces ARNs messagers en quelques mois. L’information relative au gain de fonction, recherche financée par les Etats-Unis au sein du laboratoire P4 de Wuhan, a abouti à une séquence d’ARN codant pour la protéine spike communiquée à ces laboratoires avant même que la pandémie soit déclarée par l’OMS. Il n’y a pas d’autre alternative. C’est clair ! C’est d’autant plus clair car les virologistes payés en partie par les Américains à Wuhan savaient que leur virus manipulé génétiquement était dangereux et qu’ils ont immédiatement informé les autorités locales qui ont mis sous « cocon » strict la totalité de la ville pour surtout juguler la dissémination de ce virus artificiellement modifié en Chine, et ils ont remarquablement réussi. Il a fallu néanmoins rapatrier des milliers d’Européens et d’Américains vivant dans cette ville et c’est ainsi que ce virus s’est répandu dans le monde entier.

Je ne suis pas complotiste mais j’analyse les informations et les faits. Antony Faucy qui a sévi lors de l’administration Trump et est toujours, étrangement, aux manettes sous l’administration Biden travaille pour Bill Gates. C’est une question existentielle qu’on peut se poser car aujourd’hui on va forcer les enfants à être « vaccinés » … C’est là le plus criminel aspect de ce coup monté par les Etats-Unis avec l’aide de la Chine et l’appui de Bill Gates et probablement dans l’ombre l’appui du World Economic Forum et de BlackRock toujours présent dans les coups juteux en investissant des dizaines de milliards de dollars dans ces laboratoires. Ainsi le monde de la finance, bien propre sous tous rapports, est complice de cette machination …

Mais alors quid des enfants qui, comme mes deux petits-enfants franco-japonais, ont souffert du SARS-CoV-2 ? Il y a une très grande différence entre l’infection par le virus lui-même et le « vaccin ». Le virus est une particule immédiatement reconnue par le système immunitaire pour le détruire et dans le même temps ce système immunitaire produit des anticorps qui vont servir de support à cette élimination. Si des dizaines de millions de particules virales envahissent les voies respiratoires les personnes en bon état de santé en arrivent à bout rapidement comme l’organisme arrive dans la majorité des cas à bout du virus de la grippe. Avec ce pseudo-vaccin à ARN messager ce sont des centaines de milliards de molécules de la protéine spike qui produites sans aucune régulation et qui envahissent la totalité du corps bien avant que le système immunitaire commence à réagir. Voilà le détail clé qui éclaire ceux qui douteraient encore de l’aspect diabolique de ce pseudo-vaccin.

Sources :

https://tobyrogers.substack.com/p/ten-red-flags-in-the-fdas-risk-benefit

https://en.wikipedia.org/wiki/Syncytin-1

https://www.reuters.com/article/uk-factcheck-newspaper-idUSKBN27X2VR

et aussi l’attitude de Pfizer tout à fait révélatrice :

Visées malthusiennes des « vaccins » contre le SARS-CoV-2 ?

En 1980 j’ai publié dans la revue Science les résultats de travaux remettant en question la validité des tests immunologiques pourtant réputés très spécifiques. Brièvement la recherche d’antigènes dans une préparation biologique consistait à fixer cette préparation ou une fraction de celle-ci dans un tube en polystyrène puis de détecter la présence de l’antigène, en l’occurence une protéine, avec un anticorps dont la spécificité était largement prouvée par ailleurs. À l’époque la technique dite ELISA, acronyme de enzyme linked immunosorbent assay, n’existait pas et l’anticorps était détecté à l’aide d’un deuxième anticorps dirigé contre le premier et marqué avec de l’iode radioactif. Je recherchais le précurseur commun à l’ACTH (hormone de stimulation des glandes surrénales) et aux endorphines dans des préparations biologiques et lorsque le polypeptide fut enfin obtenu à l’état pur en utilisant le radio-immuno-essai pour suivre les étapes de purification son séquençage révéla qu’il s’agissait d’un morceau d’immunoglobuline G ! La publication dans la revue Science fit grand bruit dans le Landerneau de la biologie moléculaire et je fus même vertement pris à partie par le rédacteur en chef de la revue Nature. J’avais eu le courage de publier un résultat négatif. La raison pour laquelle mes travaux se terminèrent par un retentissant fiasco était que sur une séquence de dix amino-acides consécutifs, sur plusieurs centaines, de ce fragment d’immunoglobuline sept d’entre elles, de mémoire, étaient identiques au précurseur authentique de l’ACTH. Cette similitude fut reconnue par l’anticorps polyclonal utilisé pour le suivi de la purification de ce polypeptide.

Aujourd’hui de telles similitudes de séquences sont appelées des épitopes et révèlent des risques de réactions immunitaires croisées. De telles circonstances peuvent provoquer de véritables catastrophes et c’est justement le cas pour les anticorps apparus lors de l’injection de l’ARN messager codant pour la protéine spike du SARS-CoV-2. Ces anticorps sont capables de reconnaître une protéine humaine appelée syncytine-1 qui est essentielle pour l’implantation du placenta dans l’utérus lors d’un début de grossesse. La syncytine est également présente dans la membrane basale du derme. Il est donc important de rapprocher cette thérapie génique qu’on appelle abusivement un vaccin susceptible de mettre un terme à l’épidémie de SARS-CoV-2 d’un autre événement qui eut lieu quelques années plus tôt. Qu’on ne se méprenne pas, ce billet n’a aucune visée polémiste, il ne relate que des faits. Au milieu des années 2010 un campagne de vaccination contre le tétanos fut organisée par l’OMS et financée par la Fondation B&M Gates au Kenya. La vaccination contre le tétanos consistait déjà en une injection connue et limitée de toxine tétanique. Cependant le « vaccin » utilisé au Kenya était en réalité constitué d’une protéine hybride toxine tétanique- sous unité beta de l’HCG. Le but magnifiquement humanitaire était de diminuer le risque néonatal de tétanos et le contenu de ce vaccin d’un nouveau genre provenait de la société AgriQ Quest.

Il se trouve que l’organisme humain reconnaît la totalité de cette molécule hybride, on peut aussi dire chimérique, comme étant étrangère, ce qui conduisit à l’apparition d’anticorps dirigés contre la sous-unité beta de l’HCG.

Brièvement l’HCG (human chorio-gonadotropine) est dès la fécondation produite en quantités massives par l’enveloppe de l’embryon, le trophoblaste, et elle a pour rôle de faciliter l’implantation de l’embryon dans l’utérus, de stimuler la vascularisation de l’endomètre au niveau de l’implantation du placenta. C’est ce dernier organe qui prend ensuite la production d’hCG pour le bon déroulement de la grossesse. Suivez mon regard : ce pseudo-vaccin était en réalité un subterfuge décidé et financé par Bill Gates pour des essais en vraie grandeur de limitation des naissances par vaccination. Il suffisait de quelques injections de rappel pour rendre une femme totalement incapable de porter un enfant. Encore une fois je n’invente rien, tout est expliqué dans la publication suivante : https://doi.org/10.4236/oalib.1103937 . De nombreuses Kenyanes souffrirent d’avortements spontanés inexplicables et inexpliqués par les organisateurs de cette campagne de vaccination d’un caractère novateur. L’Eglise catholique kenyane diligenta une enquête qui montra qu’en effet la protéine présente dans le « vaccin » contenait bien la sous-unité beta de l’hCG. L’OMS tenta comme on dit de noyer le poisson mais en vain. L’Eglise catholique kenyane résista en vain également car il est impossible de résister à la puissance financière d’un Bill Gates. Qu’en est-il aujourd’hui, nul ne le sait, ce qui est certain est le développement de stratégies malthusiennes sous couvert d’un autre objectif. Le pseudo-vaccin à ARN messager dirigé contre le SARS-CoV-2 (et la syncytine) entre-t-il dans cette catégorie ?

À propos de Bill Gates et de sa conception du réchauffement du climat

L’article de Mike Whitney, chroniqueur du Saker et de UNZ Reviews, journaliste d’investigation, paru sur le site unz.com le 26 septembre méritait selon mon point de vue une traduction destinée à mes lecteurs non-anglophones. Il s’agit d’une analyse sémantique des propos écrits par Bill Gates dans une des lettres d’information de son site « philanthropique » international. Comme je l’ai mentionné dans mon billet relatif au noma, Gates ne s’intéresse pas du tout à cette maladie terrible car il est fondamentalement malthusien et il cache cette façade exécrable de sa personnalité en réalisant des opérations humanitaires de facade en Afrique largement reprises par la presse internationale.

Je voudrais ici faire un commentaire sur une affirmation mensongère de Gates au sujet du confinement anti-covid qui a concerné près de la moitié de la population mondiale selon les dires de la propagande médiatique officielle. Initialement je voulais joindre ce commentaire à la fin de cette traduction mais j’ai décidé d’écrire ce billet complémentaire et y faire figurer mes propres remarques. Bill Gates a écrit ceci :

« Vous avez peut-être vu des projections selon lesquelles, étant donné que l’activité économique a tellement ralenti, le monde émettra moins de gaz à effet de serre cette année que l’an dernier. Bien que ces projections soient certainement vraies, leur importance pour la lutte contre le changement climatique a été surestimée. Les analystes ne s’entendent pas sur la réduction des émissions cette année, mais l’Agence internationale de l’énergie estime la réduction à environ 8%. En termes réels, cela signifie que nous libérerons l’équivalent d’environ 47 milliards de tonnes de carbone, au lieu de 51 milliards. C’est une réduction significative et nous serions en pleine forme si nous pouvions maintenir ce taux de diminution chaque année. Malheureusement, nous ne pouvons pas. Pensez à ce qu’il faut pour atteindre cette réduction de 8%. Plus de 600 000 personnes (plus d’un million aujourd’hui) sont mortes et des dizaines de millions sont sans travail. En avril, le trafic automobile était la moitié de ce qu’il était en avril 2019. Pendant des mois, le trafic aérien s’est pratiquement arrêté ».

Revenons donc sur ces chiffres. Outre le fait que Gates nous fait bien comprendre que se serrer la ceinture au sujet de la consommation d’énergie fossile carbonée aura un coût humain et économique dévastateur, il appuie ses remarques sur des données erronées mises en avant par un organisme onusien dont on sait qu’il a adopté une position résolument hostile aux hydrocarbures. J’ignore comment, par quel tour de magie, l’évaluation d’une diminution globale des émissions de « carbone » a atteint ce chiffre de 4 milliards de tonnes (4 Gt). Bill Gates et l’Agence internationale de l’énergie savent-il que la seule source fiable (et officielle, les autres sites d’analyse du CO2 sont considérés comme secondaires et peu fiables pour des raisons que j’ignore) de l’évolution de la teneur en CO2 atmosphérique provient des mesures effectuées à l’observatoire de la NOAA à Mona Loa sur l’île de Hawaii ? Pour se faire une idée précise de cette diminution du « carbone » atmosphérique il faut examiner en détail les données fournies en temps réel par cet observatoire. Voici le dernier relevé (23 septembre 2020) de l’évolution atmosphérique du CO2 (https://www.esrl.noaa.gov/gmd/ccgg/trends/mlo.html ) :

Oublions la courbe en noir des données lissées « corrigées des variations saisonnières », un stratagème bien connu des statisticiens de l’économie, pour nous intéresser seulement aux données mensuelles brutes. On peut se demander pourquoi il n’y a qu’un laboratoire qui effectue de genre d’analyse mais passons. L’augmentation annuelle du taux de CO2 est monotone (au sens mathématique du terme) et égale à 2 ppm. L’amplitude des variations saisonnières atteint 8 ppm. Devant ces données que personne ne peut contester il apparaît que l’affirmation de Bill Gates est contestable. En effet 4 Gt de carbone correspondent à un peu moins de 2 ppm atmosphériques. Je n’ai rien inventé, cette donnée est publique. Il se trouve que depuis plus de 10 ans la consommation d’hydrocarbures stagne dans le monde pour diverses raisons, en particulier à cause d’un ralentissement de l’activité économique en général. L’un des marqueurs les plus fiables de ce ralentissement est le Baltic Dry Index et plus précisément le Baltic Capesize Index (BCI). Jamais ces indices n’ont atteint à nouveau les valeurs enregistrées avant la crise de 2008. Coronavirus ou pas le BCI a même frôlé avec des valeurs négatives au début de l’année 2020, signe d’une détérioration de l’activité économique. Or si la consommation d’hydrocarbures (charbon compris) a de ce fait diminué l’observatoire de Mona Loa n’a rien vu !

Les variations saisonnières de la teneur atmosphérique en CO2 méritent une analyse détaillée. Le principal « puits de carbone » de la Terre est l’Océan antarctique qui s’étend sans discontinuer au sud de 40 degrés sud (à peu près la latitude d’Alger ou de Tokyo dans l’hémisphère nord). En dehors du sud de la Nouvelle-Zélande et de la pointe sud de l’Amérique du sud il n’y a pas de terres. Cet immense océan est froid et agité, les marins parlent d’ailleurs des quarantièmes rugissants et des cinquantièmes hurlants … Dans l’hémisphère nord la situation est différente : il y a à ces latitudes beaucoup plus de terres émergées que d’étendues océaniques. La combinaison de l’hiver austral et de l’été boréal entrainent une capture intense du CO2 par l’Océan Antarctique d’une part et par la végétation dans l’hémisphère nord. Puis l’alternance des saisons inverse ce processus naturel de capture du CO2. Conclusion : si Bill veut une confirmation de ce qu’il avance par les analyses de Mona Loa il faudra qu’il attende au moins l’hiver boréal 2021-2022. En aura-t-il la patience ? J’en doute. Alors il continuera à répandre sa propagande mensongère …

Bill Gates, Henry Kissinger et notre avenir dystopique

« Plus une société s’éloignera de la vérité, plus elle haïra ceux qui parlent de vérité ». George Orwell

Pouvons-nous convenir qu’il existe deux types de Covid-19 ? Article de Mike Whitney paru le 26 septembre sur le site UNZ Review (unz.com)

Le premier type est le Covid-19, «Le Virus», qui est une infection assez bénigne et la plupart des gens ne réalisent même pas qu’ils l’ont contractée. Ils restent asymptomatiques ou présentent de légers symptômes pseudo-grippaux qui disparaissent après environ une semaine. Une infime partie de la population – principalement des personnes âgées et vulnérables souffrant de problèmes de santé sous-jacents – peut développer des complications, tomber gravement malade et mourir. Mais, selon la plupart des analyses, les chances de mourir de Covid sont d’environ 1 personne sur 200 à 1 personne sur 1000. (CDC-IFR- 0,26 %) En d’autres termes, le Covid n’est pas la grippe asiatique de 1958, ni la grippe espagnole, ni la peste noire, ni le virus légendaire tueur planétaire que l’on a prétendu être. Il tue plus de personnes que la grippe saisonnière habituelle, mais pas beaucoup plus.

Le deuxième type de Covid-19 est le Covid-stratagème-politique ou, plutôt, Codename : Operation Virus Identification 20 19. Cette deuxième interprétation du phénomène Covid a trait à la manière dont un pathogène respiratoire légèrement létal a été gonflé en un crise de santé publique globale et permanente afin de mettre en œuvre des changements économiques et sociétaux qui seraient autrement impossibles à envisager. C’est le côté politique de Covid, qui est beaucoup plus difficile à définir car il se rapporte à l’agenda ambigu des élites puissantes qui utilisent l’infection pour dissimuler leurs véritables intentions. De nombreux critiques pensent que le Covid est un prétexte que les hommes de Davos utilisent pour lancer son nouvel ordre mondial autoritaire. D’autres pensent que cela a plus à voir avec le changement climatique, c’est-à-dire qu’au lieu de parvenir à un consensus parmi les dirigeants mondiaux pour des réductions obligatoires de carbone, les mandarins mondiaux ont simplement imposé des verrouillages qui réduisent fortement l’activité économique à tous les niveaux. En fait, cela a considérablement réduit les émissions, mais à un coût élevé pour la plupart de l’humanité. Les restrictions de Covid ont déclenché une forte hausse des suicides, de la dépression clinique, de la maltraitance des enfants, de la violence domestique, de l’alcoolisme et de la toxicomanie. La liste se rallonge de plus en plus. En outre, il a laissé les économies du monde entier en ruines, augmentant le chômage et le nombre de sans-abri de manière exponentielle, tout en ouvrant la voie à des famines massives dans les pays sous-développés du monde entier. Même ainsi, les principaux acteurs de la crise Covid – comme le maître Bill Gates – continuent de s’émerveiller de l’impact que ces restrictions onéreuses ont eu sur les émissions. Jetez un coup d’œil à cet extrait d’un article récent paru sur le blog du fondateur de Microsoft:

« Vous avez peut-être vu des projections selon lesquelles, étant donné que l’activité économique a tellement ralenti, le monde émettra moins de gaz à effet de serre cette année que l’an dernier. Bien que ces projections soient certainement vraies, leur importance pour la lutte contre le changement climatique a été surestimée. Les analystes ne s’entendent pas sur la réduction des émissions cette année, mais l’Agence internationale de l’énergie estime la réduction à environ 8%. En termes réels, cela signifie que nous libérerons l’équivalent d’environ 47 milliards de tonnes de carbone, au lieu de 51 milliards. C’est une réduction significative (voir note ci-après de votre serviteur), et nous serions en pleine forme si nous pouvions maintenir ce taux de diminution chaque année. Malheureusement, nous ne pouvons pas. Pensez à ce qu’il faut pour atteindre cette réduction de 8%. Plus de 600 000 personnes sont mortes et des dizaines de millions sont sans travail. En avril, le trafic automobile était la moitié de ce qu’il était en avril 2019. Pendant des mois, le trafic aérien s’est pratiquement arrêté.

Pour le dire légèrement, ce n’est pas une situation que quiconque voudrait continuer. Et pourtant, nous sommes toujours sur la bonne voie pour émettre 92% de carbone de plus que l’an dernier. Ce qui est remarquable, ce n’est pas la quantité d’émissions qui diminuera à cause de la pandémie, mais la quantité limitée. De plus, ces réductions sont réalisées au coût le plus élevé possible. Pour comprendre pourquoi, voyons ce qu’il en coûte pour éviter une seule tonne de gaz à effet de serre. Ce chiffre – le coût par tonne de carbone évitée – est un outil que les économistes utilisent pour comparer les dépenses de différentes stratégies de réduction de carbone. Par exemple, si vous avez une technologie qui coûte 1 million de dollars et que son utilisation vous permet d’éviter le rejet de 10 000 tonnes de gaz, vous payez 100 dollars par tonne de carbone évitée. En réalité, 100 dollars la tonne coûteraient encore assez cher. Mais de nombreux économistes pensent que ce prix reflète le coût réel des gaz à effet de serre pour la société, et il se trouve également qu’il s’agit d’un nombre rond mémorable qui constitue une bonne référence pour les discussions.

Traitons maintenant l’arrêt causé par le COVID-19 comme s’il s’agissait d’une stratégie de réduction des émissions de carbone. La fermeture de parties importantes de l’économie a-t-elle évité des émissions à près de 100 $ la tonne ? Non. Aux États-Unis, selon les données du Groupe Rhodium, il se situe entre 3 200 et 5 400 dollars la tonne. Dans l’Union européenne, c’est à peu près le même montant. En d’autres termes, l’arrêt réduit les émissions à un coût compris entre 32 et 54 fois les 100 dollars la tonne que les économistes considèrent comme un prix raisonnable. Si vous voulez comprendre le type de dommages que le changement climatique va infliger, regardez le COVID-19 et répartissez la douleur sur une période beaucoup plus longue. Les pertes en vies humaines et la misère économique causées par cette pandémie sont au même niveau que ce qui se produira régulièrement si nous n’éliminons pas les émissions de carbone du monde ». ( https://www.gatesnotes.com/Energy/Climate-and-COVID-19 )

N’est-il pas curieux que Gates ait passé autant de temps à calculer l’impact des verrouillages sur les émissions de carbone ? Et regardez à quel point ses calculs sont précis. Ce ne sont pas des calculs de type « sur un coin de nappe en papier », mais un peu de calcul sérieux. Il prend même le nombre de personnes décédées de Covid dans le monde : 600 000 (aujourd’hui un million) et le compare minutieusement aux « taux de mortalité mondiaux » projetés « sur une base annualisée » des personnes qui mourront des « augmentations des températures mondiales ». Vous semble-t-il que Gates pourrait avoir plus qu’un intérêt passager pour ces estimations ? Semble-t-il qu’il pourrait être plus qu’un simple observateur neutre parcourant les données de manière impartiale ?

Permettez-moi de présenter ici une théorie : à mon avis, l’intérêt de Gates pour ces questions n’est pas simplement une curiosité spéculative. Lui et ses camarades de l’ « élite » mènent une expérience scientifique élaborée dans laquelle nous – simples mortels – sommes les rats de laboratoire. Ils utilisent délibérément la peur de Covid pour dissimuler leur véritable objectif qui est de prouver hors de tout doute que la réduction des émissions en fermant de vastes pans de l’économie mondiale n’empêchera PAS un changement climatique catastrophique. Alors, supposons simplement pour les besoins de l’argumentation que j’aie raison. Supposons que d’autres élites lisent le rapport Gates et acceptent ses conclusions. Alors quoi ?

C’est là que ça devient intéressant, car Gates ne répond pas vraiment à cette question, mais son silence le trahit. Permettez-moi d’expliquer : Gates dit : « La baisse relativement faible des émissions cette année montre une chose claire : nous ne pouvons pas arriver à zéro émission simplement – ou même surtout – en volant et en conduisant moins. D’accord, nous ne pouvons donc pas arrêter le changement climatique en faisant ce que nous faisons actuellement. Puis Gates dit : « Laissez la science et l’innovation montrer la voie… Toute réponse globale au changement climatique devra puiser dans de nombreuses disciplines différentes… nous aurons besoin de biologie, de chimie, de physique, de science politique, d’économie, d’ingénierie et d’autres sciences ». Encore une fois, nous suivrons la science. Gates déclare ensuite : « Il faudra des décennies pour développer et déployer toutes les inventions d’énergie propre dont nous avons besoin ».

D’accord, nous devons donc agir rapidement pour éviter la tragédie. Enfin, Gates déclare : « Les défenseurs de la santé ont déclaré pendant des années qu’une pandémie était pratiquement inévitable. Le monde n’a pas fait assez pour se préparer et nous essayons maintenant de rattraper le temps perdu. C’est un récit édifiant pour le changement climatique, et il nous oriente vers une meilleure approche ». C’est compris ? Donc, d’une part, Gates dit : « Nous devons agir vite et suivre la science », et d’autre part il dit: « Arrêter l’économie seule ne fonctionnera pas ».

Si ça ne marche pas, pourquoi s’en faire ? Pourquoi Gates envoie-t-il un message contradictoire ?

Ah ! mais il y a un hic. Ce n’est pas un message mitigé et ce n’est pas une contradiction. Ce que fait Gates amène le lecteur à tirer la même conclusion que lui, (clin d’œil, clin d’œil) à savoir que si la réduction de l’activité économique ne fonctionne pas, alors nous devons trouver une solution entièrement différente, comme réduire la taille de la population. N’est-ce pas la seule conclusion logique ? Oui, c’est la seule solution. Ainsi, la grande expérience de laboratoire de 2020 (Covid) a beaucoup à voir avec le contrôle de la population : éclaircir le troupeau afin que nos grands seigneurs de Davos puissent s’assurer que leur progéniture à sang bleu aura des températures douces lors de l’hiver sur leurs îles privées des Caraïbes. Mais le contrôle de la population n’est qu’une petite partie d’un plan beaucoup plus ambitieux pour restructurer l’économie mondiale, vacciner tout le monde sur la planète et se débarrasser de ces libertés civiles individuelles insignifiantes auxquelles les Américains sont devenus si attachés.

La stratégie élitiste a été surnommée la « grande réinitialisation » qui fait référence à la plate-forme d’action Covid du Forum économique mondial, un programme qui vise à restructurer les « fondations économiques et sociales » de la manière qui convient le mieux aux intérêts des capitalistes « parties prenantes ». Voici un extrait de leur communiqué de presse: « Les verrouillages du COVID-19 s’estompent progressivement, mais l’inquiétude concernant les perspectives sociales et économiques du monde ne fait que s’intensifier. Il y a de bonnes raisons de s’inquiéter : une forte récession économique a déjà commencé et nous pourrions être confrontés à la pire dépression depuis les années 1930. Mais, bien que ce résultat soit probable, il n’est pas inévitable.

Pour parvenir à un meilleur résultat, le monde doit agir conjointement et rapidement pour réorganiser tous les aspects de nos sociétés et de nos économies, de l’éducation aux contrats sociaux et aux conditions de travail. Chaque pays, des États-Unis à la Chine, doit participer, et chaque industrie, du pétrole et du gaz à la technologie, doit être transformée. En bref, nous avons besoin d’une « grande réinitialisation » du capitalisme… Le niveau de coopération et d’ambition que cela implique est sans précédent. Mais ce n’est pas un rêve impossible. En fait, l’un des aspects positifs de la pandémie est qu’elle a montré à quelle vitesse nous pouvons apporter des changements radicaux à nos modes de vie. Presque instantanément, la crise a contraint les entreprises et les particuliers à abandonner des pratiques longtemps revendiquées comme essentielles, des voyages en avion fréquents au travail dans un bureau… De toute évidence, la volonté de construire une société meilleure existe. Nous devons l’utiliser pour sécuriser la grande réinitialisation dont nous avons tant besoin. Cela exigera des gouvernements plus forts et plus efficaces, bien que cela n’implique pas une poussée idéologique en faveur de gouvernements plus grands. Et cela exigera l’engagement du secteur privé à chaque étape du processus ». (https://www.weforum.org/agenda/2020/06/now-is-the-time-for-a-great-reset/ )

S’il semble que nos illustres dirigeants veulent refaire la société à partir de zéro, c’est parce que c’est exactement ce qu’ils ont à l’esprit. Et ils n’essaient même pas de cacher leurs véritables intentions. Ils disent sans ambages: « le monde doit agir conjointement et rapidement pour réorganiser tous les aspects de nos sociétés et économies, de l’éducation aux contrats sociaux et aux conditions de travail ». Cela me ressemble beaucoup à des ordres de marche et, en fait, c’est exactement ce qu’ils sont : des ordres.

Mais comment entendent-ils influer sur ces changements dramatiques et révolutionnaires ?. Alors pourquoi le Covid ? Ils vont utiliser Covid pour apporter des changements fondamentaux au système existant, notamment accélérer les privatisations (« capitalisme des parties prenantes »), fusionner les gouvernements en un régime mondial unifié, intensifier les éléments de contrôle social (via une surveillance électronique de masse, une recherche intrusive des contacts, les points de contrôle de sécurité, les verrouillages, les passeports internes, les identifiants biométriques, etc.) et prendre toutes les mesures nécessaires pour introduire un Brave New World tyrannique.

Tout est là noir sur blanc, ils n’essaient même pas de le cacher. Dans leurs propres mots, la « grande réinitialisation » dépend de la plate-forme d’action Covid, n’est-ce pas ? Afin de « bâtir une société meilleure », nous devons « apporter des changements radicaux à nos modes de vie », y compris des réductions des « voyages en avion fréquents et du travail dans un bureau ». Alors oubliez ce voyage en Italie l’année prochaine, M. et Mme WorkerBee (abeille ouvrière). Ça n’arrivera pas. Bill Gates dit: « Non ». Et habituez-vous également au travail à domicile, car nous ne voulons pas que votre minable petite Ford Capri crache du carbone dans notre ciel bleu immaculé. La déclaration indique également clairement que l’effacement de millions d’emplois et de petites entreprises n’était pas une victime accidentelle des confinements provoqués par le Covid mais parce qu’ils les considèrent comme « non essentiels ». Et en ce qui concerne ceux qui participeront à ce nouveau modèle de Valhalla capitaliste ? Eh bien, tout le monde bien sûr. Selon les auteurs : « Chaque pays, des États-Unis à la Chine, doit participer, et chaque industrie, du pétrole et du gaz à la technologie, doit être transformée ». Le glorieux État esclave de la biosécurité émerge juste sous nos yeux et nous pensions juste que nous étions dans une autre Grande Dépression qui clôturait une banale pandémie.

Ainsi, lorsque nous parlons de « Covid-stratagème-politique », nous nous référons en fait au véhicule sur lequel les élites se sont installées pour faire passer les pays de leur état actuel à un état policier global de contrôle total. Le Covid est l’écran de fumée utilisé pour dissimuler les manœuvres des intermédiaires du pouvoir des élites riches qui veulent mettre en œuvre leur Grand Plan pour l’humanité. Donc, si tout semble chaotique et à l’envers à l’heure actuelle, ne vous inquiétez pas : tout est prémédité. Plus le monde devient confus et turbulent, plus il est facile d’amener chaque individu à se soumettre à des activités idiotes comme porter une couche sur la bouche chaque fois que vous quittez la maison ou vous tenir à 2 mètres de distance à l’épicerie pour que les agents pathogènes invisibles ne grimpent pas le long de votre pantalon pour vous mordre. Les psychologues savent que – dans un monde à l’envers où l’incertitude prévaut – les gens sont plus enclins à suivre les directives de crétins affables, comme Tony Fauci, même s’ils abandonnent peut-être leur dernière revendication de liberté personnelle dans le processus.

En regardant en arrière en avril 2020, nous aurions probablement dû prévoir où tout cela allait, après tout. Mr. NWO (New World Order) lui-même, Henry Kissinger, a annoncé à quoi s’attendre dans un éditorial qu’il a publié dans le Wall Street Journal. Voici ce qu’il a dit: « La réalité est que le monde ne sera plus jamais le même après le coronavirus. Argumenter maintenant sur le passé ne fait que rendre plus difficile ce qui doit être fait… » (NOTE de l’auteur : Kissinger est-il clairvoyant ? Comment savait-il que « le monde ne serait plus jamais le même »?). « Les penseurs du siècle des Lumières (ont soutenu) que le but de l’État légitime est de pourvoir aux besoins fondamentaux du peuple… Les individus ne peuvent pas garantir ces choses par eux-mêmes. La pandémie a provoqué un anachronisme, une renaissance de la ville fortifiée à une époque où la prospérité dépend du commerce mondial et du mouvement des personnes. (NOTE. En d’autres termes : le mondialisme est bon, le nationalisme est mauvais, le même refrain que nous avons entendu au cours des 30 dernières années). « Alors que l’attaque contre la santé humaine (par le Covid) sera – espérons-le – temporaire, le bouleversement politique et économique qu’elle a déclenché pourrait durer des générations. (NOTE. Un autre aperçu de la boule de cristal d’Henry ?) Aucun pays, pas même les États-Unis, ne peut dans un effort purement national vaincre le virus. Répondre aux nécessités du moment doit en fin de compte être associé à une vision et un programme collaboratifs mondiaux ». https://www.wsj.com/articles/the-coronavirus-pandemic-will-forever-alter-the-world-order-11585953005?mod=opinion_lead_pos5

Comme Kissinger l’a déclaré clairement le 3 avril 2020, la mondialisation est toujours bien vivante parmi les poids lourds de Davos qui voient maintenant une occasion unique de mettre leur plan en action. Certaines parties de l’Australie et de la Nouvelle-Zélande sont déjà soumises à la loi martiale de facto, tandis que le Premier ministre Boris Johnson ajoute 2000 policiers supplémentaires à Londres pour faire appliquer ses mesures loufoques anti-Covid. Partout dans le monde occidental, la liberté s’effondre plus vite qu’un appentis en carton ondulé dans une tornade du Kansas. Pendant ce temps, dans une Amérique paniquée, des prolétaires pâles continuent de se cacher derrière leurs canapés en attendant que la fausse peste passe. Est-ce qu’ils voient même l’épave du train juste devant ? Selon le chroniqueur Gary D.Barnett : « En ce moment, nous nous trouvons au bord un précipice avec l’État qui tente de nous pousser dans le vide. Il n’y aura pas de retour possible. C’est pourquoi si le peuple riposte en masse et refuse tout soutien aux démons nous gouvernant, nous pouvons nous réveiller de ce cauchemar et retrouver la normalité.

Note de votre serviteur.Le Valhalla était, dans la mythologie scandinave, le lieu inaccessible où se retrouvaient les valeureux guerriers. Ils se livraient à des orgies éternelles encouragés par les Walkyries. Demain mercredi 7 octobre quelques commentaires au sujet de cet article.

La Columbia Journalism Review explique comment la Fondation Gates manipule les médias.

La plupart des articles publiés par la Columbia Journalism Review (CJR), un « magazine » bisannuel essentiellement numérique publié et édité par la Columbia School of Journalism et son personnel, sont moralisateurs et vus à travers une lentille de propagande crypto-marxiste, écrite par un cortège apparemment sans fin d’écrivains de magazines qui ont perdu leur poste de journalistes. Mais il arrive de temps en temps, tout comme pour le New-York Times (NYT), le Washington Post et CNN que CJR ait raison. Et heureusement pour nous, tôt ce mois-ci, lorsque le site CJR a publié cet article perspicace décrivant l’influence de la Fondation Gates sur les médias qui la couvrent.

La plupart des lecteurs n’ont probablement pas réalisé combien d’argent la Fondation Gates dépense pour soutenir des entreprises médiatiques y compris à but lucratif comme le New York Times et le Financial Times, certains titres les plus florissants financièrement grâce à leurs lecteurs fidèles. Pour la plupart des entreprises de médias, qui n’ont pas les moyens financiers des deux titres cités ci-dessus, les liens financiers vont encore plus loin. Schwab commence son article avec son exemple le plus frappant : la NPR (National Public Radio).

En août dernier la NPR a fait la chronique d’une expérience dirigée par l’Université d’Harvard pour aider des familles à faible revenu à trouver un logement dans des quartiers plus riches, pour pouvoir donner à leurs enfants l’accès à de meilleures écoles et une opportunité de « briser le cycle de la pauvreté ». Selon les chercheurs cités dans l’article, ces enfants pourraient entrevoir des revenus de plus de 183 000 $ au cours de leur vie, une prévision stupéfiante pour un programme de logement encore au stade expérimental. Si vous vous renseignez un peu en lisant l’histoire, vous remarquerez que chaque expert cité est connecté à la Fondation Bill & Melinda Gates, qui aide à financer le projet. Et si vous faites vraiment attention, vous verrez également la note de l’éditeur à la fin de l’article, qui révèle que la NPR elle-même reçoit un financement de Gates.

Le financement de la NPR par Gates « n’a pas été un facteur expliquant pourquoi ou comment nous avons fait l’histoire », a déclaré la journaliste Pam Fessler, ajoutant que ses reportages allaient au-delà des personnalités citées dans son article. L’histoire, néanmoins, n’est que l’une des centaines de rapports de la NPR sur la Fondation Gates ou le travail qu’elle finance, y compris une myriade d’articles favorables aux points de vue de Gates ou de ses bénéficiaires.

Et il s’agit d’une tendance plus large – et d’un problème éthique – avec des philanthropes milliardaires qui financent les médias. La Broad Foundation, dont le programme philanthropique comprend la promotion d’écoles sponsorisées finance en partie des reportages du LA Times sur l’éducation. Charles Koch (Broad Foundation) a fait des dons de bienfaisance à des institutions journalistiques telles que le Poynter Institute, ainsi qu’à des organes de presse tels que le Daily Caller, qui soutiennent sa politique conservatrice. Et la Fondation Rockefeller finance Vox’s Future Perfect, un projet d’établissement de rapports qui examinent le monde « à travers le prisme de l’altruisme efficace » et se penche souvent sur la philanthropie.

Alors que les philanthropes comblent de plus en plus les déficits de financement des agences de presse – un rôle qui est presque certain de s’étendre avec la crise que traversent les médias à la suite de la pandémie de coronavirus – une préoccupation peu analysée est de savoir comment cela affectera la manière dont les salles de rédaction glorifieront leurs bienfaiteurs. Nulle part cette préoccupation n’est plus importante qu’avec la Fondation Gates, l’un des principaux donateurs des rédactions et un sujet fréquent de couverture médiatique favorable.

Ce n’est qu’un rappel supplémentaire que tous les rapports de la NPR sur le coronavirus et la Chine sont suspects en raison de ses liens avec Gates et, par extension, avec l’OMS. En avril, nous avons noté qu’un article de la NPR était un exemple flagrant de journalisme qui n’avait pas clarifié explicitement tous ses liens sources vers la Chine, bien que quelques indices aient été inclus au sujet du laboratoire P4 de Wuhan. Bien sûr, même CJR a laissé de côté certains exemples marquants du penchant des médias pour la protection de Gates. Il aurait été un ami proche de Jeffrey Epstein :

La Fondation Gates s’illustre par le niveau élevé d’influence qu’elle exerce sur les médias, mais ce n’est pas la seule. La Fondation Clinton a bénéficié d’un traitement tout aussi léger de la part de la presse grand public, sinon plus. Peu de reportages peu flatteurs ont été faits sur la Fondation Clinton jusqu’à ce que Steve Bannon aide Peter Schweizer à produire le « Clinton Cash ». Lisez le passage de l’article de CJR ci-dessous:

« J’ai récemment examiné près de vingt mille subventions caritatives que la Fondation Gates avait accordées jusqu’à la fin juin et j’ai trouvé plus de 250 millions de dollars destinés au journalisme. Les destinataires comprenaient des opérations d’information comme la BBC, NBC, Al Jazeera, ProPublica, National Journal, The Guardian, Univision, Medium, The Financial Times, The Atlantic, le Texas Tribune, Gannett, Washington Monthly, Le Monde et le Center for Investigative Reporting, des organisations caritatives affiliées à des organes de presse, comme BBC Media Action et Neediest Cases Fund du New York Times, des sociétés de médias telles que Participant, dont le documentaire Waiting for « Superman » soutient le programme de Gates sur les écoles sous contrat, des organisations journalistiques telles que le Pulitzer Center on Crisis Reporting, la National Press Foundation et le International Center for Journalists, et une variété d’autres groupes créant du contenu d’actualité ou travaillant sur le journalisme, comme la Leo Burnett Company, une agence de publicité que Gates a mandatée pour créer un « site d’information » pour promouvoir le succès des groupes d’aide humanitaire. Dans certains cas, les bénéficiaires disent avoir distribué une partie du financement sous forme de sous-subventions à d’autres organisations journalistiques – ce qui rend difficile de voir le tableau complet du financement de Gates dans le quatrième pouvoir que constituent l’ensemble des médias ».

La fondation a même aidé à financer un rapport de 2016 de l’American Press Institute qui a été utilisé pour élaborer des lignes directrices sur la manière dont les salles de rédaction peuvent maintenir leur indépendance éditoriale par rapport aux bailleurs de fonds philanthropiques. Une constatation de haut niveau : « Il y a peu de preuves que les bailleurs de fonds insistent sur une révision éditoriale ». Notamment, les données d’enquêtes sous-jacentes de l’étude ont montré que près d’un tiers des bailleurs de fonds ont déclaré avoir revu au moins une partie du contenu qu’ils avaient financé avant leur publication.

La générosité de Gates semble avoir contribué à créer un environnement médiatique de plus en plus convivial pour l’organisme de bienfaisance le plus visible au monde. Il y a vingt ans, les journalistes ont examiné la première incursion de Bill Gates dans la philanthropie comme un moyen d’enrichir son éditeur de logiciels, ou un exercice de relations publiques pour sauver sa réputation déchirée à la suite de la bataille antitrust meurtrière de Microsoft avec le ministère de la Justice américain. Aujourd’hui, la fondation fait le plus souvent l’objet de profils doux et d’éditoriaux élogieux décrivant ses bonnes œuvres.

Pendant la pandémie, les médias se sont largement tournés vers Bill Gates en tant qu’expert de la santé publique sur les coronavirus – même si Gates n’a aucune formation médicale et n’est pas un fonctionnaire de la santé publique. PolitiFact et USA Today (gérés respectivement par le Poynter Institute et Gannett qui ont tous deux reçu des fonds de la Fondation Gates) ont même utilisé leurs plateformes de vérification des faits pour défendre Gates contre les « fausses théories du complot » et la « désinformation », comme le fait que la fondation a procédé à des investissements financiers dans des entreprises développant des vaccins et des thérapies contre les coronavirus. En fait, le site Web de la fondation et les formulaires fiscaux les plus récents montrent clairement les investissements de la Fondation Gates dans de telles entreprises, y compris Gilead et CureVac.

De la même manière que les médias d’information ont donné à Gates une voix démesurée dans la pandémie, la fondation a longtemps utilisé ses dons caritatifs pour façonner le discours public sur tout, de la santé mondiale à l’éducation en passant par l’agriculture – un niveau d’influence qui a permis à Bill Gates de se placer sur la liste Forbes des personnes les plus puissantes au monde. La Fondation Gates peut souligner d’importantes réalisations caritatives au cours des deux dernières décennies – comme aider à lutter contre la polio et investir de nouveaux fonds dans la lutte contre le paludisme – mais même ces efforts ont attiré des détracteurs experts qui disent que Gates pourrait en fait causer plus de mal que de bien et détourner l’opinion de projets de santé publique plus importants et vitaux. Avec pratiquement toutes les bonnes actions de Gates, les journalistes peuvent également trouver des problèmes avec la puissance démesurée de la fondation, s’ils choisissent de creuser leurs informations. Mais les lecteurs n’entendent pas ces voix critiques dans les nouvelles aussi souvent ou aussi fort que celles de Bill et Melinda. Les nouvelles sur Gates ces jours-ci sont souvent filtrées à travers les perspectives des nombreux universitaires, organisations à but non lucratif et groupes de réflexion financés par Gates. Parfois, ces informations sont livrées aux lecteurs par des rédactions ayant des liens financiers avec la fondation.

La Fondation Gates a refusé plusieurs demandes d’entrevues pour cette histoire et ne fournirait pas sa propre comptabilité pour savoir combien d’argent elle a investi dans le journalisme. En réponse aux questions envoyées par courrier électronique, un porte-parole de la fondation a déclaré qu’un « principe directeur » de son financement du journalisme est « d’assurer l’indépendance créative et éditoriale ». Le porte-parole a également noté qu’en raison des pressions financières exercées dans le journalisme, bon nombre des questions sur lesquelles la fondation travaille « ne bénéficient pas de la couverture médiatique approfondie et cohérente qu’ils avaient autrefois, des problèmes mal étudiés et mal signalés ; ils ont le pouvoir d’éduquer le public et d’encourager l’adoption et la mise en œuvre de politiques fondées sur des données probantes dans les secteurs public et privé ».

Alors que le CJR finalisait sa vérification des faits de cet article, la Fondation Gates a offert une réponse plus précise : « Les récipiendaires de subventions au journalisme de fondation ont été et continuent d’être parmi les médias les plus respectés au monde … La ligne de questionnement implique que ces organisations ont compromis leur intégrité et leur indépendance en rendant compte de la santé mondiale, du développement et de l’éducation avec un financement de base. Nous contestons fermement cette notion ».

La réponse de la fondation a également ouvert d’autres liens qu’elle entretient avec les médias d’information, notamment « la participation à des dizaines de conférences, telles que le Festival de journalisme de Pérouse, le Global Editors Network ou la Conférence mondiale sur le journalisme scientifique », ainsi que « aider à renforcer ses capacités d’aide grâce au financement du Innovation in Development and Reporting Fund ». L’ampleur des dons de Gates aux médias d’information reste inconnue, car la fondation ne divulgue publiquement que les sommes accordées par le biais de subventions caritatives, et non par le biais de contrats. En réponse aux questions, Gates n’a divulgué qu’un seul contrat, celui de Vox, mais a décrit comment une partie de cet argent contractuel est dépensée : production de contenu sponsorisé et parfois financement « d’entités à but non lucratif non médiatiques pour soutenir des efforts tels que des formations de journalistes, des réunions médiatiques et des participations à des événements ».

Au fil des années, les journalistes ont enquêté sur les angles morts apparents dans la façon dont les médias d’information couvrent la Fondation Gates, bien que ces reportages ciblés aient diminué ces dernières années. En 2015, Vox a publié un article examinant la couverture journalistique non critique généralisée entourant la fondation, une couverture qui survient alors même que de nombreux experts et universitaires envoient des signaux d’alarme. Vox n’a pas cité les dons de bienfaisance de Gates aux rédactions comme facteur contributif, pas plus qu’il n’a abordé le passage d’un mois de Bill Gates en tant que rédacteur invité pour The Verge, une filiale de Vox, plus tôt cette année. Pourtant, le média a soulevé des questions critiques sur la tendance des journalistes à couvrir la Fondation Gates comme une organisation caritative impartiale au lieu d’une structure de pouvoir. Cinq ans plus tôt, en 2010, CJR a publié une série en deux parties qui examinait, en partie, les millions de dollars destinés à PBS NewsHour, ce qui, selon lui, évitait de manière fiable les reportages critiques sur Gates. En 2011, le Seattle Times a détaillé ses inquiétudes quant à la manière dont le financement de la Fondation Gates pourrait entraver les reportages indépendants …

Source : https://www.cjr.org/criticism/gates-foundation-journalism-funding.php