Au cours des 30 dernières années, aux Etats-Unis, il y eut une moyenne de 74 fausses couches chaque année chez des femmes enceintes ayant subi une vaccination, quelle qu’elle soit. Ces fausses-couches étaient considérées comme liées directement à l’administration de vaccin. Aujourd’hui les temps ont changé : le nombre de fausses-couches a atteint un record de 2838, calculs sur une base annuelle, depuis la mise en place du « vaccin » pour les femmes enceintes. Les données de la base VAERS indiquent que sur 2620 avortements spontanés, 2015 avaient suivi une injection Pfizer et 689 une injection Moderna. Selon diverses études la base de données VAERS (Vaccine Adverse Events Reporting System) sous-évalue d’un facteur 41 le nombre d’incidences adverses à la suite de l’administration d’ARN messager. Considérer qu’il y ait eu 2838 x 41 = 116358 morts de fœtus in utero serait donc plus proche de la réalité …
Le plus préoccupant dans cette histoire est le fait que le pouvoir politique ne veut pas entendre parler de ces statistiques, considérant qu’il n’y a pas de relation de cause à effet directe alors que la probabilité d’une relation est très élevée. À nouveau les décideurs politiques éludent le problème, obsédés qu’ils sont par la mise en place d’une stratégie non plus d’éradication du coronavirus mais de mise sous tutelle répressive de la population en obligeant cell-ci à subir cette injection de thérapie génique. En Ecosse, la situation est encore plus alarmante puisque le nombre d’enfants nouveaux-nés subitement morts après la naissance a augmenté de manière significative atteignant des records jamais enregistrés depuis le début des années 1980. Encore une fois les données statistiques ne permettent pas d’établir une quelconque relation de cause à effet entre le fait que la mère ait été « vaccinée » et que son enfant soit mort peu après la naissance. Quelles que soient les résultats des enquêtes diligentées par des associations non gouvernementales, ces derniers ne seront pas pris en considération par le pouvoir politique.
Comme s’il ne suffisait pas de tuer des enfants in utero ou après leur naissance les autorités canadiennes et israéliennes ont décidé de soumettre les enfants âgés de 5 à 11 ans à cette thérapie génique criminelle. Devant l’accumulation de ces statistiques morbides comment une jeune mère de famille pourra-t-elle dormir correctement après que son enfant ait reçu une injection de cet ARN mortel ? Le Premier Ministre français, détecté positif pour le coronavirus, a reconnu avoir été contaminé par sa fille de 11 ans, une manœuvre ignominieuse pour préparer le peuple français à la « vaccination » obligatoire des enfants, alors que tous ces « officiels » ne respectent pas les mesures dont ils ont décidé la mise en place (plus ou moins légale) dans le but de maîtriser l’épidémie mais surtout pour amoindrir les libertés des simples citoyens.
Je ne voudrais pas minimiser la qualité des biologistes israéliens ici, mais je suis personnellement étonné, devant les données statistiques incontestables provenant des Etats-Unis, que les autorités israéliennes persistent à imposer des piqûres de rappel pour ces « vaccins » alors que les scientifiques savent que le pays, dans cette situation, risque sa survie si le taux de natalité chute vertigineusement en raison de cette thérapie génique. J’ai cru comprendre qu’Israël était guidé par un messianisme universel, alors sacrifier une génération entière semble contraire à cette mission. Je me pose simplement la question et j’avoue qu’on vit dans un monde étrange …
https://medalerts.org/vaersdb/findfield.php?TABLE
Je suis impressionné par le chiffre des fausses couches depuis la mise en place des vaccins anti-covid, relativement à celui des 30 dernières années dans le système VAERS.
Il y a clairement un gros souci avec ces vaccins « high tech ».
Les mots ont un sens.
https://www.larousse.fr/dictionnaires/francais/th%c3%a9rapie/77751
https://www.larousse.fr/dictionnaires/francais/th%C3%A9rapeutique/77748
https://www.larousse.fr/dictionnaires/francais/vaccin/80859
Camus: « Mal nommer les choses… ».
Le Professeur Perronne, spécialiste européen des vaccins et par conséquence épidémiologiste, utilise ce terme. Le soit-disant vaccin à ARN messager n’est pas un vaccin au sens pasteurien du terme, il s’agit d’une thérapie génique.
Thérapie génique expérimentale. Cette thérapie n’a jamais été déployée a une pareille échelle auparavant. Les précédents essais de vérification de l’efficacité de cette thérapie ont été conduits sur des malades en phase terminale du cancer ou d’autres maladies . Dans ce contexte on peut les justifier. Rien a perdre. Pour le covid , sur des gamins qui ne mourront jamais de la maladie, c’est tout simplement une tentative d’homicide .
pas d’inquiétude, tout va bien
Bonjour,
Ce point particulier est justement ce qui m’empêche de « croire » dans la theorie de la « dépopulation », comment personne en Israël n’aurait alerté sur cette question du risque de baisse démographique, qui est une des problématiques les plus sensibles pour ce pays ! Il n’a jamais été fait mystère que la proportion des arabes israéliens a un poids considérable sur les elections.
Mais si cela n’inquiète personne là-bas, alors comment expliquer le peu d’attention sur ces « effets indésirables » (dc, fausses couches, mal autoimmunes,…).
Ne peut-il s’agir que d’une cécité, d’un deni, des autorités ?
Quelqu’un a-t’il ici une autre théorie ?
Merci.