L’article de H16 est illustratif du but recherché par l’injection d’ARN messager supposé « vacciner » contre le coronavirus : agir sur la fertilité humaine : Lien :https://h16free.com/2022/10/28/72001-cette-etrange-sous-natalite-occidentale
Il y a de nombreuses semaines le Professeur Didier Raoult avait montré au cours d’une de ses interventions en direct de l’IHU de Marseille que les anticorps dirigés contre la protéine spike du virus croisaient avec la syncytine, une protéine présente dans les muscles, la membrane basale et divers autres organes du corps. Cette démonstration faisait appel à une technique dite Western Blot. Brièvement il s’agit de séparer les protéines par électrophorèse puis d’appliquer un film de nitrocellulose sur le gel d’électrophorèse pour adsorber ces protéines sur le film. Ensuite on procède à un contact entre celui-ci et une dissolution d’un sérum dont les anticorps présents reconnaissent la sous-unité 1 de la protéine spike du virus, celle-la même codée par l’ARN contenu dans ce qui est appelé abusivement vaccin. Après rinçage on révèle la présence d’anticorps fixé sur la membrane de nitrocellulose à l’aide d’un anticorps anti-anticorps humain. C’est ainsi que la réactivité croisée avec la syncytine a été montrée.
La syncytine est absolument nécessaire pour l’implantation du placenta dans l’utérus, elle est également nécessaire pour la régénération des muscles et la formation des fibres musculaires issues de la fusion de plusieurs cellules musculaires ne contenant qu’un seul noyau en cellules multinuclées. Elle est enfin présente dans les gonades. Il est dès lors tout à fait évident que la présence d’anticorps anti-spike-1 chez les sujets dits « vaccinés » va provoquer des avortements, une diminution de la production de spermatozoïdes et probablement des enfants morts-nés car le placenta n’a pas été correctement arrimé à l’endomètre utérin et enfin des troubles au niveau du muscle cardiaque au sein duquel la régénération des fibres musculaires est constante au cours du temps.
Ce n’est pas un délire de ma part mais une simple constatation tout à fait troublante. Il suffit de franchir un tout petit pas pour comprendre la vraie finalité de cet ARN messager injecté à des centaines de millions de personnes sous un faux prétexte, celui de protéger contre le coronavirus. Je doute que qui que ce soit puisse obtenir les données corrélant le statut « vaccinal » des femmes ayant mis au monde un enfant mort in utero ou à la naissance. Je doute que le monde médical corrompu par les fabricants de ce pseudo vaccin avouent être complices de ces assassinats de masse, des troubles du cycle menstruel chez les femmes, de la baisse de la qualité du sperme ou encore des arrêts cardiaques imprévisibles. Merci Pfizer, merci Moderna, vous avez obéi le doigt sur la couture aux injonctions des fous qui veulent gouverner la planète entière, je veux parler et je n’ai pas peur de l’écrire des Klaus Schwab, des Bill Gates et de bien d’autres personnalités politiques.
A la date du 22 septembre, j’ai fait le calcul à données disponibles, pas des centaines de millions, Henri, mais 4,65 milliards d’individus sont « vaccinés ».
+ de 50% de l’humanité est concernée.
nettement insuffisant pour que ça change quoi que ce soit..
surtout que les non vax sont les plus prolifiques
Le pire étant -mais l’inverse serait, par défaut, reconnaître ses errements- la poursuite de la politique/propagande vaccinale.
Errare humanum est sed perseverare… (et cætera)
Bonjour Alexandra Denrion Claude avait signalé des le debut que le poison pourrait porter atteinte à la cytocine et au placenta.
C’est « Alexandra Henrion-Caude ».
Et que dire ou penser des « dizaines d’arrêts cardiaques » à Séoul dans la nuit de samedi à la suite d’un mouvement de foule ?
Une petite question me vient quand même en lisant ceci : des anticorps anti-spike existent aussi quand on a été infecté par le virus , non ?
Donc , avoir été malade (ou disons infecté) doit produire le même effet !?
Et , surtout , cet effet doit être transitoire puisque l’immunité contre cette maladie , qu’elle soit provoquée par un vaccin ou la maladie elle-même , est de courte durée …
Ne voyez pas dans cette question le trollage d’un pro-vax , je n’ai pas reçu la moindre dose de ces produits expérimentaux dont je me méfie. Par contre , j’ai été positif trois fois !! J’écris positif parce que je ne considère pas avoir été réellement malade. J’ai été plus affecté les rares fois ou j’ai choppé la grippe (la « crève » comme on dit chez moi).
Cordialement.
Bonjour comme le virus mute tous les 3 mois, les anticorps, naturels ou artificiels, crees pour se protéger de la version A, ont moins d’effets, voire aucun, sur la version B.
Ce pourquoi on revaccine tous les ans pour la grippe, ce qui ne signifie pas que le vaccin va fonctionner, car il est fabriqué à partir d’une déduction statistique de la prochaine mutation, et non à partir de la realité.
C’est la course à l’echalote.
En l’occurrence il est clair que les vax basés sur le variant de Wuhan ne pouvaient avoir que peu d’effets sur le variant européen, et de moins en moins sur les variants suivants.
Et le vax basé sur le variant omicron arrive trop tard puisqu’un nouveau variant se repand.
Donc tout cela est une escroquerie dès le début, sans même débattre de l’efficacité d’un vax ARN.
En comparaison le virus de la variole ne mute pas, et le vaccin est efficace au moins 10 ans.
C’est un problème que j’avais évoqué sur mon blog. L’infection par le coronavirus, surtout si elle est soignée précocement (par les deux médicaments interdit sous la pression de Pfizer et Moderna) produit peu de protéine spike alors que l’injection de l’ARN codant pour cette protéine rend l’organisme producteur de cette protéine. Il y a un problème de quantité non contrôlable. Pour un vaccin avec virus désactivé on connait exactement la quantité injectée, en d’autres termes le nombre de virus qui va déclencher la réponse immunitaire. C’est pour cette raison qu’on ne peut appeler cette « vaccination » un vaccin.