Réchauffement climatique : dans le genre « fakenews » tous les records viennent d’être battus !

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La physique des nuages est une science complexe car elle est multifactorielle et ces facteurs sont interdépendants, ce qui chagrine les spécialistes de l’atmosphère et du climat, car qui dit nuages dit effets de serre et changement climatique, cela va de soi, mais l’étude des nuages se prête très mal, pour cette raison à la modélisation à l’aides plus puissants ordinateurs. Le CalTech (California Institute of Technology) à Pasadena en Californie dispose justement de très puissants équipements de calcul et héberge le Jet Propulsion Laboratory, un environnement très favorable pour s’amuser à simuler la formation et la disparition des nuages dans l’hypothèse d’un réchauffement du climat à venir.

Et c’est ainsi que les choses deviennent carrément grotesques. L’équipe du Docteur Tapio Schneider s’est fendue d’un modèle expliquant la formation des nuages en fonction de la teneur en CO2 de l’atmosphère, donc d’une augmentation des températures perturbant gravement les zones intertropicales.

Ils ont trouvé grâce à cette modélisation qu’une élévation des températures globales dans cette région du globe allait littéralement volatiliser les nuages de moyenne altitude, qu’il ferait donc encore plus chaud et que le phénomène s’accélérera tellement qu’au final il n’y aurait pratiquement plus de nuages du tout. C’est fantastique en un sens parce qu’il n’y aurait plus d’ouragans, de typhons et de cyclones, appelez-les comme vous voudrez. Ce qui est incroyable est le fait que l’éditeur de Nature Geoscience dont le numéro paru le 27 février 2019 fait état de cet immense et très sérieux travail ne s’est même pas rendu compte que c’était de la fausse science, une véritable « fakenews » tellement grossière qu’elle est passée inaperçue.

Dans leurs modélisations ces « savants » ont ignoré un paramètre trop souvent oublié par les climatologues dont j’ai souvent mentionné l’existence sur ce blog : le gradient adiabatique atmosphérique qui produit un refroidissement de l’air en fonction de l’altitude et je peux assurer mes lecteurs qu’ayant souvent pris l’avion à partir de villes situées dans cette zone intertropicale la température extérieure diminue nettement quand l’aéronef s’élève dans les airs. Et si l’air est chargé d’humidité sous forme de vapeur d’eau, quoiqu’il arrive par ailleurs, CO2 ou pas, cette vapeur d’eau ne pourra que se condenser et provoquer la formation de nuages.

Les auteurs de cette percutante simulation ont même prévu par rétroaction une augmentation de la température moyenne de 8°C si la teneur en CO2 triplait, c’est-à-dire si l’humanité toute entière ne fait pas de gigantesques efforts pour réduire les émissions de carbone.

Quand on songe que de tels travaux sont financés par les contribuables on est à la limite des larmes. Néanmoins le Washington Post a repris l’information, il fallait s’y attendre, ainsi qu’une multitude de sites internet dont celui-ci : https://www.quantamagazine.org/cloud-loss-could-add-8-degrees-to-global-warming-20190225/ . Les fakesnews climatiques ont encore un très bel avenir devant elles : il y a encore un long chemin pour établir une gouvernance mondiale afin que celle-ci réduise à l’esclavage l’ensemble de la planète au profit de quelques poignées d’initiés. Un bel avenir qui se profile parce que tout est déjà prêt et cette fakenews fraîchement sortie est là pour nous préparer à la repentance ultime à moins de mourir grillés. Du grand n’importe quoi !

12 réflexions au sujet de « Réchauffement climatique : dans le genre « fakenews » tous les records viennent d’être battus ! »

  1. Comme Jacques Henry, j’avoue que je suis dubitatif.
    En effet, si on se réfère au schéma de principe de Schneider, on comprend que l’albédo des nuages est de 100 % et crée un refroidissement au sommet des stratocumulus qui vont les « pousser » vers le bas, et cette force de poussée est modélisée comme étant fonction de la teneur en CO2 de l’atmosphère. Jusque là, je veux bien, mais j’ai quelques doutes sur le principe physique responsable de la descente des nuages.
    Après vérification, les stratocumulus sont des nuages bas de formes variées situés entre 600 et 2500 m d’altitude avec des températures comprises entre +11 °C et -1 °C (https://www.deleze.name/marcel/physique/TemperaturesEbullition/table_temperature_atm.html), le tout pour une pression théorique de 1 bar plus ou moins quelque chose selon les conditions météorologiques locales.
    Sur un plan purement physique, le rayonnement solaire atteint le sommet du nuage, l’albédo est généralement de 0.75 pour les nuages compacts bas, une partie de ce rayonnement (les 25 % non réfléchis) sert à réchauffer le nuage pendant qu’une fraction résiduelle très faible arrive à le traverser ; ainsi, le nuage est chauffé partiellement et l’air humide va s’élever logiquement pour se condenser encore plus, du fait du gradient adiabatique de l’atmosphère. On ne peut donc pas s’attendre à ce que ces nuages descendent mus par une force liée au rayonnement. Que le nuage s’enrichisse en gouttelettes d’eau en état de surfusion et en microcristaux de glace, et là bien entendu il pourra descendre par gravité, du fait de sa masse volumique plus élevée. Si on veut pinailler, on peut ajouter que la chaleur qui rayonne du sol vers le nuage doit l’aider à maintenir une altitude minimale.
    Mais on ne voit rien de tout cela dans le schéma proposé par l’auteur, ce qui me fait supposer que la situation où les stratocumulus perdent de l’altitude comme l’indique l’auteur ne coïncide peut-être qu’au cas particulier où leur albédo est de 100 %, et encore (?).
    En toute logique, l’hypothèse qui est présentée devrait être fausse ou juste théorique.
    Ou alors quelque chose d’important a dû m’échapper à la lecture du résumé journalistique.

  2. Erratum : je retire mon commentaire précédent qui est faux, car après un court repos, j’ai repris ce schéma sans aucune annotation que je ne comprenais pas, et miracle, je viens enfin de comprendre 🙂 .
    Les auteurs considèrent donc un nuage bas (stratocumulus) qui ne perd pas son eau (pas de pluie), de 370 m d’épaisseur, et qui est situé entre 900 et 1270 m d’altitude. Dans leur schéma de principe en couleurs, en jaune, c’est le soleil qui est réfléchi, qui chauffe le nuage et qui finit par le traverser et chauffer la terre et les mers. L’albédo est de (1-106/471), soit 77.5 %. On n’est pas loin des 75 % dont j’avais parlé, c’est cohérent. En orange, ce sont les pertes de chaleur (infrarouge), le nuage perd sa chaleur par le haut, c’est logique. En bleu, c’est l’évaporation des mers et des océans.
    La variation de température selon la hauteur est constante, c’est le gradient adiabatique qui ne dépend que de l’altitude. L’ensoleillement est constant. Les auteurs nous disent qu’en introduisant un peu de CO2 dans l’atmosphère (conditions initiales = 400 ppm/290 °K = 17 °C; scénario 1 = 1200 ppm/294°K = 21 °C, scénario 2 = 1300 ppm/305 °K = 32 °C), ils font tourner une simulation numérique pour voir quels seront les changements entraînés.
    Le résultat du scénario 2 est que l’évaporation des mers et des océans va légèrement augmenter de 14 W/m2, et les pertes de chaleur des nuages vont diminuer de 12 W/m2. Le nuage formé sera moins épais (350 m contre 370 m) et il a baissé d’altitude (de 200 m). Sa masse volumique a donc augmenté; il est donc devenu plus dense. Pourquoi ? Aucune idée. C’est le principe qui a été suivi pour la simulation numérique je suppose.
    Dans ces conditions, comme le gradient adiabatique est constant, que les paramètres de pression et de températures sont supposés identiques (sauf indications non écrites), l’eau qui s’est évaporée en plus grande quantité va former un nuage plus élevé, refroidir puis redescendre à cause de sa plus grande densité, et perdra moins de chaleur car situé à une altitude moins froide.
    Jusque là, c’est cohérent, à part l’augmentation de densité non expliquée.
    Le scénario 2 est dans la même veine : une plus grande quantité d’eau s’est évaporée (on est à 32 °C de température au niveau de la mer), les nuages formés sont au départ plus gros mais la simulation indique qu’ils se condensent fortement, preuve qu’ils ont dû monter plus haut en altitude avant de redescendre plus bas de 135 m par rapport au scénario 1 et qu’ils sont tellement denses car plus froids qu’ils se mettent à se fragmenter. C’est la nouveauté. Pourquoi se fragmentent-ils ? Pourquoi ne provoquent-ils pas de la pluie, ou de la grêle ? Aucune idée, c’est une hypothèse qui doit découler d’un certain nombre de choix dans la simulation numérique dont on n’a pas connaissance.
    Conclusion: une plus grande quantité d’eau a été évaporée suite à une situation de réchauffement, les nuages n’ont pas disparu. Ils se sont transformés. Comment la simulation permet-elle de démontrer qu’on aura bien des stratocumulus et pas des cumulus voire des cumulo-nimbus, ou encore pourquoi ces nuages ne donnent-ils pas de pluie, de grêle, de bruine, etc.? La simulation ne le dit pas. Donc, prétendre qu’un réchauffement climatique éliminera les nuages de l’atmosphère est en effet une « fake-news » par sur-interprétation d’une simulation numérique dont on ne connaît ni les variables, ni les paramètres pris en compte. L’idéal serait d’avoir l’article sous les yeux et de l’analyser finement.

    • ah les nuages…
      quand je navigue, j’ai toujours uneespèce de fascination à observer les nuages.
      Comme d’habitude, et comme dans toutes les « études » parlant de climatologie, la seule variable dont on omet de parler, c’est la pression.
      L’arrivée de nuages est toujours le signe d’une dépression et inversément.
      Au plus la t+ de la mer est élevée, au plus l’évaporation est forte, et en présence de t° froides en altitude, la condensation en nuages, induit une chute de pression( la vapeur d’eau est moins dense que l’air, raison pour laquelle elle s’élève rapidement vers les hautes couches) c’est la formation classique d’un ouragan.
      Les rayons du soleil sont réfléchis au sommet du nuage( ce sont des micro gouttelettes d’eau) qui d’ailleurs est uniformément blanc sur sa face supérieure.
      Une partie traverse le nuage par diffraction.
      Mais jusqu’à preuve du contraire, rien n’est absorbé, sinon le nuage se déliterait immédiatement, et il n’émet guère, (surface blanche, et t° négative)
      cela est d’ailleurs conforme à l’observation, car il peut perdurer des heures( on ne voit d’ailleurs guère de mouvements internes dans le corps du nuage)
      D’ailleurs pourquoi s’a’grège-t-il pour former une masse assez stable,flottante telle un ballon, alors qu’elle recèle une masse considérable d’eau.
      Mais en plus, les micro gouttelettes pour se former ont besoin d’un ‘initiateur, aérosol, impuretés, poussières( ce que l’on observe sur les parois d’un verre de champagne)
      Bref, c’est … compliqué ma bonne dame
      C’est d’ailleurs intéressant de se poser la question:
      par quel mécanisme d’attraction répulsion des gouttelettes,se forme le nuage,qui recèle une masse d’eau considérable,et dont la densité doit être moindre ou égale à l’air environnant, sachant que le frottement incessant entre les gouttelettes génère des forces électrostatiques?
      J’ai l’impression que la clique verte fait le forcing pour imposer des lois, des réglements, qui une fois adoptés, deviendront définitifs(ch l’heure d’hiver), peut-être appréhendent ils que la nature finisse par leur asséner un démenti par un refroidissement?
      Je ne vois aucune autre raison pour trouver une explication au florilège incessant , virant au matraquage ,d’imbécilités qui sont colportées par les médias

      • Il y a une raison évidente : faire payer tout le monde avec la « taxe carbone » qui ne peut être applicable que si tous les pays l’acquittent. Pour mettre en place cette taxe il faudra instituer un gouvernement mondial coercitif et l’ONU ne peut le faire, ce n’est pas prévu par ses statuts. En conséquence, pour enrichir les grands groupes financiers et industriels transnationaux car il s’agit de sommes d’argent gigantesques mises en jeu pour décarboner la planète, des organisations opaques comme le Club de Bilderberg et le Forum de Davos, les deux faces d’une même mafia, sont très actifs. Le Green New Deal que voudrait mettre en place aux USA les Démocrates coûtera au bas mot 94000 milliards de dollars en 10 ans, qui va payer ?

      • je crois que c’est plus grave que cela
        s’il y avait un « complot », une manoeuvre,il y aurait des intérêts divergeant, et une polémique.
        Or, il n’y a pas de polémique, elle est même interdite
        https://www.forbes.com/sites/paulhsieh/2019/02/26/should-therapists-treat-climate-change-denial-as-a-psychological-disorder/#ed79ba91e2b2
        par la faculté…
        je suis persuadé que parmi les vrp en poele à frire, une majorité est absolument sure du pire, que ce soit pour le climat ou autre chose, au choix, et il est vaste
        quant au public, il a peur que le ciel ne lui tombe sur la tête,
        c’est la raison pour laquelle vous ne pourrez contrer ce mouvement avec la sciences, on en est plus là depuis longtemps.
        Essayez donc de tenir un discours rationnel avec un témoin machin, avec un religieux.
        On a bati des cathédrales alors que la populace crevait de faim,sur base de cette même peur.
        Et je tiens le pari que même si la seine est gelée au mois d’avril, on continuera à payer grave la taxe carbone que personne ne s’avisera de remettre en question.
        bah, la pauvreté heureuse, c’est tentant non?

      • @joletaxi : Merci pour cette page de blog qui rend enfin intelligent sur le climat 🙂 .
        C’est toujours un plaisir de voir des vieux renards de la science comme Spencer (ou Lintzen) tailler des shorts aux jeunes loups en blouse blanche qui voient du réchauffement climatique derrière chaque bourrasque. Spencer a été formé dans une excellente université (Madison, Wisconsin) que doit bien connaître Jacques Henry. Il est le père de la surveillance satellitaire des températures, ce qui le met à l’abri des critiques trop violentes de la mafia réchauffiste. Il porte en lui le regard du climatologue de terrain, peu impressionné par des modèles informatiques qui n’ont toujours rien donné de conforme par rapport aux observations sur le moyen terme. Quand ces modèles obéiront vraiment à toutes les lois de la mécanique des fluides et de la thermodynamique sur des mailles de petite taille (1 à 5 km), on disposera d’un formidable outil de prévision. En attendant, les fans de simulations informatiques sont condamnés soit à vraiment améliorer leurs modèles, soit à faire de l’enfumage par presse interposée. Je crains que -comme le pense Spencer sur son blog- que le réchauffement climatique ne parte en fumée si les modèles s’améliorent vraiment et se mettent -ô miracle- à refléter la variabilité naturelle du climat. On va donc devoir se taper du réchauffement climatique à toutes les sauces pendant au moins 20 ans. Même si un épisode glaciaire survient d’ici là comme cela a été le cas cet hiver au Canada et dans les états nord-américains.

  3. Nos réchauffistes n’en sont pas à une contradiction prêt. Certains prétendent que le réchauffement va entraîner la multiplication des sècheresses. D’autres sont persuadés que l’air plus chaud va développer l’évaporation, former des nuages, et donc plus de pluies.
    . Si l’un se trompe, l’autre aura raison. Ils ne se contredisent pas, puisqu’ils sont dans le même camp. Pour tous, la mission est remplie ; l’essentiel étant toujours d’être du bon côté,…… Quel que soit le côté !
    Climatiquement vôtre. JEAN

  4. La modélisation des nuages est un domaine qui est encore au stade de la recherche, et selon le Centre National de Recherches Météorologiques de Toulouse (2019) :
    « Si les phénomènes dynamiques et thermodynamiques à l’origine de la formation des nuages sont relativement bien compris, comme par exemple la détente adiabatique que subit de l’air chaud et humide qui s’élève dans l’atmosphère, de nombreux phénomènes microphysiques restent encore à élucider : comment se forment par exemple les embryons de précipitation, ces grosses gouttelettes qui vont déclencher la production de la pluie ; quel est l’impact sur les gouttelettes de l’entraînement puis du mélange d’air sec environnant dans le nuage ; comment les émissions anthropogéniques affectent elles les nuages ?
    D’autre part, des phénomènes de si petites échelles ne peuvent pas bien sûr être décrits explicitement dans les modèles numériques et doivent donc être paramétrisés (1). Les nuages sont encore très difficiles à représenter et il est admis qu’ils constituent la principale source de divergence des modèles, aussi bien pour la prévision du temps que pour le changement climatique. » .
    Source : https://www.umr-cnrm.fr/spip.php?rubrique192
    (1) : paramétrisation : sous-modèle informatique censé représenter statistiquement un phénomène météo donné à une petite échelle (par exemple, je veux de la grêle qui tombe sur une surface de 5 km carrés, je sors la paramétrisation correspondante d’une bibliothèque de programmes informatiques météo, je l’intègre à mon modèle en introduisant les bons paramètres comme la surface de 5 km2 par exemple, puis je fais ensuite tourner le tout en mode simulation).

  5. Note en passant : l’intérêt principal de cet article (dont la conclusion me paraît exagérée) est de montrer visuellement que les chercheurs en météo ou en climato travaillent dans leurs modèles avec des énergies surfaciques (Watts par mètre carré). En effet, la première notion qu’on apprend en thermodynamique est que la température est une grandeur intensive (on n’a pas le droit de faire de moyennes de °C ou de °K), alors que l’énergie est une grandeur extensive qui se prête aux calculs de moyennes (on a le droit de faire des moyennes de Watts/m2). Faire des simulations et convertir des énergies moyennes en températures moyennes peut se concevoir et cela a du sens du point de vue thermodynamique, en gardant en tête qu’une moyenne de températures obtenue à partir de relevés sur différents points du globe n’a pas de signification physique précise.
    L’exemple le plus parlant est la température dans une maille d’un centaine de kilomètres autour du lac Léman qui est à 20 °C alors que la température du sommet du Mont Blanc est de- 20 °C par exemple. Dire que la température moyenne entre le lac et le sommet est de [+20°C – 20 °C]/2 soit 0 °C a-t-il un sens quelconque ? Non bien entendu. Par contre, si on raisonne en énergie, en enthalpie par exemple, on pourra faire des moyennes qui seront par contre pondérées, comme l’enthalpie est par définition dH = m.Cp.dT, où m est la masse d’une zone d’air considérée, Cp la capacité calorifique de cet air (sa capacité à absorber et à retenir plus ou moins de la chaleur) et dT est l’écart de température entre deux zones qui vont subir un transfert de chaleur dH (le lac et le sommet qui ne sont pas à la même température vont provoquer un transfert de chaleur du plus chaud vers le plus froid). Ce transfert de chaleur va s’accompagner d’un transfert de matière (courant d’air chaud).

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