Les falsifications des relevés de température : un autre scandale mondial

Pour étayer la propagande mondialement organisée afin d’instituer des règlements internationaux devant conduire à une diminution des émissions de carbone les manipulations graphiques grossières opérées par les organismes onusiens ne cessent d’être dénoncées par tous ceux qui s’en émeuvent. Mais l’opinion publique et les gouvernements sont maintenant intimement persuadés que le réchauffement du climat pour des raisons d’origine humaine ne pourra être contrecarré que si le monde entier devient frugal en énergie et se contente de quelques heures par jour d’une production électrique entièrement « verte ». Ces énergies vertes sont en effet par nature intermittentes et la puissance disponible n’atteindra jamais celle fournie par les usines consommant du pétrole, du gaz naturel, du charbon ou de l’uranium. Les pays occidentaux seront les plus affectés par cette nouvelle religion que les élèves des écoles apprennent soigneusement dès l’âge de dix ans et que les politiciens mettent déjà en place à grands renforts de taxes et d’investissement pharaoniques inutiles.

Les relevés de la station météorologique de Reykjavik sont un exemple caricatural de ces manipulations. Leur but est de faire croire que, oui, il a bien un « échauffement » du climat depuis 120 ans. De plus il faut triturer les données brutes des relevés de température afin d’obtenir une évolution qui suit de près l’augmentation de la teneur atmosphérique en CO2, sinon il n’y aurait rien de convaincant. L’IPCC, organisme onusien en charge de répandre cette propagande, est en cela aidé par la NASA, la NOAA et d’autres organisations connexes voire des universitaires complaisants en mal de crédits de recherche prêts à vendre leur âme à ces fonctionnaires internationaux grassement payés avec nos impôts. Et choisir la station météo de Reykjavik est d’autant plus caricatural que l’électricité produite en Islande est d’origine exclusivement géothermique. Bref, le Goddard Institute for Space Studies, émanation de la NASA, ajuste les relevés de température bruts, les « nettoie » (on ne sait pas ce que cela signifie) et les homogénéise (on ne sait pas non plus ce que cela signifie) pour d’une part faire disparaître l’optimum climatique des années 1920-1970 et d’autre part amplifier le réchauffement qui se serait accéléré depuis les années 1980. Un prouesse graphique !

Tony Heller est un remarquable « limier » pour débusquer les malhonnêtetés de l’IPCC et dans le cas précis de la station météo de Reykjavik les malhonnêtetés de la NOAA et de la NASA. Chaque jour ou presque il débusque une de ces manipulations scandaleuses et il les relate sur son site realclimatescience.com. Il faut croire Heller dont le curriculum est long comme le bras ( https://realclimatescience.com/who-is-tony-heller/ ).

Voici donc l’une de ses dernières découvertes, d’abord les relevés de température à Reykjavik moyennées chaque année depuis 1900 :

Et voici les données ajustées, nettoyées et homogénéisées :

Cherchez l’erreur !

8 réflexions au sujet de « Les falsifications des relevés de température : un autre scandale mondial »

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  3. des artistes du maquillage des données!
    On fait des merveilles avec Excel
    Mode {Audiard / tonton Flingeurs} / ON
    « un artiste dans son genre, une série .csv, deux coups de solveur et il te sortait une corrélation parfaite avec le CO2 »

  4. De toutes façons, aucun raisonnement en température n’a de sens quand il s’agit de raisonner en bilan énergétique. La vérité se trouve là :
    EFFET DE SERRES SUR LE CO2: 2040 QUEL CLIMAT EN FRANCE MÉTROPOLITAINE ? https://www.amazon.fr/dp/1796535265/ref=cm_sw_r_u_apa_glt_i_79NBGDFNC3WX81W56J1H
    Plus simplement,
    1) 80% des stations de relevés météo qui étaient originellement en péripherie des villes sont désormais réchauffées par l’urbanisation rampante.
    2) La démonstration ci-dessus s’appuie sur une thèse en énergie : Ce qui n’est plus à fournir par le chauffage de locaux à l’identique, l’est par le réchauffement climatique. Problème entre 1952 et 1987 aucun réchauffement ni à Lyon, ni en France et ni en Europe. Deux paliers énergétiques brutaux en 1988 (année de création du GIEC à la suite du violent coup de chaud du Middle West) et 2014 (destruction brutale de la barrière coralienne australienne). Il leur est impossible de publier cela puisque la décorrélation avec le €O2 est immédiate !
    En revanche je démontre la corrélation énergétique des DJU avec le cycle des taches solaires.
    Problème : Les taches solaires déclinent sérieusement à partir de 2030. Donc le climat va se refroidir. Il faut commencer à surveiller son rafraîchissement dès 2022.
    Problème : ils doivent chambouler l’ordre mondial avant qu’on découvre le pot aux roses, en 2030. L’ONU s’y emploie avec le GIEC, L’OMS et L’OMC. Pas une tête ne doit dépasser dans l’alignement pseudo-scientifique des 193 pays.
    Bien sûr que la NASA est mise à contribution fallacieuse en toute connaissance de cause. Je démontre que leur schéma officiel d’équilibre thermodynamique de la couche terrestre ne résiste pas à l’analyse d’un élève de seconde.
    Pour échanges : reckel@sfr.fr

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