Lorsque ma fille m’apprit qu’elle avait décidé de soumettre ses deux filles aînées à la vaccination contre le HPV, le virus du papillome, je me suis empressé de la féliciter. Mes petites-filles furent informées du but de ce vaccin, le Gardasil, consistant à favoriser l’immunité contre les types 6, 11, 16 et 18 du virus qui provoquent des cancers du col de l’utérus, du vagin, de la vulve, de l’anus et du pénis. Mes petites-filles n’étant pas encore sexuellement actives, il était important de les vacciner car le HPV est la maladie sexuellement transmissible la plus courante. Près de 100 % des cancers du col de l’utérus sont provoqués par l’un ou l’autre des sous-types ce virus. Depuis que le vaccin tétravalent est disponible (2006) les statistiques indiquent que le nombre de cancers du col de l’utérus a diminué de 60 % bien qu’il soit encore trop tôt pour que de telles études soient réellement significatives dans la mesure où, en particulier aux USA où ces estimations ont été faites, cette vaccination n’est pas obligatoire et dépend des régulations propres à chaque Etat et du bon vouloir des parents. Par exemple seuls les Etats de Virginie et du Rhode Island avec le District de Columbia ont rendu ce vaccin obligatoire. En France cette vaccination est optionnelle et laissée à l’appréciation des parents. Il faudra encore attendre quelques années pour constater l’efficacité de cette vaccination sur la diminution de l’incidence des cancers du col de l’utérus.
Sachant que les souches 31, 33, 45, 52 et 58 de ce même virus sont responsables d’environ un cinquième des autres cas de cancers du col il a semblé opportun pour le laboratoire Merck de développer un vaccin nonavalent qui a été approuvé en fin d’année 2015. Les autorités compétentes en la matière considèrent que le surcoût de ce vaccin – trois dollars – permettra de réduire significativement la charge financière que représentent les 12000 cas de cancers du col diagnostiqués chaque année aux USA.
Reste à convaincre les parents qui, malgré les mises en garde répétées, considèrent que vacciner leurs enfants, filles et garçons, constitue un encouragement au laxisme sexuel. Inutile de mentionner les opposants à la vaccination qui, pour d’autres maladies contagieuses comme la rougeole, exposent inutilement leurs enfants et ceux d’autres parents à des risques pouvant être mortels. Les opposants à la vaccination ont choisi l’obscurantisme car aucun risque d’effets secondaires n’a pu clairement être établi scientifiquement, ces effets secondaires suspectés relevant du domaine du « possible », une appréciation sans aucune base rationnelle …
Source : Reuters
Je me posais la question pour ma fille, 11 ans hier.
Ce qui me gêne dans ce vaccin, c’est qu’il ne couvre pas 30 % des papilloma virus, à eux seuls responsable de 50 % des cancers, alors qu’il y a un risque, faible mais présent, de se farcir des maladies auto immune.
ça n’enlève donc pas les frotis, qui eux détectent apparemment 100 % des cancers.
Autre point qui me tarabuste, la nature ayant horreur du vide, en éliminant une partie des souches, ne risque t on pas justement de voir se developper la population des virus non couvert ?
Eh bien moi je ne fais pas confiance à ces vaccins… Quand on sait ce qu’ils coûtent et ce qu’ils rapportent aux pharmas… On comprend que ces labos fassent pression sur les médecins et sur les politiques. Du reste les medias sont très peu bavards à ce sujet ce qui est d’autant plus suspect puisqu’il existe de nombreuses polémiques concernant ces vaccins. Et ils ne seraient pas si efficaces que ça….
Bonjour,
Tu as tout a fait raison !
C’est là que l’on voit la croyance scientifique s’engouffrer dans le « je suis plus fort que la Nature, ma Mère ! »
Les vaccins sont à mettre au même endroit que le RCA, le Fluor, les pesticides, et autres conneries humaines baignant dans le matériel qu’est l’argent, à la poubelle !
Pour rappel, l’Homme n’est pas venu sur Terre pour être malade.
La seule qu’il devrait connaitre est celle de son cerveau !
Car c’est bien effectivement, la seule a combattre…..
Amicalement
Gus