On ne dit rien aux Canadiens quand ils se font vacciner

Article de John Cunnington, Docteur en médecine, ancien professeur à l’Université McMaster paru sur le site de Donna Laframboise

Au sommet de la hiérarchie médicale se trouve le neurochirurgien. Les neurochirurgiens sont entourés d’une mystique d’omniscience et d’omnipotence. Imaginez donc ma surprise, en tant qu’humble étudiant en médecine, de découvrir que le neurochirurgien principal de notre établissement, Robert Hughes, était poursuivi pour faute professionnelle. En fait, Robert Hughes, à son grand dam, a écrit l’histoire médicale et juridique du Canada sur la question du consentement éclairé.

En 1970, Hughes a effectué une endo-artériectomie carotidienne (nettoyage de l’artère carotide jusqu’au cerveau) sur un homme de 44 ans, John Reibl, qui a ensuite subi un accident vasculaire cérébral qui l’a laissé paralysé d’un côté et incapable de continuer à travailler. Reibl a poursuivi Hughes, affirmant qu’il n’avait pas été informé qu’il pourrait subir un accident vasculaire cérébral à la suite de cette chirurgie élective, et que s’il l’avait su, il aurait retardé l’opération jusqu’à ce qu’il devienne éligible pour une pension de Ford Motor Company moins de deux ans plus tard. Voici le témoignage de Reibl devant la Cour :

Q. Vous a-t-il parlé de ce qui se passerait si vous ne subissiez pas l’opération? R. Oui, il a dit : « C’est à vous de décider si vous voulez l’avoir ou non. Vous pouvez vivre quelques années. Vous pouvez vivre environ 7 ou 10 ans ou plus. Un de ces jours, vous allez tomber sur le nez, et c’est tout. Si vous voulez le faire maintenant vous n’aurez aucun problème plus tard.

Q. Le Dr Hughes a-t-il dit autre chose sur les risques de l’opération ?

R. Il n’a rien dit.

L’affaire Reibl contre Hughes est allée jusqu’à la Cour suprême du Canada et, en 1980, la Cour a énoncé la norme actuelle du consentement éclairé, en particulier que le médecin (ou un autre fournisseur de soins de santé) « doit donner au patient suffisamment d’informations pour qu’un examen objectif, par une personne raisonnable à la place du patient puisse être en mesure de faire un choix éclairé concernant un acte médical ». Le tribunal a défini l’omission de divulguer les risques qui en découlent comme une négligence.

Ainsi, au Canada, pour recevoir un traitement ou une intervention, le patient doit non seulement l’accepter verbalement et signer un formulaire de consentement, mais doit donner un consentement éclairé après s’être fait expliquer les risques. Quarante et un ans après la décision de la Cour suprême, nos gouvernements fédéral et provinciaux se sont engagés dans un programme d’administration à toute la population canadienne de plus de 12 ans, d’un traitement de thérapie génique complètement nouveau, expérimental, non approuvé par la FDA. Cette thérapie, selon les bases de données sur les réactions indésirables aux vaccins des gouvernements américain et européen, est raisonnablement suspectée d’avoir tué des milliers de personnes et causé des blessures graves chez des dizaines de milliers d’autres personnes. Pendant ce temps, les conséquences à long terme de la thérapie sont tout simplement inconnues.

Les Canadiens qui subissent ce traitement obtiennent-ils cette information ? Leur dit-on ce qu’ils doivent savoir pour donner un consentement éclairé ? Un de mes amis a récemment reçu l’injection. Je lui ai demandé s’il était informé de la possibilité d’effets secondaires. Il a dit qu’aucun ne lui a été mentionné !Pour autant que je sache, les Canadiens ne sont pas informés qu’il y a des risques. Lorsqu’ils se présentent au site d’injection, il semble qu’on leur demande de signer un formulaire et de tendre le bras. Ceux qui administrent le traitement ne discutent pas avec eux des avantages et des inconvénients, des risques et des bénéfices de l’injection avant l’administration du « vaccin ». La plupart des Canadiens qui se font vacciner n’ont aucune idée qu’il existe un risque de troubles de la coagulation sanguine, comme une embolie pulmonaire et un accident vasculaire cérébral, de processus immunitaires mettant la vie en danger comme la thrombocytopénie induite par le vaccin, ou que les jeunes qui se font vacciner courent un risque de complication potentiellement mortelle de la myocardite (ils ne sont pas non plus informés que le risque de Covid lui-même est presque négligeable pour les jeunes et en bonne santé). Un tel manque d’information est une violation de la décision de la Cour suprême sur le consentement. Si vous êtes blessé par le vaccin et n’avez pas donné votre consentement éclairé, vous avez des motifs de poursuivre vos autorités sanitaires pour négligence et dommages-intérêts.

Remarque : Il n’incombe pas aux patients de faire leurs propres recherches. Il incombe au fournisseur de soins de santé d’informer les patients des risques afin qu’une personne objective et raisonnable dans la position du patient soit en mesure de faire un choix éclairé. Est-ce que quelqu’un croit vraiment qu’un enfant de 12 à 15 ans est capable de comprendre suffisamment les problèmes complexes liés à la thérapie génique expérimentale pour donner un consentement éclairé ? Attirer des enfants avec de la crème glacée à Toronto ou des adultes avec une loterie dans l’Etat d’Alberta constitue-t-il un consentement éclairé?

Si l’affaire Reibl contre Hughes établit la norme pour les traitements approuvés, quelle devrait alors être la norme pour les traitements non approuvés, pour l’expérimentation sur les humains avec des technologies nouvelles et non testées ? À la suite d’expériences menées par des médecins nazis sur des prisonniers des camps de concentration et les procès de Nuremberg qui ont suivi, cette Cour a formulé dix principes d’éthique de la recherche pour guider l’expérimentation médicale sur les humains. Le premier principe est que « le consentement volontaire du sujet humain est absolument essentiel ». Bien que le Code de Nuremberg, créé il y a plus de 70 ans, n’ait pas utilisé le mot « informé », il a utilisé le mot « consentement » et il n’est guère exagéré de conclure que le consentement dont ils parlaient était un « consentement éclairé ». La plupart des Canadiens qui reçoivent ces nouvelles injections de thérapie génique n’ont aucune idée que ces « vaccins » ne sont pas une thérapie approuvée, comme un vaccin contre la grippe, et ils ne savent pas qu’ils sont en fait inscrits à des essais cliniques qui sont toujours en cours.

Nos gouvernements fédéral et provinciaux, premiers ministres, administrateurs de la santé publique et personnel négligent d’administrer les vaccins Covid à des dizaines de millions de Canadiens sans les informer clairement qu’il s’agit d’une thérapie expérimentale, qui pourrait entraîner des événements indésirables graves, y compris des changements de vie, blessures ou la mort, et que les effets secondaires à long terme, par exemple les maladies auto-immunes potentielles, sont encore inconnus. Lorsque les gouvernements utilisent tous les moyens en leur pouvoir, y compris le contrôle des médias et la censure généralisée des voix dissidentes, pour inciter les gens à se faire soigner sans les informer de manière adéquate des risques, ils violent la confiance fondamentale entre le peuple et leur gouvernement.

Lien : https://scc-csc.lexum.com/scc-csc/scc-csc/en/item/2563/index.do

28 réflexions au sujet de « On ne dit rien aux Canadiens quand ils se font vacciner »

  1. Bonjour,

    On dirait que vous êtes devenu l’égal du membre de votre famille cité au début de votre article de février 2015 non ?

    https://jacqueshenry.wordpress.com/2015/02/23/histoire-de-vaccins-ou-limbecillite-prend-le-dessus-sur-la-raison/

    Je ne crois pas qu’on explique les effets secondaires du paracétamol non plus au Canada lorsque ce médicament est prescrit, si ? Ce serait logique puisque les risques sont faibles comme pour les vaccins, y compris les récents à ARNm. Les faits le prouvent il y a très peu d’effets secondaires et encore moins d’effets secondaires graves.

    « traitement de thérapie génique »
    Ce sont les vaccins à ARNm qui sont ainsi nommés ?
    Un vaccin n’est pas un traitement, un traitement soigne un patient, un vaccin prévient.

    En France on peut acheter librement des médicaments vasoconstricteurs, tel Actified Rhume. Les risques d’AVC ne sont pas nuls, pourtant personne ne crie au scandale, enfin je ne crois pas. Pour les rhumes j’utilise la bonne vieille Rhino Horn, pour les virus les bons vieux vaccins et leur mise à jour à base d’ARNm 😉

    • Ces médicaments sont vendus avec une notice de plusieurs pages listant tous les effets indésirables et toutes les contre-indications même les rarissimes . L’information est donc à la disposition du patient ce qui n’est pas le cas pour le vaccin .

    • Pour rester dans votre ton, l’Ivermectine ne présente aucun risque, 1 seuil décès probable, le malade était infesté de vers. C’est bien moins dangereux que le paracétamol et l’aspirine. J’en prend parfois, mais je suis prudent avec la dose et le mode d’administration.

      De quoi se mêle l’état en ce qui concerne l’Ivermectine, même administrée sous le contrôle et la RESPONSABILITÉ d’un médecin?
      Qui de l’hydroxichloroquine, de l’AZT, de la vitamine D ou C?
      Pour quelle raison non maffieuse l’OdM agresse les docteurs en prescrivant?
      À bas Pfizer et Moderna, et vive Valvena avec son VAL2001-301 🙂
      Vive la liberté de choix ❗

      • Je ne connais pas l’Ivermectine, je ne sais pas si cela est dangereux ou peut l’être.

        J’ai en revanche pris étant jeune et pendant 2 ans quotidiennement de la chloroquine (nommée nivaquine et accompagné de paludrine). Cette molécule ne me paraît pas non plus dangereuse. Elle peut quand même être mortelle si on ne respecte pas le dosage.

        Bref, je suis d’accord avec vous, je pense qu’on n’a pas assez creusé et testé les traitements, y compris le protocole de monsieur Raoult, destiné à être administré en début d’infection.

        Ceci dit j’ai aussi pas mal suivi ce que l’on a fait avec les vaccins (notamment pfizer avec BNT162b2) et je reste admiratif de ce qui a été fait. La plupart ne s’en rendent pas compte ici et ne broient que du noir.

        Mais rendez-vous compte en moins d’un an, fin 2020, on avait au moins un vaccin efficace et validé en phase 3.
        On est depuis en phase 4 donc oui tous les effets secondaires ne sont pas encore tous connus et stipulés sur une notice. Mais par expérience avec d’autres vaccins ils seront extrêmement rares, on a déjà des centaines de millions de doses injectées et un certain recul malgré tout. On peut toujours annoncé tout et n’importe quoi comme certains ici et se prendre pour des paco rabane ou des jean jouzel, au final seuls les faits comptent.

        Le virus de la Covid-19 n’est peut-être pas assez dangereux pour se rendre compte de la prouesse mais c’est une prouesse d’avoir réussi à sortir ses vaccins avec de telles efficacités.
        On verra pour les variants, pour le moment ils sont tous maitrisés, y compris le Delta comme le stipule la toute fraîche étude du Public Health England, 96% d’efficacité après 2 doses.

  2. Merci beaucoup Prof. Jacques Henry, en tant que citoyen canadien je trouve votre billet un bon moyen d’information , je le transférai à tous mes collegues, amis et famille. Bonne continuité Cordualement Dr Z. Rachid (Ph.D cytogenetique) Montreal (Quebec , canada)

    Envoyé depuis mon téléphone intelligent Samsung Galaxy.

  3. Les Canadiens ne sont pas les seuls logés à cette enseigne… pareil pour les belges : aucun choix de vaccin, on vous l’impose! Sans autre forme d’explication d’effets secondaires possibles… nous ne sommes que du bétail! J’ai entendu dire que les Etats-Unis ne valident pas les gens qui ont été vacciné avec de l’Astra Zeneca… quelle en est la raison? En avez-vous une explication? Merci pour tous vos billets bien « éclairants »

  4. Les vaccins anti-covid anglo-américains sont tous en phase III de leurs essais cliniques qui se termineront en 2023, du moins pour le produit de Pfizer-BioNtech (le Tozinameran). Ils ont obtenu une AMM exceptionnelle (Autorisation de Mise sur le Marché) d’urgence, alors que celle-ci n’est délivrée qu’après validation de la phase III. La phase IV est le suivi à long-terme du produit pharmaceutique après délivrance de l’AMM. Les personnes vaccinées actuellement sont donc des cobayes à qui on n’a pas demandé leur consentement éclairé, ce qui doit se faire légalement dans une phase III.
    Comparer des médicaments ayant obtenu une AMM par les voies normales prévues par la législation et ayant eu une étude des effets long-terme (phase IV) avec des vaccins expérimentaux comme le Tozinameran est stérile car les produits expérimentaux n’ont pas eu d’évaluation de phase III et IV.
    Les vaccins à ARN messager (information chimique sur la composition d’une protéine) sont bien de la thérapie génique : contrairement à un ancien dogme de la biologie moléculaire, l’ARNm peut être l’objet d’une rétro-transcription et se retrouver sous forme de gènes dans l’ADN des cellules humaines. Cette étape a été éludée par les fabricants de vaccins américains. Et c’est bien dommage.
    Les données de pharmacovigilance sont accessibles via des bases de données Oracle (longues à télécharger d’ailleurs) sur le site de l’EMA (Agence Européenne du Médicament). A ce jour, les effets secondaires sont très importants et certains sont très graves pour le produit le plus injecté (le Tozinameran) et sont détaillés ici : https://dap.ema.europa.eu/analytics/saw.dll?PortalPages
    Ceci n’est pas surprenant car un vaccin est le nec plus ultra des productions de l’industrie pharmaceutique, et demande entre 10 et 20 ans de mise au point (source : Sanofi-Pasteur).
    Le vaccin de Pfizer-BioNtech a été mis au point en moins de 6 mois (développement industriel compris). Des complications graves sont à prévoir pour la phase IV du fait de la sur-expression de la protéine Spike dont on a injecté l’ARNm, et qui est -on l’a découvert récemment- pathogène. Cette étape a également été éludée par les fabricants de vaccins américains qui auront des comptes à rendre dans pas longtemps quand les Américains se seront regroupés en « class action » pour demander des comptes. Cependant, les États signataires de la prise en charge vaccinale ayant déchargé ces labos de leurs obligations légales, il sera intéressant de voir comment la justice va trancher ce dilemme juridique.

      • Juridiquement, les procès à venir vont être compliqués à gérer en effet…et il ne faudra pas s’attendre à ce que l’Etat français indemnise rapidement et équitablement les victimes…comme le suggère le Dr Gérard Maudrux (cet urologue à la retraite est poursuivi d’ailleurs pour avoir dit du bien de l’Ivermectine par évidemment l’Ordre des Médecins, cet ordre médiocre et corrompu qui perdra de toutes façons son procès contre lui, idem pour les procès en cours du CNOM contre Perronne, Raoult, Delépine, etc..).

      • Que ce monsieur Maudrux soit poursuivi par l’OdM, Ordre des Mafieux, est un pur scandale. Un crime contre la liberté. ma santé m’appartient à moi et pas à un un trou du cul de politicien. Et j’assume, en y faisant attention. Le polytocard, lui, ne pense qu’à se remplir les poches sans se préoccuper de ma santé.

  5. Je viens d’apprendre aux informations qu’en Israël où toute la population a été vaccinée, 40 % des contaminations nouvelles concernent des gens vaccinés au Tozinameran. Le vaccin de Pfizer-BioNtech a non seulement des effets secondaires graves, aura du mal à passer la phase IV des tests cliniques, mais en plus est inefficace (dans le New England Journal of Medecine, l’article qui annonçait plus de 90 % d’efficacité de ce produit expérimental se basait sur un intervalle de confiance compris entre environ 25 % et 95 % d’efficacité…on voit qu’on est en réalité dans le bas de cette fourchette).

    • Au Royaume-Uni où un peu moins de 80 millions de doses de vaccins ont été utilisées, la fin du confinement a été repoussée à fin juillet en raison de la poussée d’un variant indien du SARS-Cov 2 qu’on a baptisé le « variant Delta ».
      Preuve est donc faite que la vaccination ne sert pas à grand chose puisqu’elle ne protège pas contre les variants qui apparaissent tout le temps de façon aléatoire. Même remarque en ce qui concerne les usines à gaz administratives du type passeport vaccinal et compagnie qui ne servent également à rien, si ce n’est à ennuyer les honnêtes citoyens et à donner du travail à une bureaucratie médiocre.

      • On finira par comprendre que l’hydroxychloroquine associée à un macrolide ou l’ivermectine seule sont les seuls remparts valables contre ce virus. Il y a d’autres vieilles molécules en cours d’étude … Pendant ce temps les comptes sociaux des pays occidentaux auront été ruinés et les labos pharmaceutiques se seront enrichi à la nausée.

      • A l’instar du Pr Montagnier, il y a quelques mois, on peut même se poser la question de savoir si les vaccins ne favorisent pas les mutations

  6. &Erwan
    L’ivermectine est originellement un anti-parasitaire, actif contre les vers parasites. Puis son action contre les acariens, poux, sarcopte de la gale, demodex a été formellement démontrée. Plus récemment l’action anti-virale de ce produit a été largement démontrée également. L’avantage de l’ivermectine est sa demi-vie très longue (plusieurs jours) dans l’organisme contrairement à la chloroquine. Utilisé par des milliards de personnes dans le monde cette molécule ne présente aucun effet secondaire notoire. J’ai été contaminé par un protozoaire (giardia) lorsque j’habitais au Vanuatu et le seul traitement existant est l’ivermectine. Comme la chloroquine ce produit était disponible gratuitement.

    • Merci.
      Je n’ai jamais eu à en prendre et j’ai découvert ce traitement avec les débats autour du Covid-19.

      Ce n’est en effet pas probablement pas dangereux, après cela ne prouve pas son efficacité contre les virus, coronavirus ou même Influenza d’ailleurs.
      Les antiparasitaires semblent être des antiviraux efficaces in vitro, c’est malheureusement moins vrai in vivo.

      • Après un certain nombre de commentaires où je me suis tue (mais pas encore mort), j’ai rigolé un bon coup sur votre réponse, Monsieur Erwan ! Votre deuxième paragraphe devrait être soumis à tous les étudiants en sémantique car «  »en effet » accolé à un « probablement », suivi d’un « après avec un mélange de coronavirus et de grippe – pardon Influenza, quel mot savant !!! …. »d’ailleurs » et de partout à la fois si j’ose cette moquerie car nous vivons avec quelques milliers de virus dans notre atmosphère. Et la cerise sur le gâteau est l’emploi des antiviraux avec la nuance in vitro et in vivo : bravo, disait le Cheyenne (d’ Il était une fois dans l’ouest) au gars qui tremblait à tirer sur du…vivant, qui n’était qu’une chaînette de menottes.
        Combien donnerez-vous de pourcentage à l’effet placebo dans toute thérapie ?
        Que dites-vous (les jugez-vous) des praticiens en santé qui affirment que tout est psychophysiologique ? Que pensez-vous des interventions chirurgicales sous hypnose dans les hôpitaux ? Comment appréhenderez-vous un marabout au Bénin (ou ailleurs, d’ailleurs !) qui soignent des centaines de personnes dans un week-end ? Que penserez-vous d’un chamane qui utilisent des drogues psychotropes dans un dosage où la moindre disproportion tuerait le « petit blanc » curieux de sensations à la merci d’un savoir non écrit ? Etc.
        Oui, Monsieur Erwan, les hommes recèlent de dimensions inexplorées qui font la joie des vrais chercheurs.
        A chacun ses peurs …et ses alibis intellectuels pour se rassurer. lol

      • Il existe assez d’études, même en double aveugle même si petites, pour démontrer que ce produit est efficace, plus que l’HCQ.
        En combinaison avec un vaccin mis en vente avec responsabilité du vendeur, expliquant les risques, ce serait un bon moyen de contrôler l’épidémie et de l’éteindre. Car voyez-vous, il faut pas mal de logistique pour vacciner, et en Inde, ils n’ont pas ce genre de moyens. Le kit Ziverdo est bien meilleur marché. En Inde, les « vaccinateurs » se font souvent recevoir avec des cailloux.

        Ma santé m’appartient à moi, et pas à des politiciens ou à des fonctionnaires, même de l’ONU.

      • « Il existe assez d’études »
        Alors montrez moi quelques unes de ces études, et in vivo s’il vous plait.

      • Il vous suffit d’aller sur le site du Dr. Maudrux et de chercher.
        https://rumble.com/veat3v-dr-tess-lawrie-ivermectin-cuts-covid-deaths-by-75-and-works-against-all-var.html
        Une métanalyse par d’autres : https://journals.lww.com/americantherapeutics/Abstract/9000/Ivermectin_for_Prevention_and_Treatment_of.98040.aspx
        il y en a plein d’autres.
        Bien sûr, plus rien ne sera fait en France ou l’on jure que par le vaccin.
        Même Raoult ne s’y risque pas, scotché avec son HCQ. En fait, on ne le lui permet pas de faire la moindre étude.

    • Croyez-vous qu’il faille passer du temps à instruire à un type qui ne connait manifestement rien à son sujet et qui veut se faire passer pour un grand sachant en donnant des leçons de science, à vous qui avez un doctorat d’état et qui peut donner les yeux fermés des cours de chimie, biologie, biochimie et biologie moléculaire à un type qui n’a même pas le niveau d’un bac +2 super moyen en fac aujourd’hui…sachant qu’un bac +2 d’aujourd’hui ne mériterait même pas le niveau de seconde scientifique du temps où les grands lycées préparatoires des grandes villes françaises préparaient les étudiants à de véritables études supérieures ?
      Je dis ça mais je n’ai rien dit…

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