Ce mois-ci, le Dr Ronald B.Brown a publié un article audacieux dans Disaster Medicine and Public Health Preparedness, intitulé de manière limpide : « Les leçons de santé publique tirées des biais dans la surestimation de la mortalité par coronavirus » (lien en fin de billet).

« Le sujet de cet article est pour le moins perturbateur, bien que ce ne soit pas aussi évident d’après le titre », a dit le Dr Brown, « Le manuscrit cite l’arme du crime, des preuves documentées montrant que la réaction excessive du public et des dirigeants politiques à la pandémie de coronavirus était basée sur la pire erreur de calcul de l’histoire de l’humanité, à mon avis. Mon manuscrit a fait l’objet d’un processus intensif d’examen par les pairs ». Il n’est malheureusement pas surprenant que les médias n’aient pas fait sonner le téléphone du Dr Brown avec des demandes d’entrevue. Le résumé, en lui-même, contient une bombe où il dit :
« Les résultats de cette évaluation critique révèlent un biais d’information et un biais de sélection dans la surestimation de la mortalité due aux coronavirus, biais probablement causés par une mauvaise classification d’un taux de mortalité par infection grippale (IFR, infection fatality rate) en tant que taux de mortalité par cas (CFR, case fatality rate) ».
N’est-ce pas ce que nous avons vu ? Le nombre de personnes qui, selon eux, seraient enterrées dans des tombes communes du COVID-19 reflète mieux le nombre de personnes qui se sont simplement retrouvées avec une toux et de la fièvre. Le Dr Brown a ajouté que les documents des CDC et de l’OMS montrent que le taux de létalité pour la grippe était similaire à celui du coronavirus, ce qui implique que les confinements autoritaires étaient inutiles. Son article se demande pourquoi la saison grippale 2017-2018 aux États-Unis n’a pas « reçu la même couverture médiatique intensive que le COVID-19 ».
Il souligne que « la fiabilité des tests de coronavirus précipités en production pendant la pandémie était inconnue ». Et il explore comment les médias ont commencé récemment à se concentrer sur une augmentation des cas de coronavirus tout en ignorant la diminution des taux de mortalité. Une grande partie de l’article examine comment les confinements et la distanciation (anti)sociale ont probablement eu peu ou pas d’effet sur la réduction des décès dus au COVID-19. Il dit que « la croyance du public selon laquelle les mesures d’atténuation de l’épidémie étaient responsables de la réduction de la mortalité due aux coronavirus peut être une erreur a posteriori si la baisse de la mortalité était en réalité due à la surestimation des décès dus aux coronavirus ».
S’exprimant sur les dommages causés par les contre-mesures, Brown écrit : « L’éthique de la mise en œuvre de campagnes de santé publique fondées sur la peur doit être réévaluée en regard du préjudice potentiel que ces stratégies peuvent causer ». Son rapport comprend ce schéma sur la façon dont nous avons tous été désinformés :
Vous pouvez lire l’article complet de Brown. Il rejette succinctement l’idée que le cas du coronavirus a quelque chose à voir avec le bien-être du peuple. Comme l’a averti Albert Camus : « Le bien-être du peuple en particulier a toujours été l’alibi des tyrans, et il offre l’avantage supplémentaire de donner aux serviteurs de la tyrannie une bonne conscience ».
Source : https://doi.org/10.1017/dmp.2020.298 (accès libre)
Note à l’intention de mes fidèles lecteurs. Dans un prochain billet je tenterai d’expliquer aussi objectivement que possible quelle est la cause sous-jacente de ce scandale sanitaire planétaire qui affecte des milliards de personnes encore aujourd’hui.
on peut en effet se poser pas mal de questions sur l’efficacité des differentes methodes utilisées dans le monde pour combattre (ou pas) cette maladie.
Il existe aussi quelques questions relatives au role exact de l’OMS ainsi que semble t’il du FMI??
@JH
« » » » » » » »Note à l’intention de mes fidèles lecteurs. Dans un prochain billet je tenterai d’expliquer aussi objectivement que possible quelle est la cause sous-jacente de ce scandale sanitaire planétaire qui affecte des milliards de personnes encore aujourd’hui. » » » » » » »
Mais c’est clair ; c’est pour le bien de la population mondiale des futures générations qu’il faut habituer à moins consommer, à vivre plus prêt de la nature en économisant ses resources pour assurer la transition énergétique , la fin du pétrole et du charbon, la pérenité de la biosphère en éliminant les OGM et les pesticides et l’agriculture intensive
Tout cela c’est organisé par l’Organisation des Nations Unies et ses excroissances que sont le GIEC et l’OMS qui soudoient quelques richissimes capitalistes pour incluquer ces idées aux peuples tout en détruisant la science et les chercheurs en mettant en avant le principe de précaution qui interdit tout nouveau pas dans les énergies du futur : je veux parler du nucléaire bien sûr et pas des renouvelables
J’attends avec impatience votre article
Un début de réponse ??
https://institutdeslibertes.org/les-normes-tueurs-en-serie-dune-puissance/
Les « jeunes » des dernières déceniies n’ont certes pas connu la guerre au moins « mondiale ».
En revanche, ils sont passé de la lutte contre le sida à celle contre le réchauffement climatique puis pour la préservation de la biodiversité, et maintenant contre le coronavirus tellllement mortel (ironie).
Et on s’étonne(rait) d’une forme de nervous breakdown pouvant déboucher sur des actions violentes et « irrationnelles » ,
NB : il n’y a pas que les jeunes (à une époque) qui sont concernés mais ils morflent bien !
29/09/2020 – https://wp.me/p4Im0Q-448
– Avoir honte d’être impuissant ou c’est l’impuissance de la honte qui nous paralyse. Et si nous nous étions trouvés en Allemagne vers 1930, aurions-nous étés nazis par lâcheté ou par conviction ? Et dans l’expérience de Milgram jusqu’où eussions nous poussé le curseur en volts, au-delà du seuil de létalité ? Oseriez-vous répondre (déjà pour vous-mêmes et face à vous-mêmes)?