France : Le retour de Louis XVI

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Traduction d’un billet du journaliste Martin Sieff paru sur le site strategic-culture.org le 29 décembre 2018. Bonne lecture pour bien commencer l’année : il ne faut jamais oublier l’histoire passée. En caractères italiques en français dans le texte original.

Le Retour de Louis XVI : Emmanuel Macron, Roi de l’Ancien Régime

Il est facile de confondre le jeune et ridicule Président français Emmanuel Macron au Roi de France Louis XVI, libéral et adepte du marché libéral. Les extraordinaires prétentions de Macron à la dignité et à être un roi, loin de l’élever, lui ont ôté toute la crédibilité que les médias traditionnels, serviles, stupides et corrompus tant de l’Europe que des Etats-Unis ont voulu lui attribuer. Loin d’amener la Cinquième République à de nouveaux sommets et réalisations il est déjà tout à fait clair que Le Jeune Macron est en train de la détruire. Le contraste avec le fondateur de cette Cinquième République, le grand et vraiment régalien Charles de Gaulle ne pouvait pas être plus marqué.

Du haut de ses 1,96 mètres De Gaulle dominait son pays de plusieurs manières. Deux fois il fut littéralement le sauveur de la France, d’abord en tant que chef de la résistance française libre contre les Nazis et Président de la France de 1944 à 1946. Puis de retour au pouvoir en 1958 De Gaulle sauva son pays de la désintégration et de la guerre civile. Il mit fin au long et sanglant conflit algérien, il survécut à au moins 6 tentatives d’assassinat et a fait de son pays le plus puissant et le plus prospère d’Europe Occidentale. Il a également défié les USA à plusieurs reprises en critiquant la guerre du Vietnam et établi une relation durable d’amitié et de compréhension mutuelle avec l’Union Soviétique.

Physiquement Macron n’est pas petit de par sa taille de 1,78 mètres mais il agit petitement. Un an seulement après son entrée en fonction il est devenu irréfutable que je jeune Macron se moque de toutes les grandes réalisations de De Gaulle, Le Vieux, y compris la Ve République elle-même. Le jeune Macron, ridiculement, a infligé de nouvelles difficultés ruineuses au peuple français qui a déjà trop longtemps souffert pour satisfaire ses maîtres financiers mondiaux. Il a loyalement prouvé qu’il est le toutou de Washington dans ses décisions mesquines et destructrices d’imposer encore plus de sanctions économiques à la Russie. Loin de soustraire la France à des guerres ruineuses et inutiles dans le monde arabe ou musulman comme Le Grand Charles l’a fait en Algérie, Macron continue de soutenir et de promouvoir avec enthousiasme les interventions désastreuses de l’Occident en Syrie et en Libye.

Le vrai parallèle avec Macron ce n’est pas De Gaulle qui a restauré la richesse, la stabilité, la dignité et la fierté de la France mais Louis XVI, le dernier roi du régime monarchiste mais aussi personnage très internationaliste et libéral. Comme Macron Louis le seizième était un jeune technocrate enthousiaste, arrogant et idiot. Comme Macron il était un révolutionnaire internationaliste et un adepte du libre-échange. Il a soutenu les colonies américaines dans leur révolution réussie contre l’Empire britannique. Comme pour Macron et ses prédécesseurs Sarkozy et Hollande, Louis XVI n’a jamais compris que soutenir des mouvements révolutionnaires à des milliers de kilomètres de son pays pourrait revenir le hanter chez lui. C’est pourtant exactement ce qui est arrivé.

L’effondrement de sociétés ordonnées en Syrie et en Libye a entraîné l’afflux de millions d’immigrants en France et dans d’autres pays européens avec des conséquences sociales désastreuses. Louis XVI a aussi été victime de ce retour de flamme. Le révolutionnaire américain Benjamin Franklin a créé en France des sociétés clandestines qui en moins de dix ans ont renversé le royaume le plus puissant d’Europe. Loin d’être le réactionnaire qui a été qualifié ainsi pendant plus de 200 ans, le Roi Louis faisait partie du club des libéraux et des technocrates à la mode à son époque. Il vénérait en particulier Adam Smith, un économiste britannique partisan du libre échange dont le livre « The Wealth of Nations » (La Richesse des Nations) fut publié en 1776, la même année que celle de la révolution américaine. Dix ans plus tard Louis XVI signa alors le traité de libre-échange d’Eden (1786) avec la Grande-Bretagne voisine.

Comme je l’avais écrit dans ma propre histoire de l’économie en 2012 « That Should Be Still Us » (Ça devrait encore être nous) ce traité s’est avéré être une catastrophe : des produits manufacturés bon marché provenant de l’économie industrialisée britannique plus avancée ont envahi la France tandis que les Britanniques ont maintenu leurs propres barrières douanières pour contrer les importations d’Europe continentale. L’économie française s’est alors effondrée et des millions de personnes se sont retrouvées au chômage et affamées. En trois ans la révolution a éclaté et la monarchie a été renversée.

Louis XVI, comme Macron aujourd’hui, était convaincu que ses théories économiques avancées étaient plus importantes que les petites souffrances du peuple. Il a fallu la Révolution française et la perte de sa couronne puis de sa tête pour qu’il comprenne son erreur. Comme Louis XVI Macron n’a fait preuve d’aucune compréhension ni de sympathie pour les souffrances des gens ordinaires écrasés par sa politique absurde et inutile. Comme le Roi Louis le masque de libéralisme et de compassion de Macron s’est évanoui dès que son propre peuple a osé s’opposer à lui. Comme pour le Roi Louis sa seule réponse est maintenant la répression. Comme pour le Roi Louis il ne lui reste plus aucune idée en tête.

Les « Gilets Jaunes » ne vont pas disparaître. Les Français en ont assez du taux ce chômage réel de 50 % *(voir note), des frontières largement ouvertes à l’immigration, de la réduction des programmes d’assistance sociale et du non-respect des lois et de l’ordre que Macron et l’élite de Bruxelles leur ont imposé. La dernière révolution française n’est pas terminée, elle ne fait que commencer. Macron n’a rien appris de l’histoire, il est condamné à répéter les mêmes erreurs du passé, ce qui précipitera sa chute.

Note. Les statistiques du chômage que ce soit en France ou d’autres pays européens sont extensivement trafiquées. Pour la France officiellement il y a environ 10 % de la population active qui est sans travail. Cette statistique provient des ordinateurs de l’organisme étatique dit Pôle Emploi qui ne comptabilise que les demandeurs d’emploi officiels afin qu’ils disposent d’aides sociales. Il faudrait ajouter à cette statistique officielle toutes les personnes qui ne travaillent pas du tout, du moins officiellement, car ils subsistent gràce à des « petits boulots au noir », ça existe aussi en Espagne, ou bien qui travaillent « à l’essai » pendant 24 jours ouvrés durant un mois et sont gentiment congédiés avec un salaire payé en espèces pour que l’employeur échappe à toute charge sociale, ça existe aussi ici aux Canaries. Enfin il y a tous ces esclaves qui livrent par exemple des pizzas en vélo et reçoivent la prochaine tournée urgente sur leur téléphone portable dont l’abonnement est payé par leur père ou leur mère. En comptant toute cette classe de travailleurs à l’heure, à la journée ou à la semaine pour simplement survivre parce que les employeurs potentiels ne peuvent pas se permettre de payer des charges sociales exorbitantes alors on arrive comme l’écrivait Martin Sieff à près de 50 %. À cette énumération il faudrait ajouter tous ceux que les bobos du XIIIe arrondissement de Paris veulent avec pudeur ignorer : les adolescents et les anciens adolescents qui vivent de toutes sortes de trafics dans les banlieues des grandes villes de France. N’y a-t-il pas là le ferment pour une révolution violente qui pourrait emporter la démocratie française ? L’année 2019 pourrait bien être surprenante pour la France.

16 réflexions au sujet de « France : Le retour de Louis XVI »

  1. Je vous invite à lire l’ouvrage de référence « L’ancien régime et la révolution » d’Alexis de Tocqueville, vous y trouverez une vision radicalement différente sur le libéralisme de Louis XVI.
    Dans son discours du nouvel an, Macron nous a déclaré que le capitalisme ultra libéral va vers sa fin. Qui peut croire au libéralisme de la France championne du monde des prélèvements.

  2. Le libéralisme c’est la liberté, de penser, de circuler, entreprendre, moins d’État, moins de taxes et impôts
    Nous avons le contraire, c’est à dire une République Socialiste, omniprésente, avide, ne sachant produire aucune richesse,une bureaucratie toute puissante, une nomenclature puissante grassement payée.
    Macron est libéral au sens anglo-saxon, un pur socialiste progressiste.

  3. L’outrage fait aux sens des mots sont des maux incomparablement plus graves que nombre de mensonges.
    D’un Ecir à un Guy ce trait est le même de ne pas comprendre,, ne pas pouvoir comprendre, pire même, de ne pas vouloir comprendre la nature du socialisme, et de pas saisir cela, de ne pas savoir ni connaître ce qu’est le libéralisme économique, dès lors et au-delà de ce qu’est le capitalisme.
    Cette ignorance, peut-être .le résultat d’une simple naïve impéritie, peut-être le fait de quelques agents grassement payées par je ne sais quelles officines et donc mentant sans honte ni vergogne, est l’un de la multitude des ferments qui conduisent aujourd’hui les gens de peu à se vêtir de jaunes.
    Libéralisme, capitalisme, socialisme, communisme, tous maintenant disparaissent dans cette tourmente et nos deux olibrius ne font que de jeter une essence sur un feu déjà bien haut.
    Tout comme tous ceux de leur genre, comme Monsieur Macron et son entourage, tout comme l’administration bruxelloise et son patron à la dive bouteille, tout comme Madame Mekel poursuivant le fantasme absurde de tenter une fois encore de recomposer l’empire de Charlemagne ,ils ne comprennent rien et seront bientôt balayés par la tempête qu’ils ont eux-même générée.

    • Ignorant et naïf, je ne comprends rien à ce charabia.
      Libéralisme, capitalisme, socialisme, communisme, tous maintenant disparaissent…
      Alors quelle nouvelle société après la tempête ?

  4. La comparaison avec le Roi Louis le seizième me parait pour le moins hasardeuse, ne serait-ce que par le seul fait que le commanditaire des expéditions de La Pérouse (qui fit escale à Ténérife ;-)) avait lui pour sa part su prendre la charge d’une réelle paternité !
    Et puis, en toute honnêteté, je crois que notre actuel « monarquicule » républicain serait bien en peine, si jamais une situation identique survenait pour lui, de rédiger et de laisser au pays un testament aussi inspiré que celui de ce souverain légitime et pourtant si souvent et injustement brocardé…
    https://fr.wikisource.org/wiki/Testament_de_Louis_XVI_(manuscrit)

  5. D’aucuns estiment que Macron est nul car ils supposent que celui-ci souhaite le bien pour la France et les Francais mais cette hypothèse me semble fausse. Macron profite de sa fonction pour faire avancer son idéologie mondialiste ( destruction des frontières, des valeurs patriotes, du conservatisme etc…). Pour ma part, je pense qu’il est bien meilleur que les précédents présidents pour achever son objectif qui est la destruction de la civilisation occidentale traditionnelle car il fera plus en 5 ans que les précédents en 20 ans.Avec lui, un point de non retour risque d’être dépassé ( immigration Afro -musulmane encouragée pour balayer le peuple  » nauséabond  » et lui casser le moral). Je ne doute pas que ses maîtres ( Goldman sachs, Rotshild…) le rémunéreront grassement ( mais dans un paradis fiscal, faut quand même être sérieux et pro) pour le boulot accompli.

  6. Macron a été financé par le groupe américain KKR afin de gagner son élection présidentielle.
    KKR est un fonds spéculatif milliardaire et accessoirement gros vendeur d’armes dans les conflits du Moyen-Orient. C’est un tentacule privé de l’OTAN.
    Merkel a déclaré au mois de novembre qu’il fallait que chacun des états de l’UE abandonne sa souveraineté. Macron la suit dans ce processus de suppression d’abandon de la citoyenneté de chaque état de l’UE en faisant des discours contre le populisme et le nationalisme, le patriotisme accepté étant pour cette élite de l’UE l’amour d’une union européenne contrôlée par la commission de Bruxelles qui n’a de compte à rendre à personne.
    Macron et Merkel ne travaillent donc pas pour faire de leurs pays des pays prospères, ils sont juste de bons comédiens vendus à des puissances financières supranationales qui ont leur propre agenda.
    L’idée est ainsi de créer un état européen supranational et d’y imposer une économie ultra-libérale en tirant les salaires vers le bas en ouvrant le marché aux plus pauvres (états de l’est de l’UE comme l’Ukraine et surtout migrants africains prêts à vivre avec moins de 200 euros par mois comme main d’oeuvre de substitution aux classes populaires européennes, suite aux accords de Marrakech que la France vient de signer).
    https://www.kas.de/veranstaltungsberichte/detail/-/content/-das-herz-der-demokratie-

    • PS : l’UE est ainsi pour une puissance financière bien cachée un laboratoire dont les expérimentations consistent à transformer un bloc de pays démocratiques en une zone ressemblant à la Chine d’il y a 40 ans, l’objectif étant d’en extraire le maximum de profits sans la moindre contestation sociale.
      Cette expérience est bien évidemment stérile et donc vouée à l’échec.
      Seuls des financiers complètement idiots peuvent croire à son succès.

      • PS2 : cette réflexion en ouvre une autre plus générale : comme Macron a été élu démocratiquement par une majorité de français, est-ce à dire que les français sont des idiots, ou que le système est suffisamment truqué pour n’offrir qu’une seule alternative possible alors qu’il est prétendument démocratique ?
        En fait, les deux mon général : les français sont idiots car peu instruits et peu intelligents, ce qui ouvre la voie aux manipulateurs de tous poils (quand je dis idiots c’est parce que j’ai constaté qu’en moyenne les français en sont encore à penser que la réussite est liée à l’argent et pas à l’intelligence et à l’instruction, d’où leur aversion pour les universitaires, les ingénieurs et autres gens de lettres et c’est bien dommage).
        D’un autre côté, il suffit pour de bons manipulateurs de faire un bon spectacle (les élections et leur cortège de promesses dithyrambiques d’arracheurs de dents auxquelles n’importe personne sensée ne pourrait pas croire) pour faire un tour de passe-passe que les commerciaux savent bien faire pour influencer le choix : « Entre cette lessive à l’emballage terne et cette super lessive qui a une super marque et une étiquette magnifique dont on vous promet monts et merveilles, laquelle allez-vous choisir ? ». Le citoyen lambda votera pour la super lessive qui ne lave rien mais qui coûte très cher.
        Bref les français ont voté pour Macron et pas pour Le Pen. Cela n’aurait rien changé de toutes façons.
        L’essentiel se joue au premier tour, et malheureusement, les français sont trop idiots pour le comprendre.
        On en est malheureusement là, car on n’a que les élites qu’on mérite.

  7. Le Gilets Jaunes peuvent se concevoir comme la réaction tardive des électeurs qui viennent à nouveau de se rendre compte qu’ils ont été trompés pour la énième fois et qui sont obligés de ruer dans les brancards car leur marge de manoeuvre est devenue sur le long terme tellement réduite qu’il en va désormais de leur survie.
    Tels de bons moutons de Panurge, ils ont pourtant fait confiance pendant des décennies à un système qui ne leur veut a jamais voulu du bien.
    Face au précipice, l’instinct de survie revient en force.
    Cette force sera proportionnelle au mal qu’on leur a fait, et elle finira par sortir d’un coup.
    il y aura ainsi beaucoup de violence qui s’exprimera dans les rues dans les semaines qui viennent.

  8. Pour conclure ces réflexions, et pour relier les petites pierres blanches des événements politiques récents, on peut penser que Hulot s’est rendu compte que Macron utilise ses utopies écolo-bobo de petit garçon « soixante-huitard » très apprécié des français pour taxer encore plus les contribuables les plus modestes. Ce qui l’a mis mal et l’a amené à larguer ses amarres d’un gouvernement ultra néo-libéral qui s’est fait passer pour un gouvernement d’une gauche alternative.
    Que Collomb s’est également rendu compte de la même chose, qu’il était assis sur une poudrière sociale prête à exploser et qu’il allait devoir monter au créneau pour justifier une politique aux antipodes de ses convictions socialo-centristes.
    Seuls des amateurs très naïfs sont restés au gouvernement et les actions dont ils sont à l’origine n’ajouteront que de l’essence sur des braises sociales encore chaudes (politique répressive contre les demandeurs d’emploi qui n’ont qu’à traverser une rue pour soi-disant trouver un job, prélèvement à la source qui va faire le bonheur des banques privées qui vont taxer en frais de commission le moindre euro de découvert de trésorerie, etc…).
    Le tout procède de l’écrasement des classes sociales moyennes et de la lamination des classes les plus pauvres. Ces deux dernières classes se retrouveront dans la rue quand les smicards se seront rendus compte que la promesse de Macron sur les 100 euros de salaire supplémentaire était une belle figure de style (en bref, une arnaque).
    Les français sont idiots mais un idiot qui se rend compte qu’il a été pris pour un idiot le prend généralement très mal. C’est une bonne chose car ça lui ouvre les yeux et le rend plus intelligent.
    En bref, ça va péter à partir de février 2019.

    • à Camembert Electrique, « Ce qui l’a mis mal et l’a amené à larguer ses amarres d’un gouvernement ultra néo-libéral qui s’est fait passer pour un gouvernement d’une gauche alternative. »
      Quand prendrez-vous le temps d’étudier sérieusement ce qu’est réellement le libéralisme fondement même de la révolution française et dont vous trouverez la définition précise dans la déclaration des droits de l’homme de 1789.
      Vous constaterez alors combien vous avez été infecté par la propagande marxiste collectiviste et qu’il est grand temps de vous soigner.

      • Détendez-vous l’ami…vous confondez allègrement le libéralisme politique tel qu’il a été défini dans la déclaration des droits de l’Homme de 1789 (en France et également aux Etats-Unis d’Amérique par Franklin et quelques autre), et le libéralisme économique redéfini par Friedman et Hayek dans les années 70 aux USA et dont l’Union Européenne est abreuvée notamment depuis la signature du traité de Maastricht.
        On ne parle franchement pas de la même chose, désolé.
        Mais rassurez-vous cependant, ma santé physique et mon équilibre mental sont excellents, merci pour eux 🙂 .

      • @guy40800 : puisque vous êtes apparemment féru de néolibéralisme, prenez donc le temps de lire la dernière analyse de Jean-Luc Baslé sur l’état économique et financier de l’UE (ce brillant économiste français ayant été le patron de Citigroup à New-York pendant 23 ans est tout sauf un socialo-communiste, rassure-vous), je suis sûr que vous y apprendrez quelques petites bricoles intéressantes :
        https://www.iveris.eu/list/notes_danalyse/398-lavenir_de_leuro_nest_pas_assure

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