The Lancet, prestigieux journal scientifique et médical britannique, reste maintenant dans les mémoires pour avoir publié un article créé de toute pièce par des inconnus soudoyés par le lobby de la pharmacie pour détruire la réputation du Professeur Raoult et sa mise au point optimisée du traitement précoce des malades atteints par le coronavirus avec l’hydroxychloroquine associée à l’azithromycine. Le but de cette manœuvre consistait à décrédibiliser les traitements précoces pour ouvrir la porte aux thérapies géniques à ARN messager. L’image de probité et d’honnêteté du Lancet a été écornée durablement et dans le même temps les gouvernements ont alors mis en place des campagnes de « vaccination » sans précédent, en pleine épidémie avec des produits expérimentaux au mépris de la santé des populations sans jamais reconnaître qu’il existait des traitements préventifs.
Serait-ce pour faire bonne figure après ce scandale dit du « Lancet-gate » que ce périodique ose publier dans sa rubrique « Correspondence » une note du Docteur Günter Kampf de l’Université de médecine de Greifswald en Allemagne ? Voici une traduction de cette lettre du Docteur Kampf. Source :https://www.thelancet.com/action/showPdf?pii=S0140-6736%2821%2902243-1

COVID-19 : Stigmatiser les non-vaccinés n’est pas justifié
Aux États-Unis et en Allemagne, des responsables de haut niveau ont utilisé le terme de pandémie des non vaccinés, suggérant que les personnes qui ont été vaccinées ne sont pas prises en compte dans l’épidémiologie du COVID-19. L’utilisation de cette expression par les autorités aurait pu encourager un scientifique à affirmer que « les non vaccinés menacent les vaccinés contre le COVID-19 »(1). Mais ce point de vue est beaucoup trop simple.
Il existe de plus en plus de preuves que les individus vaccinés continuent à jouer un rôle important dans la transmission du virus.
Dans le Massachusetts, aux États-Unis, un total de 469 nouveaux cas de COVID-19 ont été détectés lors de divers événements en juillet 2021, et 346 (74%) de ces cas concernaient des personnes totalement ou partiellement vaccinées, 274 (79%) des qui étaient symptomatiques. Les valeurs du seuil du cycle étaient également faibles entre les personnes complètement vaccinées (médiane 22,8) et les personnes non vaccinées et pas complètement vaccinées, ou dont le statut vaccinal était inconnu (médiane 21,5), indiquant une charge virale élevée même parmi les personnes complètement vaccinées (2). Aux États-Unis, un total de 10262 cas de COVID-19 ont été signalés chez des personnes vaccinées au 30 avril 2021, dont 2725 (26,6 %) étaient asymptomatiques, 995 (9,7 %) ont été hospitalisés et 160 (1,6 %) sont décédés (3). En Allemagne, 55,4 % des cas symptomatiques de COVID-19 chez les patients âgés de 60 ans ou plus concernaient des individus entièrement vaccinés (4) et cette proportion augmente chaque semaine. À Münster, en Allemagne, de nouveaux cas de COVID-19 se sont produits en au moins 85 (22 %) des 380 personnes qui ont été complètement vaccinées ou qui se sont remises du COVID-19 et qui ont fréquenté une boîte de nuit (5). Les personnes vaccinées ont un risque plus faible de maladie grave mais font toujours partie de la pandémie. Il est donc faux et dangereux de parler de pandémie des non vaccinés. Historiquement, les États-Unis et l’Allemagne ont engendré des expériences négatives en stigmatisant certaines parties de la population pour leur couleur de peau ou leur religion. J’appelle les responsables et les scientifiques de haut niveau à mettre un terme à la stigmatisation inappropriée des personnes non vaccinées, parmi lesquelles nos patients, collègues et autres concitoyens, et à déployer des efforts supplémentaires pour rapprocher la société.
Je ne déclare aucun conflit d’intérêt.
Günter Kampf
guenter.kampf@uni-greifswald.de
University Medicine Greifswald, Institute for Hygiene and Environmental Medicine, 17475 Greifswald, Germany
1.Goldman E. How the unvaccinated threaten the vaccinated for COVID-19: a Darwinian perspective. Proc Natl Acad Sci USA 2021; 118: e2114279118.
2.Brown CM, Vostok J, Johnson H, et al. Outbreak of SARS-CoV-2 infections, including COVID-19 vaccine breakthrough infections, associated with large public gatherings—Barnstable County, Massachusetts, July 2021. MMWR Morb Mortal Wkly Rep 2021; 70: 1059–62.
3.US Centers for Disease Control and Prevention COVID-19 Vaccine Breakthrough Case Investigations Team. COVID-19 vaccine breakthrough infections reported to CDC— United States, January 1–April 30, 2021. MMWR Morb Mortal Wkly Rep 2021; 70: 792–93.
4.Robert Koch Institut. Wöchentlicher Lagebericht des RKI zur Coronavirus- Krankheit-2019 (COVID-19)—14·10·2021— aktualisierter Stand für Deutschland. Oct 14, 2021. https://www.rki.de/DE/Content/InfAZ/N/Neuartiges_Coronavirus/ Situationsberichte/Wochenbericht/ Wochenbericht_2021-10-14.pdf?__ blob=publicationFile (accessed Oct 18, 2021).
5.Von Dolle F. Münster: Inzwischen 85 Infizierte nach 2G-Party im Club. Sept 20, 2021. https://www1.wdr.de/ nachrichten/westfalen-lippe/corona- infektionen-clubbesuch-muenster-100.html (accessed Sept 23, 2021).
En effet, le puzzle du Covid commence à prendre forme, et on peut récapituler ce qui a été dit sur ce blog avec les éléments suivants (désolé, c’est très long) :
1 – Le SARS-Cov2 est un virus de synthèse initialement breveté en avril 2002, et est issu de manipulations génétiques réalisées aux USA. Des brevets de 2008 indiquent le mode d’action du virus sur les récepteurs ACE2 des poumons chez l’Homme. Des centaines de brevets relatifs aux « SARS-Cov » ont été déposés entre 1999 et 2019 par les principaux labos pharmaceutiques (Pfizer, Merck, Moderna, Sanofi, …), le CDC américain, le NIH, le NIAID, etc… incluant l’identification par PCR et les traitements vaccinaux contre le SARS-Cov2, prétendument dérivé des chauve-souris asiatiques. Le leader des recherches sur les « gains de fonctions des coronavirus » est le Dr Ralph Baric (University of North Carolina, Chapel Hill). Il a travaillé en collaboration avec Fort Detrick (USAMRIID = United States Army Medical Research Institute of Infectious Diseases = l’organisme en charge de produire des germes pathogènes militarisés).
2 – La protection effective des vaccins à ARN/ADN est courte : elle a été évaluée à 3 mois dans le Massachusetts. La charge virale des personnels soignants vaccinés a été mesurée à 251 fois plus forte que celles des non-vaccinées dans un hôpital de Ho-Chi-Minh (vaccin AZ). Les personnes déjà infectées non vaccinées sont mieux protégées. On constate que les vaccins sélectionnent de nouveaux mutants viraux. Le taux de vaccination en France, Espagne, Portugal, UK à ~ 80 %. Le taux d’incidence n’est pas corrélé à la vaccination contre le Covid en France (r2 = 0,09%).
3 – La protéine Spike du SARS-COv2 est pathogène et cause des thromboses et des thrombocytopénies graves ; les vaccins à ARNm de protéine Spike sont donc pathogènes (toxines). L’ARNm peut être rétro-transcrit en ADN chez l’être humain ; ainsi les vaccins à ARNm sont des « thérapies géniques » mutagènes qui peuvent engendrer des « Covid très longs ». La protéine Spike agirait également en interfèrant avec les gènes de l’immunité adaptative et le système de réparation de l’ADN. La mortalité augmente depuis l’arrivée des vaccins anti-Covid, notamment chez les personnes âgées dans les pays industrialisés. Au 13 novembre 2021, on a 30,000 morts et 2,8 millions d’effets secondaires graves enregistrés à l’EMA (UE). On estime que les médecins ne remontent que 10 à 20 % des effets secondaires et des décès.
4 – Les tests commerciaux ne sont pas fiables et les tests RT-PCR réalisés avec un CT > 35 donnent de faux positifs dans 97 % des cas. Les tests ne savent pas détecter la grippe des variants du Covid selon le CDC. Le test PCR de Drosten à CT = 45 avec des amorces douteuses est utilisé partout dans le monde.
5 – L’UE va autoriser des médicaments anti-Covid : il s’agirait d’anticorps monoclonaux et/ou d’inhibiteurs de protéases virales, beaucoup plus chers que les vaccins à ARN. Les médicaments anciens, efficaces et très bon marché (Plaquenil, Ivermectine) n’intéressent pas l’EMA (agence du médicament UE). Le budget de l’EMA (l’agence européenne du médicament) était de 358 millions d’euros en 2020 dont 85 % sont payés par l’industrie pharmaceutique (essentiellement les multinationales américaines du secteur). En Australie, plus d’une demi-douzaine de membres du personnel du Premier ministre de Nouvelle-Galles du Sud, Gladys Berejiklian, ont démissionné. Mme Berejiklian et ses collègues auraient reçu des dizaines de millions de dollars de la part de Pfizer et d’AstraZeneca. 10,000 Autraliens ont demandé des dédommagements suite à la vaccination à leur gouvernement en novembre 2021. Le contrat Pfizer a des clauses « surprenantes » : en UE, le contrat de Pfizer de 67 pages ne peut être consulté que par les députés pendant seulement 45 minutes et il est copieusement caviardé. Toute photo ou prise de notes est interdite mais le document a réussi à être mis en ligne. Aucune obligation de résultats pour Pfizer et en cas d’effets indésirables graves, seule la Commission est responsable et les États-membres seront alors chargés d’indemniser les victimes. Il s’agit donc un contrat léonin de type « confidentiel défense » qui contient des clauses abusives.
6 – Des méta-analyses indiquent que les deux produits les plus étudiés dans le monde, les plus efficaces en termes de rapport coûts/bénéfices et les plus homologués par les Etats sont l’hydroxychloroquine (inflammatoire et immunomodulateur dérivé de la quinine, largement utilisé contre le paludisme) et l’ivermectine (antiparasitaire découvert dans les années 70 extrait de la levure de boulanger et largement utilisé en médecine vétérinaire) en traitement précoce. En traitement tardif, ils ont une efficacité décevante. Ils ont l’avantage de pouvoir se prendre en comprimés (pas d’intraveineuse). Les sels de zinc ont une efficacité reconnue en précoce. La vitamine D est efficace à tous les stades de la maladie. L’État français a interdit la prescription de l’hydroxychloroquine et de l’ivermectine. Pour contourner cette difficulté, les généralistes traitent les symptômes en prescrivant des macrolides (antibotiques à effet immunomodulateur) en cas d’infection bactérienne surajoutée des poumons et des corticostéroïdes (anti-inflammatoires) en association éventuelle avec du zinc et de la vitamine D.
Le Haut Conseil de la Santé Publique a publié ses recommandations sur ce sujet en juin 2020. La prise en charge en soins intensifs/réanimation repose en général sur une oxygénothérapie (simple ou extracorporelle), l’administration de cortocoïdes (dexaméthasone) et d’une antibiothérapie adaptée le cas échéant.
7 -En France, les hôpitaux ont déprogrammés beaucoup d’actes en 2020, et les services Covid des cliniques sont restés vides (politique de confinement à domicile sans soins). Malgré cela, la part des hospitalisations Covid n’a représenté que 2 % dans le bilan des entrées à l’hôpital. L’état des patients entrant à l’hôpital étant dégradé, et les traitements pas encore mis-au-point, les décès furent cependant relativement importants (entre 12 et 16 % du nombre d’entrées), mais pas aussi élevés que les médias l’ont rapporté. La politique de santé est donc de créer le maximum de cas ambulatoires, et augmenter les hospitalisations à domicile afin de réduire le nombre de lits à l’hôpital même en cas d’épidémie. Si les soins avaient été apportés plus tôt, et l’hôpital correctement dimensionné, beaucoup de vie auraient donc été épargnées. Mais ce n’est apparemment pas l’objectif du ministère de la santé hexagonal.
Erratum : 12 à 16 % dans les services MCO (médecine générale, chirurgie, obstétrique), et SSR (soins de suite, réanimation).
Certes, il est abusif de parler de « pandémie des non vaccinés », les labos ayant toujours dit que leurs vaccins n’étaient pas efficaces à 100%. Mais quelle est au Massachusetts la part de nouveaux cas dans la population des vaccinés, et la part de nouveaux cas dans celle des non vaccinés ?
Couverture vaccinale au moment de l’étude : 69 % de la population.
Etude complète ici : https://www.francesoir.fr/societe-sante/massachusetts-cdc-vaccines-variant-delta
On peut supposer qu’il est normal qu’une majorité de malades soient des gens déjà vaccinés, mais si le taux de vaccination est de 70 % par exemple et que l’efficacité du vaccin est de 90 % comme le prétend Pfizer, alors on doit avoir 0.9x.8 = 72 % de gens réellement immunisés, et donc à l’hôpital on doit se retrouver avec au maximum 28 %, donc moins d’un tiers, des gens vaccinés. Or on observe le contraire, même en France, contrairement à ce que prétendent les médias et le ministre de la santé. Cela remet donc en question surtout le concept un peu bidon d’immunité « collective » d’au moins 50 % qui est supposée protéger la population et cela indique également que le Comirnaty ne fonctionne pas ou ne fonctionne plus dès qu’il y a un nouveau variant (ici le Delta)…ce qui ouvre la porte à la vaccination éternelle, le Saint Graal de l’industrie pharmaceutique. 🙂
Erratum : Lire 80 % au lieu de 70 % dans l’exemple ci-dessus.
A l’inverse, si on a 80 % de gens vaccinés et 80 % de malades vaccinés à l’hôpital, alors on peut en déduire l’efficacité X du vaccin : X = proportion de non malades / taux de couverture vaccinale = (1 – 0.8)/0.8 = 0.2/0.8 = 1/4 = 25 %…c’est ô surprise l’efficacité recalculée du vaccin de Pfizer à partir des données de leur premier article dans le New England Journal of Medecine par des épidémiologistes français, article dans lequel les auteurs prétendaient une efficacité supérieure à 90 % du Comirnaty (alias le BNT 162b2).
Une avocate aux Antilles nous a appris que tout malade était étiqueté « non vacciné », même un vacciné !
Tout est bon pour promouvoir le vaccin de Pfizer, même s’il ne fonctionne qu’à 25 % et que ses effets secondaires graves déciment les plus âgés…ce qui arrange le gouvernement qui a trouvé un bon moyen pour résoudre ni vu ni connu le problème du paiement des retraites des caisses déficitaires. La combine est tellement bien rodée que même les Suisses ont voté pour la mise en place du passe sanitaire aujourd’hui : Les moutons courent tous seuls à l’abattoir.
Du grand art ! 🙂
Ping : Le « Lancet » se refait une réputation … – Qui m'aime me suive…
Dernière news : « Les cas contact des personnes testées positives au variant Omicron du coronavirus devront être isolés même s’ils sont vaccinés, avait fait savoir le ministère de la Santé samedi dans un communiqué » . Ce qui veut dire que même triplement vacciné avec un passe sanitaire, le pékin moyen sera obligé de rester en quarantaine avec les cas contacts
détectés avec le logiciel TACVerif sur son smartphone. C’est une façon de dire que le vaccin ne marche pas. Pendant ce temps là, Pfizer et ModeRNA ont annoncé préparer un vaccin pour le variant Omicron d’ici 3 mois. On va droit vers une vaccination obligatoire avec des produits foireux tous les trimestres. C’est juste dingue. 😂
(source : https://www.francetvinfo.fr/sante/maladie/coronavirus/variants-du-coronavirus/direct-variant-omicron-israel-ferme-ses-frontieres-aux-ressortissants-etrangers-deux-cas-detectes-en-australie_4862051.html)
Espérons qu’il y ait un seuil psychologique qui, si elle admet un rappel annuel, rentre dans le rouge s’il y a une incorporation de sérum tous les 6 mois !
Le business plan (cf. Sylvestre) pourrait-il tuer la poule aux oeufs d’or ?
Mais le projet de Nouvel Ordre Mondial dépasse l’outil sanitaire dans la méthode en ingénierie sociale. La déculturisation, ou effacement du passé (wokisme), présente un autre pan d’une convergence pour une société où une élite contrôle une masse inculte pour mieux s’en servir … tout ceci en l’informatisant (ça flatte le magique chez l’homme primaire et le « smart » chez le bobo) et en la robotisant (ça opère une concurrence sévère sur la main d’oeuvre déjà au rabais par l’immigration !). Bref, tous ensemble vers le transhumanisme 😦
L’impression que j’ai quand j’en discute avec des gens de la rue, notamment les personnes âgées qui sont les plus fragiles, est qu’ils commencent à en avoir assez de jouer les cobayes…et le fait de toucher aux enfants passe très mal dans la population parentale.
Si la population est largement insatisfaite, la piqûre de Manu et sa vieille donne l’exemple en « la majeur » (ou mineur selon appréciation de chacun) pour rappeler que la périodicité ira de pair au moins avec la grippe. Les français devront se battre et pas tout seul quand on voit le super green pass de Draghi (même contraintes, même jour même heure !)
Cité par PGibertie:
« Jacques FANTINI• Professor of Biochemistry at Aix-Marseille Université3 h • Mon analyse moléculaire du nouveau variant Omicron
· Ce nouveau variant apparu en Afrique australe défraye la chronique, du fait du très grand nombre de mutations dans sa protéine Spike : 30 mutations, 3 délétions et 1 insertion (en rouge dans la structure modélisée complète visible ici).
· Afin d’en savoir plus sur sa contagiosité j’ai appliqué à ce variant l’analyse du T-index (index de transmissibilité) qui m’avait permis, dès l’apparition du variant Delta en avril dernier, d’anticiper son expansion au niveau mondial ( voir ici : https://lnkd.in/dnSDgQv ).
· Cet index prend en compte l’interaction du domaine NTD avec les rafts de la cellule hôte, l’interaction du domaine RBD avec le récepteur ACE-2, et le potentiel électrostatique de surface qui révèle la vitesse d’attraction du virus à la cellule cible.
· La prédominance du variant Delta s’explique, au niveau du virus, par sa valeur très élevée de son T-index : 10,67. Par comparaison, le T-index de la souche initiale (Wuhan) a un T-index de 2,16. On peut donc extrapoler que le variant Delta est environ 5 fois plus transmissible que la souche de départ.
· Le calcul effectué pour le variant Omicron donne un T-index = 3,90. Il est donc a priori moins transmissible que Delta, qui reste à ce jour le variant possédant le T-index le plus élevé.
· Une analyse détaillée de la protéine Spike du variant Omicron suggère que cette avalanche de mutations n’obéit à aucune logique de sélection, mais plutôt à une absence de contrôle immunologique (patient immunodéprimé ?) et/ou à des traitements antiviraux pouvant favoriser l’apparition de mutations.
· L’affinité du RBD d’Omicron pour ACE-2 est diminuée par rapport à tous les autres variants analysés à ce jour, sans doute la conséquence de cette accumulation de mutations dans le RBD (>10 !)
· Le succès de Delta tient à l’évolution concomitante du NTD et du RBD avec seulement 2 mutations dans chaque domaine. Pour Omicron, les mutations vont dans tous les sens, sans logique particulière, certaines s’annihilent mutuellement.
· Les profils mutationnels du NTD et du RBD suggèrent que les anticorps neutralisants auront une activité très faible sur ce variant.
· En revanche, l’épitope facilitant du NTD (épitope ADE) est également détruit par les réarrangements de la protéine Spike d’Omicron, ce qui souligne encore l’absence de logique dans ce profil mutationnel exacerbé.
· Conclusion : cette analyse du variant Omicron laisse penser que ce variant ne supplantera pas le Delta.
· N’oublions pas l’importance des interactions virus-hôte. Le polymorphisme du récepteur ACE-2 pourrait par exemple permettre des percées régionales du variant Omicron (ce fut le cas avec le variant B.1.351, qui s’est répandu en Afrique australe, mais pas en Europe). »
https://pgibertie.com/2021/11/28/pas-de-panique-on-connait-mieux-omicron/
Articles très intéressants ! Merci pour ce partage 🙂
La montagne Omicron va accoucher d’une souris, et/ou est simplement le signal de la faiblesse du virus qui annonce la fin de cette épisode épidémique (transmissibilité moyenne à faible, pathogénicité faible à nulle).
Que les laboratoires se rassurent, lorsque ce covid et ses variants auront disparus, d’autres apparaîtront. L’abonnement semestriel vaccinal sera rendu obligatoire, pour tous.
A la limite, si les variants actuels sont très contagieux, ils sont très peu mortels.
De plus, tant qu’ils sont « en circulation », ils nous protègent des nouveaux virus qui, eux, seront peut-être plus dangereux !
Profitons donc de nos « sauveurs » Delta et Omicron, même si à cause d’eux, on nous restreint nos libertés !
Covidement vôtre. JEAN
Exactement…il est temps de redécouvrir la puissance de l’immunité naturelle 🙂