Alors que le CDC exhorte les Américains à se masquer contre le variant Delta, l’épidémiologiste en chef de la Suède a fait valoir que davantage de données sont nécessaires sur l’infectiosité de cette souche. Sa nation sans masque plane à zéro décès de Covid par jour. Anders Tegnell a déclaré vendredi qu’il y avait « beaucoup de choses que nous ignorons encore » sur le Delta et a mis en garde contre le fait de tirer des « conclusions de grande envergure » sur cette souche de coronavirus. Il a noté que le variant circulait en Suède « depuis un certain temps » avec peu d’effet, en particulier dans les milieux à haut risque tels que les maisons de soins médicalisées. Ses commentaires ont été faits en réponse à des données récemment publiées par les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) suggérant que la souche Delta est plus transmissible et pourrait potentiellement causer une maladie plus grave. Le New York Times et d’autres médias ont publié des articles rapportant que le CDC pense maintenant que le variant Delta est aussi contagieux que la varicelle – mais cette comparaison n’a pas semblé impressionner Tegnell.
« Il est difficile de dire à quel point Delta est contagieux, en ce qui concerne la varicelle, nous avons pu suivre la maladie depuis des années. L’infectivité du Delta semble être très inégale – dans certains cas, un sujet infecte une centaine de personnes, puis nous avons d’autres occasions où une personne infectée n’infecte personne du tout », a-t-il déclaré au suédois Aftonbladet. (Note. Anders Tegnell est l’épidémiologiste qui a conseillé le gouvernement suédois depuis le début de l’infection mondiale par le coronavirus. Il a été très critiqué pour ses prises de positions non conformes aux a priori des autres pays européens, voir cet article tendancieux pour plus d’informations : https://fr.wikipedia.org/wiki/Anders_Tegnell )
Dans des remarques séparées, il a souligné le fait qu’un tiers des municipalités du pays n’ont signalé aucun nouveau cas de Covid au cours de la semaine dernière. Dans le même temps, il y a eu une légère augmentation des cas parmi les jeunes à Stockholm et dans d’autres grandes villes.
Et tandis que les autorités sanitaires américaines font pression sur les Américains dans les zones à « haute transmission » pour qu’ils se masquent, la Suède a abandonné sa dernière recommandation de masque – liée aux transports publics – le 1er juillet. Alors que l’agence suédoise de santé publique a soutenu des mesures telles que la distanciation sociale et le travail à distance , il n’a pas de recommandations pour l’utilisation de masques dans les espaces publics.

Injuriée par les médias occidentaux pour avoir refusé d’imposer des confinements sévères, l’approche moins draconienne de la Suède face à la crise sanitaire semble porter ses fruits : la nation scandinave a enregistré un total de huit décès liés à Covid jusqu’à présent ce mois de juillet 2021, soit une moyenne de 0,25 décès par jour . Bien qu’il soit possible que ce nombre augmente en raison des retards de déclaration, les décès ont sans aucun doute chuté au cours des derniers mois. Le 4 juin, la Suède a signalé 13 décès – plus que tout le mois de juillet. Les hospitalisations quotidiennes ont également oscillé près de zéro en juillet : la plupart des jours de ce mois, le pays a vu entre 0 et 2 cas de Covid nécessitant un traitement hospitalier. Dans le même temps, les cas quotidiens ont fortement baissé depuis avril.
Malgré les développements prometteurs, Tegnell a mis en garde contre un trop grand confort. Il a souligné vendredi que la Suède était toujours en pleine pandémie et a exhorté ses compatriotes, en particulier ceux des groupes d’âge les plus jeunes, à se faire vacciner (s’ils le désirent car la vaccination n’est pas obligatoire en Suède). À ce jour le nombre de morts en Suède depuis le début de l’épidémie est de 14651 et à peine 50 % de la population a reçu deux doses de vaccin. Source et illustration : RT international et Statista.
Note. L’aval donné par le Conseil Constitutionnel français à la loi relative à la mise en place du pass sanitaire appelle en regard de la situation actuelle de la Suède mais également du Texas ou encore de la Floride quelques remarques. Elle révèle d’abord deux points qui ne seront probablement pas mentionnés par les médias main-stream français. Les « sages » du Conseil Constitutionnel ne semblent pas être informés de l’évolution de l’épidémie coronavirale qui, comme l’a écrit il y a quelques jours le Dr Maudrux, va s’éteindre d’elle-même. En effet la Suède a atteint une immunité totale de sa population grâce à son choix exemplaire de ne prendre aucune mesure pouvant freiner l’évolution naturelle de l’épidémie. Mais pire encore, le Conseil Constitutionnel présidé par Laurent Fabius, probablement le politicien français le plus corrompu de ces 40 dernières années, a pris une décision qui fleure bon le conflit d’intérêt. En effet, et ce n’est pas moi qui l’invente, son fils Victor sévit auprès du cabinet américain de conseil McKinsey recruté par Macron pour organiser la vaccination massive de la population et c’est précisément ce fils du Président du Conseil Constitutionnel qui est en charge de cette organisation. Le peuple français est donc en droit de se poser quelques questions qui, à n’en pas douter, intéresseront la justice dans les mois à venir. Comme le dit le proverbe chinois « le poisson pourrit par la tête » : belle démonstration de ce proverbe …
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Je doute que la justice s’intéresse à ce conflit d’intérêt.
Vous vous souvenez de Benalla ? Est il en prison ? A t’il été inquiété par la justice ?
Les mauvaises langues disent que le sulfureux Alexandre Benalla était -sous couvert d’être garde du corps- le pourvoyeur officiel en coke de Macron (il me semble que la source est le fournisseur en cocaïne de Chirac et des stars du show-biz parisien, Gérard Fauré ,ou quelqu’un du même acabit, mais je n’ai plus les références exactes sous la main).
Ca confère certains privilèges forcément comme un salaire confortable (6000 € nets mensuels je crois me rappeler), un logement de fonction de 200 m² à quelques encablures du Palais de l’Elysée, une voiture de fonction haut-de-gamme, tous frais payés, etc.. Ensuite, 5 jours de prison dans une cellule VIP (un petit studio coquet dans le « quartier des vulnérables ») et un quitus sans explication…l’impétrant avait d’ailleurs prévenu : « Je ne resterai pas très longtemps à la prison de la Santé, juste quelques jours ». Ce qui fut le cas.
Eh oui….nos gouvernants ont aujourd’hui une notion très personnelle de la devise de la République « Liberté, Egalité, Fraternité » …et quand le ministre de la justice est lui-même mouillé jusqu’aux dents dans des affaires troubles, plus rien de ne devrait nous surprendre 🙂
En faisant une revue de presse tous les jours, je suis stupéfait par le niveau des journalistes en sciences : ce niveau tangente le zéro absolu…ils n’ont même pas en moyenne le niveau exigé pour un élève qui passe le brevet des collèges (ça s’appelait le BEPC de mon temps). Partant de là, ces gens-là profèrent des énormités sans s’en rendre compte, énormités reprises en coeur par la classe politique dont le niveau n’est guère meilleur…tout cela pour le plus grand plaisir des labos bien entendu.
Il faut repréciser des notions de base en infectiologie pour pouvoir y voir plus clair :
1- le taux de létalité, c’est -dans une population donnée- le nombre de morts dues à une maladie donnée (encore faut-il faire des analyses post-mortem pour valider ce taux, ce qui n’est jamais fait en France). Ce taux indique la virulence de la maladie, et donc donne une idée de sa « pathogénicité ». C’est le critère de choix qu’il faut garder en tête, même s’il est largement surestimé chez nous;
2- le nombre de cas : c’est le nombre de personne dans une population qui attrapent une maladie donnée; ce nombre donne une idée de la « contagiosité » de la maladie. Encore faut-il savoir mesurer ce nombre de cas avec des tests appropriés. On sait que le tests RT-PCR de Drosten qui est le plus utilisé dans le monde donne des résultats faux car les amorces sont bidons et le nombre de cycles utilisés est trop élevé (CT = 45)…l’IHU de Marseille utilise les bonnes amorces qui ont été fabriquées sur place et le nombre de cycle CT utilisé est raisonnable (CT = 25), mais le ministère de la santé ne veut pas en entendre parler. Partant de là, les statistiques françaises sur le nombre de cas sont aberrantes et surestiment totalement la réalité (on peut rendre du Coca-Cola positif aux Covid avec un tests RT-PCR bidonné à la Drosten).
Donc se méfier comme de la peste du « nombre de cas ».
3 – La variant Delta : il est issu du variant indien et est apparu en Grande-Bretagne. L’inde a décidé de surseoir à sa politique de vaccination (78 millions de personnes vaccinées -avec le produit d’Astra-Zeneca principalement- sur un total d’1,3 milliard de personnes) et de mettre le paquet sur l’Ivermectine, ce qui a permis aux Indiens de sortir de la crise sanitaire provoquée par l’apparition du variant indien du SARS-Cov2. Les Britanniques ont fait connaissance avec une mutation du variant indien appelé variant Delta. Bilan des courses : il est peu pathogène mais très contagieux.
Rien de bien méchant donc sauf pour les personnes très fragiles qui peuvent mourir d’une rhinite ou d’une diarrhée. Encore faut-il pouvoir caractériser ce variant Delta. La RT-PCR ne détecte pas les variants (elle est incapable de distinguer le virus de la grippe du SARS-Cov2 avec la méthode de Drosten). Il faut pour cela cultiver le virus au laboratoire, puis procéder à une analyse génomique dans les règles de l’art. Honnêtement, peu de gens le font en France, sauf les structures spécialisées, ce qui fait que le nombre de cas de variant Delta est une immense blague comme la majeure partie des chiffres du ministère de la santé.
4 – La suède a décidé d’éviter de faire comme la France. Grand bien lui en a pris : ses résultats sont raisonnablement moyens (la Suède a une population de 10 millions de personnes avec environ 15,000 décès). D’autres pays ont également d’excellents résultats en ayant utilisé des protocoles sanitaires différents.
La Biélorussie a 3500 morts du Covid pour une population de 10 millions de personnes alors qu’ils ont décidé de ne rien faire, éventuellement de vacciner deux pelés trois tondus avec du Sputnik V. L’Algérie (dont le système de santé est franchement pourri de chez pourri depuis l’indépendance de 1963) a appliqué le protocole Raoult (Plaquénil, Azithromycine) et affiche 4500 décès Covid au compteur. Une excellente performance pour les Algériens qui sont environ 50 millions (oui oui, ils seront aussi nombreux que les Français bientôt). Mais patatras ! Depuis qu’ils ont décidé de vacciner, les problèmes ont explosé : saturation des hôpitaux, etc… Erreur ! la vaccination provoque et dissémine la maladie vu que le vaccin contient un pathogène (l’ARNm de la protéine Spike qui engendre des thromboses et des thrombocytopénies). Dommage pour les Algériens, ils étaient magnifiquement bien partis !
5 – La conclusion est simple : le ministère de la santé et le président français sont les plus mauvais gestionnaires de la santé publique que le monde ait eu à enfanter.
N’importe qui peut faire mieux sans rien faire. Bonjour la contre-performance. Et ces gugusses plastronnent dans les plateaux télé, tout contents de leurs nullité, devant des journalistes qui ne comprennent même pas la centième partie des mots qu’ils utilisent. J’hallucine !
On peut également noter la destruction systématique des structures hospitalières, destruction qui s’est accélérée avec l’arrivée d’Olivier Véran, un neurologue politicard qui n’a jamais vraiment exercé. Dans le plus proche hôpital de mon domicile, il n’y a plus de réanimation et les urgences vont être supprimées. A 30 km au nord de Paris. Magnifique !
Il serait temps qu’en France, on remette les bonnes personnes à la bonne place. Ca urge !
NB : pour les statistiques, se référer soit à World-O-Meter catégorie Covid, soit au site de la Johns Hopkins University of Medecine (coronavirus resource center)
En effet, depuis le début on nous parle de « cas ». En médecine un cas c’est un malade avec des symptômes (hyperthermie, algies, toux, etc.) et sûrement pas un positif à tel ou tel test. Un test ne sert qu’à orienter le praticien ayant prescrit le test.
Triple tromperie donc sur l’emploi des rt-pcr sur un trop grand nombre de sujet, sur le nombre de cycles trop élevé, et sur leur usage comme menace sur la population ignare et soumise.
En effet Cher Ecir, les biostatisticiens qui n’ont jamais vu un patient confondent allègrement « un cas statistique » avec « un cas clinique ». Je définirais un cas clinique comme le résultat de l’observation minutieuse d’un patient par un médecin et la description fine des pathologies dont il est l’objet. Dire qu’une personne est un cas clinique sur la base d’un test de laboratoire est une dérive grave de la pratique médicale.
Je vous laisse étoffer cette définition qui doit manquer de précision étant donné que je ne suis pas médecin 🙂
@Ecir: « En médecine un cas c’est un malade avec des symptômes… »
En médecine que je qualifierais de soignante, oui. Mais là, il s’agit de médecine préventive.
Le test n’est pas le problème, on n’en a besoin comme de l’épidémiologie , mais il le devient parce que la médecine préventive devient folle.
Un « cas », c’est un malade avec symptômes, pas un test+. Sinon un vacciné pour une maladie donnée présentant un test Élisa positif par ex serait un malade, alors qu’au contraire c’est un sujet présentant des Ac suite à ce vaccin, et donc immunisé . Le test permet de vérifier l’effet protecteur du vaccin.
Parler de malade pour tout vacciné ayant un test+, c’est un faux sens . Une tromperie.
Pour détendre un peu l’atmosphère…. je vous invite à participer.
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J’ai lu l’article
https://wordpress.com/read/blogs/190059415/posts/509
je ne sais pas si la réalité de la chose est avérée. Mais ça colle assez bien avec ce que je lis ici. Comme quoi la vermine est partout. Mais ça on le savait