A propos de l’échec de la campagne de vaccination

Voici un texte qui m’a été communiqué via un canal privé et dont je dois respecter l’anonymat souhaité par l’auteur, un médecin spécialiste à la retraite. Bonne lecture !­
  1/ Il n’était pas réaliste de penser que le « vaccin » puisse être efficace à 95% longuement. On pouvait tabler en se référant à ce que nous savons concernant la grippe sur 50%, ce qui a été le cas en particulier chez les personnes les plus concernées âgées et immunodéprimées, et dans ce cas parfois 0%. Les expertises effectuées chez des sujets jeunes et en bonne santé ne pouvaient qu’ aboutir à une surévaluation. La mauvaise surprise a été la durée, constatée très faible de la protection, quelques mois tout au plus rendant vaine toute tentative d `éradiquer le virus par une campagne massive de vaccination.
   2/ L’administration d’ARN a pour résultat de faire produire de façon massive une protéine unique et la production d’anticorps qui s’ensuit n’est pas adaptée aux variants. De ce fait la personne vaccinée est moins protégée contre le variant suivant qu’une qui aurait produit des anticorps à spectre plus large suite à une contamination. La vaccination de masse fait que face à chaque variant tout se passe comme si toute la population était naïve.
   3/ La vaccination de masse est en elle-même un facteur favorisant l’apparition des variants ( cf Delfraissy et co. .). Les points 2 et 3 amènent à penser que même si le « vaccin » est susceptible, comme il est dit, de protéger des formes « graves » il pourrait être, d’une part en conférant une protection trop ciblée aux personne injectées, d’autre part en favorisant l’apparition de nouveaux variants à l’origine d’une prolongation de la période épidémique et provoquer ainsi l’effet inverse à celui recherché.
   4/ Il est possible, non démontré, qu’après la vaccination survienne la production d’anticorps dits « facilitants ».
   5/ Dernier point, non le moindre, les effets indésirables. Pour Véran tout va bien mais pendant ce temps les bases de données de la pharmacovigilance se remplissent sans que personne parmi les autorités ne fasse mine de s’en soucier. Une commission parlementaire dédiée à ce problème pourrait être la première approche, non la seule, les citoyens devront s’en mêler. Et ceci signifie qu’il faut de toute façon épargner les enfants. Qui pourrait se remettre de la mort d’un seul enfant par exemple par myocardite ? Et corollaire, l’approche vaccinale par ARN messager n’est pas la bonne.
    P.S. Je ne suis qu’un médecin retraité, néanmoins possesseur de quelques neurones et de quelques titres hospitalo-universitaires. Si les conclusions de mes propos sont personnelles, les bases de réflexion sont issues de l’examen de faits reconnus (source John Hopkins) et de publications référencées (Delfraissy, Lina, Lascola, Gayet…). A partir de là, ceux qui aiment réfléchir réfléchiront.

1) Inefficacité de la vaccination de masse
– IMPORTANT : Intervention du virologue belge Geert Vanden Bossche
– Rappel : exposé de Christian Vélot sur les technologies vaccinales (cet entretien date d’octobre-novembre 2020)
– On ne vaccine pas massivement durant une pandémie avec un vaccin qui ne protège pas de l’infection : c’est ce qu’on apprend en début de première année de médecine, mais visiblement ni Fischer ni Delfraissy ne s’en souviennent.
– La pression vaccinale massive privilégie les variants qui échappe aux anticorps vaccinaux ; pire, ces anticorps peuvent ensuite devenir « facilitants » , comme cela a été le cas pour le vaccin Dengvaxia de Sanofi : des centaines d’enfants philippins sont morts, mais naturellement ce n’est pas grave : dans les années 70, cinquante morts suffisaient pour qu’une AMM soit retirée ; mais Dengvaxia est toujours commercialisé, au nom du soi-disant rapport « bénéfices-risques » naturellement.
– S’obstiner à vouloir immuniser contre un virus qui manifestement ne répond pas à l’immunité acquise, qu’elle soit naturelle ou vaccinale, relève d’une attitude irresponsable. Un des ces irresponsables déclarait récemment : à force de faire des doses de rappel, on finira par développer l’immunité cellulaire. Cela reste à prouver mais en revanche, cela déclenchera des maladies auto-immunes (rappelons ici que la protéine spike est ancrée à une cellule, et le système immunitaire doit alors détruire la cellule en question).

– Jean-Marc Sabatier, directeur de recherche au CNRS, docteur en biologie cellulaire et microbiologie, interpellé par la mise en évidence d’une proportion anormalement élevée de personnes vaccinées contre le sars cov 2 présentant des formes plus graves dans le covid 19 que lors d’une infection virale de personnes non vaccinées, estimait en août 2021 qu’il serait peut-être nécessaire de modifier les vaccins actuels qui présentent un certain nombre d’inconvénients. Toutes les modifications nécessaires seraient trop longues à expliquer ici, mais il pensait notamment qu’il faudrait produire une protéine spike modifiée de sorte qu’elle ne soit pas capable de se fixer sur le récepteur ACE2 des cellules cibles. Cette modification lui semblait techniquement possible mais il pensait que si les laboratoires ne l’ont pas fait, c’est parce qu’ils sont allés au plus simple, les choses étant déjà assez compliquées comme cela. Voici sa conclusion , incluant les malades présentant des comorbidités :  » Si le phénomène ADE (voire ERD ) existe dans le cas de la vaccination actuelle, il est probable que les rappels vaccinaux (3ème et 4ème dose) augmentent la proportion d’ anticorps facilitants ce qui conduirait à un effet potentiellement opposé à celui que l’on recherche : le remède serait pire que le mal. « 

2) Effets secondaires et toxicité de la protéine spike
– La maladie covid n’est pas une maladie pulmonaire : c’est une maladie de l’inflammation et une maladie du sang ; et sa gravité est liée à la protéine spike qui est cytotoxique. Les vaccins sont donc eux aussi toxiques parce que la protéine spike est toxique. A cet égard, ils ne sont pas vraiment des vaccins au sens classique. Ils procèdent plutôt par mithridatisation : on injecte un poison (ou plutôt on fait produire par les cellules un poison) ; l’immunité associée ne peut être alors que de courte durée 
– Les vaccins ARN et ceux à adénovirus amènent les cellules à produire cette protéine toxique en quantité non contrôlée : en effet, la quantité de protéines spike va beaucoup dépendre du métabolisme des personnes injectées : plus les personnes sont jeunes, plus les cellules sont dynamiques et vont en produire : les personnes âgées souffrent moins d’effets secondaires à court terme ; les myocardites et les autres conséquences graves concernent des personnes jeunes. Mais la quantité de spike dépend aussi énormément du fonctionnement cellulaire de chaque individu. La plupart effets secondaires graves sont très probablement liés à un taux considérablement plus élevé de protéine spike (un rapport cent voire davantage entre deux personnes est tout à fait plausible). 
Les défenseurs du vaccin soutiennent que le taux de protéine Spike dans le sang est très faible : naturellement, puisqu’elle se lie rapidement à un récepteur cellulaire ACE2 qu’elle rencontre. Les protéines spike peuvent provoquer des inflammations et des micro-caillots dans tous les vaisseaux sanguins, car les récepteurs ACE2 sont présents dans toutes les cellules de l’endothelium des artères et des veines. Les rares autopsies réalisées post-mortem montre une présence de spike dans tous les organes (dont notamment les ovaires, le coeur, le foie et les poumons). On rencontre naturellementi aussi une invasion pour le coup massive de spike dans les formes les plus graves de Covid, mais pas dans les formes légères, où les virus sont neutralisés en amont dans la sphère ORL..
– La covid n’est pas une maladie mortelle pour des personnes dont l’immunité n’est pas dégradée : sur les 130000 morts en Italie avec la covid, seuls 3500 sont décédés de la covid sans comorbidité majeure connue. Néanmoins, il ne s’agit en rien d’une maladie anodine, car il faut s’efforcer par tous les moyens possibles d’éviter d’avoir des quantités importantes de protéines spike dans le sang ; en cas de maladie covid symptomatique, de nombreux traitements précoces sont possibles.
– La toxicité de spike conduit notamment à un dérèglement du système immunitaire : non seulement le taux de lymphocytes baisse, mais la proportion des lymphocytes tueurs T CD8 baisse davantage que les lymphocytes CD4 :  ce déséquilibre pose problème ; c’est d’ailleurs un des marqueurs du vieillissement cellulaire.
– Une étude de laboratoire suédoise publiée à la mi-octobre révèle que la protéine spike peut pénétrer dans le noyau des cellules et interfère de manière significative avec les fonctions de réparation des dommages subis par l’ADN, compromettant ainsi l’immunité adaptative d’une personne et favorisant peut-être la formation de cellules cancéreuses : « Sur le plan mécaniste, nous avons constaté que la protéine spike se localise dans le noyau et inhibe la réparation des dommages subis par l’ADN », écrivent-ils. « Nos résultats révèlent un mécanisme moléculaire potentiel par lequel la protéine spike pourrait entraver l’immunité adaptative et soulignent les effets secondaires potentiels des vaccins à base de spike entière ». 
Ces effets ne concernent pas la protéine spike seule : ils sont communs à des milliers de substances comme les pesticides, les perturbateurs endocriniens, et de nombreux médicaments. Mais ici, l’injection répétée directement dans le corps d’un telle substance est littéralement un empoisonnement à petit feu.
–  Les injections, dose après dosebooster après booster, vonr éroder peu à peu mais inexorablement le système immunitaire.
a) Effets secondaires à court terme : le nombre et la gravité sont inédits dans l’histoire de la vaccination
– Peu de personnes pourraient citer le nom d’une connaissance mort de la covid sans comorbidité majeure ; mais la plupart des personnes peuvent témoigner pour eux ou pour leurs proches d’effets secondaires (maux de tête intenses, fièvre)  certes légers, mais inhabituels par leur fréquence pour des vaccins ; beaucoup se sont rassurés en se disant que c’est la preuve que ce sont des vaccins puissants et efficaces ; pour l’efficacité, chacun peut désormais en juger.

– Les témoignages doivent être pris avec précaution, puisque le vaccin n’en est pas nécessairement la cause. Mais il y a une grande partie d’entre eux qui concerne des problèmes liés à des problèmes de coagulation. Par ailleurs, il est avéré la protéine spike est toxique et empoisonne le sang. Faire produire en quantité incontrôlée la protéine spike par nos cellules est une folie. 

– Témoignages (avertissement important : les enfants et les personnes sensibles ne doivent pas regarder)

Témoignages twitter ;  Effets secondaires (*) ;  Projet témoignage  (lancé par des israéliens victimes du produit Pfizer).
Ces témoignages ne sont pas inventés ; on n’est pas sur BFM-TV où des mauvais acteurs de la LREM comme Francis Palombi jouent les malades non-vaccinés repentis. Dans le document (*), on voit aussi une infirmière à qui on a demandé de réciter (en direct sur une chaîne TV) un tissu de mensonges (pour effrayer la population et inciter à vacciner les enfants) et qui ne peut terminer sa phrase et s’effondre en murmurant  :  » Je ne peux pas « .
– Il y a officiellement 30 enfants morts et des centaines d’handicapés à vie sur les 7 millions d’enfants injectés aux USA.
Mais comme en France, il y a moult témoignages de victimes non enregistrées dans le VAERS, car il faut qu’un médecin s’implique dans le dossier, et Dieu sait qu’il est bien difficile aujourd’hui pour eux (et même risqué) de s’opposer à la doxa : « Les vaccins ARNm sont sûrs et efficaces ». En France, les ANSM régionaux reçoivent depuis la campagne vaccinale tant de signalements qu’ils n’ont pas les effectifs suffisants pour les traiter. Et quand on voit les deux directrices de l’ANSM (interrogées ici par des sénateurs), on comprend qu’elles minimisent (sans doute par auto-persuasion : les idiots utiles sont partout). Il y a tant de cas de problèmes menstruels signalés par des jeunes femmes que le déni de l’ANSM lui ôte toute crédibilité. De la même façon on pourrait dire qu’il n’y a aucune corrélation entre l’administration des “vaccins” et la protection contre la covid, tout du moins aucune certitude, puisque c’est ce qu’on répond systématiquement aux victimes d’effets secondaires et aux familles de patients.
Castex n’a aucun scrupule. Devant micros et caméras, il accuse sa pauvre fille de onze ans de l’avoir contaminé. Les enfants ne sont pas fortement contaminants pour la bonne et simple raison qu’is ne sont pas malades. Sinon, d’innombrables clusters seraient apparus dans les écoles : il n’y en a jamais eu. Sa fille n’était pas malade. Elle avait été positive à l’un des délirants tests PCR  : dans 9 cas sur 10, les tests positifs correspondent à la présence d’un résidu de virus complètement inoffensifs captés par le nez dans un courant d’air. Si on appliquait la même méthode aux pollens au printemps, 100% des personnes seraient déclarés allergiques.
Castex et Véran, en vaccinant les enfants, vont causer la mort des dizaines d’enfants en pleine santé et des dizaines d’autres resteront handicapés à vie.
Et une multitude d’enfants vaccinés subiront un affaiblissement inexorable et irréparable de leur système immunitaire.
– Affirmer au début qu’AstraZeneca était à l’origine de thromboses cérébrales était un propos « complotiste », maintenant ce vaccin n’est plus recommandé en raison de ces mêmes effets secondaires de même pour le vaccin Janssen. Quant à Moderna, il est interdit ou d’usage limité dans plusieurs pays scandinaves ; il le sera sans doute en France une fois les stocks écoulés (il en reste entre 5 et 10 millions : les volontaires sont priés de tendre le bras). Les vaccins Pfizer et Moderna sont désormais accompagnés de la mention « Effets secondaires graves » au Japon.
– Véran prétend qu’il n’y a aucun mort lié au vaccin ; l’OMS recense officiellement 40000 morts suspectes post-vaccinales dans le monde (les 3/4 en Europe et aux USA) : on peut interpréter comme on veut ce nombre de décès, mais la répartition très inégale géographiquement devrait à elle seule interpeller. Véran parle de « myocardite réversible » : Une myocardite grave laisse des cicatrices cardiaques qui diminueront l’espérance de vie. Selon la doxa officielle (cf par exemple Steve Pascolo), la protéine spike resterait principalement dans le muscle de l’épaule. Néanmoins, après une période de déni, il est désormais reconnu officiellement que des cas de myocardites sont causés par le vaccin : en réalité, la protéine se retrouve partout dans le corps.

b) Effets secondaires à moyen et long terme

– Tout le monde a entendu parler des « rares » cas de myocardites chez les jeunes hommes notamment. Contrairement à ce que Véran prétend, il n’y a pas de myocardite grave « réversible » et leur nombre doit être comparé à ceux des années précédentes. De plus, ces problèmes cardiaques ne concerneront pas que quelques personnes isolées. Une étude de l’AHA qui suit des patients présentant des risques cardiaques a pu comparé les marqueurs de risques cardio-vasculaires avant et après la vaccination par ARNm. Sur la population de l’étude certes à la fois de santé fragile et limitée en nombre , ils ont noté une augmentation de 20% des marqueurs d’un risque d’infarctus de myocarde dans les cinq prochaines années.
– Il y a l’appel de Robert Malone, (pionnier dans la technique de l’ARNm à la fin des années 80) le 12 décembre dernier, 
pour supplier les parents de ne pas vacciner leurs enfants, ainsi que la Déclaration de Rome du collectif de 15000 médecins. 
La réponse des « fast-checkers » : ils évoquent l’Agence Européenne du Médicament : il suffit de savoir comment la VRP de Pfizer Ursula Van der Layen a forcé la main de l’EMA pour l’autorisation de mise sur le marché du Comirnaty et comment l’EMA a facilement cédé, pour n’accorder aucun crédit à cette agence. 
La protéine spike inoffensive ? Les études récentes contredident complètement cette hypothèse ; non seulement, la protéine pourrait pénétrer dans le noyau cellulaire et perturber les fonctions réparatrices de l’ADN mais elle pourrait aussi conduire à une reprogrammation de l’immunité innée. Ce problème concerne aussi les formes graves de covid : le point essentiel est d’éviter au maximum la présence de la protéine spike. Un système immunitaire solide pourra peut-être rétablir son équilibre, mais une succession d’injections conduirait à une destruction inexorable du système immunitaire, sans parler du développement de maladies auto-immunes notamment chez les enfants.
Robert Malone, par son appel, a d’ores et déjà sauvé des dizaines de vies d’enfants aux USA et en Israel, et sans doute des centaines pour les futures années ; aujourd’hui, la moitié de la population israélienne (à confirmer) a refusé la troisième dose (et celles qui vont suivre) et préfèrent se priver du fameux passeport vert plutôt que de risquer leur santé.
– Les anticorps vaccinaux ne protègent de la protéine Spike que sur une durée limitée; en effet, les vaccins induisent un taux très élevé d’anticorps, mais des anticorps très spécialisés. Le système immunitaire est un équilibre subtil qui lui permet de combattre les agents extérieurs (le non-soi) sans détruire les propres cellules de l’organisme (le soi). Les anticorps induits par les vaccins Pfizer-Moderna ont pour fonction de détruire les cellules présentant à leur surface une protéine Spike ; le niveau de ces anticorps n’est pas viable à long terme et le système immunitaire va créer une seconde génération d’anticorps (dits anti-idiotypes) qui vont neutraliser les anticorps initiaux : c’est pourquoi ce taux s’effondre rapidement ; le problème (cf article mentionné) vient du fait que ces anticorps anti-idiotypes vont avoir des propriétés communes avec la protéine Spike (un anticorps doit présenter une configuration géométrique complémentaire de l’antigène ; un anticorps anti-idiotype va donc avoir une configuration géométrique proche de la configuration de l’antigène, comme l’image miroir d’une image miroir) ; il est possible que ces anticorps anti-idiotypes héritent de certaines des propriétés des protéines Spike, et ainsi prolongent leurs effets délétères de nombreux mois après l’injection. Ce qui pourrait en tout cas être une hypothèse pour expliquer certains covids longs d’une part et des effets secondaires post-vaccinaux tardifs d’autre part.

– Pour nous convaincre des prouesses de l’innovation, on nous a présenté à l’automne 2020 des petits schémas simplets diffusés largement pour expliquer le principe de l’ARNm. Mais le système cellulaire est bien plus complexe qu’un simple programme informatique qu’on fait éxecuter à un ordinateur.
Une injection Pfizer apporte dans un muscle de l’épaule plusieurs milliers de milliards de brins ARNm encapsulés dans des nanoparticules lipidiques. Une partie seulement environ va rester dans le muscle de l’épaule et le reste est collecté par le système lymphatique. Seule une infime fraction de ces brins va arriver au ribosome d’une cellule qui va alors produire quelques centaines de protéines spike (pour comparaison, un vaccin à virus inactivé comme Sinopharm contient seulement quelques millions de virus inactivés, chacun de ces virus ayant à sa surface une centaine de protéines spike). Dans le cas du vaccin Pfizer, la fraction de ces brins qui va arriver au ribosome d’une cellule va beaucoup varier d’une personne à une autre, et donc il en de même de la quantité de protéines spike produite : c’est un vrai problème de cette technologie (dans le cas des vaccins à virus inactivés, la quantité est fixe). Reste à espérer (c’est ce qu’assure Pfizer …) que dans la plupart des cas, la quantité de protéines spike produite reste relativement faible.

3) Risque d’ADE

– Les protéines spike des précédentes injections restent en partie présentes dans le corps, diminuant d’autant l’efficacité du système immunitaire.
Si vous ajoutez une nouvelle injection, les quantités de spike vont se cumuler.
– Les anticorps que produira le corps suite à l’injection correspondront à nouveau évidemment à la spike du vaccin, qui correspond à la spike de la souche initiale du virus (Wuhan), mais pas à celle des nouveaux virus :  les coronavirus auront toujours une longueur d’avance.
Un vaccin contre un coronavirus ne peut être efficace que quelques mois, et vacciner avec un vaccin démodé est à la fois inutile et dangereux.
– En effet, le variant delta était apparu en octobre 2020 en Inde avant les campagnes massives de vaccination ; mais le variant omicron est le premier varian échappant à la pression vaccinale, et il en sera de même de même de tous ceux qui vont suivre. Dans ce cas, la vaccination n’a au mieux aucun effet, puisque les anticorps de la spike de l’injection ne peuvent plus neutraliser le nouveau virus. Ils ne sont plus neutralisants.
Mais il y a un léger risque d’ADE, c’est-à-dire que les anticorps produits lors des précédentes injections facilitent l’infection par le nouveau variant.
Autrement dit, les anticorps de spike vaccinale non seulement ne sont plus neutralisants, mais ils peuvent s’avérer facilitants.
Les anticorps induits par le vaccin vont quand même pouvoir s’arrimer à une partie de la spike du nouveau virus ; mais ils ne recouvriront pas suffisamment la spike du virus et celui-ci disposera encore d’une clé libre permettant d’infecter les cellules.Sauf virus particulièrement virulents, les anticorps naturels qui sont très variés peuvent effectivement facilement bloquer les différentes clés du nouveau virus ;mais ici, la présence des anticorps vaccinaux arrimés aux spike du virus peut les empêcher de s’approcher du virus. Alors une infection qui aurait été bénigne peut être aggravée, comme si on avait perdu une partie de ses défenses immunitaires. Et si un nouveau virus émerge qui est nettement plus virulent qu’omicron, ce peut être un vrai problème. Le risque d’ADE ne semble pas un risque majeur pour les coronavirus. Mais il convient sans doute d’être très prudent.
En termes de vaccin, il faudrait soit utiliser une vaccination à virus entiers inactivés (les anticorps créés sont beaucoup plus variés, notamment, certains ciblent la protéine N du virus, qui mute beaucoup moins vite que la spike S), soit un vaccin ARNm, mais à deux conditions essentielles : d’une part, il doit correspondre au code ARN de la spike des nouveaux virus ; d’autre part, il doit faire produire une spike modifiée de sorte qu’elle ne soit plus capable de se fixer sur le récepteur ACE2 des cellules cibles, comme l’explique Jean-Marc Sabatier (cf paragraphe 1) afin d’éviter les effets délétères de la spike. En fait, le principe même des vaccins ARNm pose problème, de par la quantité incontrôlée de protéines fabriquées.
Comme le risque d’un ADE délétère ne peut pas être négligé (tout en étant semble-t-il limité), il est absurde de continuer la vaccination de masse pour la troisiéme dose (et les suivantes) tant que le vaccin proposé est celui construit sur la souche initiale du virus. 

4) Vaccin

La folie vaccinale en cours n’est finalement que le stade ultime de l’empoisonnement du monde qu’on subit depuis les années soixante.
Quel vaccin choisir demain ?
Eviter absolument toute nouvelle injection de Pfizer ou Moderna qui ne sont plus efficaces en terme d’immunité mais surtout empoisonnent le sang (micro-caillots) et de nombreux organes vitaux (à des niveaux très différents selon les individus).
De plus, après la vaccination, le niveau d’anticorps N concernant la protéine de l’enveloppe du virus est trop faible par rapport à celui de des anticorps S associée à la spike : cf UK Health Security Agency page 23, ce qui peut engendrer de graves problèmes dans la réponse immunitaire car la protéine S est beaucoup plus susceptible de muter que la protéine N.
De façon générale, il vaut mieux avoir une protection équilibrée N et S ; c’est pourquoi le vaccin Valneva convient tout à fait (mise sur le marché prévue en avril 2022), qui est basé sur le principe classique des vaccins à virus inactivés qui ne présente aucun risque (sauf le petit risque lié à l’adjuvant). Dans le cas d’une vaccination par le vaccin Valneva comme dans celui d’une infection naturelle, les taux d’anticorps N et S sont équilibrés, et comme la protéine N mute beaucoup moins que la S, la durée d’efficacité du vaccin sera nettement augmentée.
5) Mise en garde sur les grands risques en cours
Je sais bien que beaucoup ne seront pas encore convaincus, peut-être par principe. Je veux bien débattre avec ceux qui voudraient sur le seul sujet dont il question ici : le vaccin Comirnaty de Pfizer est-t-il dangereux ? L’Agence Européenne du Médicament a été forcée par Mme Van der Layen à abréger l’étude du dossier. Est-ce raisonnable pour un médicament de façon générale, et a fortiori pour un vaccin qui sera administré à des milliards d’hommes, de femmes et d’enfants en bonne santé ?

Il s’agit alors de répondre aux questions suivantes :
1) La protéine spike est-elle intrinsèquement toxique ? je parle de la protéine en géométrie ouverte codée par l’ARNm ; c’est d’ailleurs cette configuration ouverte qui lui permet de se fixer sur un récepteur ACE2 (dans le cas de la spike virale, la configuration n’est ouverte que lorsque la protéine se trouve à la surface d’un virus). Des études récentes sur le sujet vont toutes dans le sens d’une grande cytotoxicité. Peu à peu, la protéine altère le système immunitaire : qui demain, pour une douleur au foie, pour une pneumonie, pour un AVC, pour une crise cardiaque fera le lien avec l’empoisonnement qu’il aura conscienceusement reçu à coup de doses successives de ce « vaccin » qui auront fini par détruire son système immunitaire ?
2) La quantité de spike produite est-elle contrôlée ? Potentiellement, avec les mille milliards de brins d’ARNm injectés, on pourrait créer plus de protéines spike que de cellules … ; en fait, seule une partie infime de ces brins d’ARNm rejoindront le ribosome d’une cellule ; cette quantité va dépendre du fonctionnement cellulaire de chaque individu, et il convient de bien comprendre que ce n’est pas absolument pas ce qui se passe lorsqu’un virus se reproduit dans une cellule : fruit de millions d’années d’évolution, les ARNm sont produits en nombre limité et sont guidés par des enzymes spécialisées vers le ribosome ; dans le cas du vaccin Pfizer, il y a un véritable bombardement général de brins d’ARNm qui se déploient partout :  il est évident que le nombre de brins arrivant à destination peut varier considérablement d’un individu à l’autre ; et quid des autres ? Ugur Sahin (de BioNtech) raconte qu’il a conçu le principe du vaccin en un week-end : il convient de réfléchir un peu plus quand on s’apprête à diffuser son produit en milliards de doses.
3)  Les conditions de fabrication industrielle posent aussi question : l’UE impose qu’il y ait au moins 50% de brins conformes. Même si ce taux est vérifié, qui accepterait d’acheter un panier de pommes dont la moitié sont anormales ?
4) Un argument recevable serait de dire : entre la protéine du vaccin et celle du virus, je préfère celle du vaccin, puisque le virus peut se reproduire à l’infini ; c’est vrai, mais il y a une différence : la protéine spike du vaccin est directement versée dans le sang ; le virus lui commence à infecter les muqueuses de la sphère ORL : cette sphère ORL constitue une barrière dont il faut absolument profiter (car on évite ainsi le passage de la protéine spike dans la circulation sanguine) en renforçant son système immunitaire de différentes façons. Les vaccinés par Pfizer sont amenés à développer uniquement des anticorps S (spike)  en nombre très élevé, mais cela est en réalité problématique, car cela se fait au détriment des anticorps N qui sont essentiels lorsque la protéine S mutera (et elle mute beaucoup plus facilement que la protéine N) ; et au détriment aussi des anticorps présents dans les muqueuses qui constituent une première barrière essentielle pour maîtriser l’infection. Je ne sais pas si vous avez bien entendu ce que dit le virologue belge Geert Vanden Bossche : omicron est « la dernière chance des vaccinés » ; encore faudrait-il immédiatement 
– stopper les campagnes de vaccination
– supprimer les gestes barrières pour que les personnes vaccinées saisissent cette chance de pouvoir consolider leur immunité naturelle par cette infection bénigne par l’omicron
 (mais même avec omicron, on voit des infections assez sérieuses  témoignant de systèmes immunitaires affaiblis) : les anticorps associés à la vaccination n’ont plus d’effet sur les nouveaux variants comme omicron ; c’est pouquoi il est contre-productif de vacciner aujourd’hui avec la souche initiale car les anticorps produits ne servent à rien contre ces variants ; bien au contraire, ils induisent un affaiblissement des autres anticorps qui seront utiles demain pour affronter un nouveau virus agressif : vacciner et ne pas favoriser l’infection par omicron qui induirait une réponse de l’immunité naturelle est totalement absurde.
– faire étudier aux biologistes des centres antipoison et de toxicovigilance et de l’ANSM cette protéine spike afin qu’ils en vérifient la nocivité et qui, si la cytoxicité se confirmait, proposent à toutes les personnes vaccinées et notamment aux plus jeunes des cures de désintoxication.
Au lieu de profiter de la toxicité moindre de la spike d’omicron (lors des infections naturelles), les millions de doses de vaccin injectées jour après jour empoisonnent le sang par la protéine spike correspondant à la souche originelle de Wuhan.

Mais nous avons au pouvoir des fous criminels, qui nous annoncent que désormais on ne pourra pas manger de chips au cinéma …
 Je ne sais pas si vous saisissez bien la gravité de la situation politique et sanitaire.
Le problème, c’est que nous ne sommes plus dans la science, nous sommes dans le fanatisme et l’idéologie
l’idéologie et la corruption, permettant de présenter comme « innovant, sûr et efficace » un produit bâclé fruit d’une technologie jamais testée à grande échelle et ainsi d’inoculer à des centaines de millions de personnes des doses répétées d’une substance toxique dont les effets sont en grande partie inconnus. Il faut donc rapidement évaluer les quantités de spike restant dans le corps des personnes vaccinées et le degré de toxicité de cette protéine.

8 réflexions au sujet de « A propos de l’échec de la campagne de vaccination »

  1. Ping : A propos de l’échec de la campagne de vaccination – Qui m'aime me suive…

  2. Ce praticien fait une excellente analyse de la situation.
    A propos de Jean-Marc Sabatier son intervention dans le cadre d’une réunion du CSI est particulièrement intéressante pour expliquer comment la prot.S s’attaque au système rénine angiotensine et les conséquences importantes qui en découlent. Il rappelle aussi l’importance de la vitamine D, qui n’est pas un simple complément pour lutter contre le sars mais un élément essentiel activant plusieurs gènes dans l’immunité :
    https://crowdbunker.com/v/Fqsf4fvjNY

  3. Je vaccine, tu vaccines, il vaccine….une maladie non vaccinable. Bravo les mecs, quel talent !
    Einstein disait que « la folie, c’est de refaire sans cesse la même chose en s’attendant à un résultat différent ». Nos dirigeants sont à minima aussi stupides que des grenouilles de laboratoire décérébrées et démédulées…pour ne pas dire fous. Nous voilà bien. En plus, nos fous de service viennent de nous sortir une contrainte absolument ubuesque quand le vulgus pecus va boire son café crème ou son demi pression au comptoir : interdiction d’être debout, autorisation d’être assis, ce qui veut dire que le virus se transmettrait à une hauteur de 1m70 mais pas à une hauteur de 1 m. Géniale comme trouvaille ! Pendant ce temps là, on peut aller copuler copieusement dans des clubs échangistes parisiens toujours ouverts pour les vicieux à la zigounette molle mais fortunés.
    Le Covid serait-il un révélateur de la lutte des classes ? 🙂

  4. A vrai dire, si! On sait comment ça va se terminer car des études existent comme celles citées par S. Tenpenny dans nombre de ses interviews et que l’on peut trouver sur son site, il me semble… elle a quand même pu trouver plus de 40 conséquences néfastes évoquées dans des documents scientifiques…

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