Dans un pays, l’Australie, où les plus sévères mesures de privation de liberté ont été prises allant jusqu’à pourchasser par la police les récalcitrants à la « vaccination » et à taxer ces récalcitrants de lourdes amendes, il faut constater que le fiasco de cette « vaccination » obligatoire est tout simplement flagrant. L’ARN messager codant pour la protéine de la spicule du coronavirus était supposé protéger les habitants de ce pays contre toute infection et contre toute forme grave d’infection. Le même discours a été tenu dans la plupart des pays occidentaux : « faites-vous injecter cet ARN messager, vous serez sauvé et vous protégerez votre entourage ». En Autriche, aux Pays-Bas, en Italie et en France le problème a été abordé avec les mêmes mesures de privation des libertés.
Et pourtant ces « vaccins » dont les vertus protectrices étaient vantées par le pouvoir politique n’ont pas permis d’éviter une véritable hécatombe avec l’apparition du dernier mutant appelé « omicron » supposé être 7 à 10 fois moins létal que ses prédécesseurs, ce qui avait était constaté en Afrique du Sud, pays à l’origine de ce mutant. En Australie, pays où la population a été contrainte d’être soumise à plusieurs injections de cet ARN messager par la force, il s’avère que c’est une catastrophe, du jamais vu depuis le début de l’épidémie au début de l’année 2020. Il est possible que le gouvernement fédéral australien commence à comprendre qu’il a été floué par la bande des quatre que sont Pfizer, Astra-Zeneca, Moderna et J&J bien qu’il soit difficile de connaître quels « vaccins » ont été utilisés dans ce pays. En Europe la situation est assez floue, ces quatre labos s’étant réparti les tâches puis progressivement il ne reste plus que Pfizer, les vaccins russes et chinois étant interdits, il faut savoir ce que l’on veut.
Comme pour les effets secondaires de cette « drogue » expérimentale sont soigneusement occultés il reste un fait qui ne peut plus être nié quand l’Etat des Nouvelles Galles du Sud a publié ses statistiques sanitaires. Le site Our World in Data ne ment pas, il constate :

La campagne de « vaccination » a débuté en avril 2021 et on ne peut que constater qu’aucune protection n’a été constatée contre l’apparition du variant delta puis, pire encore, du variant omicron. Les autorités politiques de l’Etat des Nouvelles Galles du Sud ont également constaté que, aussi curieusement que cela puisse paraître les personnes « vaccinées » avaient tendance à mourir plus facilement que les non-vaccinés. Les mauvaises langues vont tout de suite dire que ce type de graphique n’a aucune signification :

En effet l’échantillon dont on ne connait pas la taille est trop petit pour tirer des conclusions claires. De plus il reste un résidu de la population non « vacciné ». En conséquence l’histogramme ci-dessus ne reflète que cette répartition de la population. Or c’est faux car si seuls les non-vaccinés meurent cet histogramme serait inversé. Comme les autorités sanitaires du Japon l’ont constaté les décès enregistrés depuis l’apparition du variant omicron concernent des populations plus jeunes et vaccinées. Dans ce pays la « vaccination » n’a jamais été obligatoire mais la psychose généralisée a conduit de nombreux Japonais à se faire injecter la mixture de Pfizer et en conséquence le Japon assiste au pire tableau hospitalier depuis le tout début de l’épidémie, exactement comme en Australie.
Après ces commentaires que peut-on en conclure ? Le « vaccin » de Pfizer, le plus utilisé en Australie et au Japon, ne protège pas contre la maladie, les « vaccinés » deviennent porteurs sains et propagent la maladie, et les anticorps apparus après ce traitement ne sont pas neutralisants. Comme pour le vaccin contre la dengue expérimenté aux Philippines il y a aussi l’apparition d’anticorps facilitants et les « vaccinés » naïfs, c’est-à-dire n’ayant jamais été en contact avec le virus auparavant sont victimes de formes graves de la maladie. Ce symptôme est appelé VAID ou « Vaccine Acquired Immune Deficiency » (lien). Cette observation contredit les affirmations prédisant une protection contre les formes graves, c’est exactement le contraire qui est observé, pas seulement chez des « vieux » mais également chez des sujets de moins de 50 ans. Ce produit appelé abusivement vaccin est donc une escroquerie et je suis assez convaincu que la firme Pfizer sera poursuivie pour charlatanisme comme cela lui est arrivé à plusieurs reprises par le passé.
Sources : https://dailyexpose.uk/2022/02/15/australia-4-in-5-covid-deaths-fully-vaccinated/ ethttps://dailyexpose.uk/2022/02/17/pfizergate-world-wide-coverup-covid-vaccines-cause-vaids/
Note. Lorsque j’ai été infecté par le coronavirus à la fin du mois de mars 2020 une analyse sanguine indiqua que je souffrais de lymphocytopénie, en d’autres termes d’une chute des lymphocytes. Les personnes nouvellement injectées pour un « rappel vaccinal » pourraient suggérer à leur médecin traitant une analyse sanguine, par curiosité, pour connaître l’état de leurs lymphocytes. Je pense qu’il y aurait de sérieuses surprises …