Dans les statistiques économiques il est rare que le numéro zéro soit utilisé pour décrire une tendance. Zéro c’est la stagnation, le néant. Il a d’ailleurs fallu des milliers d’années pour que l’homme invente ce nombre puisqu’il ne signifie rien de matériel. C’est ce qui vient d’arriver dans les statistiques officielles espagnoles relatives au tourisme : rien, le néant. Le produit intérieur brut de l’Espagne dépend du tourisme pour environ 15 % de son montant. C’est la deuxième destination touristique mondiale après la France et les archipels des Baléares et des Canaries représentent un part majeure de ce PIB. Cette industrie touristique espagnole génère approximativement 190 milliards d’euros de revenus.
Depuis que l’office national des statistiques touristes existe – il a été mis en place à l’époque de Franco quand le gouvernement central de Madrid développa le tourisme côtier au sud de la frontière entre la France et l’Espagne au cours des années 1950 – jamais le nombre zéro n’avait été utilisé dans ces statistiques. C’est maintenant chose faite. Lors des pics de fréquentation touristique environ 10 millions de touristes affluent vers l’Espagne (juin-juillet-août) chaque mois puis cet afflux est redirigé vers les Canaries durant les 5 mois d’hiver, de novembre à mars. En raison de l’épidémie de grippe coronavirale les frontières terrestres, maritimes et aériennes de l’Espagne ont été hermétiquement fermées le 14 mars 2020.
Normalement au cours du mois d’avril l’activité touristique reprend comme l’indique l’illustration provenant des services de statistique du gouvernement espagnol. Cette année 2020 a vu une chute brutale de l’afflux de touristes pour le mois d’avril et il en sera de même pour les prochains mois. Les aéroports internationaux de l’archipel des Canaries, il y en a 6 dont trois fonctionnent normalement 24 heures sur 24, sont désespérément fermés. Les hôtels envisagent d’ouvrir parcimonieusement au cours de l’été mais beaucoup de boutiques ne survivant qu’avec le tourisme et certains petits hôtels resteront définitivement fermés. Et ce sera le même cas de figure pour l’Espagne péninsulaire.
On ne peut que remercier les politiciens pour leur gestion calamiteuse de cette grippe qui finalement n’aura occasionné qu’un maigre surplus de morts par rapport à une grippe saisonnière banale mais détruit des pans entiers de l’économie. Si cette gestion était préméditée alors ces politiciens sont des criminels et devront un jour rendre des comptes aux citoyens poussés par millions dans la misère dont ils ne pourront se sortir que par la criminalité ou le suicide … À méditer.
Source : Wolfstreet.com
J’avais prévu une randonnée itinérante en montagne pendant une semaine avec nuits en refuges, en groupe et un accompagnateur.
Je reste très réservé quant à ma décision : outre le fait que je suis sceptique quant à l’efficacité d’un confinement » normal « , un confinement partiel reste pour moi une stupidité chronique : comme si je devais transporter de l’eau dans une passoire à laquelle on aurait bouché un trou sur deux ; l’eau passera quand même !
Mais surtout, quel est l’intérêt de rester en refuge avec un masque ; dormir sur des matelas les uns contre les autres, avec les masques (?) ; d’être séparés d’1 mètre pendant tout le séjour en refuge ; se laver les mains à chaque fois que l’on touche quelque chose ; ne pas se passer des objets entre nous ; …. et j’en passe ?
Le redémarrage de la rando itinérante en montagne ne passera sans doute pas par ma participation !
J’attends un retour à la » normale » ; vu l’évolution favorable du virus, le confinement — surtout partiel — n’a, pour moi, plus sa raison d’êttre !
Mais je me trompe peut-être, je n’ai pas la science infuse — et même pas la science du tout —
Les conseils éclairés d’un scientifique — honnête, JacquesHenry, par exemple — me seront sans doute nécessaire ……. !
Respectueusement vôtre. JEAN
Ici à Tenerife il est obligatoire de porter un masque dans la rue ainsi que dès qu’on pénètre dans un lieu fermé, supermarché, boulangerie, magasin de vêtements, etc. C’est tout simplement ridicule pour deux raisons. Si on ne présente pas de symptômes grippaux, fièvre, toux, mal de tête, il est inutile de porter un masque puisqu’on ne risque pas de transmettre la maladie en éternuant par exemple. Deuxième raison : si une particule d’aérosol émise par la toux et contenant le virus arrive sur la conjonctive, c’est bon, on est contaminé. Que je sache un masque ne protège pas les yeux. On trouve ici des visières pour une dizaine d’euros, pourquoi pas un casque de soudeur à l’arc pendant qu’on y est !
Les politiciens manquent totalement de psychologie. Comme au Japon par exemple où les enfants apprennent à l’école à porter un masque quand ils sont enrhumés, ces politiciens auraient été avisés de dire aux populations de porter un masque quand ils présentent ces symptômes grippaux plutôt que de les prendre globalement pour des imbéciles.
Personnellement je me promène chaque jour dans la rue sans masque et j’ai remarqué qu’on me regarde de travers et qu’on m’évite comme si j’étais quelqu’un de dangereux : c’est tout à fait révélateur de la stupidité des foules déjà façonnées, formatées par la propagande gouvernementale à deux pas de consentir à l’asservissement total (cf. Estienne de la Boétie). Tout simplement affligeant !
Peut-être faut- il quand même se demander comment un individu malade mais asymptomatique fait pour ne pas transmettre ses virus à toutes ses rencontres ? Pour le moment on n’a pas encore à notre disposition de virusomètre comme on a un tensiomètre à la maison.
Je porte un masque dehors par estime pour les autres et j’ai la chance de porter des lunettes pour compléter.
Les gaulois ont une longue tradition de bravoure souvent mortelle. Mes racines anglaises me rappellent qu’il est sage d’ébouillanter la théière avant de faire le breuvage !
« …comment un individu malade mais asymptomatique fait pour ne pas transmettre ses virus à toutes ses rencontres ? »
Il ne le fait pas. L’OMS a dit :
« We have a number of reports from countries who are doing very detailed contact tracing, » …. « They’re following asymptomatic cases. They’re following contacts. And they’re not finding secondary transmission onward. It’s very rare. »
Tout est une question de rapport entre le risque que l’on prend soi-même et la précaution que l’on accorde aux personnes sensibles.
Pour cela il faut faire preuve de discernement et aller au devant des informations pour une évaluation si l’on ne veut pas suivre le bourrage de crâne de ceux qui ont le pouvoir de décision et d’influence.
Dans une société où chacun s’abrite derrière des lois, des droits (qu’ils réclament pour chaque identité communautaire), alors la distanciation n’est que le résultat de la lâcheté individuelle des membres d’une société.
Si les mineurs avaient peur du coup de grisou ils descendaient dans le trou et ils étaient fier de leur métier. A chacun de voir des exemples qui montreront que nos anciens avaient, eux, du courage.
Nos générations en cours, en occident, sont formatées par l’ignorance et carottées par la mièvrerie « bisounours » pour en faire des moutons … ou des veaux gaulois selon les pays lol
la france n est pas la 1ere destination mondiale, loin s en faut, la france reste une destination de transit essentiellement, en effet dans les chiffres , l insee compte par exemple les migrants comme touristes, mais surtout compte les allemands qui se rendent en espagne et cela 2 fois a l aller bien sur et au retour, une famille de 4 personnes qui ne fait que traverser la france en faisant le plein compte donc pour 8 touristes. l insee compte egalement les voyageurs en transit dans les aeroports, une personne qui transit par roissy compte sans meme sortir de l aeroport. quand au montant, le 1er pays sont les etats unis, 186 milliards par an, espagne 62 , france 56. encore un doux reve des politicars qui croient que la france est le centre du monde alors que c est juste une chiure de mouche dont personne n a rien a foutre.
quand aux masques, lunettes et autres visieres, c est pitoyable, les anciens avaient juste peur de mourir dans la honte, maintenant les gens ont juste peur de mourir, j ai encore la chance d avoir fait 2 infarctus massifs en janvier et pas en avril, je serais mort, car depuis l etat d urgence sanitaire, les hopitaux ne soignent plus, mais il parait que les infirmieres et les medecins sont debordes !!!!!!!!
En 2019 l’archipel des Canaries a accueilli 18 millions de touristes pour une population de 2,15 millions d’habitants. Ces touristes ont été dénombrés à leur arrivée par avion ou par bateau et non deux fois. Les passagers des liaisons inter-îles maritimes ou aériennes n’ont pas été pris en charge dans ces statistiques. Il ressort que rapporté au nombre d’habitants l’archipel des Canaries est de très loin la première destination touristique au monde. Il faut espérer que pour sa survie – tout simplement – l’activité touristique reprendra le plus vite possible.
Dès que j’en ai les moyens je me dévoue avec ma femme pour participer à l’effort national. Viva Canaria 😉