Le complot mortel de la « vaccination » contre le SARS-CoV-2

Les statistiques officielles indiquent que la pandémie SARS-CoV-2 a provoqué la mort de 6 597 328 personnes dûment répertoriées comme étant mortes des conséquences de l’infection par le virus. Pourtant l’Association Internationale pour la protection contre les Rayonnements Ionisants (AIPRI) a indiqué que les Nations-Unies avaient noté une surmortalité de 23,4 millions de personnes durant la période de trois années 2020-2022 couvrant la pandémie de coronavirus. Cette estimation tient compte de l’augmentation du nombre total de décès en raison de l’augmentation de la population mondiale comme l’indique la figure ci-dessous.

En tenant compte de cette augmentation extrapolée sur la période 2020-2022 il apparaît que la surmortalité observée est donc de 23 603 454 en tenant compte de l’augmentation « naturelle » du nombre de morts chaque année. Comme le nombre officiel de morts par coronavirus est de 6 697 328 quelles sont les causes permettant d’expliquer l’excédent de décès enregistré par les instances onusiennes de 16 906 126 ? Selon L’ONU durant les années 2021 et 2022, « années vaccinales », l’excédent de mortalité inexplicable a atteint 14 298 932.

Rapprocher la politique « vaccinale » massive décidée par les pouvoirs politiques de cet excédent de décès relèverait-il du complot ? Il faut constater que l’extrême complexité qu’ont rencontré les médecins traitants pour faire remonter vers les instances officielles les effets adverses et les décès « par vaccin », complexité mise en place à dessein pour très largement sous-estimer ces effets indésirables y compris les décès a eu pour conséquence bien identifiée que moins de 1 % des « morts par vaccin » ont été comptabilisés, alors on peut se poser quelques questions. De plus il y eut une quasi impossibilité de réaliser des autopsies pour déterminer les causes d’un décès pour des raisons législatives dans de nombreux pays à la suite de « morts après vaccin ». S’il y a eu complot celui-ci a été organisé par les pouvoirs politiques à la demande des laboratoires pharmaceutiques fournisseurs de ces « vaccins ». Le nombre de morts « par vaccin » est donc plus du double de celui « par virus ». Pour être honnête il faudrait enfin ajouter à ce nombre de morts ceux provoqués par les anticorps facilitant une nouvelle infection par le virus ou une deuxième infection car il s’agit également d’une conséquence de la « vaccination ». En somme il faudrait envisager non pas quelques 14 millions de morts mais plus probablement une quarantaine de millions voire beaucoup plus, l’équivalent de la population d’un pays comme l’Argentine ! Note. L’ADE (antibody dependent enhancement) a été observé par le passé avec des vaccins expérimentaux contre la dengue et observée très tôt pour le coronavirus ( doi : 10.1016/j.ijid.2020.09.015 ) dès l’année 2010 et pourtant la campagne massive de « vaccination » n’a pas été arrêtée comme cela aurait du être décidé par l’OMS. Il y a donc bien eu un complot criminel. Une autre fausse pandémie avec un autre virus manipulé en laboratoire et un « vaccin » déjà au point pour tuer et non pas protéger apparaîtra-t-elle pour tuer cette fois un gros milliard d’être humains afin de satisfaire à l’agenda des malthusiens qui veulent gouverner le monde ? Source : https://aipri.blogspot.com/2023/03/lonu-annonce-une-surmortalite-de-236.html

5 réflexions au sujet de « Le complot mortel de la « vaccination » contre le SARS-CoV-2 »

  1. Bonjour il y a une erreur dans votre texte.
    S’il y a eu 22 millions de surmortalité toutes causes confondues durant les 3 années, cette surmortalité contient les morts causés par les anticorps facilitants. Ce chiffre de 22 millions est un chiffre global.

    Quant aux 22 millions, je m’interroge pour la France sur le mode de calcul.
    L’Insee prétend une augmentation naturelle de la mortalité de 15.000 personnes par an, chiffre repris par certains pour démontrer l’absence de surmortalité en 2020, qui serait une année moisson.
    Zola ou docteur Mandrux considerait dans un article que cette augmentation de mortalité annuelle est de 30.000, et du coup il n’y a plus de surmortalité durant 2020 à fin 2022.
    Et si l’on prend la mortalité en France pour 2010 à 2019, on constate une augmentation assez régulière de 3000 morts par an. Ce qui génère une surmortalité beaucoup plus importante en 2020, puis durant les 2 années suivantes, malgré la sous mortalité en 2021.
    On nous oppose constamment l’arrivée des papy boomers, mais ceux-ci sont nés entre 1946 et 1970. Ils ont donc entre 60 et 76 ans. Ors l’espérance de vie est actuellement supérieure à 75 ans. Donc le papy boom n’a toujours pas commencé.
    Depuis 30 ans en France la principale cause de diminution relative de la mortalité est l’allongement de la durée de vie, qui est passé de 60 ans à 80 ans.

    • J’ai repris les données citées en référence … Par contre la comptabilisation des « morts par covid » est sujette à caution car ont classés dans cette catégorie des morts positifs par PCR mais morts en raison d’autres causes, ceci dans un but politique. En France il n’existe pas de statistiques officielles pouvant différencier les « morts par covid » des « morts par vaccin », fait qui a fait réagir Pierre Chaillot. L’AIPRI n’est pas un organisme spécialisé dans les études d’épidémie mais plutôt dans l’étude des effets à long terme des radiations ionisantes; Cependant leur approche statistique est identique. Cet organisme a participé à une étude réalisée dans la zone d’exclusion de Tchernobyl et les conclusions de cette étude (dont j’ai égaré le lien, elle date de plusieurs années) font état d’une augmentation des cancers de la thyroïde non significative, la forme de cancer la plus fréquente en cas de fuite radioactive depuis un réacteur nucléaire. Les enquêteurs japonais, malgré un dépistage systématique délirant en sont arrivés à la même conclusion. Je me suis contaminé deux fois avec de fortes doses d’iode-125 et je n’ai jamais eu de problème de thyroïde …

    • « Donc le papy boom n’a toujours pas commencé. »
      On appelle « Papy boom » la forte natalité pendant la trentaine d’années (les « Trente Glorieuses ») qui a suivi la fin de la 2ème guerre mondiale. Ce qui n’a pas commencé, c’est plutôt le « Papy flop » (je ne sais pas comment il faut l’appeler, au juste.

  2. Tu peux prendre en compte les morts en Éthiopie et dans une moindre mesure en Ukraine. Ça te fait déjà 1M de morts expliquées en moins. Et effectivement tu n’as pas plus de 22M de mort à attribuer, c’est déjà pas mal d’ailleurs. Il y a eu aussi un déficit de la prise en charge médicale dans pas mal de pays, pas seulement du coronavirus qui a dû tuer pas mal. A l’échelle mondiale c’est assez difficile à dire.

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