En Grande-Bretagne les Juges de la Haute Cour de justice ont perdu le sens de la réalité des genres.

Les médias britanniques ont pris soin de ne pas divulguer l’identité du couple qui a pris l’initiative d’envoyer leur enfant de 4 ans, de sexe masculin, à l’école revêtu d’un uniforme de fille sous prétexte que ce dernier souffre de dysphorie de genre. La direction de l’école s’est à juste titre alarmée et a accusé le couple en question d’avoir activement encouragé leur enfant mâle à se comporter comme une fille et menacèrent ce couple d’expulser leur enfant. L’affaire, il faudrait plutôt dire un évènement exceptionnel, a suscité quelques remous et ce couple, convaincu qu’il oeuvrait pour le bien de cet enfant, a porté le cas devant la justice afin d’obtenir une justification de leur attitude envers l’enfant – de quatre ans – et éventuellement une compensation financière.

Ce couple, il faut le constater totalement déconnecté de la réalité, a produit des rapports d’experts spécifiant que l’enfant n’avait pas encore totalement vécu la transition de mâle à femelle qui a lieu à l’âge tendre. Le juge, un dénommé Williams, a instruit l’affaire. Il a décrit les parents comme étant « à l’écoute et prudents » et que l’enfant n’avait pas souffert de cette transition sexuelle vers un état féminin se produisant à un très jeune âge, ajoutant qu’il va de soi que la poursuite de la procédure ne relevait pas de l’intérêt social de l’enfant et que toute procédure devrait maintenant être fondée plutôt sur le fait que ces préoccupations devaient être dissipées. Cependant le juge a omis quelques détails relatifs à ce couple qui a eu un autre enfant, âgé de 13 ans au moment des faits relatés ici, et qui a effectué sa transition sociale de « genre » dès l’âge de 7 ans. Curieux tout de même … L’enfant de 4 ans dont il est question a été adopté et « mis en transition », quant à un autre enfant adopté également par ce couple ayant vécu 3 ans au sein de ce dernier et a été transféré par les services sociaux dans une autre famille d’accueil il y a maintenant 10 ans présente des troubles identifiés comme une dysphorie de genre.

La décision raisonnable en apparence du juge a été vivement critiquée sur le blog « Transgender Trend » qui a suivi attentivement cette affaire hors du commun. C’est en ces termes que ce blog a qualifié la décision du tribunal :

« Cette décision du tribunal des affaires de famille crée un dangereux précédent. Aucun domaine relatif à la garde d’enfants ne doit être confié à des idéologues, aucune approche ne doit écarter les connaissances acquises sur le développement et la psychologie de l’enfant ni aucun traitement adapté aux conditions psychologiques d’un enfant ne doit être écarté car dans ces cas les règles normales ne s’appliquent plus. En d’autres termes ce jugement est une véritable insulte pour le couple d’accueil et met en danger les enfant vulnérables« .

Ça laisse rêveur …

Source BioEdge. Brève remarque : ce couple récidiviste dans l’induction d’une confusion des genres auprès d’enfants en bas âge devrait subir un traitement psychiatrique lourd ou être tout simplement emprisonné pour atteinte à l’intégrité psychique d’enfants pouvant être assimilée à de la torture. Ce fait divers révèle aussi l’état de décadence avancée des sociétés occidentales et sans vouloir offenser qui que ce soit j’écris ici clairement que les mouvements dits LGBT entrent dans cette catégorie décadente. Dysphorie : état de malaise, opposé à euphorie.

12 réflexions au sujet de « En Grande-Bretagne les Juges de la Haute Cour de justice ont perdu le sens de la réalité des genres. »

  1. D’après ce que je lis, ce couple semble utiliser la justice pour justifier voire légitimer son comportement éducatif qui relève de la pathologie psychiatrique.
    Je me mets à la place du môme qu’on a habillé en fille et j’imagine qu’à l’école, il a dû vivre un enfer. Les enfants entre eux dans les cours de récréation ne se font pas beaucoup de cadeaux.

  2. Si on envoie ce couple en asile psychiatrique alors c’est une partie de la classe médiatique, du personnel politique et de l’oligarchie financière qu’il faudrait envoyer au même endroit, sans compter un ensemble de gens, dont des féministe, extrémistes, qu’il faudrait enfermer au même endroit.
    Bien qu’il puisse exister des cas extrêmes, je pense que nous avons là des personnalités faisant preuve d’une même déconnexion à la réalité qu’un bon nombre de gens se situant au plus haut de l’échelle sociale, il n’est qu’à voir notre président qui, l’année dernière, avait organisé une gay pride à l’Élisée.
    Je pense que c’est un phénomène collectif touchant d’autant plus, comme c’est souvent le fait, les plus fragiles des citoyens et, en situation de fin d’un système sociale, là celui de l’Union-Européenne et de notre domination par l’empire U.S., atteint d’avantage, voire majoritairement ce plus haut de l’échelle sociale.
    Il y a une dimension fantasmatique dans cet ensemble de concepts qui, il est vrai, pourrait nous faire penser, parfois avec raison, à des délires psychotiques, du-moins de ce qu’il me semble.
    Mais d’un autre coté la « théorie du genre » répond formidablement au relativisme que génère le néolibéralisme, puisque en effet rien n’a de valeur que de celui du seul argent, ce qui veut dire que la valeur de toute chose ne se pèse qu’à cette seule valeur là, le reste devenant de fait que de la dimension du seul néant.
    Peut-on acheter le sexe d’un enfant en lui choisissant mâle ou femelle?
    Bien sûr que non!
    Dès lors, qu’il ait un zizi ou une zezette, peu importe, puisqu’il n’y a pas à l’acheter, il est dès lors possible de le choisir à sa guise.
    Et si, dans ce cas là les parents, de substitution ou pas, peuvent très bien décider du sexe de l’enfant, quand bien même serait-il inverse que ce que la réalité biologique montre d’évidence, le reste n’étant plus que de la justification de ce choix.
    Et si, devenu grand, il se sent mal dans sa peau parce que ne sachant plus qui il est parce que ses parents se sont trompés, qu’importe, puisqu’il pourra se payer des séances de psychanalyse, ce qui sera, pour eux, quelque chose de tout à fait normal, puisqu’il s’agira d’un échange marchand.
    En fait, ce délire se devrait d’être traité par la prison et non pas par la psychiatrie, mais pour cela il va falloir remettre en cause une ensemble de présupposés idéologiques qui, pour l’instant, reste au cœur du fonctionnement de nos sociétés.

  3. Merci theuric 🙂 .
    Je crois que des minorités agissantes ont décidé d’inverser les valeurs de nos sociétés et qu’elles agissent très efficacement au coeur de nos organes de pouvoir.
    Dernier exemple en date : l’Eurovision qui non seulement s’est déroulé dans un état microscopique dictatorial du Moyen-Orient qui pratique l’Apartheid, mais encore notre ministère de la culture qui représente le pays des droits de l’Homme et les valeurs de la république (liberté, égalité, fraternité) a laissé sélectionner pour représenter la France une personne LGBT qui est sur le plan artistique inexpérimentée et qui a encore tout à apprendre.
    Nous avons pourtant une infinité de jeunes auteurs, compositeurs et interprètes qui auraient fait infiniment mieux, quelles que soient leurs origines ethniques ou sociales.
    Michel Tournier a appelé ce phénomène « l’inversion maligne des valeurs » pour caractériser l’avènement des totalitarismes dans son livre « Le roi des aulnes ».
    L’inversion maligne des valeurs porte en lui la signature de la décadence (les croyants diront « la signature de Satan »).
    Ce n’est pas nouveau, c’est ce qu’on a vu dans les « années folles » à l’aube de la crise de 1929 où l’on a assisté à une banalisation de masse des comportements sexuels confus (les psys parlent de « déviances »).

    • Cher Camembert Électrique,
      Je pense qu’ils n’ont pas décidé de renverser les valeurs mais, plutôt, qu’ils ont Bâti collectivement une déviance qui est la résultante de leur idéologie, ceci en raison de leur perte d’identité ayant généré un affaiblissement de leurs processus psychiques ,ceci en raison de leur sentiment d’appartenir à une élite mondialisée qui, en réalité, n’existe que dans la résultante de leur présupposé idéologique.
      Ou dit autrement, ils sont devenus fous à force de croire à leur dogme d’une manière rigoriste.
      Comme celui-ci relativise tout et que chaque chose ne peut que valoir chaque chose, il en va de leur identité comme de toute autre chose, leur existence psychologique en est gravement perturbé, ce que j’appelle une indétermination d’être, où les pulsions prennent la place à la raison, en un processus inconsciemment suicidaire, non pas parce qu’ils cherchent à être détruit mais parce qu’ils sont dans l’impossibilité de se projeter avec précision dans le futur, ce qui fait qu’il leur est impossible de déterminer les causes avec leurs effets, de pouvoir déterminer ce vers quoi telle décision pourrait bien générer.
      Ce qui leur donne une tête vide et un corps mou.

      • Le plus amusant en cela c’est que chacun peut trahir l’ensemble (il ne s’agit pas d’un groupe et encore moins une communauté), ce qui fait que chaque pays du monde peut savoir ce qu’il se trame au sein de l’Union-Européenne, même s’ils cachent à la population ce qu’ils peuvent mettre en place.
        Macron peut très bien trahir Merkel et réciproquement par exemple, puisque chaque chose égale chaque chose, si chacun en tire un bénéfice immédiat, bien sûr.

  4. Ces gens sont dérangés. Est-il normal de leur confier des enfants qui souffriront plus tard de ces mauvais traitements ❓

    HS : à Luxembourg, pays riche, on supprime les trains sans prévenir, sans autre. C’est récurrent. Rien à voir avec le Japon, dont les sociétés s’excusent avec sincérité lors de défaillance. Après les TDC verts s’étonnent que les gens se motorisent.

    • Puisque vous mentionnez les trains au Japon, lors de mon séjour de 5 semaines j’ai eu l’occasion de prendre le Shinkansen l’avant-veille de la fin des vacances. Nous n’avions pas de places réservées et les couloirs étaient bondés. J’ai fait le voyage d’environ une heure dans le petit espace fumeur parfaitement propre. Existe-t-il des espaces fumeurs dans les TGV français ?

      • En Europe, tout est non fumeur. De toutes façons, ce n’est pas très propre.
        En France, c’est souvent crados…

  5. En ce qui concerne la fin de ton billet. Il faut à mon avis séparé LGB de T. Les trois premiers sont des choses naturelles alors que T relève d’une pathologie. Les LGB se sont fait avoir dans cette histoire.

  6. Pour des raisons liées à l’écriture d’un prochain livre, je viens de revisionner en VO l’excellente trilogie « Matrix » des « Wachowski Brothers », originaires de Chicago IL, où il est question de démiurgie et je me suis aperçu en allant sur Wiki et IMDB que c’étaient maintenant des soeurs !
    En effet, ces génies du 7ème art se sont faits opérer et ont changé de sexe, l’un à l’âge de 45 ans et l’autre à l’âge de 46 ans. Ce sont maintenant « les soeurs Wachowski » :
    https://fr.wikipedia.org/wiki/Lana_et_Lilly_Wachowski
    J’avais regardé avec beaucoup de plaisir la première saison de l’excellente série « Sense8 » dont ils sont à l’origine et je constate que ces changements de sexualité et donc de physiologie n’ont pas affecté leur talent.
    Tant mieux pour les cinéphiles 🙂

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