En 1980 j’ai publié dans la revue Science les résultats de travaux remettant en question la validité des tests immunologiques pourtant réputés très spécifiques. Brièvement la recherche d’antigènes dans une préparation biologique consistait à fixer cette préparation ou une fraction de celle-ci dans un tube en polystyrène puis de détecter la présence de l’antigène, en l’occurence une protéine, avec un anticorps dont la spécificité était largement prouvée par ailleurs. À l’époque la technique dite ELISA, acronyme de enzyme linked immunosorbent assay, n’existait pas et l’anticorps était détecté à l’aide d’un deuxième anticorps dirigé contre le premier et marqué avec de l’iode radioactif. Je recherchais le précurseur commun à l’ACTH (hormone de stimulation des glandes surrénales) et aux endorphines dans des préparations biologiques et lorsque le polypeptide fut enfin obtenu à l’état pur en utilisant le radio-immuno-essai pour suivre les étapes de purification son séquençage révéla qu’il s’agissait d’un morceau d’immunoglobuline G ! La publication dans la revue Science fit grand bruit dans le Landerneau de la biologie moléculaire et je fus même vertement pris à partie par le rédacteur en chef de la revue Nature. J’avais eu le courage de publier un résultat négatif. La raison pour laquelle mes travaux se terminèrent par un retentissant fiasco était que sur une séquence de dix amino-acides consécutifs, sur plusieurs centaines, de ce fragment d’immunoglobuline sept d’entre elles, de mémoire, étaient identiques au précurseur authentique de l’ACTH. Cette similitude fut reconnue par l’anticorps polyclonal utilisé pour le suivi de la purification de ce polypeptide.
Aujourd’hui de telles similitudes de séquences sont appelées des épitopes et révèlent des risques de réactions immunitaires croisées. De telles circonstances peuvent provoquer de véritables catastrophes et c’est justement le cas pour les anticorps apparus lors de l’injection de l’ARN messager codant pour la protéine spike du SARS-CoV-2. Ces anticorps sont capables de reconnaître une protéine humaine appelée syncytine-1 qui est essentielle pour l’implantation du placenta dans l’utérus lors d’un début de grossesse. La syncytine est également présente dans la membrane basale du derme. Il est donc important de rapprocher cette thérapie génique qu’on appelle abusivement un vaccin susceptible de mettre un terme à l’épidémie de SARS-CoV-2 d’un autre événement qui eut lieu quelques années plus tôt. Qu’on ne se méprenne pas, ce billet n’a aucune visée polémiste, il ne relate que des faits. Au milieu des années 2010 un campagne de vaccination contre le tétanos fut organisée par l’OMS et financée par la Fondation B&M Gates au Kenya. La vaccination contre le tétanos consistait déjà en une injection connue et limitée de toxine tétanique. Cependant le « vaccin » utilisé au Kenya était en réalité constitué d’une protéine hybride toxine tétanique- sous unité beta de l’HCG. Le but magnifiquement humanitaire était de diminuer le risque néonatal de tétanos et le contenu de ce vaccin d’un nouveau genre provenait de la société AgriQ Quest.
Il se trouve que l’organisme humain reconnaît la totalité de cette molécule hybride, on peut aussi dire chimérique, comme étant étrangère, ce qui conduisit à l’apparition d’anticorps dirigés contre la sous-unité beta de l’HCG.
Brièvement l’HCG (human chorio-gonadotropine) est dès la fécondation produite en quantités massives par l’enveloppe de l’embryon, le trophoblaste, et elle a pour rôle de faciliter l’implantation de l’embryon dans l’utérus, de stimuler la vascularisation de l’endomètre au niveau de l’implantation du placenta. C’est ce dernier organe qui prend ensuite la production d’hCG pour le bon déroulement de la grossesse. Suivez mon regard : ce pseudo-vaccin était en réalité un subterfuge décidé et financé par Bill Gates pour des essais en vraie grandeur de limitation des naissances par vaccination. Il suffisait de quelques injections de rappel pour rendre une femme totalement incapable de porter un enfant. Encore une fois je n’invente rien, tout est expliqué dans la publication suivante : https://doi.org/10.4236/oalib.1103937 . De nombreuses Kenyanes souffrirent d’avortements spontanés inexplicables et inexpliqués par les organisateurs de cette campagne de vaccination d’un caractère novateur. L’Eglise catholique kenyane diligenta une enquête qui montra qu’en effet la protéine présente dans le « vaccin » contenait bien la sous-unité beta de l’hCG. L’OMS tenta comme on dit de noyer le poisson mais en vain. L’Eglise catholique kenyane résista en vain également car il est impossible de résister à la puissance financière d’un Bill Gates. Qu’en est-il aujourd’hui, nul ne le sait, ce qui est certain est le développement de stratégies malthusiennes sous couvert d’un autre objectif. Le pseudo-vaccin à ARN messager dirigé contre le SARS-CoV-2 (et la syncytine) entre-t-il dans cette catégorie ?
Ping : Visées malthusiennes des « vaccins » contre le SARS-CoV-2 ? – Qui m'aime me suive…
J’ai tapé sur Google (English version) : « Abortive effects of RNA based vaccines against Covid » et je n’ai eu que des retours indiquant que les vaccins à ARN sont très sûrs sur femmes enceintes et femmes allaitantes…des articles de la presse mainsteam, de la FDA ou des articles de Nature, ou du BMJ. Alain Fischer, le Monsieur vaccination anti-Covid du gouvernement a garanti l’innocuité des vaccins à ARN/ADN sur les femmes souhaitant procréer ou les femmes enceintes. Olivier Veran a vacciné une femme enceinte devant les caméras de télévision. Bon OK.
Donc, si je comprends bien, tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes.
A vérifier. Mon intuition me dit tout de même que la mariée paraît un peu trop belle…et que cette magnifique unanimité médiatique doit cacher quelque chose. 🙂
Et vous avez raison, car malgré toute cette doxa, les fabricants eux même on signifiés ce risque à la FDA en octobre 2020 déjà.
Cette information est visible à 2:33:40 de la video du Products Advisory Committee de la FDA concernant le vaccin.
La vidéo est disponible sur youtube à cette adresse : https://youtu.be/1XTiL9rUpkg
La slide est passé très rapidement, mettez en x0.25 pour pouvoir mettre pause et constater la liste des effets secondaires auxquels les fabricants s’attendent.
Vous pourrez y lire, entre autres, « Pregnency and birth outcomes »
Pour rappel, cette vidéo à été publié le 22 octobre 2020 !
Comme quoi, tout ces médecin médiocre qui nous ont assuré pendant presque 6 mois que cette thérapie était sans danger, se savaient pas de quoi ils parlaient. Et ils voudraient qu’on leur fasse confiance…
A reblogué ceci sur Politique émois et moi.
et pendant ce temps là en Suede…..
Fauci l’a dit aussi des Texans et des Floridiens : à peu près, « L’absence d’une augmentation relative plus rapide de l’épidémie après la fin des obligations légales des masques et autres mesures de confinement ne peut s’expliquer que par le respect des recommandations sanitaires », soit un comportement civique digne des Suédois…
:-))